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j’épie mes parents

j’épie mes parents



Épisode 1

J’ai 18 ans, encore et toujours vierge, je me prénomme Danielle, je suis en terminale et j’habite chez mes parents. Je suis pas vraiment belle, très commune, des seins un peu trop gros à mon goût, mais un joli petit cul. Les garçons ne s’intéressent pas vraiment à moi et comme je ne couche pas directement, c’est encore pire. Mais j’ai envie du grand frisson, enfin c’est ce que les copines disent, quoique j’ai des doutes. Alors pour apprendre, je dois espionner et le plus simple, mes parents. Voici un épisode parmi les nombreux actes de voyeurisme.

Après le repas du soir, papa et maman se préparent pour la nuit : ils se déshabillent sauf maman qui est en lingerie, papa est lui entièrement nu. Maman s’amuse à frotter le sexe de son mari pour le faire grossir. Papa, assis au bord du lit, demande à maman :

– sois gentille, ma chérie, suce-moi, à fond, ça fait si longtemps que tu ne m’as plus sucé ainsi.

– tu crois ? il est bien gros et je suppose tes couilles bien pleines de jus, dit maman.

– oui ma chérie, tu vas te régaler, j’ai tellement envie que tu me suces et que tu avales, je t’en prie, ouvre ta bouche et enfonce ma bitte dedans, bien profond et suces-moi.

Maman, docilement à genoux entre les jambes de son mari, obéit gentiment et ouvre démesurément la bouche, à s’en décrocher la mâchoire pour absorber son énorme gland. Elle se met aussitôt à le pomper avec application tantôt en hochant sa jolie tête brune, tantôt en tétant et en suçant le gland, tout en caressant la hampe de ses douces mains.
On n’entend que ses soupirs et sa respiration, la bouche bien pleine.

– oui, c’est bien, vas-y, continue, bouge bien ta tête pour mieux me sucer ma chérie, voilà, tu es très douée.

– mouille bien ta bouche que je sente bien tes douces lèvres coulisser dessus, voilà, super, continue.

– oh oui, c’est bien, pompe-moi, comme ça, oui, pompe-moi bien ; encourage mon père.

Françoise s’exécute, fait monter et descendre sa tête sur le pénis qui lui emplit la bouche, mène ce coït buccal avec un savoir-faire réel, elle a beaucoup d’expérience. Elle ne peut parler, seuls ses gémissements se font entendre.

– oui, oui, oui, encore, encore, plus vite, caresse mes couilles, suce-moi profond ma chérie, je sens que ça vient, plus vite, branle-moi, suce-moi, encore, oh oui, oui, plus vite, vas-y, oui, comme ça, continue, c’est bon, ah, ah, ah, mon dieu, que c’est bon, tu es douée, suce-moi bien, ma chérie, tu vas te régaler, caresse mes couilles en même temps, bouges bien la tête, oui, oui, oui, plus vite, plus vite, ça vient, oh oh oh oui je jute.

– ah, ça y est, je jouis, je te jute dans la bouche, oh que c’est bon, ah, pompe, j’ai envie de te juter plein la bouche, encore, encore, suce, fais- moi cracher encore et encore, mais n’avale pas, je veux voir mon foutre dans ta bouche, ah, c’est bon, prends tout mon bon foutre.

Les bonnes giclées de sperme chaud crémeux engluent la bouche de la pompeuse, sa bouche se remplit au fur et à mesure que la pine éjacule le jus blanc. Françoise manque de s’étouffer tellement il y en a, son mari avait les couilles bien pleines. Elle sait qu’il veut voir sa bouche remplie de foutre avant d’avaler, et il continue de juter, ça va déborder, mais enfin la fontaine de vie cesse.

Presque étouffée, Françoise se redresse et ouvre la bouche, sa langue baigne dans une mer de foutre blanc visqueux, il y en a tellement que c’en est difficile d’ouvrir la bouche sans en perdre une goutte.

Satisfait du spectacle, papa dit :

– avale, ma chérie, avale tout mon bon foutre, je veux t’entendre déglutir, avale par petites gorgées, pas tout en même temps, savoure bien mon foutre.

Docile, Françoise déglutit avec gourmandise la liqueur de son mari qui lui emplit le fond de la gorge. Par petites gorgées, elle avale ce nectar, ouvre à chaque fois la bouche pour lui montrer ce qui reste et en 4 gorgées, toute la semence est avalée. Mais le foutre est si abondant qu’il s’en écoule un peu par la commissure de ses lèvres, alors, échappant le gland un peu ramolli, elle s’essuie le contour de sa bouche, le menton avec les doigts et se les suce avec un air gourmand.

– Il est bon ton sperme mon chéri, tu avais raison, je me suis régalée. Vivement que tes couilles soient à nouveau pleines, dit-elle, le sourire en coin.

– tu es une bonne épouse, très docile, j’aime que tu sois docile, j’ai envie que tu sois très gentille, ma chérie, je t’adore, il faudra qu’un jour, je t’instruise sur la façon de me sucer en gorge profonde, il y aura des « travaux pratiques », mais maintenant il faut dormir.

Déçue de ne pas se faire sauter par son mari, Françoise s’allonge sur son côté de lit et commence à se caresse le minou en n’oubliant pas de titiller son petit bouton érectile en poussant de tendres petits gémissements. Elle en oublie presque qu’elle porte toujours son porte-jarretelle et ses bas, le petit slip fendu et son redresse seins, la parure fétiche de son homme. Puis, s’étant fait jouir en silence, elle s’endort enfin, sa main entre ses cuisses.

Enfin, aussi, je peux quitter ma cachette et me diriger vers ma chambre, j’ai épié, une fois de plus mes parents et j’ai de plus en plus envie de sucer la bitte de mon copain et de goûter à ce fameux sperme. Si maman se régale, ça doit être bon, malgré ce que disent les copines de ma classe de terminale. Enfin, je verrai bien, faudrait d’abord que j’ai un petit copain pas trop con …..

À suivre

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