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Féminisation d’un mari

Féminisation d’un mari



Quand Michel s’éveilla, la première chose qu’il vit était la perfusion plantée dans son bras… sa bouche était pâteuse et une douleur lancinante lui transperçait le torse.

En voulant porter ses mains sur son buste, il s’aperçut que ses mains étaient maintenues solidement par des sangles au montant du lit. Affolé, il regarda son torse, malgré le drap d’hôpital, il pouvait s’apercevoir que quelque chose n’était pas normal…pas normal du tout même, puisque ce drap était anormalement bombé.

Au même moment, la porte de la chambre s’ouvrit : Michel vit alors apparaître Patrick le patron de sa femme….et accessoirement son amant depuis quelques mois Tout sourire, ce dernier dit à Michel:

– Ah je vois que tu es réveillé… pas trop de douleur j’espère ? Le médecin t’a posé une perfusion de morphine mais ce genre d’opération est quand même un peu douloureux.

Michel blêmit:

– Mais… mais quelle opération ? Et où est-ce que je suis ?

– On est au Maroc…dans une clinique de chirurgie esthétique proche de Casablanca. J’aurai préféré que cette opération soit faite en France mais malheureusement, ce n’était pas possible…les chirurgiens d’ici sont plus compréhensifs, dirons-nous.

Totalement désemparé par la situation, Michel se mit à pleurer. Patrick expliqua:

– J’aurai aimé que les médecins procèdent dès aujourd’hui à ta vaginoplastie mais comme tu as encore pas mal de chemin à faire, ils se sont juste occupés de ta poitrine.. Pour ta foufoune, il faudra attendre quelques mois ma mignonne !

Michel n’en croyait pas ses oreilles, il avait l’impression de faire un affreux cauchemar mais ce n’était pas le cas. En larmes, il questionna Patrick:

– Ma…ma poitrine ? Ma foufoune ? Mais… mais qu’est-ce que c’est que ces conneries ?

Pour seule réponse, Patrick tira le drap, Michel eut alors la vision de son torse déformé par deux énormes bosses, à peine dissimulées par des bandages. Patrick expliqua:

– C’est ta femme elle-même qui a choisi la taille de tes implants mammaires…avec ça, tu va faire un bon 95 cm, Bonnet D de tour de poitrine. Elle aurait aimé que je te fasse poser le modèle au-dessus et moi aussi d’ailleurs, mais le chirurgien a dit que ce n’était pas raisonnable pour un début !

– Un début ? Mais… mais le début de quoi, espèce de connard !!!

Patrick soupira:

– Mon dieu, quel vilain langage ! Mais je vais t’apprendre la politesse crois-moi : La politesse et plein d’autres choses…

Avec force, Michel tira sur les sangles. Tout en pleurant, il louchait sur son torse mutilé, Patrick lui annonça:

– A partir de maintenant, fini Michel, tu t’appelles « Myriam »….tu vas rester dans cette clinique 3 ou 4 mois, le temps de ta convalescence et de te donner un meilleur aspect: régime, chirurgie de féminisation du visage, un peu de collagène ici et là et tu devrais être à peu près potable. Dès demain, tu commences un traitement hormonal et des séances d’épilation définitive…plus tard, nous verrons pour te faire changer de sexe !

Michel/Myriam n’avait pas encore réalisé quelle horreur l’attendait que la porte de la chambre s’ouvre de nouveau. Cette fois, c’était sa femme Blandine qui entrait, elle avait les bras chargés de paquets et elle ignora son mari pour s’adresser à son amant :

– Alors comment ce con prend la nouvelle ?

Patrick sourit:

– Bof… comme un mec qui apprend qu’il va devenir transsexuel !

Le couple éclata de rire. Michel/Myriam implora:

– Mais…mais pourquoi ?

Blandine pouffa de rire:

– Tu te rappelles il y a deux ans…tu voulais absolument que je sois plus sexy, que je me tape des mecs à la chaîne, et tout ça… Bon c’est vrai que j’étais très réticente au début mais au final, être un vide-couilles est plutôt agréable, aussi je me suis dit que ce serait amusant si tu pouvais, toi aussi, connaître tous ces plaisirs.

Michel/Myriam n’en croyait pas ses oreilles, sa femme continua:

– Alors, nous avons décidé de te féminiser et de faire de toi une catin, car tu vas être baisée, crois-moi. Quand tu seras assez féminisée, tu bosseras avec moi comme secrétaire. Avec ta queue et tes gros nichons, tu vas vite susciter l’intérêt des gars de la boite. Le soir, tu feras la pute pour nous et des clients, tu en auras à la pelle, des vieux et des jeunes, beaux ou moches, de toutes races…une fois que tu auras ramené assez de fric pour payer ton opération de changement de sexe, on te fera couper ton zizi et on le remplacera par une belle chatte de gonzesse.

Michel/Myriam sanglotai bruyamment tandis que sa femme lui pinçait la bite:

– A présent, fini ce truc ridicule ! Tu vas voir comme c’est bon de se faire ramoner le cul et la fente, ma belle…ou de se faire examiner par sa gynécologue.

A cette remarque, Patrick éclata de rire. Médusé, Michel/ Myriam regardait sa femme qui commença à déballer ce qu’elle avait apporté de France à son intention: des robes, des jupes, des talons vertigineux, de la lingerie fine…et surtout une collection de godes et de plugs de toutes tailles dont « Myriam » se demandait comment elle pourrait accepter en elle de tels objets.

Comme semblant lire dans les pensées de « Myriam », Patrick lui dit:

– Tu verras, une fois que l’on se seras occupé de toi, tu supplieras que l’on te trouve des mecs pour te baiser ! Tu m’as compris ?

Brisée, anéantie, « Myriam » balbutia un timide:

– Oui …Maître.

Blandine sourit et s’adressa à celle qui avait été son mari et qui, à présent, n’était plus qu’un objet sexuel:

– Bien…au moins, tu sais comment une femelle doit s’adresser aux hommes !

FIN

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