Préambule:
Nous sommes un couple de plus de cinquante ans, libertaire, marié depuis trente-cinq ans.
Ma femme qui a toujours eu une addiction pour le sexe, a essayé presque toutes les pratiques sexuelles, avec ma bénédiction.
Depuis quelques années, une à deux fois par mois, on s’offre un week-end «détente des sens.»
Je passe des annonces via Internet, site de rencontres, discussion sur les forums, photos, pour trouver chaussures à notre pied, avant tout des hommes seuls, de temps en temps des couples ou plus rarement un groupe constitué de trois à cinq hommes, si j’ai une bonne proposition.
Si vous aimez les matures bien en chair avec des seins imposants et un gros fessier, alors vous pouvez continuer cette lecture.
Florence connaît bien son corps, ce qui lui permet de pouvoir enchaîner les orgasmes, pendant ses débats sexuels, si elle a un bon feeling avec son partenaire.
J’organise tout et je recherche des partenaires la cinquantaine, dans l’ensemble assez bien monté.
Un scénario est souvent le point de départ de nos histoires.
Florence se laisse toujours guider au fur et à mesure du week-end, sans jamais poser de questions.
Préparation:
Avant de partir, d’Amiens elle se prépare, pas de slip, pas de soutien-gorge, un rosebud de quatre centimètres dans l’anus, jupe courte et haut transparent.
Direction la Normandie, repas puis, visite de Saint Valerie-en-Caux, ponctué de caresses sur son corps et son clitoris, afin de lui réveiller les sens, avant notre arrivée à Dieppe.
A dix-sept heure trente, on dépose nos bagages à l’hôtel Kyriad, afin de se préparer pour la soirée.
Commence alors, le jeu sensuel que l’on adore, faire monter le plaisir.
Je la caresse, pelote, lui doigte la vulve, tout en la laissant sur sa faim.
Séance de maquillage et d’habillage, bas résille auto-fixant, bottines à talon haut qui mettent en valeur ses jambes bien galbées.
Le plus dur commence, rentrer dans sa robe noir XL courte, dos nu avec lacet, gentille par-devant, mais, qui se lace dans le dos et sur le côté gauche, laissant à découvert tout le dos, la cuisse et une partie de la fesse gauche.
Les soixante quinze kilogrammes, ses poignées d’amour, ses larges hanches et son ventre, ayant du mal à trouver leurs places dans le morceau de tissu, du coup, ce sont les trois quarts de la fesse que l’on voit.
Vu son large fessier à la cambrure bien rebondie, la robe arrive à la hauteur du haut des bas, avec ses seins 105D, à l’étroit.
Une vraie tenue de catin car si elle se penche, ses fesses sont complètement à découvert.
Je lui écarte son sillon, pour enlever le rosebud, qui est en place depuis huit heures, son trou étant maintenant bien préparé pour recevoir les hommages d’un dard.
Début du scénario:
On descend de notre chambre.
Il est là, à nous attendre assis dans le hall, grand, la cinquantaine, assez bel homme, barbe courte, un brin sportif.
Il se lève.
«Bonjour je me présente Luc, je viens pour la réservation toute la soirée, de madame !»
«Vous avez de la chance, madame étant libre pour ce soir.»
«Le tarif, une bouteille de champagne, est-il toujours d’actualité?»
«Je vois que vous êtes bien renseigné, oui, c’est le prix à payer.»
Il me donne le magnum et dit à l’oreille de Florence:
«Maintenant, que tu m’appartiens pour la soirée, j’espère que mon investissement en vaudra la chandelle.»
On se retire cinq minutes dans le salon, il en profite pour faire le test du sida, puis il lui demande d’ouvrir pudiquement son manteau, pour déterminer s’il ne s’est pas fait gruger sur la marchandise.
(Pratiquer sans capote, créampie vaginal et anal, telle est notre devise, d’où la nécessite du test car dans ces conditions, sauf pour les 3 derniers mois, le risque est minime.)
Il lui donne l’ordre de rester debout, ce qui lui permet d’avoir une vue d’ensemble de son achat.
Il lui fait signe de la main d’écarter les cuisses et de soulever sa robe.
Il a la satisfaction de voir qu’elle n’a rien en dessous.
«Tout ça me paraît parfait, tu es encore plus appétissante qu’en photo.»
Il passe discrètement sa main entre ses cuisses, ce qui l’a fait frisonner.
On reprend notre discussion de tout et de rien, sur la Normandie et les sites à visiter.
A un moment, il lui susurre à l’oreille:
«Tu es magnifique, admirer ton plastic après un effeuillage lubrique, me fais déjà rêver, la nuit risque d’être longue et torride».
Avant de partir, je monte la bouteille et le test dans notre chambre.
Il faut se nourrir, alors direction le Buffalo-Grill en face d’Auchan.
On sort, il fait froid avec un petit vent glacial.
Il l’assied devant, lui ouvre son manteau et lui entrouvre les cuisses, sa main s’égare sur son pubis, ses doigts lui asticotent son capuchon bien développé et lui fouillent son intimité pourvue de larges grandes lèvres.
Florence ferme les yeux et des soupirs sortent de sa bouche.
Il arrête et lui dit:
«Pas trop vite et n’oublie pas que j’en veux pour mon argent.»
Sa main est mouillée de cyprine.
Il s’essuie, l’embrasse
«Tu as une superbe chatte, comme je les aime et je suis impatient de voir la suite, le vendeur ma laissé entendre que ton anus est aussi très accueillant.»
Florence ne dit rien, elle sait qu’à partir de maintenant, elle est un objet sexuel entre ses mains.
On arrive rapidement à destination, il se gare et on se dirige vers le restaurant.
On s’installe dans un box pour quatre, avec vue bouchée sur le dos et le côté gauche de Florence, une fois celle-ci assise.
Elle fait alors glisser son manteau le long de son corps.
Luc admire et se présente, cadre, libertin divorcé, à la recherche d’aventure, amateur de femmes sensuelles, aimant le sexe et les jeux de rôle.
S’ensuit une discussion sur nos pratiques sexuelles, ou, quand, comment …….
Sa main s’attarde, pendant le repas, sur ses cuisses et son bas-ventre.
Le couple de l’autre côté de l’allée part, laissant vacant la table.
Aussitôt, Luc plonge sa main entre les cuisses de Florence.
Elle avance son bassin au bord du siège, afin de lui faciliter la tâche et de mieux ouvrir ses cuisses.
Au bout d’un moment, il veut arrêter, mais elle lui bloque le poignet avec sa main.
«Finis-moi.»
Florence ne pense plus qu’a sa jouissance,
Il finit son œuvre et la fait jouir rapidement, elle se mord les lèvres pour ne pas crier dans le resto accroché à la table et à son bras
«Tu es trempé n’att****s pas un rhume de vagin en sortant.»
«Excuse moi, mais par ta faute, je nage dans ma cyprine.»
Il a un petit sourire de satisfaction.
«Gardes en un peu pour tout à l’heure car la nuit risque d’être torride.»
«Ne t’inquiètes pas ma production est proportionnelle au désir, alors soit bon.»
Scénario imprévu :
Le repas fini, on sort du restaurant pour se diriger vers la voiture.
Arrivé à celle-ci, un individu s’approche de nous et nous exhibe une carte de police sous les yeux.
«Police des mœurs, inspecteur J.C, on nous a signalé un comportement exhibitionniste de votre part sur la voie publique.»
Florence me regarde incrédule et me fait signe, vrai ou faux.
Je lui réponds par gestes, je ne sais pas.
«Monsieur, veuillez ouvrir le manteau de madame.»
Luc écarte délicatement les deux pans de celui-ci.
«Moi, je ne fais qu’accompagner ce couple.»
L’inspecteur soulève alors le petit morceau de tissu qui cache son intimité.
«On verra plus tard qui fait quoi, en revanche pas de culotte, robe indécente, soupçon de prostitution, humidification anormale du vagin, je suis forcé de vous arrêter, pour vérification des faits suscités, mettez vos mains dans le dos et suivez-moi.»
Il la menotte les deux bras dans le dos et la fait monter à l’arrière de sa Mercedes.
«Je dois enquêter votre chambre afin, d’établir le dossier à charge ou à décharge.»
Il prend place au volant, Luc à l’arrière, moi devant et l’on prend la direction de l’hôtel.
Au parking, l’inspecteur me montre son test, négatif lui aussi.
Arrivé dans le hall vide, car l’hôtel ferme à vingt heure, J.C lui ôte les menottes.
«J’ai le devoir de confisquer l’objet du délit, veuillez me remettre le bout de tissu qui vous sert de robe.»
Il fait glisser son manteau à terre et délace sa robe.
Puis, il la dénude exquisement, lui découvrant son large fessier en faisant passer sa robe doucement par-dessus sa tête, libérant ses gros seins aux tétons qui pointent fièrement, comme pour défier leurs mains baladeuses.
Elle n’est plus vêtue que de ses bas et ses bottines, ce qui fait ressortir son épilation intégrale.
«Je constate que vous avez des trésors cachés, j’ai l’obligation de regarder, si vous n’escamotez rien d’illégal, avant de perquisitionner votre chambre.»
Ses mains avides de chair fraîche lui parcourt son corps nu.
«Monsieur, j’aimerais avoir votre avis, pour savoir si les bijoux de madame sont vrais?»
Luc, ne se fait pas prier et entreprend de lutiner ses parties sensibles, avec des caresses appuyées sur son clitoris.
«Inspecteur, cette dame nous avait caché qu’elle avait un bijou, entre les cuisses, très sensible au toucher.»
Après quelques minutes de ce régime, elle est en feu, des gouttelettes, qui tombent au sol, perlent de son entrejambe.
Ils sont interrompus par une voiture qui se gare sur le parking, alors deux mains collées sur son fessier lui font monter les escaliers.
Jeu, sexe et soumission:
J’ouvre la porte de la chambre cent-sept et nous rentrons dans celle-ci.
«Mettez-vous dans un coin sans bouger, ni un mot, monsieur, car nous allons poursuive la fouille au corps, comme me l’autorise la loi.»
Même, si je préfère participer aux ébats sexuels, regarder sans toucher, est une autre facette de mon plaisir.
Il a la cinquantaine, n’est pas très beau, chauve, petit et maigre,
«J’ai le droit d’investiguer en profondeur, pour être sûr que vous ne nous dissimulez rien, mais nous ne serons pas trop de deux pour réaliser cette tâche, Monsieur, Luc, je vous nomme donc inspecteur adjoint.»
Il la menotte le bras droit avec la cheville droite et fait de même pour le côté gauche.
Florence est allongée sur le dos, cuisses grandes ouvertes.
Quatre mains s’abattent sur son corps pour en exploiter chaque recoin, des doigts s’incurvent dans ses intimités.
Après quelques minutes, ils se déshabillent.
J.C est pourvu d’une queue longue et épaisse, ce qui surprend vu le gabarit du personnage.
Je comprends pourquoi il la fait venir, avec lui, l’équipage est bien pourvu pour voyager loin.
«Il est temps d’évaluer le nombre de carats des bijoux de madame.»
Ils lui sucent les tétons, tout en la caressant, puis Luc embraye avec un cunnilingus, une main sur ses seins.
J.C, écarte sa fossette fessière pour débuter un anulingus.
Elle ferme les yeux et gémit de plaisir.
«Notez inspecteur que madame a un trop-plein de cyprine qui déborde largement du vagin.»
«Je note aussi que le frémissement procuré par ma langue dans son anus, appelle à un approfondissement de la chose.»
Après quelques minutes, J.C présente sa queue, à l’entrée de son vagin et la pénètre sans ménagement, suivi de va-et-vient assez brutaux qui font couiner Florence.
«Monsieur l’adjoint, je suis obligé de vous faire consommer, afin de déterminer si la marchandise vendue est bien en rapport avec le prix d’achat et donc qu’un délit n’est pas constitué.»
Luc prend alors la place laissée vacante et la pistonne à grands coups de verge.
Puis, ils inversent les rôles plusieurs fois.
«Je vous en supplie finissez-moi, finissez-moi.»
Ils la libèrent de ses menottes et lui commandent de se mettre en levrette sur le lit.
Luc devant ce fait sucé et J.C s’embouque de nouveau dans sa cheminée et la défonce de son dard puissant.
Le plaisir montant inexorablement dans son bas-ventre, Florence se touche le clitoris d’une main experte pour se finir.
Un orgasme la ravage, en même temps Luc décharge dans sa bouche.
Son corps secoué de soubresaut, elle s’étale sur le lit , son visage inondé du foutre, qui coule encore de sa bouche.
Toujours bien enfoncé dans sa vulve, J.C attend qu’elle se calme pour se finir, en inondant son vagin de sperme, qui sort maintenant de son trou béant.
Pour ma part, je suis toujours dans mon coin me branlant doucement.
Luc me regarde et dit à Florence:
«Tu le soulages avec ta bouche, faite pour sucer.»
Elle me prend en bouche,mais je ne peux résister longtemps à ce traitement.
«Oh, putain, tu sens la sèvre monter dans ma tige.» et je me répands abondamment dans sa bouche.
«Belle prestation, n’en perds pas une goutte, avale tout et nettoie le bien.»
«Passons aux choses sérieuses, l’évaluation n’est pas terminée, je dois quantifier s’il y la suspicion de vénalité dans vos rapports luxurieux.»
Ils la remettent en levrette, chacun fourre deux doigts dans l’anus et lui écarte son trou bien préparé par le rosebud.
Son anus s’agrandit à vue d’œil.
Elle est maintenant, couchée sur J.C qui lui rentre sa queue dans son anus offert.
Luc debout le long du lit, lui pénètre la chatte, penché sur elle.
Puis, après plusieurs minutes, même si techniquement ce n’est pas simple, il présente, lui aussi sa bitte à l’entrée de son petit trou, en tenant fermement sa queue dans sa main.
«Non, non, arrête cela n’est pas possible, non pas ça.»
Sa verge ripe et il se retrouve dans son vagin, alors il recommence malgré les protestations timides de Florence.
Enfin le gland disparaît dans sa rondelle et peu à peu sa tige s’enfonce.
Il est maintenant engoncé jusqu’aux couilles.
Les non, non, de Monique sont devenus des râles, alors que progressivement l’un après l’autre, ils commencent à la pistonner en alternance, un :
«Plus fort, prenez-moi plus fort.» sort de sa bouche
Ils sont surpris par ces mots, mais ne se font pas prier pour la pistonner violemment dans un duo d’enfer.
Une longue liturgie de, oh! non, oh! non, ce n’est pas possible, sort en permanence de sa bouche.
En mode pute, elle est vraiment la pire des salopes du cul.
Ils la taraudent d’un balancement rythmé, quand d’un coup Florence est prise d’une vague de plaisir incommensurable, son corps est secoué dans tous les sens, occasionné par un orgasme intense et profond, comme seule une sodomie est capable de lui procurer.
Elle est hébétée, le souffle coupé, affalé sur JC, tel un pantin désarticulé.
Luc se retire, la retourne en levrette et jute dans son vagin, avant que JC n’en fasse autant.
Le sperme, qui jaillit de son intimité, se répand sur ses cuisses et le lit.
«Comme un aimant attire la ferraille, ton cul attire les bittes, j’avais déjà fait des doubles vaginaux, mais, c’est ma première double anale, comme le reste de ton corps, ton cul est fabuleux et ta jouissance est inoubliable.»
«Merci, mais c’est parce que j’ai de bons amants.»
Après un repos du guerrier bien mérité, de nouveau les deux dards recommencent à pointer vers le ciel.
JC œuvre alors pour qu’elle le chevauche et lui enfile, dans sa fente grande ouverte, sa queue redevenue dure, tout en lui tripotant les seins.
Au bout d’un moment elle change de cavalier et c’est à Luc de se faire chevaucher.
JC se place derrière elle et s’engage dans un double vaginal.
Florence adore avoir la chatte fourrée au maximum, par deux grosses matraques qui la dilatent.
Ils la pilonnent brutalement pendant un long moment pour faire monter sa jouissance, mais ils comprennent qu’elle aura beaucoup de mal à jouir une quatrième fois.
Alors ils arrêtent, JC la menotte de nouveau poignées-chevilles, la tête dans l’oreiller, puis ils lui défoncent ses trous dilatés, a tour de rôle avant de juter le peu de foutres qui leur restent au fond de sa vulve, qui ressemble à une grotte béante d’où sort un flot de sperme.
Épilogue :
«Même, si la marchandise n’est que d’occasion, elle est bien conservée, avec une belle carrosserie, munie d’un moteur au fonctionnement parfait et au rendement exceptionnel, à consommer sans modération.
Je suis bien obligé de constater qu’il n’y a pas de tromperie, que les faits d’exhibition et de vénalité ne sont pas démontrés, il n’y a donc pas d’infraction à la loi, en conséquence, il n’y aura pas de poursuites à votre en-compte, il vous faudra juste signer le PV du rapport de l’incident une autrefois.»
«Je suis d’accord avec vos conclusions monsieur l’inspecteur, je pense par contre, que madame devra revenir pour la signature et que nous puissions voir s’il n’y a pas eu d’évolution par rapport à la situation actuelle.»
«Je suis heureuse de voir que je suis blanchi de tous les soupçons qui pesaient sur moi et je suis à votre disposition pour signer votre compte rendu et faire un nouveau test.»
Minuit passé, ils l’embrassent, la quitte avec un:
«A bientôt ma chérie.»
Dès qu’ils ont franchi la porte, je me précipite sur elle pour la posséder à mon tour.
«Mon chéri, tu m’as fait passer une soirée inoubliable, ton scénario était parfait, va-y fais-toi plaisir, ma vulve est dilatée comme tu l’aimes.»
«Tu es vraiment une grosse salope, mais tu me fais trop bander pour que je puisse m’en passer.»
Je suis au fond de son puits et quelques allers-retours ont raison de ma résistance.
Après, une petite douche, on tombe dans le lit pour une bonne nuit de récupération et demain direction Etretat.
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