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Manon, ma grosse salope.Ch.8

Manon, ma grosse salope.Ch.8



Chapitre 8: Avec Papa et Papy

Je reste dans la voiture pendant que tu vas voir ta mère, puis nous allons chez ton grand père.
Lorsque nous entrons dans la maison, tu passes la première et dès que ton papy te voit un grand sourire illumine son visage. Mais dès qu’il me voit son sourire disparaît.
– Mais…Manon…qui…est…nooonn ! C’est…
– Oui, mon papy. C’est papa.
– Putain ! Daniel…t’es revenu…Ben merde alors !
– Salut Papy…t’as l’air en forme.
– Houlà ! On fait aller mais je n’ai plus la fougue de mes 40 ans !
– Mais si Papy ! Réponds-tu en passant derrière la table de cuisine pour aller l’embrasser.
Penchée sur lui je remarque qu’une de ses mains est déjà sous ta robe. Il ne perd pas de temps le Papy ! Et il ne va pas être déçu car tu n’as pas remis de slip comme je te l’ordonne quand tu es avec moi. Comme convenu, pour vous laisser un moment d’intimité je vous dis.
– Je vais chercher du pain et puis je gare la voiture dans le garage et j’apporte les valises.

Quand je reviens pour poser les valises, tu n’as pas perdu de temps. Je te retrouve assise sur la table, devant ton Papy, les cuisses écartées avec ta robe relevée sur tes hanches, exposant ainsi ta belle chatte au regard concupiscent de ton grand-père. Comme je te l’ai demandé, tu es en train de chauffer ton Papy pour lui faire retrouver sa vigueur de jeune homme.
Je suis sûr que ton clitoris est encore gonflé de tes orgasmes précédents et le Papy doit avoir du mal à te résister.
– Manon ! Arrête ! Ton père va revenir d’une minute à l’autre !
– La boulangerie est au moins à 10 minutes et …je lui ai dit pour nous deux.
– Merde ! Et alors…
– T’inquiète ! Maintenant c’est lui qui me baise ! Et il est aussi doué que toi à son âge ! Tu as déjà dîné Papy ?
– Non, Manon, ta mère m’a dit que tu t’en occuperais.
– Alors, commence par bouffer ma chatte. C’est mon hors d’œuvre !

Tu poses tes pieds sur ses épaules et enroulant ses bras autour de tes cuisses, Papy se penche en avant et enfouit son visage entre tes cuisses pour plonger sa langue dans ta chatte.
J’entends Papy gémir.
– Huuummmm, elle est bonne ta chatte ! Mais tu as dû te faire baiser il n’y a pas longtemps car elle sent le sexe d’homme.
– Tu es peut être un peu sourd mais ton odorat est toujours aussi fin Papy. Mais tais-toi et suce ma chatte.
Tu gémis quand il reprend ta chatte et qu’il fait tourbillonner sa langue dedans pour te faire mouiller et se délecter de ton jus intime. Tu balance ton cul d’avant en arrière pour l’aider à glisser sa langue dans ta chatte toujours chaude et prête à se faire lécher. Elle est si humide que les joues de ton grand-père sont déjà recouvertes de cyprine comme son nez qui respire l’odeur enivrante de ton sexe.
– Mon clito, Papy ! Bouffe mon clito ! Fais jouir ta petite fille, papy !
Sa langue part à l’assaut de ton clitoris en suivant le contour de tes lèvres humides et si douces. Il sait y faire le Papy. Sa langue touche rapidement ton clito gonflé avant de tracer un cercle autour provoquant une contraction de ton ventre et un balancement de tes hanches dès qu’il aspire ton clito pour le sucer.
– Ouiiiiiiii, Papy ! C’est bon ! Mets tes doigts à l’intérieur!
Sa main glissant sur ta cuisse deux de ses doigts s’enfonce dans ta chatte et il te fait gémir plus fort quand il te branle tout en continuant de jouer avec ton clitoris avec sa langue.
– Ouiiiiiiii, Papy ! Si papa nous voyait il serait sûrement furieux de voir sa fille se faire dévorer la chatte par son Papy. Mais je suis sûre que ça le ferait bander !
Pendant que tu t’offres à ton grand-père, tu caresses tes seins et roules tes tétons entre tes doigts, les yeux fermés, tes lèvres rouges entrouvertes pour laisser échapper tes gémissements de plaisir.

L’ondulation de tes hanches s’accélère et tes gémissements deviennent plus aigus quand les doigts de ton Papy fouillent plus profondément ta chatte. Je ne sais pas ce qu’il fait avec ton clito mais son visage est trempé de cyprine et tu sursautes en soulevant tes hanches de la table et tes cuisses tremblent contre mon visage.
– OOOOoohhhh, ouiiiiiiii ! Plus vite ! Plus fort !
Puis tu restes immobile un instant pour ensuite pousser un long cri de plaisir avant que tes hanches recommencent à bouger de nouveau en serrant et desserrant tes cuisses autour de sa tête.
Un moment plus tard, dans un hurlement de jouissance, tu as un orgasme et ta chatte se met à gicler expulsant ton jus chaud et collant sur la figure de ton Papy.
C’est à ce moment que j’interviens.
– Manon ! Ce n’est pas possible ! Je te laisse 5 minutes toute seule et tu es déjà en train de te faire sucer ta chatte par un vieux cochon ! Et par ton grand-père en plus !
– Mais papa ! Tu m’as demandé de bien m’en occuper. C’est ce que je fais. Il adore ça ! Hein Papy ?
Mon beau père, le visage dégoulinant de cyprine et déjà sa bite en main, ne sait pas trop bien quoi dire et je lui dis.
– Manon ! Regarde ton papy… dans quel état il est ! Tu n’as pas honte, tu mériterais une bonne fessée !
– papa ! Je voulais juste lui faire plaisir !
– Papy, allons dans ta chambre…on va s’occuper de ma fille que tu as pervertie dès son plus jeune âge.

Dès que nous sommes entrés dans la chambre, mon ex beau-père me regarde et me demande.
– Tu crois qu’elle va nous permettre de faire tout ce que nous voulons…
– Bien sur Papy ! Tu l’as bien initiée et elle est très obéissante. Je l’ai bien en main et elle adore faire plaisir à son papa. Mais elle mérite quand même une petite correction pour ne pas m’avoir demandé l’autorisation de te laisser bouffer sa chatte.
– Papa ! Tu m’as dit de …
– Tais-toi ! Je ne veux plus t’entendre ! Fille dépravée !
Papy, assit sur le bord du lit, son pantalon sur ses chevilles et sa bite en érection, les yeux brillant, regarde sa petite fille qui baisse la tête.
– Daniel, ne sois pas trop sévère avec ta fille, je suis en grande partie responsable de son addiction au sexe.
– Alors c’est toi qui va lui donner une petite fessée. Couches-toi sur les genoux de ton grand-père Manon.

Tu te penche sur son Papy pour te mettre à plat ventre sur ses genoux et mine de rien, tu pousses la queue de son Papy entre ses cuisses avant de s’appuyer sur les siennes. Comme tu écartes un peu les cuisses je vois le gland du Papy qui frotte sur son anus qui frémit.
Une première claque sur tes belles fesses.
– Houille ! Doucement Papy !
– Tais-toi, Manon ! Tu ne dois jamais désobéir à ton papa.
Une dizaine de claques suivent et tu cries en prenant une voix de petite fille qui pleurniche.
– Papa ! Dis-lui d’arrêter ! Je ne te désobéirais plus !
Une autre claque, plus forte que les premières augmente la rougeur de tes fesses
– Papa ! S’il te plaît Papa, je ferai tout ce que tu veux.
Papy te pousse à genoux devant lui et je m’assois à côté de lui.
– Tu feras tout ce que l’on exige de toi ?
– Oui, Papa ! Tout ce que vous voulez !

Voyant nos deux bites tendues devant ton visage, tu comprends ce que l’on veut sans qu’on te le demande. Tu as aussi envie de remplir ta bouche de nos bites aux glands humides car ta chatte est de plus en plus chaude.
Pendant un instant tu compares ces deux queues qui trépignent d’impatience devant tes yeux.
La bite de ton papa est un peu plus grande que celle de ton grand-père, qui par contre est plus grosse. Tu prends fiévreusement la bite de ton Papy pour la caresser, toujours étonnée de la taille de sa bite dans ta main et tu es prête à jouer les Catins pour nous, aussi longtemps que nos deux gros sexes utiliseront tous tes trous pour te donner du plaisir.
– Aller…suce mon ange.
– Oui papa.
Tu prends mon gland dans ta bouche pour commencer à faire tourbillonner ta langue dessus avant de le sucer petit à petit. Quand mon sexe force ta bouche en poussant sur l’arrière de ta tête, tu sens merveilleusement ta bouche se remplir et s’étirer pour l’accueillir le plus profondément possible.
Je te saisis par les cheveux pour baiser ta bouche plus énergiquement, plus profondément et quand tu commences à manquer d’air je me retire.
– Suce ton Papy maintenant !
Ta bouche avale goulûment sa queue que tu caressais dans ta main qui n’en fait pas le tour et tu suces ton papy pendant que je malmène tes gros seins. Quand je pince tes tétons tous durs, tu gémis sur la bite de ton grand-père.

Tu alternes entre ces deux belles bites car tu ne peux les prendre ensemble dans ta bouche.
D’un seul coup, ton Papy t’arrache de sa bite et crie.
– Daniel ! On va l’emmener dans la grange.
– NOOONNNNN Papy ! Pas dans la grange !
– Fermes-là Manon ! On va montrer à ton père comment on s’amusait quand tu étais une petite fille !
Je n’ai aucune idée de ce qu’il veut dire par là mais je t’entraîne à sa suite en te traînant derrière moi, toute nue et les seins ballottant.

Dans la grange, il se sert d’un système de levage pour animaux pour t’attacher les poignets et les chevilles et glisser une planche sous ton ventre pour te soulever en actionnant les poulies. Te voilà au-dessus du sol, la tête en bas, bras et jambes écartées et tu ne t’es jamais sentie depuis bien longtemps aussi exposée et aussi fragile, que lorsque ton Papy s’amusait avec toi il y a bien des années.
Complètement nu maintenant, mon sexe hyper tendu se retrouve juste à la hauteur de ta bouche mais tu attends ma permission pour le prendre en bouche pour ne pas te faire punir, comme faisait Papy dans ta jeunesse.
Tu attends que l’un de nous deux pousse sa bite dans ta bouche. Je m’amuse à gifler ton visage avec sa queue.
– Tu as envie de mon sexe, Manon ?
– Oui, papa et j’aime quand tu t’en sers pour frapper mes joues.
– Lèche ma bite, mon Ange, lèche ton Papa.
Tu tires ta langue et tu lèches ma queue de haut en bas pendant que ton Papy finit de se déshabiller. Tu sais qu’il ne va pas tarder à te baiser comme il baisait l’adolescente qu’il entraînait avec ton frère dans la grange.
A l’époque tu ne comprenais pas ce besoin d’être ainsi utilisée et soumise mais tu aimais ça et cela te faisait jouir énormément. Maintenant tu sais que tu as besoin d’être traitée comme une putain et considérée comme une poupée et un jouet sexuel. Un réceptacle à bite.

Tu arrêtes de penser à ta jeunesse quand Papy se place entre tes jambes écartées pour doigter ta chatte humide.
– Tu mouilles toujours autant ma belle salope. Peut-être même plus que dans ta jeunesse. Et quel cul tu as maintenant ! Je suis sûr qu’il y a de la place pour deux !
– Papy ! Tu n’es qu’un vieux cochon pervers !
– Daniel, tu l’as déjà enculé cette grosse salope ?
Demande ton papy en fouillant ta chatte de ses doigts et caressant ton trou du cul de son autre main.
– Oui, papy, il y a peu de temps. Un vrai délice ! Étroit comme une jeune vierge !
– Merde ! Elle n’a jamais voulu que je lui fourre ma bite dans le cul !
– Alors c’est ton jour de chance Papy.
– NOOONNNNN, papy tu es trop gros pour mon petit cul.
– mais non ma petite biche. Si tu peux prendre la queue de ton papa dans ton petit trou tu pourras accepter de rendre hommage à celle de ton papy. Ma bite attend ça depuis plus de 20 ans !
Dit-il en continuant de fouiller ta chatte.
Aux petits cris que tu pousses je sens que tu ne vas pas tarder à jouir car en dehors de son pouce qui s’enfonce doucement dans ton anus, tous ses doigts sont dans ta chatte qui suinte de cyprine.
Papy sent ta chatte se resserrer autour de ses doigts, et lui aussi doit savoir que tu vas jouir.
– petite cochonne ! Mes doigts sont trempés ! Je ne sais plus dans quel trou je vais plonger ma bite !

Ton premier orgasme éclate et tu cries de plaisir sans pouvoir réagir en aucune façon, ligotée dans cet engin de ton grand-père.
Pour te faire taire j’enfonce ma bite profondément dans sa bouche. Je sais que tu aimes le goût de la bite de ton papa. Maintenant que tu as jouis une première fois tu vas faire tout ce qu’on veut car je te connais bien. Ton corps a besoin d’autres jouissances et pour ça tu es prête à tout pour satisfaire mes fantasmes sexuels.
Je me retire de ta bouche brûlante et je te demande.
– Prête Manon ? Tu veux celle de Papy ou celle de ton papa ? Qui va te remplir un de tes trous d’amour…
– Toi Papa ! Viens en moi !
Je glisse deux doigts dans ta chatte pour bien les lubrifier pour ensuite les introduire dans ton joli petit cul.
– Oooooohhh, Papaaaa !
– Tu aimes ça ma chérie…tu aimes avoir quelque chose dans ton petit trou…hein mon ange ?
– Oooooh, ouiiiii, Papa
– Tu veux que je te baise ton trou du cul ?
– Ouiiiii, rempli moi le cul avec ta bite !
– Devant ton Papy ! Lui aussi il veut ton petit trou, ma fille.
– Apres toi, Papa. Prépare-moi pour sa grosse queue. Ça fait plus de 20 ans qu’il rêve de me la mettre dans le cul ! Il peut patienter encore un instant.
– OK, Chérie. Papy, bloque là pour qu’elle ne se balance pas.
Ton Papy passe devant toi et il t’enfonce sa queue dans ta bouche pour t’empêcher de te balancer en avant. Moi je pointe mon gland sur ta rosace qui s’écarte doucement sous ma poussée pour laisser passer ma bite qui s’enfonce dans tes entrailles toutes chaudes
– Daniel ! Att**** çà !
Papy vient de me lancer un gode tout rose et il tient dans sa main une télécommande.
– Enfile-lui dans sa chatte ! On la faire gueuler cette petite salope.

Ce que je fais aussitôt et lorsque le gode disparaît presque entièrement dans ta chatte, Ton Papy pervers met en route le vibreur
– AAAAAAHHHHHHH ! NOOOONNNNNN !
– Vas-y Daniel ! Encule là ! Bien à fond !
Il te prend la tête pour baiser ta bouche comme il veut pendant que moi, je te ramone ton conduit anal en sentant les vibrations du gode quand je suis au plus profond de ton cul.
Tes 3 trous d’amour sont bien remplis et tu pousses des gémissements de plus en plus fort malgré la queue de ton Papy qui va et vient dans ta bouche. Suspendue dans les airs, bien fourrée de partout, tu te sens tellement sale, salope et soumise, que quelques minutes plus tard ton corps tremble, traversé par des vagues de jouissances.
Papy c’est retirer de ta bouche avant de jouir et me dit.
– Daniel, prend le matelas derrière toi, met le sur la roulante et couche toi sous elle.
Je ne sais pas trop où il veut en venir mais je fais ce qu’il dit.

Il retire la planche qui soutenait ton corps et il manœuvre les poulies pour que ton bassin se baisse sur ma bite qui trouve facilement ta chatte ouverte et dégoulinante de jus. Il donne du mou aux cordes qui tiennent tes poignets et tu peux te pencher vers moi pour que je suce tes tétons tous durs au bout de tes gros seins qui se balancent au dessus de mon nez.
Dans cette position, ton trou du cul est très bien exposé et à hauteur de la bite de ton Papy qui écarte des fesses de ses deux mains.
– Putain ! Enfin ! Je vais me le payer son cul à cette salope ! Manon ! Demande-moi de t’enculer !
– Ouiiiiiii ! Papy ! Encule ta petite fille !

Papy t’éperonne sauvagement de sa queue qui n’a sûrement jamais été aussi dure depuis longtemps.
Te voilà baisée par ton père et ton grand-père en même temps !
Mon sexe s’agite dans ta chatte et je sens la grosse bite de ton Papy qui va et vient dans le trou d’à côté en comprimant ma queue quand nous sommes tous les deux enfoncés profondément en toi.
Pendant au moins 10 minutes, on te baise comme des fous et ton corps s’offre à nous sous tes gémissements et encouragements
– Oh oui …. Aaahhhh ….. Baisez-moi ….. Ooohhhh …. Oh papa …… Aaaahhhh …. Oh oui… papy ……. plus fort ! Ouiiiiiii, comme ça ! Les deux ensembles ! Aaaaaahhhhhh oh putain ouiiiiiiiiii, je jouiiiiiisss !
Ton corps entier se tend et tes trous à bites se resserrent sur nos queues pendant ton orgasme et ma bite est inondée de cyprine chaude. On continue de te pilonner sans s’occuper de tes cris et c’est avec un bel ensemble que nous jouissons dans ta chatte et ton cul.
– AAAAaaahh, Papa ! Papy ! C’est incroyable. Je sens vos deux bites qui giclent en même temps ! Ouiiiii, enfoncez-vous bien à fond ! OOOooohhh que c’est bon de vous sentir en moi. J’adore votre foutre!

On se vide les couilles pendant que tu m’embrasses sauvagement et que Papy te claque tes fesses en gueulant.
– T’es devenue une sacrée baiseuse ma puce ! J’ai jamais autant bandé ! Tu es merveilleuse et j’adore ton trou du cul.

On te détache, nous rentrons à la maison et tu files dans la salle de bain du 1er étage.
Je prends un verre avec ton Papy qui me raconte ses exploits sexuels et particulièrement ceux qu’il a eus avec toi quand tu étais petite fille. C’est vraiment le pire des salauds, mais si je le crois, tu adorais te soumettre a ses perversions avilissantes.
Comme tu ne redescends pas on s’inquiète un peu et monte tous les deux pour voir si tu vas bien. On te trouve allongée sur le grand lit de Papy, toute nue. Rien que de voir tes formes plantureuses et de penser à ce que l’on vient de te faire, je me remets à bander.
Tu le vois bien et cela te fais sourire. Mon dieu que tu es belle quand tu viens de jouir !
Coquine, tu resserres tes deux seins dans tes mains et tu lèches le bout de tes tétons toujours aussi gonflés.
– Alors mon Ange…tu as aimé notre partie à trois ?
– Oui, Papa…c’était bon de vous sentir en moi.
Une de mes mains caresse tes seins et je donne une pichenette sur un de tes tétons bien dur.

Papy à plus de mal à récupérer que moi et il s’effondre dans un fauteuil pour nous regarder.
– Daniel, occupe-toi de ta fille, moi je suis sans force ! Je suis sur qu’elle a encore envie de se faire baiser.
– Non, Papy ! Moi aussi je suis crevée ! Vous m’avez défoncé comme des bêtes sauvages.
– Tut, Tut, ce n’est pas un coup de bite de plus qui te fais peur. Je te connais bien ma petite. T’es une superbe salope, accro au sexe depuis ton plus jeune âge. Vas-y Daniel, sautes ta fille devant moi ! Si elle se débat, violes-là ! Elle adore ça !
– Mon Ange…tu veux que papa te baise devant ton Papy…
– Non ! Pas maintenant ! J’ai encore mal à ma chatte et mon trou du cul est en feu !
Je pince tes tétons et tu cris car ils sont très sensible après tes orgasmes.
– Manon ! Regarde !
Je te présente ma bite redevenue toute dure.
– Tu ne vas pas laisser ton papa dans cet état ! Ne m’oblige pas à te violer !
– Qui te dit que je n’aimerais pas être violée par mon Papa…
– Qu’est-ce que je t’ai dit, Daniel. Une vraie pute ! Vous m’excitez tous les deux !

Je grimpe au-dessus de toi et je force ta bouche de ma bite. J’ai vraiment envie de te violer, toi ma fille, et ça rehausse mon excitation de le faire devant ton grand-père. Je retire ma bite de ta bouche et je t’ordonne.
– Retourne toi et à genoux !
– Nooon, Papa. Pas maintenant.
Je lève ma main.
– Manon…obéie…si non…
– NOOONNN papa !
Et tu te retournes pour me présenter ton gros cul. Je claque tes fesses.
– T’as vraiment un cul superbe, ma fille. Écarte tes fesses ! Fais-moi voir ton trou du cul.
Les épaules et la tête sur le matelas, tu passes tes mains derrière toi et tu écartes tes fesses.
J’ai une vue splendide sur ta chatte et ton trou du cul encore ouvert et tout rouge.
– Papa…s’il te plait… ne me fait pas de mal…
Tu geins exprès comme une petite fille pour m’exciter encore plus.
Malgré tes supplications, je te claque tes fesses pour qu’elles deviennent rouges.
– Arrête Papa ! Ouuuuhh, ça fait mal !
– J’espère bien ! Maintenant tu es prête à te faire violer !

Je sais que tu aimes ça. On a déjà joué à ce petit jeu depuis que je t’ai retrouvé et que tu es ma maîtresse toute soumise à son papa et à ses désirs. Et nous avons un spectateur. Ton cochon de Papy qui se tripote son sexe flasque en nous regardant.
– Montre-moi ta chatte, petite cochonne !
Tu redresses ton cul et de nouveau, tu écartes tes fesses toutes rouges. A la façon que tu fais ça en ondulant du cul et en écartant largement tes deux lobes charnus, ton grand-père et moi on voit bien que tu aimes t’exhiber.
Tu assumes ton rôle de salope accro au sexe et tu ne demandes qu’à être utilisée, malmenée et souillée par notre foutre i****tueux. Je glisse deux doigts dans ta chatte et elle est encore humide de cyprine et de mon sperme.
– Papy, ma fille mouille encore et sa chatte est brûlante.
– C’est une chaude ma petite fille. Ce n’est pas une pute qui fait semblant de jouir pour se faire payer. Quand elle jouit, elle s’éclate. Elle adore le sexe et tu peux abuser d’elle comme tu en as envie. Elle revient toujours et elle en redemande. Qu’est-ce que j’ai pu la baiser quand elle était jeune. J’étais plus endurant à cette époque. Notre record est de 4 fois dans la journée. Hein, Manon.
– Papy, tu vieillis. C’était 6 fois !
– Tu as raison ! Je me rappelle de ce jour-là. Tu étais comme une chienne en chaleur. Je me demande même si ton frère ne t’a pas baisé aussi.
– Bien sûr qu’il m’a baisé ! Deux fois, comme tous les jours. Le matin et le soir. Je me suis mis de la crème apaisante sur ma chatte et mes seins tellement j’étais sensible !

Rien que de parler de leurs souvenirs salaces, la bite à Papy reprend un peu de vigueur et il te dit.
– Couches-toi sur le dos.
Il va se mettre à genoux au-dessus de ta tête pour poser son sexe sur ta bouche.
– Suces-moi ! Redonne de la vigueur à ma vieille bite.
Puis il se penche sur toi, passe ses mains sous tes genoux et en soulevant tes cuisses, il les écarte largement en me disant.
– Vas-y Daniel, tu peux la baiser ou la violer ! Prends-là comme tu veux !

Je me mets à genoux entre tes jambes en caressant ma queue en érection devant ta chatte humide et brillante. Tu suces le sexe de Papy et je ne sais pourquoi je fais ça, mais je frappe ta chatte plusieurs fois avec ma queue toute dure.
Tu retires de ta bouche la queue de Papy qui commence à reprendre du volume et tu cries.
– Arrête Papa ! Ça fait mal…
– C’est pour te punir de toutes les saloperies que tu as faites avec ton frère et ton Papy.
– Aaaaahhh… je suis désolé, Papa. Mais c’est de leur faute. Ils me sautaient dessus à chaque fois qu’ils en avaient l’occasion.
– Peut-être…mais je suis sûr que tu aimais ça ! Dis-moi la vérité.
– Ben…non…heu…oui…enfin… au début, pas trop. Mais ensuite ils me faisaient tellement jouir que mon corps réclamait leurs sexes quand ils ne me baisaient pas assez souvent.
– Et tu es devenue une grosse salope qui saute tout de suite sur une bite quand tu en vois une. Comme une nymphomane.
– Oui, papa…pardon Papa…Mais c’est plus fort que moi !
– Donc… tu as bien mérité une petite punition.
Je plonge deux doigts profondément dans ta chatte en remontant sur le haut de ta paroi vaginale.
– OOOooh, Papa !
– Quoi ! Ça ne va pas ? T’as un problème !
– Si, Papa, Aaaaahhh, non… mais va doucement.
– Je fais ce que je veux avec ta chatte. Maintenant elle m’appartient et tu m’obéis !
– Oui…Papa. Je ne dis plus rien. Fais ce que tu veux avec ta fille. AAAAHHHHHH ! PAPA !

J’étais loin de m’imaginer que j’allais te retrouver en petite salope avide de sexe et soumise à mes désirs les plus pervers. Je mets un troisième doigt dans ta chatte pour mieux la sentir et je te regarde sucer la bite de ton Papy. Ta chatte se crispe sur mes doigts et j’ai envie de te baiser pour sentir tes contractions vaginales sur ma queue quand tu vas jouir.
Je frotte ton long clito en érection avec mon gland pour t’entendre gémir même avec la bite de ton grand-père en bouche que tu branles en même temps que tu le suces. Avant de te baiser je me penche entre tes cuisses pour lécher et goûter à ta chatte de femelle chaude. Un frisson fait trembler ton corps.
– OOOoohhh, ouiiii, Papa ! Enfonce ta langue! AAaahhhhh…ouiiiiiiiiiiii…comme çàààààà.

Je continue de te sucer et de te lécher un peu et je sens à ta respiration haletante que tu n’es pas loin de jouir. Excité, je veux boire ton jus.
– Jouis ma fille. Jouis pour ton Papa !
– Ooooohhh oui papa ….. Oooohhhh …… ……. oui ça y est papa …… Aaaahhhh…oh oui suce bien mon clito….oooohhhh putain, papaaaa….ouiiiiiiii … aaahhhhhh ….. Je jouiiiiiissssss !

Je suis fier de te faire jouir autant. Le corps tendu, tu jouis merveilleusement et ta chatte déverse ton jus dans ma bouche. Je lape et j’aspire afin de ne pas en perdre une goutte. Tu es ma drogue et je me shoote avec ta liqueur d’amour
Tu grognes et tu cries mais tu ne lâches pas la queue de ton Papy malgré cet orgasme qui dévaste une nouvelle fois ton corps et tes organes sexuels. Ta chatte et ton cul s’ouvrent et se ferment en même temps que les soubresauts de ton ventre.
Lorsque ton jus arrête de sortir de ton sexe brillant et que ton corps se détend un peu, je gifle tes lèvres rouges avec ma queue et je te pénètre un peu.
– Prête ma fille ? Tu veux papa ?
– Oui papa ! Baises-moi ! Baise ta fille ! Comme tu veux ! Violes- moi si ça t’excite !

Oh oui, ça m’excite ! Je plonge tellement fort ma bite en toi que je te propulse sur la queue de ton Papy qui disparaît dans ta bouche et tu peux lécher ses couilles du bout de ta langue. Je défonce ta chatte et tu finis par crier.
– Papa ! Tu me fais mal ! AAAAAHHHH, Papa ! Doucement !

Je ne sais pas si tu fais semblant pour m’exciter encore plus ou si je te fais vraiment mal, mais je ne tiens pas compte de tes supplications. A chaque poussée, je claque brutalement mon pubis sur ton cul en m’enfonçant le plus loin possible en toi.
De son coté, Papy a pris ta tête dans ses mains et il te baise la bouche aussi brutalement que je baise ton sexe et je vois qu’il ne va pas tarder à jouir.
– Attends Papy ! On va cracher notre foutre dans sa gueule de salope ! On va la remaquiller à notre manière.
On te libère une seconde de nos bites pour te mettre à genoux et je tire ta tête en arrière par tes cheveux.
– Ouvre ta bouche ! Et surtout avale tout !
– Oui papa !

Comme une bonne pute, tu ouvres toute grande ta bouche et nous branlons nos queues devant tes yeux brillant d’envie. Papy est le premier à jouir. La plupart de son sperme atterri dans ta bouche et le reste sur tes joues et ton menton. Tu le racles avec tes doigts et tu l’étales sur tes gros seins en roulant tes tétons. Je pousse un peu le Papy qui plane un peu et je soulève ton menton.
– Avale ma fille ! Ce jus t’a donné le jour ! Pour le plus grand plaisir de ton Papa !
Mon éjaculation est tellement forte que mes premiers jets de sperme vont directement dans ton gosier. Tu fermes ta bouche pour avaler et déglutir avant d’étouffer. Je me finis sur tes beaux seins et tu mélanges mon sperme à celui de Papy pour te masser les seins comme avec une crème de beauté. Papy ne te quitte pas des yeux.
– Daniel, on a la plus belle fille du monde à notre disposition. Et sûrement la plus chaude des salopes ! J’espère que vous ne repartez pas tout de suite ! J’ai encore envie dans profiter !
– Je pense que l’on va rester quelques jours Papy. Regarde ta petite fille. Elle se masturbe toute seule. Elle n’en a jamais assez ! On ne sera pas trop de deux. On devra peut-être invité quelques-uns de tes amis…

Plus tard, blottie dans mes bras dans le grand lit que papy nous a laissé, je caresse tes cheveux et tu te serres encore plus contre moi avec une de tes jambes entre les mienne.
– Mon Ange…Ça va… On ne t’a pas trop brutalisée avec ton Papy ?
– Un peu Papa…tu m’as fait mal quand tu frappais ma chatte très sensible après m’avoir fouillée de tous tes doigts et fait jouir comme une folle sous ta bouche.
– Pardonne-moi mon amour. Tu es tellement désirable, si excitante que je me laisse trop aller à mes désirs pervers. Et la présence de papy m’excitait encore plus.
– Je te pardonne tout mon papa pervers. Je t’avoue que lorsque tu m’as défoncé après comme un sauvage, c’était comme un viol et j’ai adoré ça.
– Je t’aime ma fille et je suis accro à ton corps, à ta bouche si coquine et si douce en même temps, à tes gros seins, à ta chatte si chaude, et à ton petit cul si étroit. J’aime te voir prendre du plaisir et je pourrais jouir rien quand te regardant quand tu as un orgasme. Tu es magnifique dans ces moment-là. C’est pour ça que ça ne me gêne pas que tu te fasses baiser par un autre. Je peux t’admirer et voir le plaisir que tu prends et la jouissance monter dans tout ton corps, dans ta figure, ta bouche qui se crispe ou sourit aux démons de l’amour. Tes gémissements varient d’intensité avec la monté de ton plaisir. Mon dieu que tu es belle dans ces moment-là !
– Oooh, Papa… moi aussi je t’aime à la folie. C’est pour ça que tu peux faire ce que tu veux avec mon corps. J’aime t’exciter, sentir ton sexe qui gonfle dans ma main ou dans ma bouche avant de cracher son jus. Et quand tu es en moi, par devant ou par derrière, je suis comblée et tu m’emmènes au paradis des femmes sensuelles et amoureuses.
– Merci mon Ange.
Ta main est entrain de branler ma queue qui s’est naturellement redressée pendant notre conversation. Je la bloque de ma main, embrasse ton front et je te dis.
– Stop, ma douce. Il faut dormir maintenant. Les jours prochains risquent d’être assez mouvementés. Il faut qu’on récupère. Toi comme moi !
Phantome

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