Je vivais dans la région TOULOUSAINE depuis quelques années. La vie devient compliquée pour un jeune comme moi. Au niveau boulot, je vivote entre quelques emplois. J’ai exercé de chauffeur poids-lourds à commercial dans une agence de voyages, plâtrier, ramoneur ou fleuriste.
Une annonce est passée dans le journal de la veille : « Cherche personnes d’âges indifférents pour réaliser montage photos ». Ce qui veut tout dire ou rien dire. Bref, je me présenterai le lendemain matin aux locaux.
Arrivé dans la rue Gabriel Péri, dans l’agglomération TOULOUSAINE, je trouvais rapidement l’immeuble du rendez-vous. Un peu décrépi, une douzaine d’étages, c’est un immeuble d’habitations. J’entre dans le hall et je repère sur l’interphone le nom de photographe : MAZER = 4°étage. Je pris l’ascenseur pour me retrouver sur le palier du 4°. Sur la porte du logement situé à ma gauche, je repère la pancarte du photographe : MAZER. J’entre pour me retrouver dans un hall avec une porte vitrée au fond. De part et d’autres sont assises plusieurs personnes sur des sièges en plastiques. Je m’assois sans faire de bruit. En face de moi, je note deux hommes de 30 ans, dont un black, et une femme de 50 ans. Celle-ci, les cheveux courts et portant des lunettes semble avoir de gros seins sous son pull de laine blanche. De mon côté, deux autres hommes de 30 ans environ et une autre femme de 45 ans également. J’ai du mal à l’observer puisque elle ne me regarde pas et discute avec un des hommes assis à côté d’elle.
La porte du fond s’ouvre et un homme sort sans un mot et quitte l’appartement. Il ne doit pas faire l’affaire, me dis-je. Dans la porte du fond entrebâillée se trouve un homme en jean et tee-shirt de couleur claire. Il me fait signe : « Vous venez d’arriver ? »
Oui, répondis-je
C’est à vous alors…
Je me lève et j’entre dans une pièce assez sombre. Au mur plusieurs posters de film étant passé au cinéma. Je m’assois sur une chaise et le photographe me fait face.
Je m’appelle Pierre, et je suis photographe de mode. A mes heures perdues, je suis aussi réalisateur de films.
De films ?
Oui, pornographiques.
Pourquoi me parlez-vous de çà ? Dis-je soudain, méfiant.
Je réalise des films pornos amateurs. C’est la mode est cela se vend bien. Si cela vous intéresse, vous pouvez y participer. Je vous précise tout de même que toutes vos participations seront rémunérées. A peu près 200 euros la scène. Alors, puis-je compter sur vous ?
Et où sont les actrices ?
Elles sont dans le vestibules, là où vous étiez à l’instant.
Les deux vielles ?
Elles sont naturellement volontaires.
J’étais emballé.
On commence quand ?
Je me trouve dans une chambre de l’appartement, nu avec les deux hommes de trente ans et les deux femmes, tous nus. Nous écoutons le réalisateur :
Bien, je vous explique : comme vous êtes tous amateurs, vous allez faire une partouze. Cela peut vous paraître bizarre mais pour éviter des pannes de nos amis les hommes, le mieux, c’est de mélanger tout le monde et je prendrai au final les meilleures prises. Quand je vous demande à l’un ou à l’autre de prendre telle ou telle position avec le partenaire du moment, ne cherchez à pas comprendre, faîtes-le, c’est pour la beauté du film. Pensez qu’à la fin ce sera 200 euros pour chacun, et je sais que beaucoup d’entre-vous en on besoin. Si je dois à deux reprises vous demander de faire telle ou telle position, je vous zapperai, et vous toucherait à hauteur de votre prestation. Des questions ?
Pour ma part, j’en ai pas et j’ai repéré la femme de 50 ans.
Le réalisateur annonce :
Allez, mélangez-vous, les femmes commencez à sucer les mecs, action !
Je me retrouvai allongé sur le lit, avec entre mes jambes la femme de 50 ans, qui me faisait une fellation, sans me regarder dans les yeux. Ses doigts boudinés serraient ma hampe et au fur et à mesure de mon érection, vu mes dimensions, commençait à se poser des questions. Elle humidifiait mon sexe au maximum. Puis, elle prit ses gros nichons et entreprit de me faire une branlette espagnole. Mon sexe glissait entre ses deux globes blancs. Elle me souriait. Du coin de l’œil, je voyais les deux autres s’activer avec l’autre femme : ils lui mettaient à tour de rôle leur bite dans sa bouche. Des flots de bave tombaient sur sa poitrine.
Puis le réalisateur annonça :
Allez, on tourne !
Le réalisateur me laissa avec ma partenaire en me disant :
Tu baises, vas’y je tourne !
Berthe s’allongea sur le côté, en me tournant le dos. Je vissai mon sexe à l’entrée de sa vulve et poussai d’un coup. Son sexe n’étant pas humidifié, j’ai du forcer à plusieurs fois pour lui rentrer ma bite dans sa chatte. Et malgré ses soupirs, elle écarta ses cuisses grasses et je pus m’y enfoncer jusqu’aux couilles.
Dans le cul, vas’y, vas’y, me dit le réalisateur.
Je sortis ma bite de la chatte de BERTHE. Elle s’écartait son trou du cul poilu et je lui mis ma grosse bite dedans. Naturellement, je ne pus y glisser que le gland. Je m’agitai mais je ne pouvais rien faire de plus.
Le réalisateur me demanda de changer de position. Il plaça Berthe à quatre pattes et lui enduisis rapidement son trou du cul de gel. Puis je collai mon sexe à l’entrée de son trou du cul, et une nouvelle fois, je poussai pour m’enfoncer. Ses sphincters luttèrent un moment, puis lâchèrent et je me retrouvais au fond de son cul. Je m’agitais sous les encouragements du réalisateur. J’avais mal à ma queue, j’osai pas imaginer Berthe. Il nous fit changer à deux reprises de position, mais j’étais toujours dans son cul. J’étais allongé sur le dos, Berthe sur moi ma bite fichée dans son fondement lorsque le réalisateur alla chercher le black. Il lui dit :
Tu la baises, vas’y !
Il ne se le fit pas prier deux fois, et s’enfonça dans la chatte de Berthe tellement fort, que cette dernière poussa un hurlement. Mais je sentis le sexe du black écraser la paroi vaginale qui le séparait de mon sexe. Nous pilonnâmes la pauvre Berthe malgré ses hurlements.
T’éjacules bientôt ? me demande le réalisateur.
J’avoue que le trou du cul de Berthe étant accueillant, je n’allais pas tarder à gicler. J’acquiesce et le réalisateur me fit changer de position. Nous nous retrouvâmes avec Berthe accroupie sous nous et nos queues sur son visage entrain de nous branler. Le black vint en premier inonder le visage de Berthe puis enfin moi. Berthe s’essuya le visage avec des papiers hygiénique et alla s’habiller. Je m’enquis de son état après notre performance.
Vous m’avez défoncé. Mais c’était pour le film.
Je suis désolé, dis-je.
Le réalisateur, Pierre vint me chercher.
Viens dans le bureau, il faut qu’on parle !
Ok !
Je finis de prendre ma douche, et en sortant, je ne vis plus personne. Les autres acteurs s’étaient barrés. Pierre m’attendait dans son bureau :
-Assied-toi ! Dis, tu l’as bien défoncée, la grosse cochonne !
Effectivement, mais je me suis démonté la bite ! Elle était un peu serrée !
Bon, est-ce que tu aimes les vieilles, comme celles de cette scène ?
Il est vrai, que cela m’excite plus qu’une jeunette !
On va pouvoir marcher ensemble alors, car mon truc, c’est le trasch ! Baiser et enculer des vieilles, c’est mon fond de commerce. Seulement, il faut y aller à fond, tu comprends ?
Oui, dis-je.
Jusqu’où es-tu prêt à aller, dans les vieilles, quel âge, quelle forme ?
A partir du moment, où elles ne sont pas gravataire…
Tu peux revenir demain, il y en aura deux à baiser, et à enculer !
D’accord !
Nous signâmes une première ébauche de contrat.
Le lendemain à neuf heures, je me suis présenté à la même adresse et je fus invité à pénétrer dans le même appartement par Pierre.
Il y a déjà du monde ! me dit-il en souriant. Viens, on va faire le casting pour la première.
Nous nous installâmes dans son petit local, et il fit venir la première.
Elle pénétra dans le local et s’assit silencieusement sur la chaise. Elle devait avoir 55 ans, une forte poitrine, un peu de ventre et un visage…de madame tout le monde. Ni beau, ni laid, quelconque.
Bonjour, dit Pierre, quel est votre nom ?
Gisèle.
Bien, vous avez quel âge ?
Gisèle cilla un peu puis annonça :
61 ans
Mazette ! dit Pierre. Vous voulez faire du X à 60 balais ? On peut connaître vos motivations ?
J’ai envie de découvrir, car une amie m’en a parlé.
Vous savez, madame, il n’y a pas d’amour, ce n’est que de la pénétration, sans plus. D’ailleurs, vous pratiquez la fellation ?
Oui.
La sodomie ?
Rarement, ça me fait mal.
Rassurez-vous, avec nous, ce n’est que du plaisir ! dit Pierre. Des doubles ?
Euh…fit Gisèle.
Doubles pénétrations, dit Pierre
Avec, euh…
Et oui, deux hommes…Bon, on vous fera découvrir. Vous nous montrez vos seins ? Tiens aides-la à se déshabiller, je lance la caméra.
Je me suis approché de Gisèle, et j’ai respiré son parfum de femme d’expérience. Elle se déboutonna sa chemise et se retrouva en soutif dans notre local. Je l’aidai à descendre son pantalon couleur crème, elle se retrouva en culotte et soutif devant nous.
On prend des photos, d’abord, me dit Pierre.
Il flascha Gisèle sous toutes les coutures.
Vas’y, sors ta bite !
Je sorti mon sexe imposant car je bandai comme un âne devant Gisèle. Pierre lui dégrafa son soutien-gorge et ses gros seins blancs affaissés tombèrent sur le ventre. Nous primes Gisèle et moi plusieurs positions devant la caméra et l’appareil photo. Je mis Gisèle à genoux devant moi, et lui glissai mon chibre entre ses deux gros seins. Puis, elle me prit le gland en bouche. Elle tirai un peu la tronche la Gisèle devant mon membre. Les photos faîtes, Pierre lui demanda d’enlever sa culotte et nous nous dirigeâmes dans le salon. Gisèle marchait devant nous, et son gros cul m’excita encore plus. Elle avait une grosse motte de poils, mais à 60 balais, cette pauvre vieille qu’on allait mettre minable, on ne pouvait pas trop lui en demander.
Elle s’asseya sur le lit, nous faisant face. Son ventre faisait des plis, il me tardait de la fourrer. Pierre se mit nu lui aussi. Je m’allongeai à côté de Gisèle, puis je mis ma main sur sa nuque et lui fit descendre la tête vers mon sexe. Elle l’engloba de suite jusqu’au quart. Pierre se glissa entre ses jambes et planta son gland dans sa chatte. Il poussa arrachant un cri de Gisèle .
Aouh ! Je ne suis pas assez mouillé pour que vous enfonciez votre bite dans mon vagin.
C’est votre problème, Gisèle, moi les bandes vidéo me coûtent cher. Vous auriez du vous préparer avant de venir. Maintenant, serrez les dents, car je m’enfonce.
Gisèle hurla tout le long de la pénétration. Cela m’excita encore plus. Pierre pilonna ensuite Gisèle dans tous les sens lui faisant trembler la graisse. Puis au bout d’un moment, la cyprine aidant, la pauvre semblait moins sentir la pénétration. Elle était sur le dos et ses gros nichons partaient dans tous les sens. J’en saisis un, et en gobait le bout. Je lui titillais le téton qui devint gros en se serrant. Je l’attaquai doucement avec les dents. Gisèle ne pipait mot. Les jambes écartées, elle subissait les assauts de Pierre.
Il se retira, en se tenant la base de son sexe. Il avait failli venir. Gisèle fit redescendre ses jambes qu’elle avait à l’équerre depuis vingt minutes. Je regardai son sexe, rougit par les assauts de Pierre, munis de quelques poils blancs. Je me glissai entre ses jambes, et plantai mon chibre dans son vagin. Il s’enfonça doucement, écartant les chairs chaudes et endolories. Gisèle couinait. Puis, je me mis à la baiser faisant aller et venir mon sexe dans le sien. Mais excité comme je l’étais, je n’allai pas tenir longtemps. D’autant plus que je sentais des vibrations dans son sexe annonciateurs de plaisir imminent. La Gisèle se préparait un petit orgasme. Je me retirai à mon tour et Pierre, mis Gisèle à quatre pattes et s’enfonça de nouveau dans le fourreau moelleux. Le visage de Gisèle exprimait de part ses grimaces plus de la douleur qu’autre chose.
– Putain, elle va jouir, me dit Pierre. Vas-y fait toi sucer !
J’approche ma bite de sa bouche, et Gisèle me gobe le gland. Je me sers de sa bouche comme d’un sexe que je pilonne. Pierre lui écarte ses grosses fesses et fait ressortir son anus. Il lui crache dans le trou et avec son index étale son crachas.
– Elle est prête à être enculée.
Il colle son gland à l’entrée de l’anus de Gisèle et pousse doucement. La pénétration semble moins douloureuse que la précédente, dans son vagin. Mais, la vieille femme ne donne pas l’impression d’apprécier en soufflant fortement. Pierre, lui s’agite dans son cul, écartant les chairs à l’aide de son sexe.
Au bout de cinq minutes, il se retire pour me laisser la place :
– Vas’y, elle est chaude !
Son trou du cul et tout violacé, et des filaments rouge vifs sont placés en corolle autour de l’anus de Gisèle. Je colle à mon tour mon gland contre ses sphincters. Et je pousse. Çà force au début, puis, je me fais aspirer ma queue par cet orifice. Gisèle ne dit rien. Elle remue doucement du bassin, semble avoir de meilleures sensations que précédemment. Elle ferme les yeux et remue de plus en plus. Puis elle se lâche :
– Oui ! Oui ! Encore, je sens que je viens…Oui…Encore !
Elle s’empale directement sur mon sexe et subitement se lâche dans une série de soubresauts qui risquent de me désarçonner. Gisèle a joui du cul.
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