Colette a fini par me rappeler…
Elle m’invite à prendre un café. « En tout bien tout honneur… »… tu parles!
Je suis donc rasé, bichonné et émoustillé lorsque je frappe délicatement à la porte.
Colette m’entrouvre, elle est en nuisette transparente, visiblement pratiquement rien dessous. Son corps pulpeux me fait triquer ! Je l’admire en silence, et attend l’explication de cette désinvolture vestimentaire !
-J’ avais envie de te revoir, dit-elle en rougissant …
-Ah oui ?
-Ben oui, tu m’as fait découvrir des choses la dernière fois…
– Oui ?
– Euh, je sais pas si j’ose ?
– Quoi ?
– Je voudrais passer la nuit avec toi… Son regard se fait légèrement fuyant …
Elle est là, contre moi, sa nuisette ne me cache ni son corps ni la chaleur et la douceur de sa peau… Elle brule d’attendre…Mes mains saisissent les globes de ses fesses et la plaquent contre ma queue. Ses yeux se révulsent déjà et un soupir s’échappe de ses lèvres en sentant la bosse qui va la fouiller.
– Je vais t’aimer toute la nuit…
– Oh quel joli programme !
– Tu as une jolie nuisette…
– Je l’ai acheté hier, pour toi… elle te plait ?
– Oui, tu es superbe.
– Et j’ai envie de me faire baiser…
– Dis donc tu as perdu ta timidité depuis l’autre fois !
– Depuis… toi, je revis !
Ma bouche va chercher la sienne, nos langues se mêlent dans un doux baiser, son corps est docile sous mes mains et ses fesses sont malaxées, caressées, séparées ; Sa taille, son dos sont caressés jusqu’à sa nuque … je saisis ma Colette dans mes bras et la dépose sur le canapé. Je suis à genoux devant ce corps pulpeux et ma main qui part du genou s’attarde sur des cuisses, caresse l’intérieur soyeux, remonte jusqu’à toucher ce sexe, arrachant encore un soupir d’aise à Colette yeux mi-clos… Ma bouche plonge vers le minou luisant. Deux mains viennent appuyer sur ma nuque…
-oui, oh oui, mange moi, ahhh c’est si bon…ah…
Je ne me fais pas prier, croyez moi, ma langue lape tout ce qui m’est proposé, joue avec le clitoris que je saisis entre mes lèvres qui se font douces, douces… le ventre ondule, se soulève, les mains s’énervent sur ma nuque, les petits cris se succèdent entrecoupés de longs soupirs…et tout ça s’accélère, s’amplifie, se crispe jusqu’à une explosion et un cri de joie.
– Oh ! Tu es merveilleux, j’ai joui comme jamais !!!!
J’ai une furieuse envie de me faire sucer… Mon pantalon est jeté au loin, nos bouches se joignent alors que je reprends place à côté d’elle, Colette commence d’elle-même à embrasser mon torse, descend, ses mains atteignent mon sous-vêtement et caressent la bosse qui déborde, passe à l’intérieur, descend chercher mes couilles pour les palper doucement, remonte pour saisir le manche et finit par l’extraire de sa cage.
Elle est à genoux, ses yeux me regardent, rieurs, alors qu’elle entreprend d’enlever ce dernier morceau de tissu… j’attends impatient de sentir ses lèvres, sa langue sur moi.
La voila qui tient ma queue et sa langue qui lèche mes couilles. Suçote doucement mes bourses, me lèche en remontant le long de la hampe, déposant ça et là de petits baisers. Un regard vers son amant…
-Prend moi dans ta bouche !
Et elle enfourne ma bite, enfin ! Que c’est bon… Sa main qui me branle, sa bouche qui me pompe… La voracité de Colette montre bien la frustration qu’elle a si longtemps gardé en elle. Je suis l’heureux bénéficiaire de ce retard… Et je profite de ce traitement de Roi. Je me laisse sucer longtemps, ma bichette ne se lasse pas, moi non plus !!
Une envie de 69 et de volupté, Colette m’enjambe et son sexe vient se placer au dessus de ma bouche. Mes mains trouvent le chemin de ses fesses, de sa taille que je plaque contre moi, faisant saillir sa croupe et ouvrir son abricot. Ma bouche est partout, la sienne me pompe… les petits bruits de succion, les soupirs d’aise… on n’est pas loin du paradis ici bas…
Et puis je descends saisir ses gros seins à pleines mains. Soupeser leur poids, pincer les tétons entre mon pouce et la paume alors que mes autres doigts griffent délicatement les globes…mmm
L’effet sur la propriétaire est immédiat, la chatte vient se placer au dessus de moi, impérative, ma langue se concentre sur le clito, je remonte Colette pour qu’elle soit assise sur moi, elle ondule d’avant en arrière, accélère et se libère en de long couinements. Et s’effondre sur moi, repue pour quelques instants…
Mes doigts vont chercher entre ses fesses la rondelle à peine frôlée à ma première visite. Cette fois , après un mouvement de surprise, la Belle me laisse œuvrer et je peux apprivoiser le petit trou, pressant doucement le centre ou tournant autour… toute la cyprine que j’ai prélevée m’aide à introduire cette phalange qui me permet de lui faire sentir tout le raffinement de cette caresse inconnue. Colette a repris ma bite dans sa bouche et ronronne, me signifiant que la chose lui plait, les soupirs se font bruyants, se rapprochent, la bouche de Colette ne bouge plus autour de ma queue, tout son être est concentré sur son cul qui va lui donner… qui lui donne le plaisir inattendu d’un orgasme…
Elle reprend alors son pompage frénétiquement et je ne me retiens pas lorsque je sens venir mon plaisir. Elle reçoit dans sa bouche mon foutre qu’elle avale avant de nettoyer longuement ma queue…
-Dis moi, c’est un beau début, non ? Lui dis je…
– Chéri, c’est merveilleux …tu ne peux pas savoir ! JAMAIS je n’ai connu autant de plaisir ! Jamais !
Un verre d’un liquide frais et plein de bulles…
Quelques minutes de caresses douces, on fait le tour du propriétaire, on est à poil…elle me tient , non par la main, mais par la queue… ! Comme si elle voulait ne pas perdre une seconde de ce moment hors du temps.
Arrivés dans la cuisine, son traitement fini par me faire de l’effet et c’est une belle bite bien gonflée que la Dame balade.
-Suce moi un peu ma chérie…Fais-moi bander plus !
Aussitôt dit… elle se penche et la bite dont on parle est dans sa bouche et elle me suce divinement. Ma main descend le long de son dos, caresse un globe charnu descend un sillon humide et mon majeur vient trouver un trou trempé. La table est vide…J’assois la madame, écarte ses jambes, lèche à nouveau cette chatte brulante. Je me relève, la couche, ma bite est juste à la porte de ce bonheur. Nos yeux sont soudain sérieux… Et je la pénètre doucement. Ses chevilles sont dans mes mains, ses jambes à la verticale, et je regarde ma bite qui entre et sort de son minou. Et je la regarde. Et je lis un épanouissement total, elle semble n’exister que par son sexe et ce membre qui la fouille. Elle secoue la tête de gauche à droite, se mord les lèvres… se caresse les seins, se pince les tétons.
J’accélère doucement, mes coups se font plus violents, plus rapides, des mots crus sortent de ma bouche
– Tu aimes, salope ? Tu le savais pas, hein ? …que tu es une salope ? Ma salope ?
– Oui ! je suis ta salope… oui, vas-y, baise moi…
– Tu veux que ça, hein ? Ma queue qui te baise ? Tiens, prends ça ! et ça ! et ça !
– Ahhhh….
A ce petit jeu, le plaisir monte en nous et je parviens à me contrôler lorsque je la sens prête à partir. A mon âge, il faut « en garder sous le pied ». Je ne veux pas jouir…¨Par contre Colette prend son pied, elle !
Nous sommes en nage. On se sourit et allons prendre une douche bienfaitrice…
Une petite collation, des mots tendres, elle, lovée dans mes bras… toute une nuit à venir… … mmm
Nous allons tranquillement nous allonger dans la chambre, et, langoureusement blottie dans mes bras, Colette s’endort et… je crois bien que je la suis.
Je rêve que je me fais sucer, et c’est bon de sentir cette langue qui tourne atour de mon gland dans une bouche brulante…et cette bouche qui monte et descend autour de ma queue…je me réveille et mon rêve est réalité, la bouche de Colette est là, qui me pompe…
– Non, je ne révais pas…tu es si douce, vas y c’est si bon…
Les yeux d’ange me regardent, souriants, mais la tête continue son adorable mouvement.
J’attire la taille puis le cul de ma biche pour qu’elle continue son pompage de côté. A portée de main, mes doigts parcourent une fente et un sillon déjà humides. Mon majeur ose une introduction dans sa chatte qui me reçoit volontiers. Les jambes se sont légèrement ouvertes, je peux aller et venir. Trouver le rythme qui la satisfait, le maintenir et accélérer doucement, avoir la satisfaction de voir ce gros cul accompagner légèrement mes mouvements, entendre les grognements de la bouche pleine de ma bite, accélerer encore, rejoindre par un pouce qui se fiche dans son cul le plaisir de son minou et celui de son cul…et Colette qui lâche ma bite de sa bouche pour mieux pouvoir crier son bonheur total !!!
Tant que j’y suis, mon pouce reste dans le trou interdit et tourne, pour élargir la rondelle. Remplacé par deux doigts qui continue de préparer un passage plus volumineux…
Mon manège se poursuit quelques minutes et le pistonnage de l’anus s’intensifie, la tête de la mère de famille est dans les draps, la croupe saillie au maximum…Je suis en face de cette croupe parfaite, mon autre main m’enduit de cyprine la queue humide de sa bouche et je me pointe devant la porte de son cul. Je pousse et mon gros gland investit la place. Mes mains ont écarté les deux gros globes, je pousse encore et doucement, inexorablement ma queue pénètre le boyau.
-Colette je t’encule !
-Oui, fais ce que tu veux de moi, je suis à toi….même si tu me fais mal !
Ma bite est enfoncée et mes couilles sont contre son minou tout brulant. Je peux commencer à bouger… Mes yeux se gavent de ce plaisir… ma bite qui entre dans ces fesses superbes, et ressort et entre à nouveau…
-ça va Colette ?
-Tu es gros ! Et j’ai pas l’habitude…
– Alors, Colette, tu aimes te faire enculer ?
– Non.
– J’arrête, alors ?
– Surtout pas. Mais va doucement.
-Tu aimes qu’on t’encule doucement, alors. C’est ça ?
– Ouiiii…
-Et si je bouge un peu comme ça, tu aimes ?
-Humm, oui.
– Et un peu plus fort, comme ça ?
-Non, c’est trop. Doucement. Encule-moi doucement.
Obéissant, je me suis attaché à baiser Colette, en douceur et profondeur…Ressortant ma bite et la rentrant, en souplesse !
Je tentais de la persuader en y allant par petits à-coups, l’encourageant à se caresser la chatte en même temps, ce qu’elle fit aussitôt. Pendant un moment, j’eus l’impression que nous n’étions plus concentrés sur la même chose. Elle gémit longuement. Je pousse un peu et l’intensité de gémissement augmente. Je me recule puis pénètre de nouveau.
– Ohh… OhhhhHHHHH !
– Tu veux que je me retire ?
– Oh noooon, ça y est, tu es dans mon cul et c’est booOONNNNNN !
– Alors tu aimes ça ? Te faire casser le cul ?
– Me faire enculer comme ça, oh ouiiiii… Mmmm vas-y, enfile-moi.
– Oh putain, que tu es serrée du petit trou, j’adore…
– Il a pas servi souvent et encore c’était il y a un moment…
– Ah oui ?
– Mon défunt mari …Mais, j’aimais pas …
– Et avec moi ?
– ça me rend folle. Vas-y, prends-moi à fond, maintenant ! Là… Plus vite. Bourre-moi ! Encore plus ! Défonce ta putain !
Elle se déchainait, la coquine !
– Salope, tu aimes te faire enculer ! Réponds-moi, salope, réponds quand je te parle !
– Oui.
– Oui quoi ?
– Encule-moi, encule-moi encore, mon dieu, je voudrais que ça ne s’arrête jamais. Comment j’ai pu passer à côté de ça ? MmmmMMMM encule-moi, je suis une saloooppe, une salope qui se fait enculer…
– Encore ! Répète-le !
– Oui, j’aime me faire enculer ! Oui, encule-moi, salaud ! Baise-moi !
– Oh, Colette, je suis si excité, je ne peux me retenir plus longtemps. Pardonne-moi.
– Oui, viens mon cœur. Viens, donne-moi tout. Ce n’est rien. Viens.
Ma bite gonfle, et je sens le plaisir de Colette monté aussi. Et mes coups de boutoir dans ce cul accueillant se font violents. Associés à ma main qui caresse le clitoris, ils font soudainement partir ma chérie !
– Je jouis ! Je jouis par le cul, par ta bite, par toi…ohhhhh c’est si bonnnnnn !
Je ne m’arrête pas et je sens venir la jouissance et j’ai juste le temps de crier à Colette
-Je viens ! Je viens dans ton cul ! ahhhh !!!
Et je me répands dans ses entrailles en meurtrissant ses fesses que je serre comme un fou entre mes mains…
Ma douce amie est immobile, laissant doucement ma bite se retirer de son intimité…Je finis par être expulsé et tombe sur le côté…épuisé…
Toute la nuit ce seront des caresses…Je me retiendrai car… je ne suis pas inusable et au petit matin, les yeux cernés, nous nous accorderons quelques heures de sommeil…
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