Le lendemain, en allant au bureau je me demandait comment Gina se conduirait avec moi.
La réponse était simple : elle ne n’a pas calculé de la matinée. Pas un mot pas un regard alors qu’auparavant elle ne cessait de venir me lancer des piques et essayer de me provoquer.
Ayant un peu de calme j’en ai profité pour avancer rapidement dans mon boulot. En fin de matinée un besoin pressant m’a obligé à me rendre aux toilettes. Je suis rentré dans la première cabine et je j’ai pissé tranquillement. Quand je suis sorti des WC hommes, je suis tombé nez à nez avec Gina qui m’a regardé d’un air surpris. Je lui ai fait un grand sourire et lui ai dit « Bonjour Gina tu ne m’as pas fait la bise ce matin. » Elle fronça les sourcils et lâcha : « Je ne t’ai jamais fait la bise qu’est ce que tu racontes ? » Je l’ai alors attrapée par le col et l’ai entraînée dans les toilettes en lui disant « Bon ok pas de bise mais une pipe alors. » Je l’ai poussée dans une cabine où elle s’est retrouvée assise avant d’avoir pu dire quoique ce soit. J’ai ouvert ma braguette et sorti ma queue encore à moitié molle et j’ai attendu. Elle m’a regardé d’un air étonné m’a souri et a pris mes couilles dans ses mains. Elle a commencé à les caresser tout en léchant ma queue sur toute sa longueur. Le résultat ne s’est pas fait attendre et je me suis retrouvé complètement dur. Gina m’a alors pris en bouche et à entrepris de me sucer goulûment. Entre ses mains fraîches sur mes couilles et sa langue agile qui virevoltait autour de mon gland il ne m’a pas fallu longtemps pour jouir. J’ai tenu la tête de Gina pour qu’elle ne sorte pas ma queue de sa bouche pendant je jouissais à longs traits dans sa bouche brûlante. Quand j’ai eu fini de jouir elle m’a bien nettoyé la queue en me souriant.
Je lui ai caressé la tête en la remerciant de cette gâterie et je suis retourné travailler.
Le jour d’après Gina est arrivée dans mon bureau et m’a dit bonjour d’une façon bien plus féminine qu’à son habitude. J’étais très étonné mais quand je me suis aperçu qu’elle portait une jupe pour la première fois depuis que je la connais, j’ai bien cru que ma mâchoire allait tomber sur la table. Tout en me parlant elle est venue s’asseoir au bord de mon bureau. J’ai profité de cette proximité pour glisser ma main sous sa jupe. Et là, encore une surprise, Gina avait oublié de mettre une culotte pour venir au bureau. Mes doigts avaient à peine touché ses lèvres qu’elle mouillait déjà.Lentement j’ai caressé ses lèvres avant de glisser un doigt puis deux dans sa chatte trempée. Elle essayait de tenir une discussion normale puisque la porte de mon bureau était ouverte mais il faut reconnaître qu’elle avait du mal. Je l’ai bien chauffée, mes doigts étaient trempés et elle tremblait. Je me suis levé en disant que je devait faire un saut dans le bureau du DRH pour lui poser une question sur une formation. Je lui ai rapidement passé un doigt sous le nez et ai quitté mon bureau sans me retourner. Je n’ai plus revu Gina de la journée.
Le soir, je me suis glissé dans l’ascenseur au moment où la porte se fermait. Il n’y avait que Gina dans la cabine. J’en ai profité pour la trousser et lui caresser le cul pendant toute la descente.J’avais une phalange dans sa rondelle quand nous sommes arrivés au rez de chaussée. Je lui alors proposé de la ramener chez elle en voiture. Elle m’a souri et dit : « ok mais il faut que tu me finisses j’ai mouillé toute la journée et tes caresses dans l’ascenseur m’ont littéralement mis le feu au cul ! » Tout en disant ça elle m’avait attrapé la queue au travers du pantalon.Nous avons littéralement dévalé les escaliers menant au parking et arrivé à la voiture j’ai directement ouvert la portière arrière et Gina s’est installée à quatre patte sur la banquette, le cul tendu et la robe remontée autour de la taille. J’aimerais pouvoir dire que je me suis conduit en gentleman et que je l’ai léchée jusqu’à la faire jouir avant de fourrer ma queue dans sa chatte puis son cul mais, en vérité,j’ai juste sorti ma queue et l’ai enculée jusqu’à la garde sans plus attendre. elle a poussé un long feulement de soulagement pendant tout le temps où je m’enfonçais en elle.J’ai ensuite commencé à aller et venir, de puis en plus vite, mes couilles frappaient ses lèvres à chaque mouvement avec un claquement humide. Elle a passé la main entre ses jambes et m’a attrapé les couilles qu’elle a malaxé gentiment tout le temps que je la limais. Au bout que quelques minutes elle s’est mise à jouir et son cul se contractant autour de ma queue m’a fait perdre tout contrôle et j’ai joui à longs traits tout au fond de son cul. Je me suis retiré, rhabillé et mis au volant pendant qu’elle rectifiait sa tenue sur la banquette arrrière. Arrivés en bas de chez elle elle m’a embrassé goulûment et m’a dit, la prochaine fois tu monteras, ma femme voudrait faire ta connaissance…
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