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La fête des voisins

La fête des voisins



Je ne suis pourtant pas un grand organisateur, mais je suis plutôt fier de moi ! Pour la première fois de ma vie je participe à la fête des voisins, mais cette fois-ci c’est moi qui l’organise ! Les 4 immeubles partageant la même petite cours, j’ai invité pas mal de personnes à venir profiter du soleil et partager un verre et un apéro entre voisins.

Nous ne nous connaissons absolument pas, les relations de voisinage ce n’est pas le style dans l’immeuble. Le couple du dessus qu’on croise quand ils descendent les poubelles, la voisine d’à côté avec qui on a déjà échangé quelques mots sur le balcon, et puis c’est tout !

Ma copine et moi accueillons donc les premiers invités, essayant de lancer des sujets bateaux pour que les conversations partent. Pas facile ! Mais on découvre vite quelques voisins sympas avec qui discuter, les petits apéros faisant leur effet tout le monde se déride. Et c’est à ce moment là qu’ELLE arrive. Elle, c’est notre voisine d’en face. Je l’ai apercu quelques fois sur son balcon, et c’était un peu le fantasme de la « Girl Next Door » : une jolie brune à la peau mate, fine sportive, souriante, féminine, vraiment belle ! J’espèrai la voir ce soir, même si je ne lui ai jamais parlé ! Je l’ai par contre bien souvent matée, sur mon balcon l’air de rien, quand elle faisait son sport sur son balcon. Oui, je fais parfois un peu flipper !

Elle, elle n’a pas l’air effrayée par moi, puisqu’elle vient nous voir rapidement pour nous féliciter pour l’organisation. Enfin ILS viennent nous féliciter, puisqu’elle a un copain que je décide immédiatement de ne pas apprécier ! Pas sympa pour lui, mais bon…

La soirée se déroule plutôt bien, un petit groupe d’une dizaine de personnes reste plus longtemps que les autres pour discuter. Elle, est toujours aussi belle. Son copain, fatigué, remonte plus tôt qu’elle, l’occasion pour moi de discuter un peu plus avec elle. Je suis sous le charme, je dévore son visage bronzé des yeux, sa jolie robe rouge met en valeur ses formes, son joli décolleté, ses belles jambes… Tout ce que j’aime !

Je délaisse un peu ma copine, mais vient l’heure fatidique de remballer tout, de recevoir les remerciements de tout le monde. Le sien paraît un peu plus… appuyé, l’alcool lui donne t-il ces yeux pétillants ? Je profite de cette bise pour respirer son parfum envoûtant. Et la voilà repartie… Sous mes yeux tristes.

Et puis, ma copine qui me dit « tiens, elle a oublié ses plats ! Tu lui ramènes ? » J’accepte sans me faire prier, et me précipite en trotinnant vers la porte de son immeuble qu’elle vient de franchir. Je l’ouvre, franchit le seuil. Je tourne le coin vers l’escalier. Elle est là. Elle m’attend avec un grand sourire. « Ah oui, j’avais oublié ça » dit-elle en prenant les plats. « Et puis ça » en glissant un baiser sur mes levres. Je lui rend ce baiser, et je la sens sourire. Ce baiser se fait plus appuyé. Sa main libre glisse dans mon dos, me colle à elle. Mes mains caressent ses cheveux, son dos, ses hanches. Nos respirations se font profondes et essouflées alors que nos langues se mélangent intensément. Elle me regarde dans les yeux « Je dois remonter là ». Je la laisse partir à regret, un grand sourire tout de même fixé sur mon visage.

Alors qu’elle remonte les premières marches, elle me sourit à nouveau en se retournant « Vous organisez quand la prochaine fête des voisins ? »

1ère fois

Deux jours plus tard, dans l’entrée, nous sortons ma copine et moi pour aller chez des amis. « Attendez ! » nous crie une petite voix. Et là voilà, rayonnante dans sa petite jupe plissée orange. La chaleur aidant, sa tenue est légère et affriollante. Nos regards se croisent, nous nous faisons la bise, et je sens comme quelque chose de légèrement plus « coquin » dans cette bise furtive tandis que nous partageons ce chaste baiser. Nous discutons quelques secondes avec elle, puis chacun repart de son côté.

« Dommage que son copain ait pas l’air sympa » me dit ma copine « je les aurai bien invités chez nous ! »

2ème fois

Plusieurs semaines ont passées, des vacances pour nous, la porte fenêtre désespérement close de leur côté depuis notre retour. Et puis, ce matin de grasse mat’, seul chez moi, je profite du soleil sur le balcon et je la vois en train de faire son sport. Des abdos, des poids, je vois quelques goutelettes de sueur rouler sur ses bras et son dos. Même en débardeur de sport elle est sexy. Son petit pantalon moulan y est aussi pour beaucoup. Je la regarde faire pendant 20 minutes. Elle se relève. Croise mon regard. Me souris en se posant sur le balcon. Nous sommes trop loin pour pouvoir nous parler facilement. Ce n’est pas avec son haut de sport que je vais pouvoir profiter d’un beau décolleté sur sa poitrine. Etonnamment en se regardant comme ça, je me sens bien, je sens qu’elle est bien. On échnage juste des sourires, des regards… Quelques minutes. Puis je vois du mouvement derrière elle. Elle rentre après m’avoir fait un petit clin d’oeil et fait voler un baiser vers moi. Je reste quelques secondes à contempler le balcon vide…

3ème fois

« Votre histoire de fête des voisins, c’était vraiment top ! » Le couple de trentenaire qui nous reçoit ne nous avait pas fait forte impression mais quand j’ai appris que ma jolie brune, Camille de son prénom, serait là, j’ai quasiment forcé ma copine à faire le déplacement vers chez eux. Une soirée un peu ennuyante je dois l’avouer, nos hôtes étant très bavards, on ne peut pas en placer une. Mais Camille est là. On se dévore des yeux. Je ressent une envie que j’ai rarement ressenti, et que j’ai du mal à retenir. Ma copine étant absorbée par une discussion de vacances, je suis Camille qui ramène quelques plats à la cuisine. Arrivé là bas, je la retourne rapidement et l’embrasse sans un mot. Un baiser torride, rapide, qui la fait sourire et lui fait briller les yeux. Collé contre elle, je ne peux masquer mon érection. Avant de retourner au salon, elle passe ma main sur la bosse de mon pantalon, la caresse en faisant quelques allers retours, et me regarde de manière coquine en se léchant les lèvres. Nous repartons, moi masquant cette érection, elle avec un sourire aux lèvres…

4ème fois, les choses sérieuses commencent…

Elle est nue…

à genoux, et le sourire au lèvre. Ce sexe qu’elle tient en main est tendu par cette vision de bonheur. Elle sait jouer avec, elle paraît experte. Elle garde un air joueur même quand elle fait l’amour. Elle est superbe. Les lumières tamisées de son appartement mettent en valeur son corps nu, ses courbes, ses seins remuant au rythme de la masturbation qu’elle prodigue. C’est juste superbe ! Elle s’approche, mais doucement, comme si elle craignait autant qu’elle désirait ce sexe dressé. Ses lèvres se posent autour de la tige gonflée, la parcourant délicatement du bout des lèvres, osant sortir une langue pour la titiller. Elle remonte doucement vers le haut, sa langue s’arrêtant pour jouer, ses lèvres en profitant pour déposer un baiser. La fellation est sûrement un art quand on la voit pratiquée comme ça.

Sa main accélère le mouvement, pourtant tous ses gestes sont emplis d’une sorte de grâce. Le temps paraît suspendu avant que ses lèvres ne s’écartent délicatement pour avaler ce gland gonflé de désir… Elle commence à sucer, doucement, les yeux fermées, écartant d’une main la mèche de cheveux qui la gène. Au rythme de la masturbation, elle decend petit à petit plus profondément sur la queue, la faisant pénétrer plus profondément dans sa bouche, l’avalant plus profondément, jouant de sa langue avec le gland, ses mains expertes continuant de masturber à un rythme lent mais profond… Quelques minutes de ce jeu coquin auquel elle semble prendre un malin plaisir, et la voilà qui glisse une main entre ses cuisses, se donnant encore plus de plaisir qu’elle n’en prend à sucer cette belle queue. Son sexe à elle est trempé, déjà, et elle se caresse pour que sa fellation s’accompagne de gémissement irrésistible. Vite, elle n’en peut plus. Elle lâche se sexe à regret, et se lève, offrant à la lumière la douceur de ses courbes, ses fesses parfaites, ses seins lourds mais fermes…

« Tu dors pas ? »

Je me retourne subitement, le coeur bondissant dans la poitrine ! « Euh non pas encore, j’arrive ». Ma copine repart vers la chambre en se frottant les yeux. Je pose les jumelles dans leur broîte, et m’éloigne de mon poste d’observation tout doucement. Un dernier coup d’oeil sur le balcon d’en face, et je vois Camille en train de chevaucher son homme, se tenant les cheveux en remuant sur son sexe à lui. Moi, je bande comme rarement. Ce plaisir voyeur m’a excité au plus haut point. Je regagne mon lit et tente une légère caresse coquine tout en collant mon sexe dressé contre les fesses de ma chérie. Elle s’est déjà rendormie… Je tente de fermer les yeux, mais je ne vois que les superbes courbes de Camille… Mes rêves vont être dirigés vers l’appartement d’en face cette nuit…

Elle…

Je sais qu’il me regarde, et ça m’obsède, et pourtant je n’ose pas. C’est pourtant moi qui ait fait le premier pas, même si ses regards appuyés lors de la première soirée ont bien aidés. Savoir qu’il flashait sur moi était tellement gratifiant à mes yeux. Je me suis sentie si belle l’espace d’une soirée, dans ses yeux. Je n’avais pas connu ça depuis longtemps. Oublier mes plats là bas était-ce un acte volontaire ? Je ne saurai même pas dire, je suis reparti l’esprit chargé de question, une pointe d’excitation au fond de moi. Et puis au moment de repartir les prendre, je l’ai vu arriver, et je n’ai pas pu résister. Sa passion, son envie était toute nouvelle pour moi. Max, mon copain, ne m’a jamais désiré autant, ou du moins pas depuis une éternité !

Je joue avec le feu, mais lui aussi, c’est ce qui me rassure. Mais je veux garder le dessus dans cette… relation ? Je ne saurai mettre de mot dessus, mais maintenant j’ai toujours au fond de moi une petite pensée pour LUI, une envie de le croiser dans les couloirs, de le regarder sur son balcon. Je ne compte pas quitter Max, mais j’aimerai… juste voir ce que pense de moi ce mec qui m’intrigue et m’excite.

Et puis cette soirée chez le relou de l’immeuble d’à côté. Une heure à visionner ses photos de vacances ! Le moment le plus chiant de ma vie a été transformé en un moment divin quand LUI m’a suivi dans la cuisine. Si il n’y avait pas eu tout ce monde, je lui aurai demandé de me prendre là, sur le plan de travail, en retroussant ma robe et en écartant mon string. Il paraît que ce que l’on désire le plus sont les choses interdites. Tout semble m’interdire cet inconnu, et tout me donne envie chez lui. Sa copine est à côté, et je n’ai même pas honte. J’ai envie de sa langue dans ma bouche, de ses caresses sur mon corps…

Et puis sa queue… je l’ai senti durcir contre mon ventre pendant notre baiser. Je n’ai pas pu m’empêcher de la caresser… Ah si il avait pu déboutonner son pantalon et me l’offrir, j’aurai été prêt à lui donner tant de plaisir… Mais je perd la tête, je perd le contrôle de la situation ! Alors quitte à perdre la tête, faisons le à deux : je glisse une main sur ce jean tendu, et masse délicatement sa verge gonflée. Il se mord la lèvre, ses yeux brûle d’un désir ardent, je vois que ça devient dur pour lui de se contrôler. Je lèche mes lèvres avant de repartir vers le salon, un petit air aguicheur sur mon visage. C’est à lui de me désirer à en perdre la tête, pas à moi !

Elle…

Je comprend maintenant pourquoi les candidats de Secret Story font des choses aussi stupides. Mon voisin a à peine vue sur mon balcon et une partie de mon salon, et j’ai pourtant l’impression qu’il peut m’observer à tout moment. Au fond de moi, ça me plait. Je retrouve l’envie de m’habiller sexy pour qu’il me voie, de faire du sport sur mon balcon pour qu’il puisse me mater discrétement. Mais où cela va t-il mener ? Ce soir je suis seule, j’ai vu de la lumière chez lui, j’allume mes petites lumières tamisées, ouvre en grand la porte fenêtre. Il devrait bien pouvoir me voir comme ça. Je suis en petite nuisette transparente, une simple culotte sur mes fesses. J’allume la chaîne hi fi sur ma playlist de chanson « hot ». Et je commence à danser, danser comme si lui me regardait. Je perçoit un mouvement derrière ses rideaux. Gagné !

Lui…

A t-elle décelé mon côté voyeur ? Assurément ! Quand je l’ai vu marcher dans son salon, à peine vêtue, mon envie est très vite montée. Sa superbe tenue me laisse deviner la forme de ses seins, le galbe de ses fesses, la chaleur se dégageant de son entre jambe. Je la mate, caché derrière mon rideau. J’ai peur qu’en me montrant cela brise son envie, celle d’être regardée sans trop savoir qui la regarde. Elle est belle, et elle danse. J’entrouvre la fenêtre pour entendre de loin le rythme d’une musique lascive. Elle danse superbement bien. Elle se tient les cheveux, elle est superbe. Je ne peux m’empêcher de me caresser en la regardant. Mon short de pyjama est bientôt déformé par l’érection naissante provoquée par cette superbe créature. Je ne peux que sortir ma queue pour me caresser. Pour elle…

Elle…

Je sais maintenant qu’il est là. Il a entrouvert sa fenêtre, j’ai cru qu’il allait sortir. Mais non, peut être a t-il juste très chaud à cause de moi ? Je me sens excitée de danser pour cet inconnu. Il n’y a que lui et moi. Et je ne le vois pas. Pour quelqu’un qui voulait garder le contrôle, voilà que je m’offre aux yeux pervers de mon beau voisin. Je danse pour lui, je veux qu’il me désire, je veux qu’il rêve de moi, qu’il fantasme sur moi. Je veux être dans sa tête à tout moment comme lui est dans la mienne. Le spectacle se doit d’être grandiose. Tout en rythme, je laisse tomber ma nuisette au sol, révélant mes seins nus qui remuent au rythme de ma danse. Je lui fais face, puis lui tourne le dos en remuant mes fesses. C’est à la fois plus dur et plus facile de ne pas voir ses réactions. Je suis dans mon monde, je l’imagine excité, je veux qu’il me désire…

Lui…

Ses seins sont sublimes. Ronds, lourds mais au maintien parfait. D’ici je ne peux voir plus de détail, mais je brûle d’envie de les dévorer, de les goûter, les caresser pendant qu’elle danse pour moi. Je n’en peux plus, je la vois remuer ses fesses pour moi. Elle doit faire de la danse, car elle bouge son corps de manière si chaude, je n’en revient pas ! Ses déhanchés me font l’imaginer en train de me chevaucher, ma queue est tendue comme jamais, mais je ne me masturbe pas, je me caresse à peine, je veux profiter de chacune de ces images qui restent gravées dans mon esprit… Vite je n’y tiens plus. Ce strip-tease, cette fenêtre ouverte, elle est seule ce soir, moi aussi. Tout est-il permis ? J’éteint la lumière, me rhabille rapidement, et quitte rapidement mon appartement, emmenant avec moi quelques préservatifs…

Elle…

Il a éteint, et mon corps bat la chamade. Je ne peux croire qu’il est allé se coucher, sans un signe, un regard, un message. Non, il ne peut être qu’en train d’arriver. Et là je panique. L’appartement est mal rangé, des photos de notre couple sont partout, le lit est défait, ai-je nettoyé la salle de bain ? Qu’allons nous faire ? Se contentera t-il de baisers enflammés. Oh et puis… j’ai envie de lui, tellement envie, pourquoi m’inquiéter ? Je ne me rhabille même pas, je l’attend là, seins nus, ma culotte humide et brûlante d’amour pour lui. On frappe… J’ouvre la porte…
Collision…

Elle ouvrit la porte, le coeur batant la chamade. Il était derrière, souriant, les yeux déjà admiratifs devant le corps à moitié nu de sa belle. Elle avait presque oublié qu’elle était juste en culotte devant lui, la porte du couloir ouverte. L’air frais ne suffit pas à la refroidir, elle lui sourit, leurs yeux ne pouvaient plus se quitter. Il entra, elle repoussa la porte. Celle-ci n’avait pas encore claquée qu’ils étaient l’un contre l’autre, serrés dans les bras l’un de l’autre, leurs lèvres se collèrent, leurs langues se mélangèrent…

Leurs mains tremblantes caressaient, griffaient, attrapaient les morceaux de peaux qui se présentaient sous elles. C’était sauvage, a****l, deux corps brûlant se frottant l’un contre l’autre. Elle le poussa sans hésiter vers la chambre, et alluma la lumière (« je veux le voir » pensa t-elle). Il souriait toujours, comme un gamin fier de lui. Elle déboutonna sa chemise, pas de raison qu’elle soit la seule déshabillée. Il la regardait faire avec tendresse, fixant ses yeux, ses cheveux, son sourire… Il fut torse nu, pas spécialement costaud, mais mince et sportif, elle se régalait. Ses mains glissèrent sur le torse de son amant, elle se mordit les lèvres, encore. Il adorait qu’elle fasse ça.

A travers son pantalon, elle caressa sa queue bandée. « Comme l’autre fois » glissa t-elle, un sourire dans la voix. Il la laissa faire, puis déboutonna de lui même son jean pour lui faciliter l’accès. Elle ne se fit pas prier pour lui retirer son pantalon, puis son boxer, dévoilant son sexe tendu, long et fin, bandé à fond. Elle commenca à le caresser, mais il l’arrêta pour s’agenouiller devant elle. Il lui fit retirer sa culotte, et put enfin profiter de son corps entièrement nu. Lui était quasiment lisse, elle laissait un petit ticket de métro au dessus de son sexe. Ils se regardaient sans pudeur, juste excité. Il l’allongea sur le lit, et repris ses langoureux baisers, ses mains dérivant sur ses seins ronds, dont les tétons pointaient d’excitation. Ses doigts tournaient doucement autour de ces seins superbes, se rapprochant des tétons, lui prodiguant à elle des frissons de plaisir qui montaient petit à petit. Elle caressait tout ce qu’elle avait à portée : ses cheveux, ses épaules, son dos.

Quand il commença à lui lécher les seins, elle se laissa faire, profitant du plaisir. Mais bientôt, sa nature active repris le dessus, et elle lui fit comprendre qu’il devait continuer à s’occuper d’elle en se mettant à angle droits par rapport à elle. Elle pouvait maintenant caresser son torse, son ventre… et en tendant les bras sa queue dressée. Elle le masturba doucement en profitant des caresses qu’il lui prodiguait. Son regard à elle allait de ses seins à la queue de son amant. Reçevoir et donner, deux plaisirs différents, et les deux en même temps…

Il descendit en embrassant son ventre vers sa chatte trempée. Pas timide, sa langue vient vite écarter ses lèvres, goûter sa mouille, remonter jusqu’à son clito excité. Il était maintenant quasiment en 69, elle pouvait caresser sa queue et ses couilles à sa guise, glisser une main sur ses fesses musclées. Elle profiter de ce plaisir nouveau, son amant était différent de son homme, des gestes différents, une intensité différente, un vrai rêve !

Elle embrassa sa queue de bas en haut, léchant ce sexe dressé, ses mains caressant ces couilles lisses. Sa bouche commenca à parcourir sa queue, la mouillant de sa salive et remontant vers son gland gonflé. Elle joua avec le bout de sa langue, le titilla, avant de placer ses lèvres autour de son gland. Elle commenca à sucer doucement. Pendant ce temps, lui continuait de la lécher tendrement, profitant de son clito, tournant autour avec ta langue, l’aspirant entre ses lèvres. Ils gémissaient tous deux de concert, elle commençait à se sentir de mieux en mieux…

Le bruit de la clé dans la serrure les sortit de leur moment hors du monde. Si lui mit quelques temps à comprendre, elle réagit aussitôt. « Max, il rentre ! ». Elle ne savait pas quoi faire, elle poussa son bel amant, lui indiqua la porte du dressing juste à coté « Vite, cache toi vite ! Je t’expliquerai ! ». Lui réagit à une vitesse exceptionnelle, enfin conscient de ce qui se passait, il partit s’enfermer dans le dressing, emmenant ses fringues avec lui. Elle remit rapidement sa nuisette et vient ouvrir la porte, tremblante tellement il avait peur !

« Bordel, j’arrivais pas à ouvrir ! »
« Normal, c’était fermé ! Tu rentres tôt ! »
« Oui, j’ai décidé de rentrer cette nuit au lieu de demain… Par contre, tu es à moitié nue, les lumières tamisées… »
« Euh… je… tu me manquais alors… j’avais envie… »

Il lui sourit, l’embrassat. Elle se laissa faire, que faire d’autre ? Il posa ses affaires au sol, et l’entraîna dans la chambre, où il commence à se déshabiller, un grand sourir sur le visage. Elle jetta un coup d’oeil vers la porte de son dressing, soupira, et l’aida à se déshabiller… « La garce, elle a osé… »

Mon cœur battait encore à toute vitesse quand ils entrèrent dans la chambre. Les lattes de la porte du dressing me laissaient à peine voir leurs ombres, et pourtant je pouvais deviner leurs mouvements. J’écoutais leurs respirations se mélanger, sans parvenir à savoir si Camille éprouvait le moindre soupçon de culpabilité. Elle avait l’air d’avoir vite oublié ma présence et de profiter du retour de son amant. Ses gémissements se firent vite entendre alors que les doigts de son homme vinrent se glisser entre les lèvres de Camille, profitant de l’excitation que JE lui avais procuré pour découvrir sa chatte trempée par le désir. Ils étaient encore debout, leurs mains se mélangeant, leurs lèvres se dévorant, et moi, seul dans mon placard, la queue à moitié bandé, je sentais à la fois mon excitation retomber, mais aussi un certain plaisir à la voir là, possédée par un autre sans que je ne puisse faire quelque chose. Ma vision à moitié cachée ne me permettait que de deviner, d’imaginer leurs ébats sans pouvoir rien faire…

Lorsqu’il la poussa sans ménagement sur le lit, je les entendis plus que je ne les vis. Il la mit à 4 pattes en travers du lit, le visage tourné vers moi, et je pu voir ses yeux regarder vers moi. J’étais comme hypnotisé en regardant ce visage que je désirai tant pendant qu’il frottait son sexe entre ses lèvres. Quand il la pénétra, je vis son visage changer, prendre une expression qui ressemblait à la fois à du plaisir et de la douleur. Avait-elle honte de se faire prendre sous mon regard ? En tirait-elle un certain plaisir ? Toujours est-il qu’elle gémissait maintenant sous ses coups de reins, appuyée sur le lit, cambrée pour lui offrir son corps dans une belle levrette que j’aurai tant aimé pratiquer. Il lui tenait les hanches, faisant d’amples vas et viens en elle. Je ne le regardai même pas, mais je voyais ses mouvements imprimer au corps de ma belle un balancier de plaisir. Le claquement de ses cuisses sur ses fesses venait rythmer leur pénétration, et elle continuait à regarder vers moi en prenant du plaisir.

Ma queue bandait à nouveau, j’avais honte de ressentir du plaisir dans cette situation mais je ne pouvais quitter des yeux son visage, sa poitrine qui remuait en rythme, la légère ondulation de ses fesses à chaque contact… Lui se concentrait, elle gémissait en profitant et se laissait aller. Je n’osais respirer trop fort ni faire le moindre mouvement, tant et si bien que je sentais mes muscles contractés, mais qu’importe, je continuais de la fixer, excité comme rarement…

Il se retira d’elle sans prévenir et lui demanda de s’agenouiller devant lui. Il devait avoir regardé trop de porno, puisqu’il commença à se masturber devant son visage, elle se caressait en même temps pour continuer à gémir. Il ne tarda pas à laisser échapper des râles de plaisir et de longs jets de sperme vinrent recouvrir le visage de Camille, qui avait visiblement l’habitude de le recevoir, la bouche légèrement ouverte, captant quelques goutes entre ses lèvres. La respiration haletante il finit de jouir, tapotant sa queue contre le visage de son amante. Elle finit de lui nettoyer, me surprenant par son côté « docile », tranchant avec son image de femme fatale. Il lui sourit, et sans l’embrasser se dépêcha de sortir « je vais prendre une douche, je reviens dans 5 minutes, ne te nettoies pas ».

Il sortit de la chambre, la porte de la salle de bain se verrouilla, et on entendit vite l’eau couler. J’ouvris la porte de la chambre, toujours nu, la queue bandé, et elle me regardait, l’air honteuse, le visage recouvert du sperme de son homme… « Je suis désolée » murmura t-elle, tandis que je me rhabillais sous ses yeux. Je ne savais pas quoi dire, je la trouvais pourtant belle comme ça, mais je n’osais plus l’approcher et encore moins l’embrasser. « Tu devrais profiter de ce temps avec lui, de toute façon il vaut mieux que je parte vite ». Elle se leva, s’approcha de moi, et posa sa main sur la bosse qui déformait mon pantalon. Je la repoussais. « C’est pas le moment… » Et quittait l’appart’ à contre cœur…

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