Chapitre 5 : Avec ma mère et tante Lilly
Tard le lendemain matin, nous sommes réveillés par la sonnerie du téléphone. Maman émerge et crie,
– Lilly… Lilly… Tu es là ?
Maman est blottie contre moi, une de ses jambes à travers mes cuisses. N’obtenant pas de réponse, maman soupire et à contrecœur s’éloigne de moi pour décrocher le téléphone.
– Ah ! C’est toi. Bonjour Lilly. Où es-tu ? Quoi… tu vas ou ? Avec Tom et Laura… combien de temps ? Ah bon ! Tu sais que nous sommes là que sept jours… OK, mais nous espérions passer du temps avec toi sœurette…oui, ce n’est pas un problème, Lilly. Amuse-toi… nous aussi on t’aime.
Maman raccroche le téléphone et revient se blottir contre moi et bécote ma poitrine
– Ça va, maman ?
Maman pousse un soupir d’agacement.
– Ma sœur est une salope complètement folle ! Elle va faire les îles avec ce couple ! Elle ne rentre même pas prendre des affaires car elle a dans son coffre un sac de voyage toujours prêt…au cas où…elle trouve un mec ou couple pour son plaisir personnel. Elle nous souhaite une bonne lune de miel.
Je vois que maman est déçue, je l’embrasse et le lui dis,
– On aura bien l’occasion de s’aimer avec tante Lilly. La semaine est à nous, la plage est belle et je suis avec la femme la plus sexy du coin. C’est le paradis pour moi.
Maman roucoule et murmure,
– Tu as raison, chaque jour passé avec mon amant de fils est un jour béni des dieux.
Et ça été le cas. Maman et moi avons passé les sept prochains jours à se gaver d’amour et jouir de toutes les façons possibles, que ce soit avec nos corps ou notre esprit qui restait continuellement connecté avec celui de l’autre.
Notre amour c’est encore plus renforcé bien que maman soit devenu le point d’intérêt du quartier, surtout des mâles, quand maman dévoile sur la plage un nouveau bikini encore plus scandaleux que le précédent.
Maman est toute bronzée et son maillot que je préfère est une combinaison, théoriquement d’une seule pièce, qui n’est qu’un string avec deux sangles qui remontent sur les seins de maman pour ne cacher que ses deux tétons et s’attacher derrière son cou. Il est d’un rouge écarlate qui se contraste bien avec la peau cuivrée et les cheveux noirs de maman.
Je me sens honoré d’avoir maman à mon bras, et je me pavane comme un paon en remontant la rue qui mène au bungalow. Dans ces moment-là, elle montre ouvertement qu’elle est une femme fière de son corps, qu’elle n’a pas peur de le montrer et les gens qui nous regardent se demande qui est ce type chanceux qui a conquis le cœur de cette déesse voluptueuse qui se trouve à son bras.
Les deux joueurs d’échecs sont rapidement devenus membres du fan-club de maman, et attendent avec impatience le passage de maman quand nous descendons et remontons de la plage. Maman se fait un plaisir de faire une pose devant eux pour discuter. On n’a jamais dit que nous sommes amants. Je l’ai présenté comme ma mère la première fois ce qui les a fait largement sourire, mais par la suite ils n’ont fait aucune allusion. Le livreur de journaux a perdu encore deux fois son équilibre. Le quartier de ma tante Lilly étant un des derniers refuges ou les gens qui le fréquente sont du type hédonisme nous n’avons pas fait trop scandale.
Le soir, dans les petits restaurants locaux, maman ne s’habille pas en tenue légère de plage mais en petite jupe ou robe courte et elle reste terriblement sexy et désirable. Le soutien-gorge et les slips ne sont pas sortis de sa valise pendant toute la durée des vacances.
Nous avons fait l’amour à la plage plusieurs fois (dans l’eau bien sûr, car ce putain de sable ne fait pas bon ménage avec l’accouplement de deux corps comme certain films le montre), et nous avons assisté à plusieurs couchers de soleil magnifique en proie à des orgasmes insensés. Dans 25 ou 30 ans plus tard, quand je repenserais à ce voyage, je suis sûr qu’il restera le souvenir le plus cher pour maman et moi à travers les années.
Nous passons notre dernière matinée à faire l’amour. Je me réveille juste avant l’aube avec le corps nu de maman recroquevillé contre moi. Rien que de sentir la chair nue de ma mère ça enflamme mes sens. Maman dort encore alors je me dégage délicatement et je la tourne sur son dos. Je me glisse vers le bas du lit et j’écarte doucement ses jambes.
Je sens l’odeur de notre dernière partie de jambes en l’air, une odeur plus intense quand j’approche mon visage près de la toison de poils de maman qui porte encore les traces d’un mélange de jus séchés. Je pose ma main sur le buisson de poils indisciplinés de maman, je trouve sa fente et frotte lentement un doigt de haut en bas, faisant soupirer maman dans son sommeil.
Instinctivement le corps de ma mère réagit à ma caresse et son bassin ondule contre mon doigt taquin. Rapidement ses grandes lèvres épaisses commencent à s’ouvrir comme les pétales d’une fleur sous la caresse du soleil, pour dévoiler son cœur de chair rose étincelante. Je continue mes attouchements, rendant maman plus humide à chaque coup.
– Dany…Maman t’aime….
Je ne peux me retenir et de ma langue je lèche le contour de ses lèvres chaudes, puis les écartant de mes doigts, je déguste cette moiteur intime. Elle gémit (dans son sommeil ?) quand je passe ma langue sur son clitoris qui vient de pointer son nez. Je glisse un doigt dans sa chatte pour chercher son point sensible. Du coup, son corps se contorsionne plus. Apparemment encore endormie, les jambes de maman se soulèvent et ses cuisses se resserrent pour maintenir ma tête en place. Maintenant je lui bouffe sa chatte, pour aspirer, en doigtant ma mère, son jus crémeux et en insistant sur les parties ultra sensibles que seul un amant peut connaître.
– Maman parle dans son « sommeil », invitant dans son rêve, son amant qui ne peut-être que moi.
– Aime -moi mon fils…fait l’amour à ta mère…Oui, Dany chéri, fait moi l’amour !
Maman approche de l’orgasme et avec ma langue je m’acharne sur son clitoris tendu comme un petit pénis. Maman crie sous la première secousse de son orgasme qui explose dans son corps. Je le sens par les convulsions dans les entrailles de sa chatte, et puis un torrent de cyprine inonde sa chatte.
Maman se réveille dans un sursaut en criant :
– OH OUIIIII… JE JOUIIIISSS ! DANY TU ME FAIS JOUIR ! OUIIII, MON FILS ME FAIT JOUIIIRRRRR !
Avec gourmandise je lape toute cette liqueur de maman, savourant son goût sucré, revenant encore et encore pour taquiner son clitoris avec ma langue, l’emprisonnant doucement entre mes lèvres et frottant ma langue dessus. Maman, ses doigts dans mes cheveux, me maintient plus serré contre sa chatte ou essaye de me repousser quand son système sensoriel entre en surcharge par le plaisir intense que je lui donne par à coup
.
Quand j’ai fini de me rassasier de sa jouissance maman est sans force, impuissante, les jambes largement écartées, et elle essaie de retrouver son souffle. Moi aussi d’ailleurs, mon visage complètement trempé dans une liqueur de chatte de maman, ma maman.
– Dany… oh Dany…c’était incroyable, Dany. J’ai cru que mon cœur allait me lâcher !
Je repose mon visage sur sa cuisse, le nez près de sa chatte pour respirer son parfum tout en appréciant l’air de satisfaction absolue sur son visage. Enfin, je vois l’éclair spécial dans ses yeux quand elle désir fortement quelque chose.
– Dany, ta mère en veut plus ! Il lui manque quelque chose…La bite de son fils !
Je me soulève et glissant sur le corps voluptueux de maman, j’en profite pour l’embrasser en chemin. Ma langue s’attarde sur ses gros seins pour taquiner et sucer ses mamelons gonflés, sentir les battements rapides de son cœur pendant qu’elle écarte largement ses cuisses en déplaçant ses hanches vers le haut à la recherche de mon pénis en érection.
Elle trouve facilement ce qu’elle cherche et je sens mon gland comme aspiré par sa chatte accueillante, tout chaude et glissante.
– Oh, maman, tu es mon ange d’amour. Ta chatte est si chaude et si douce.
Maman essaye de soulever ses jambes et de les enrouler autour de mes reins, comme elle le fait d’habitude, mais elle les laisser retomber et soupire.
– je n’ai plus de force mon fils. Tu as anéanti ta mère !
J’enfonce ma bite jusqu’à sa racine et je me penche pour l’embrasser avec mes lèvres encore mouillées de son propre jus. Quand nos lèvres se détachent je lui chuchote,
– Voila maman chérie, tu as ce que tu veux. Tu vas en profiter et je vais le faire tout seul. Tu n’as qu’à te laisser faire.
Maman se met à rire et dit :
– Dany, tu es mon dieu, mon Éros ! Baise-moi, mon fils. Donne à ta mère un putain d’orgasme comme tu sais si bien le faire !
Comme un démon je me mets à baiser ma mère écartelée sur le lit. Je vais aussi vite et aussi fort que je peux. Maman qui était déjà sur le bord d’un orgasme rien qu’à la pensée d’être baisée par son fils, a rapidement commencé à sangloter quand mes poussées puissantes dans sa chatte ont déclenché un autre orgasme. Maman tremble sous moi, à peine capable du moindre mouvement quand l’ouragan de plaisir ravage son système nerveux, la rendant incapable de faire quoi que ce soit et de subir, impuissante, cette bonne baise de son amant, de son fils.
Je continue de branler ma bite dans la chatte détrempée de maman pendant plusieurs minutes, savourant les râles de ma mère, ses grognements et ses gémissements, presque autant que le regard extatique de son visage qu’elle a sous le plaisir que je lui procure sans aucune interruption. C’est le but de ma vie. J’ai été conçu par ma mère pour lui donner ce plaisir charnel et i****tueux qu’elle mérite hautement. Pour honorer sa beauté.
Et je m’y emploie du mieux que je peux, avec sa chatte enserrée autour ma bite, je la baise sans cesse pour lui procurer orgasme après orgasme. Être amoureux de ma mère et l’aimer sera l’œuvre de ma vie !
Quand ma mère se calme un peu après son 3eme orgasme, je ralenti mon rythme, et je prends mon temps pour profiter de cette merveilleuse sensation qu’est le doux glissement de ma queue, dans sa chatte juteuse et fumante. Les gémissements de maman sont comme des mélodies modulées par la baguette d’un chef d’orchestre qui varie le rythme à sa guise.
Il semble que la mélodie soit trop douce à son goût car après quelques minutes, maman reprend de l’énergie et commence à répondre à mes poussées. Maman me regarde avec une expression lubrique et m’enserrant de ses jambes elle soulève ses hanches pour mieux absorber mon sexe au fond de son corps.
Soulevant ma tête, la bouche de maman trouve la mienne, et nous nous embrassons fougueusement, avec avidité, et j’essaye de faire un effort pour garder mes poussées lentes et contrôlées. Je sens bien qu’elle essaye d’augmenter le rythme, mais elle est encore trop énervée pour ça. Je prends une de ses chevilles et je lève sa jambe droite pour la mettre par-dessus mon épaule. J’incline maman de telle façon que je sens mieux mon pénis labourer ses chairs intimes sur le côté de sa gaine de velours. Maman en frissonne de plaisir en me disant,
– Ooohh, oui, Dany, j’aime çà…OOOoohhh, je te sens bien comme çàààààà.
J’ondule des hanches tout en plongeant et en ressortant de la chatte de maman qui bloquée sous moi ne peut pas m’empêcher de faire ce que je veux. Maman subit mon intrusion dans sa chatte malmenée, ce qui a l’air de lui plaire car elle n’arrête pas de geindre et de pousser des petits cris, de plaisir et non de souffrance.
Je prends la jambe gauche de maman pour la placer comme l’autre par-dessus mon épaule. Maman s’écrie,
– Oh oui, bébé ! Tu vas encore plus loin ! Fils, baise-moi profondément ! OOohhh, Dany !
Je sens ma bite plonger plus profondément dans son boyau brûlant et détrempé car je cogne mon gland sur son utérus. Tirant bien sur ses mollets je me remets à baiser furieusement ma mère.
Maman ne gémit plus, elle hurle !
– DANY ! Je vais jouir ! Putain t’es un sacré baiseur ! Je vais encore jouir… Jouiiiissss avec moi mon fils…Ouii…Ouiiiii… Je JOUIIIISSSSSS !
Je sens sa chatte serrer ma queue et puis, sans avertissement, moi aussi je jouis et je commence à éjaculer dans le ventre de ma mère. Maman se tord sous la v******e des spasmes qui traversent son corps et, ses jambes quittant mes épaules, elle s’écroule sur le lit en plein orgasme, comme une poupée de chiffon. Je suis son mouvement et je reste collé à elle, mon bassin contre le sien, pour lui balancer mon sperme aussi profondément que possible dans sa chatte.
Mes lèvres trouvent les siennes, et nous nous embrassons passionnément, sauvagement, nos corps se délectant l’un de l’autre. J’ai l’impression que je ne vais jamais m’arrêter de jouir et je tremble à chaque jet de sperme que j’envoie dans sa chatte si accueillante.
L’intensité du moment est si forte que nous avons tous deux les larmes aux yeux.
– Maman, je t’aime… je t’aime tellement ! Je ne pourrais pas vivre sans toi, maman, mon amour.
Et j’embrasse ses joues et ses larmes qui coulent.
Maman me plaque contre elle et dit.
– Je sais, Dany. Tu me rends tellement heureuse. Toi, mon fils, mon amour, tu me faire renaître à la vie.
Une voix douce venant de la porte nous fait sursauter
– Mon Dieu… Vous ne pouvez pas savoir comme c’est beau de vous voir ainsi tous les deux…
– Lilly ? Demande maman en se retournant.
Tellement pris par notre union charnelle et i****tueuse et sous nos jouissances respectives, nous n’avons pas entendu quelqu’un entrer dans le bungalow.
Tante Lilly entre dans la chambre, un sourire sur son visage et une larme au coin de l’œil. Elle saisit sa robe et une seconde après elle se retrouve complètement nue sous nos yeux.
– Je ne peux pas résister. Faites-moi une petite place.
Grimpant sur le lit elle s’agenouille à nos pieds et en soupirant.
– Vous deux me rappelez tellement papa et sa mère Pauline, si passionnés et amoureux. Et je ne pouvais pas vous laisser partir sans vous dire au revoir, et vous voler un baiser ou deux, avant de partir.
Maman sourit à sa sœur et répond,
– juste un baiser, Lilly ?
Une expression de luxure rempli le visage de ma tante.
– Eh bien, j’avoue que j’espérais bien trouver la mère et le fils engagés dans des ébats i****tueux, comme je viens de voir. J’ai toujours eu un fantasme quand je voyais papa et mamie Pauline faire l’amour. Et…je n’ai jamais pu le …réaliser.
– Et quel est ce fantasme, grande sœur ?
Demande maman avec une évidente excitation dans sa voix.
-Toi et moi, cachées dans l’ombre, à regarder papa et mamie Pauline, puis quand ils ont fini, on voit papa retirer lentement sa longue bite hors de la chatte de Pauline, recouverte de leur jus et la chatte de maman Pauline pleine du sperme de papa.
Tante Lilly se déplace vers l’avant, entre nous deux, et regarde avec un air de salope gourmande ma bite qui palpite légèrement.
– J’ai toujours rêvé et envie de découvrir quel goût a le sperme d’un fils à l’intérieur de la chatte de sa mère
Tante Lilly soupire et continue,
– Mais Pauline était une femme des temps anciens et ne m’a jamais laissé entendre qu’elle laisserait une femme la toucher. Mais toi, ma sœur…
Tante Lilly se rapproche et passe sa main sur la chatte grande ouverte de maman, et puis elle se penche vers moi et abaisse sa tête vers mon entrejambes.
– Et voici son fils, qui vient juste de la baiser, et vous attendez quelqu’un pour nettoyer !
– OOOoohhh, putain !
Je n’ai pu m’empêcher de m’exclamer quand ma tante enveloppe ses lèvres autour de mon pénis à moitié dressé.
– Un petit ‘apéritif… Siffle tante Lilly,
Et elle suce et lèche ma bite couverte de mon sperme et de la sauce crémeuse de maman. Sa langue tourbillonne et racle ma queue ce qui la rend propre et raide immédiatement.
– Vraiment délicieux,
Minaude Lilly en se relevant et m’embrassant sur la bouche en m’offrant ce qu’elle a ramassé sur ma bite.
Elle presse ses seins contre ma poitrine et je sens ses tétons me piquer en même temps que les battements de son cœur heureux. Puis, tante Lilly se tourne vers sa sœur et dit :
– Sabine, tu as vraiment une chance inouïe d’avoir un fils qui t’aime aussi passionnément !
Et elle prend les lèvres de sa sœur pour l’embrasser fiévreusement. Elle termine son baiser en léchant les lèvres de maman pour, ensuite, descendre sur le corps voluptueux de maman, qui soupire et dit :
– Il y a vraiment trop longtemps, Lilly !
Ma tante fait une pause entre les cuisses écartées de maman pour respirer profondément, inhalant l’odeur forte et troublante de sa chatte humide par nos jus mêlés. Ma tante tire sa langue et plonge brutalement son visage dans la chatte de maman. Ses épais poils pubiens viennent caresser les joues de tante Lilly alors qu’elle lèche avidement les plis roses de maman, pour récolter les filets épais de mon sperme qui baignent dans le jus de maman.
Maman commence à trembler de plus en plus sous les coups de langue de sa sœur qui martyrisent la chair sensible de sa chatte et je sens qu’elle ne va pas tarder à avoir un nouvel orgasme. Pour la première fois je regarde une femme faire l’amour à ma mère. Mes émotions sont diverses et se mélanges. Étonnement, jalousie, luxure et envie.
Les mains de maman plongent dans la chevelure dorée de tante Lilly, pour maintenir en place sa sœur qui la bouffe pendant son abandon charnel. Le cul de ma tante s’agite et sa chatte lisse, humide et ouverte, semble me lancer une invitation, comme un clin d’œil entre ses fesses tendues
Maman gémit encore et encore sous son nouvel orgasme violant et entretenu par sa sœur qui ne lâche pas son clito en grognant. Tante Lilly lèche la chatte de maman furieusement pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’elle s’arrête et dit :
– Sabine, si tu ne dis pas à ton fils de me baiser, je vais hurler !
Les yeux de maman cherchent les miens et elle essaye de parler. Mais la langue experte de tante Lilly est trop active pour qu’elle puisse s’exprimer correctement. Entre deux gémissements rauques elle arrive à me faire un clin d’œil en hochant de la tête ce qui me semble être une permission. Puis elle hurle de nouveau.
– Aaaaaaaaaahhhhhhhhh…
Quand sa sœur lui aspire son clitoris tout gonflé.
Je tremble un peu en me mettant à genoux derrière le cul relevé de ma tante. Tante Lilly murmure, « ouiiiiii», sur la chatte de maman quand je pose mes mains sur ses fesses pour l’immobiliser et aligner ma bite avec sa chatte si accueillante.
Tante Lilly relève son visage au-dessus de la chatte de maman. Elle regarde par-dessus son épaule et avec son menton où perlent des gouttes d’une sauce faite de cyprine et de sperme, elle me dit.
– Fort et vite, bébé ! Baise ta tante Lilly jusqu’à ce que tu m’envoies une belle charge juteuse de sperme dans ma chatte, Dany !
Quand elle se penche à nouveau pour lécher maman, elle pousse un cri de surprise,
– OOOOOOoohhhhhhh !
Je viens de lui enfoncer ma bite en complète érection, entièrement dans sa chatte en chaleur.
La chatte de la sœur de ma mère est aussi chaude et humide que maman, mais un peu plus spacieuse. Ce qui me fait penser qu’elle a du se faire baiser par de belles queues lors de sa virée avec ce jeune couple.
C’est à mon tour de gémir quand ses muscles vaginaux se contractent autour de ma bite, massant celle-ci avec l’habilité d’une experte. Quand je commence à baiser la chatte bien humide de ma tante, les parois satinées de son vagin font de leur mieux pour empêcher mes allers et retours. Je passe mes mains sous elle pour att****r ses nichons améliorés, et je suis émerveillé par leur forme et leur volume. Finalement, je me concentre sur ses tétons, longs et caoutchouteux qui mon attirés lorsque je l’ai vu la première fois.
Peu à peu nous trouvons tous le bon rythme, nos gémissements et soupirs sont à l’unisson quand je m’enfonce durement dans la chatte de tante Lilly, qui continue de manger la chatte de maman.
Les deux femmes grognent de contentement et moi je gémis quand la tendre et douce gaine vaginale de ma tante essaye de me piéger au plus profond de sa chatte. La pièce déjà parfumée avec les effluves d’une semaine d’amour mère-fils, baigne dans une odeur délicieuse. Un nouveau parfum, complètement i****tueux, issu de la chatte de la mère et le sperme du fils mélangé avec l’excitation de la chatte de tante Lilly, diffuse un arôme qui ne peut qu’éveiller des désirs sexuels.
Maman, se tord de plaisir sous la talentueuse langue de sa sœur, et nos regards sont verrouillés. Ma mère me sourit pendant que nous donnons du plaisir aux deux extrémités du corps de tante Lilly. Tous les deux, nous prolongeons cet instant spécial, ce plaisir familiale qui jusqu’à lors était le nôtre et juste le nôtre.
Tante Lilly se met à gémir de plus en plus fort et son corps commence à trembler. Les muscles de sa chatte se crispent autour de mon sexe qui baigne dans la chaleur liquide de son jus sucré et abondant. Je sens que je vais jouir.
Ma mère voit sur mon visage ce que j’ai envie et elle hoche la tête. Avec une voix empreinte de luxure et haletante elle dit :
– Vas-y mon chéri ! Fais-le ! Donne à ma sœur ton sperme chaud, fils !
Avec un soupire de satisfaction, j’enfonce ma bite profondément dans la chatte de ma tante et je commence à juter, inondant ses entrailles crémeux avec mon sperme chaud. Tante Lilly couine mais ses cris sont étouffés car maman maintient sa tête contre sa chatte pendant qu’elle nous regarde jouir ensemble.
Ma queue arrête de cracher son foutre et je me retire lentement de la chatte de ma tante qui continue de me retenir avec des spasmes qui continuent de contracter ses muscles intimes.
Elle s’effondre à côté de moi et me donne miles baisers entre ses exclamations de joie.
– Putain ! Sabine ton fils est merveilleux ! Quelle chance tu as ! Quel amant !
Elle m’embrasse et je déguste le jus tiède de maman dans les baisers de tante Lilly. Quand elle me laisse reprendre ma respiration, je réponds.
– Non, c’est moi qui suis le plus chanceux ! J’ai la mère la plus sensuelle comme amante, et une tante aussi chaude que sa sœur !
Maman rigole car elle a repris son souffle et se mettant sur ses genoux déclare.
– Alors nous sommes tous les trois comblés. J’ai la chance d’avoir un fils qui sait comment rendre sa mère parfaitement heureuse avec sa superbe queue et ma sœur est une femme qui connaît la valeur et la beauté d’une famille aimante.
Maman rampe à quatre pattes jusqu’à ce qu’elle se trouve entre les cuisses de sa sœur, et en les écartant largement elle ajoute.
– Une sœur qui, en cet instant prodigieux, est pleine du foutre savoureux de mon fils !
Et sans un mot de plus, maman plonge entre les cuisses de tante Lilly pour lui lécher sa chatte et à l’aide de sa langue en extraire des filets épais de mon sperme, mélangé avec le jus de sa sœur. Je la regarde, étonné que maman aime autant manger la chatte de sa sœur…d’une femme. Je pense que j’apprends plus sur les cunnilingus dans ces quelques minutes que dans une vie, en regardant comment maman utilise sa langue sur la chatte de tante Lilly.
Maman ne lâche pas la chatte de ma tante jusqu’à ce qu’elle hurle son plaisir, ses doigts griffant et déchirant le drap. Dans cette délirante luxure je crains même qu’elle ne griffe maman et lui fasse du mal. Mais elle entoure maman de ses bras et de ses jambes pour se retrouver dans la position d’un soixante-neuf i****tueux. Les deux sœurs se lèchent et se mordillent d’une telle façon que je vois la profondeur de leur passion l’une pour l’autre. C’est vraiment beau à voir et je me déplace autour d’eux pour regarder ces deux femmes sous des angles différents pendant qu’elles se bouffent leurs chattes avec une entente et une complicité incroyable.
A voir cette passion et le cul de ses deux femelles sous mes yeux, j’ai de nouveau une sacrée érection qui crée une douleur lancinante dans ma bite. Je ne m’en plains pas car elle n’est présente que lorsque mon sexe est le plus gros et le plus long. C’est la même sensation de douleurs musculaires résultante d’une utilisation du corps ou d’un effort qui a été agréable à faire.
Maman et tante Lilly me fixent avidement pendant plusieurs minutes et ensuite je les vois ramper sur le lit comme des félins prédateurs traquant leur proie.
Ces deux femelles se sont jetées sur moi et m’ont donné une fellation mixte que je me souviendrai le reste de ma vie. Elles m’ont léché, sucé et taquiné avec leurs langues roulant au-dessus et autour de la Couronne de ma bite et de haut en bas le long de ma bite. À un moment donné, c’est comme si ma bite était coincée entre deux baisers passionnés qui se rejoignaient pour n’en former qu’un, car, les lèvres de tante Lilly et de maman entouraient la tête de ma bite et leurs langues glissaient délicieusement au-dessus de mon gland enflé pour finir ensembles de lécher mon sexe.
Je n’ai pas pu me retenir plus longtemps et quand mon sperme a commencé à jaillir, ma mère et sa sœur, on eut un duel avec leur bouche et leur langue pour récolter et laper ma semence chaude et épaisse. Revenant sur terre, maman et tante Lilly sont assises, souriantes comme deux chattes qui viennent d’avalé un petit oiseau.
Hélas, la fin de notre escapade amoureuse est arrivée et nous avons failli manquer l’avion sous les caresses et baisers qui nous faisaient oublier de regarder l’heure.
Tante Lilly, nue sous son porche, hurlait :
– Sabine, la prochaine fois, ton fils ne sortira pas de notre lit ! Fait lui prendre ses vitamines et maintien le en forme. On se payera des baises mortelles !
En partant vers l’aéroport nous passons devant ses 2 vieux admirateurs. Maman se penche par la fenêtre et crie.
– Salut ! A la prochaine fois ! Pensez à moi !
Et elle soulève son T-shirt et leur montre ses deux seins nus. J’entends l’un deux crier,
– Fils de pute ! Quelle chance il a ce mec !
Maman se tourne vers moi, ses seins toujours à l’air, exhibant ses globes charnus, pour que j’admire ses tétons encore rouges et tendus.
– Tu sais, maman, il a raison ! Je suis le fils de pute le plus chanceux du monde. Merci pour ces vacances inoubliables.
Maman pousse un soupir et m’embrasse sur la joue.
– Nous sommes bénis des dieux de l’amour mon chéri. Elle soulage un peu ses fesses du siège et ajoute.
– Je ne vais pas marcher bien droit pendant quelques semaines, mais je peux certainement dire que j’ai eu de la chance aussi…maintes et maintes fois.
Le voyage de retour en avion se déroule sans incident, en vérité, nous avons dormi la plupart du vol, blottis l’un contre l’autre dans nos sièges.
Le soir nous avons grignoté quelques chinoiseries achetées prés de mon appartement et on s’est écroulés de sommeil.
Au milieu de la nuit, nous nous sommes réveillés et on s’est retrouvé verrouillés ensemble, ma bite dans sa chatte. C’est une de ces baises douce, langoureuse, irréelle où maman et moi pleinement conscients de nos actes nous nous aimons comme des amoureux.
C’est toujours ma façon préférée de faire l’amour. Je suis dans une sorte de rêve érotique et mystérieux ou je suis enveloppé par des bras et des jambes, dans une étreinte passionnée et tabou, ma bite bien dure enterrée profondément dans la chaude chatte de maman, humide et maternelle. Dans la pénombre, je vois maman, son désir d’amour et la douce extase gravé sur son visage, elle crie mon prénom quand lentement et régulièrement je vais de plus en plus profondément à l’intérieur d’elle.
L’orgasme nous balaie tous les deux, nous enfermant dans une bourrasque d’amour et de plaisirs sexuels, pour nous jeter ensuite dans un sommeil peuplé de rêves i****tueux, toujours collés l’un à l’autre par nos sexes enflammés.
Le lendemain matin, maman n’arrive pas à s’arracher de moi et après un dernier baiser, me chuchote à l’oreille en caressant mon visage.
– Je t’aime mon fils. Mon Dieu que je t’aime.
Je regarde la voiture s’éloigner et ses mots résonnent dans ma tête me donnant de l’espoir pour l’avenir en me rappelant ce qu’elle m’a dit :
– Nous referons bientôt un voyage ensemble mon chéri. Je t’emmènerais voir la maison de grand-mère Pauline. Et nous n’aurons plus de secrets entre nous, mon amour. Maman de diras tout ce que tu veux savoir !
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