
j’ai passé la cinquantaine, j’habite maintenant un village de la drôme, pas très loin de montélimar, et à quelques kms d’une autre ville où j’ai mon garage, je fais le trajet 4 fois par jour,en général je fais dans cette ville mes courses quotidienne, pain,journal,cigarettes, jusqu’au jour ou n’ayant que le pain à prendre, j’ai oublié, j’y ai repensé quand j’étais sur la route du retour, tant pis j’irais au boulanger du village………je me gare sur la grand place, la boutique est à une vingtaine de mètres, j’entre pour la première fois,toute petite boutique, une vingtaine de mètres carrés au plus une banque, une étagère et un frigo, quelques marches à gauche desservent le fournil, c’est bien on voit les gars bosser, mon regard va vers la vendeuse au comptoir! la cinquantaine environ (56 je le saurais après, 5 de que moi), pas mal mais très très vieux jeu apparemment, un robe style alice au pays des merveilles, elle doit la porter depuis les années 70,la coiffure qui a fait la popularité de bardot, la choucroute!un visage régulier orné de lunettes fines et dorées,à priori des formes agréables mais pas du tout mises en valeur,par contre elle est aimable et très souriante!
j’ai payé et suis parti………pendant le repas j’ai trouvé que finalement le pain était pas mauvais, alors plutôt que faire la queue à la grande surface habituelle, je le prendrais maintenant chez lui tous les jours
tous les jours donc je me retrouvais face à cette vendeuse, toujours souriante, toujours un mot aimable, puis elle a commencé à changer, la coiffure est devenu plus moderne, puis les vêtements, plus de robe des seventies, mais des jupes plus près du corps, des chemisiers plus amples, au fil du temps, malgré qu’il y avait ce qu’il fallait dans les rayons, elle montait toujours au fournil chercher mes deux baguettes, ce qui me permettais de mater son cul (j’ai su plus tard qu’elle le faisait exprès)qui bougeait sous ses jupes, un jour elle avait une jupe beige et j’ai bien vu en transparence le string noir qui partageait ses fesses, en vérité elle avait un bien beau cul et j’ai commencé à la regarder autrement, plus les jours passaient, plus elle évoluait! une autre fois elle avait un haut noir en dentelle, juste ce qu’il faut de transparence pour voir un balconnet jaune, les seins ne sont pas très gros mais tentants tout de même, elle monte au fournil; son cul est bien moulé dans une jupe noire elle aussi, je devine le triangle su string à travers le tissu, elle est vraiment pas mal au final, elle revient, au moment de poser les baguettes elle en fait tomber une, se baisse pour la ramasser et se trouve ainsi à genoux juste devant moi, les cuisses légèrement écartés me lasisse voir que la culotte est jaune elle aussi,et le sunum, alors que je pensais qu’elle portait un collant, ce sont des bas qui habillaient ses jambes, je ne peux empêcher un oh de surprise qui lui fait relever la tête, elle a vu mon regard et m’a sourit, je me suis passé la langue sur les lèvres en soutenant son regard, elle a sourit de plus belle, je règle et sort! il est midi vingt dans 10 mn la boulangerie ferme, je reste dans mon auto ,j’attends qu’elle finisse son boulot
elle sort enfin et vient vers moi, en fait sa voiture est garée tout près de la mienne, en passant j’ai le droit encore une fois à un sourire appuyé, je sors de mon auto je vais à son devant, elle est près de son véhicule ouvre la portière, je suis à l’angle ,à peine un mètre nous sépare, elle s’assied, une jambe dans la voiture, l’autre dehors, les cuisses bien écartées, je vois le string jaune transparent, la bande de peau au dessus des bas,appuyé sur le haut de la portière maintenant je peux même distinguer les poils de sa chatte à travers le tissu du string, elle me sourit toujours
je suis près d’elle ma main se pose sur son genou, remonte
< oui,évidemment, ben je ne travaille pas le mercredi!
ce que je savais déjà d’ailleurs, je lui laisse le numéro du garage et la laisse partir à regret
nous sommes vendredi, le temps va me paraître bien long jusqu’au mercredi suivant, surtout que je vais quand même la voir tous les jours à midi en rongeant mon frein……
c’est trop long, le dimanche, midi, midi dix je suis au magasin,afin de me retrouver seul avec elle, j’ai laissé passer davant moi deux clientes ravies, je me suis approché de la banque et doucement
< vous repartez par le pont ou par la 7
elle arrive, se gare sous les arbres, près de moi, elle est à peine sortie de l’auto, je l’ai attrapée et lui ai roulé une pelle en la serrant contre moi, bien lui faire sentir l’envie que j’ai d’elle, elle a mis sa main derrière ma tête pour répondre à mon baiser en enfoncant sa langue loins dans ma bouche, mes mains pas inactives pelotaient son cul, je l’ai retournée, appuyée contre l’auto, j’ai continué à lui peloter le cul tout en remontant sa jupe, ses magnifique fesses sont apparues, traversées cette fois ci par un string rouge, les cuisses zébrées de son porte jarretelles rouge aussi, accroché aux bas noirs, je me suis accroupi, j’ai embrassé , léché son cul, elle s’est cambrée, j’ai écarté son string, j’ai passé ma langue dans la raie, elle s’est penché un peu plus, a encore écarté les jambes que je puisse atteindre sa chatte, j’ai commencé à lui bouffer la fente, elle est déjà bien humide, elle s’appuie des deux mains sur le siège, écarte encore un peu plus les cuisses,le spectacle est beau en plus d’être délicieux, je n’en peux plus, je descend ma braguette, sors ma queue raide, crache dans ma main avant de mouiller mon gland et je m’enfonce d’un coup dans sa chatte, jusqu’au fond lui arrachant un cri, mes mains partent s’occuper des seins, j’ai ouvert le chemisier, baissé le soutif et les prends à pleines mains, les malaxant, tirant sur les pointes pendant que je lui assène de grands coups de reins, qu’elle puisse apprécier toute la longueur de ma queue qui glisse bien dans sa fente trempée, je lui rentre bien à fond à chaque poussée, je sais que beaucoup de femmes aiment ça, elle bouge son cul elle aussi, vient au devant de mes coups de boutoir en gémissant, ma queue est à l’étroit, mon gland devient sensible je lui dis que je vais tout cracher dans sa chatte, elle accélère la cadence, moi aussi je viens dit elle, je la pilonne aussi fort que je peux, pour un peu mes couilles entreraient aussi dans sa chatte, elle s’écroule sur son siège en criant, me faisant sortir de sa chatte, j’att**** ma queue, me branle et me termine en aspergeant ses fesses, son string rouge qui a repris sa place et ses jambes, je n’en fini pas de couler, elle en a partout, elle se relève enfin
< oula, qu'est ce que j'ai pris dites donc!!!!!c'était trop bon
elle s’est rhabillée, elle ne pouvait plus rester, son mari l’attendait, mais elle a promis que l’on sa reverrait
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