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Un chien qui s’ignore 14

Un chien qui s’ignore 14



Nolwenn avait pris soin de reculer un fourgon tôlé juste devant le garage. Je me retrouvais vite, laisse fixée à un crochet d’arrimage au sol, à virevolter de tous côtés sur le plancher en tôle.
Mes membres refusaient encore de me porter, je n’étais retenu que par cet étroit collier.

Enfin le fourgon s’arrêta et j’entendis Nolwenn claquer la portière.

Je somnolais roulé en boule sur la tôle froide, quand un individu robuste accompagné de Nolwenn me montra du doigt en sifflant d’admiration, ouvrant les portières.
Je fus tout simplement jeté sur ses épaules et emmené dans un appartement situé dans une cité glauque dont les escaliers tagués sentaient la pisse. L’homme me jeta littéralement sur un fauteuil défraichis situé au beau milieu d’une pièce vide hormis 2 grands canapés le long d’un mur et de la caméra sur trépied de Nolwenn.

J’imaginais déjà la scène et les acteurs encore absents. De la sueur perlait sur mon front. Nolwenn donnait ses instructions au géant qui me plaqua à genoux sur l’assise défoncée du fauteuil. Mon collier fut relié aux deux pieds arrière du fauteuil, de sorte à appuyer mon menton sur le haut du dossier. Mes genoux furent écartés et fixés à chaque pied de l’avant. La position offrait mon cul et mes couilles qui se balançaient à la vue de toute personne qui franchirait la porte de la pièce.
Nolwenn et la brute disparurent et je les entendais discuter autour de verres, passant des coups de fil. Le fauteuil couvert de taches empestait la sueur. Une bâche plastique avait été placée sous celui-ci pour protéger une moquette bon marché.
J’entendis Nolwenn revenir.
Elle me passa sur la tête un masque en latex qui représentait un étonnant visage féminin aux grands yeux ouverts. Après de gros efforts, elle vérifia l’emplacement de la seule ouverture du masque qui me collait au visage et me rendait aveugle. L’emplacement du dessin d’une bouche pulpeuse coïncidait parfaitement avec la mienne, que j’entrouvrais pour prendre ma respiration.

‘Voilà une belle chevelure blonde pour finir et tu seras parfaite pour la séance. Aujourd’hui tu vas pouvoir te concentrer sur les queues que tu vas engloutir. Comme dans ta belle cage, tu resteras dans le noir. Mais là tu es bien installé dans ce joli fauteuil, tu ne trouves pas ? ‘

Je le sentais tourner autour de moi, me frôler. Tout à coup sa main serra violemment mes couilles et sa voix à mon oreille me murmura :

‘J’hésite encore sur le titre de ta séance. Le vide-couille se dépasse ? Rex, bouffeur de bites en série ? Allé on verra ça ! J’ai tout le temps de réfléchir, la journée va être longue. Tes clients vont bientôt arriver, sois à la hauteur. Penses à la caméra et à tes followers. Bonne bourre !’

Une claque sur les fesses me surpris.

Quelques minutes plus tard, j’entendais des hommes arriver, s’affaler dans les canapés, m’interpeller, me siffler, me doigter le cul, jouer avec mes couilles. Bref la salle semblait remplie d’hommes excités, venus pour me baiser.
Nolwenn donna ses instructions habituelles pour les meilleures prises de vues, intima le silence.
Tous mes sens étaient en alerte, ils étaient prêts à se servir de moi.
Les dernières paroles de Nolwenn résonnèrent longtemps dans ma tête.

‘Alors les gars, le cul de ce vide couille n’a pas été purgé de sa merde, les premiers à l’enculer auront une ristourne et pourrons revenir pour la 2éme séance. Faites lui bien nettoyer votre bite avec sa langue gourmande. Je vous rappelle que vous devez tous lui gicler dans la bouche, il adore ça et peut en avaler des seaux entiers ! Ça tourne !’

Aussitôt une queue força le passage de mes lèvres et s’engouffra sans ménagement, une autre força mon anus à sec. J’avais déjà reçu et avalé quatre giclées de sperme dans la bouche, quand mon premier enculeur se fit un plaisir de m’enfoncer sa bite immonde dans ma bouche en me traitant de mange merde. Ce gout acre m’envahit la bouche et la gorge. Il me baisait littéralement la bouche et gicla rapidement.
J’avalais tout sous ses ordres.
Le suivant avait la bite dans le même état et le léchais, dégouté. Mon cul régulièrement nappé de gel, acceptait toutes les bites qui me défonçaient sans ménagement. Mon paquet lesté de couilles se balançaient en rythme.
Au fil du temps, les bites qui passaient dans mon cul devenaient plus…acceptables. Elles sentaient la jute, le sperme, la sueur mais pas la merde !
Ma bouche et ma gorge tentaient de s’adapter à chaque bite qui venait me baiser. Certains butaient sur mes dents et m’envoyaient des gifles. D’autres orientaient leur sexe contre mes joues, d’autres s’amusaient à m’étouffer de leur sexe Chacun des hommes avaient joui une première fois dans ma bouche et lors de leur deuxième ou troisième passage dans mon cul ou ma bouche, ils prenaient plus de temps. Leur pubis tapait sur mon nez.
J’étouffais, crachais, toussais.
Dès que j’ouvrais la bouche, une bite me l’obstruait.
Mes mains laissées libres avaient été réquisitionnées pour branler ceux qui attendaient leur tour. Une bite ramonait mon cul en feu, une au plus profond de ma gorge, je branlais frénétiquement chaque bite qui se présentait. Certaines tapaient sur mon crâne ou mes yeux.
La prise était bonne.
C’était un compliment pour tout le monde.
J’entendis mes enculeurs se rhabiller, aller boire un coup puis partir petit à petit. Moi j’en profitais pour reprendre ma respiration, bouche et cul béants et dégoulinants.
J’étais trempé de sueur sous ma cagoule en latex, je sentais un liquide couler de mon cul disloqué. Des filets de sperme dans la bouche restaient collés entre mes dents.

Une bouteille d’eau vint se coller à mes lèvres et je pus me rassasier et rincer ma bouche.

Je devinais Nolwenn s’occuper de sa caméra et surement nettoyer la pièce.
Personne ne venait me libérer….

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