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Remplacer la poupée de papa

Remplacer la poupée de papa



Je m’appelle Hugo, j’ai 23 ans et je vis seul avec mon père. Alors que je traine dans sa chambre, je remarque un cadenas posé sur un des placards de l’armoire. Curieux, je cherche sur internet comment ouvrir un cadenas et commande un passe partout. Ma surprise est énorme lorsque j’ouvre le battant de l’armoire, je vois une poupée en silicone à peu près de ma taille, vêtue d’une robe qui appartient à ma mère. Je sors la poupée et la pose sur le lit. Je retrousse le robe et découvre une jolie culotte en satin avec un peu de dentelle. L’entre jambe est humide, je soulève la culotte et découvre du sperme dégoulinant du vagin et s’étalant sur la culotte et les draps. Je me mets à sentir mes doigts imprégnés de sperme, et réalise que je suis en train de sentir le sperme de mon père, ce qui me déclenche une érection. D’une main je sors mon sexe et commence à me branler, tandis que j’approche mes doigts gluants de ma bouche pour les lécher timidement au début, puis prenant gout je lèche goulument mes doigts. Je sens qu’il m’en faut plus, et je me dirige vers la source. Je lèche d’abord la culotte et nettoie chaque fibre en aspirant bien avec ma bouche, puis je penche la poupée et colle ma bouche sur son sexe. Je secoue un peu la poupée, et une autre décharge de sperme tombe directement dans ma bouche. Je garde en bouche un moment, j’attends d’être sur le point de jouir, et je commence à tout avaler au moment où je décharge.
Un moment passe, et je réalise ce que je viens de faire. Je me rends compte que la robe est tachée, je décide de l’enlever pour la nettoyer. Pris d’une envie, j’enlève aussi la culotte et le soutien-gorge qui appartiennent sans doute à ma mère, et je les enfile, ainsi que la robe. Dans cette tenue je me remets à bander, et c’est à ce moment que mon père ouvre la porte.
– Ca fait un moment que je t’observe.
– Je suis désolé papa.
– Tu n’as pas à être désolé, c’est moi qui suis gêné que tu aies découvert mon secret.
– Je ne dirai rien papa, promis.
– Je sais. Je vois que tu apprécie ma poupée Marie toi aussi.
– Elle porte le même prénom que maman ?
– Oui, et je trouve que ses vêtements te vont mieux qu’à elle.
Mes yeux n’en reviennent pas, je vois à travers son pantalon une bosse qui prend forme.
– Je suis désolé, ça me fait de l’effet de te voir comme ça.
– Ce n’est pas grave… si je peux t’aider…
Je n’en reviens pas d’avoir dit ces mots. Mon père m’observe, et prend sa décision en sortant sa queue de son pantalon.
Son sexe est large et d’une longueur correcte. Je déglutis en voyant perler sur son gland un peu de liquide. Je le regarde dans les yeux pour être sûr, et lorsqu’il hoche la tête je descends sur sa queue et commence à la sucer. Je vis un rêve, je sens sa bite palpiter dans ma bouche. Tout en le suçant je le branle d’une main, et rapidement je sens son corps se contracter et la récompense arriver. Je me retrouve avec du sperme bien chaud sur mes dents, ma langue et mes joues. Avant de sortir doucement la queue de ma bouche, j’avale lentement le sperme que je viens de récolter.
– Ahhh ça fait du bien, merci ! La dernière fois qu’on m’a sucé comme ça c’était avec ta mère il y a longtemps. Je vois que tu as hérité de son talent.
– Merci, j’ai beaucoup aimé aussi. Je peux te demander quelque chose ?
– Je ne vois pas comment je pourrai refuser.
– Si tu veux, je pourrai remplacer ta poupée.
– Si tu savais ce que je fais avec, tu ne dirais pas ça !
– Je suis sérieux.
– Ok je vois ça. J’ai du mal à prendre Marie en levrette, j’aimerai bien en profiter avec toi si tu veux la remplacer, ça me manque cette position. Et tu peux garder la tenue.
Je n’en reviens pas, trop content je m’exécute, et rapidement je sens quelque chose de chaud, dur, et humide contre mon anus. Il entre d’abord juste le gland.
– C’est bien, tu aimes ça Marie ? Tu veux que je continue ?
– Oui s’il te plait papa.
Mes mots font durcir encore plus son érection, et je sens son membre s’enfoncer en moi. Il commence alors ses vas et viens tout en malaxant mes fesses à travers la culotte.
– Tu es une gentille fille hein maintenant ?
– Oui, je suis ta Marie.
Dans un spasme accompagné de quelques petits cris, je sens son sexe se contracter et se vider sa semence en moi. Je suis aux anges. Lorsqu’il retire se sexe, je me retourne et commence à le nettoyer avec ma langue.
– C’est bien Marie, tu es encore mieux que l’originale !

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