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ma tendre maman

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Ma Mère encore jeune, puisque jolie femme de 50 ans à la poitrine resplendissante avaient aussi pour effet de bousculer mes sens qui s’éveillaient depuis un certain temps déjà, et avoir l’esprit souvent empreint de vague excitation sexuelle au quotidien avec parfois avec un léger fond honteux, deja constaté que mon corps et mes envies s’orientaient peu à peu vers le corps de ma Mère.

C’était un Vendredi soir et a mon grand plaisir, je n’eut même pas à user de stratagème, puisque ma Mère me proposa d’elle même de dormir avec elle en raison de l’orage.
Cela arrivait encore rarement, mais j’étais toujours certain que les nuits d’orage il y avait une chance que cela se produise.
Elle s’étendit donc sur le dos, rouspétant gentiment contre ce mauvais temps et plaisantant un peu sur le fait que cela ne me touchait nullement et que les hommes dorment vraiment dans n’importe quelle condition.
Puis elle se détendit, et se retournant me présentant son dos.
Je me rapprochai, puis me collant contre elle , je posai mon bras gauche sur le sien, elle prit ma main, toujours un peu stressée.
Puis le temps passa, le temps se calma, et je crois bien qu’elle s’endormit.
Certaines choses ne se commandent pas chez l’adolescent que j’étais, et cela faisait déjà un moment que, ma poitrine collée a son dos, j’évitais de coller aussi le bas de mon corps, car vous l’avez compris, cela faisait un moment que la réaction de mon sexe me trahissait.
La respiration de ma Mère était devenue régulière et la pression de sa main sur la mienne relâchée.
Je me rapprochai encore, et appliquai mon sexe au travers de mon caleçon contre elle, d’abord légèrement.
C’était terrible. je bougeais juste un peu et cette érection n’était plus maintenant sous aucun contrôle.

Ma Mère était à ce moment sur le flanc, les deux jambes pliées mais l’une contre l’autre, alors j’osai un mouvement de ma main, repoussant sa jambe supérieure tout en lui caressant l’intérieur de la cuisse de ma main, et remontant doucement le bas de sa nuisette jusqu’à confirmation qu’elle était bien nue et sans culotte.
Je touchais maintenant l’intérieur et son autre cuisse, tout en m’appuyant contre elle, puis ma main remontant en son entrejambe, le bout de mes doigts s’approchèrent de sa fente et y pénétrèrent juste un peu.
Elle bougea à ce moment là, mais de manière curieuse : Sa cambrure de rein s’accentua un peu ce qui eu pour effet de faire rentrer deux de mes doigts en elle, pas à fond, bien sûr, mais une pénétration tout de même.
J’attendis un moment, ne sachant si elle était réveillée, puis je commençai un léger va et vient.
Puis mon Sexe tendu à l’extrême pénétra jusqu’à la garde sa chatte grande ouvert et mouillée comme jamais !

Elle se réveilla instantanément, ma bite dure comme du béton au fond de sa chatte trempée.
Tandis que je plaçai ma main sur son épaule pour m’appuyer et ressortir doucement de là ou j’étais importunément entré, avec la même force elle recula son corps davantage en me plaçant la main sur le dos sans se retourner, et m’attirant à elle.
Nous restâmes ainsi plusieurs minutes dans le silence de la pièce. Des minutes qui ressemblaient comme deux gouttes d’eau à des heures.

À ma grande surprise, je ne débandais pas.
Notre position, la situation, faisait que ma Mère était là, prise par derrière par son fils qui bandait encore comme un taureau en elle .
La situation, si on peut appeler cela comme ça, était surréaliste, le Fils, sa bite sous érection extrême fourrée dans sa Mère, à la limite de l’éjaculation, la Mère se pressant contre son Fils , appuyant son corps contre le sien.

Au début elle ne bougeait pas, sa main s’était ôtée de mon dos pour se saisir de la mienne qu’elle pressait légèrement.
Alors elle remua elle aussi et c’est là que tout accéléra, sa pression sur ma main se faisant plus forte tandis que je la pénétrais à fond, elle, les reins relevé et présentant sa chatte maintenant ouverte en grand.
Mon sexe coulissait en elle puissamment et je l’entendais gémir, la bouche fermée retenant visiblement tout relâchement jusqu’à ce que sa main broya littéralement la mienne en même temps que je me sentis exploser en elle, pris de soubresauts et de tremblements qui me quittèrent difficilement.
Elle me tournait toujours le dos, resta ainsi un instant, puis d’elle même se libéra en avançant son corps doucement, me laissant dans l’inquiétude de croiser son regard.
Le bonheur extrême se présenta a moi lorsqu’elle se retourna, dessinant une large sourire sur son visage, prenant le mien entre ses deux mains et m’embrassant sur la bouche .

Au réveil du matin je jouissais d’une complicité avec ma Mère, dont elle même ne se doutait pas jusqu’où cela allait nous mener.
Bien loin de détériorer en quoi que ce soit nos rapports ou l’ambiance de la maison familiale faite de sérénité et d’amour, cela nous avait rapproché à un point inimaginable.
Cette complicité entre elle et moi, faite du plaisir que l’on se donnait mutuellement auquel s’ajoutait le secret immense autour de cette relation qui n’appartenait qu’a nous.
Les mois passant, j’allais au fil du temps, découvrir à quel point ma Mère est une salope.

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