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Mon premier job (suite)

Mon premier job (suite)



Mon premier Job (suite)
Avant de continuer, il faut que je vous décrive mieux qui est Brigitte ainsi que votre narrateur.
C’est une femme de 59 ans, très bien voire hyper bien entretenue (elle en parait 49), elle mesure environ 1m70 pour 50kg. La journée vous pourriez la croiser et ne jamais y faire attention du moins quand elle bosse. Mais en dehors de ce moment, c’est une femme très raffinée, élégante et sensuelle ce qui était volontaire et lui permettait de mieux choisir ses conquêtes sans être abordés à longueur de temps.
Elle a été mariée au même homme pendant presque 30 ans jusqu’à ce que celui-ci la trompe et quitte le domicile conjugal. En parlant de domicile anciennement conjugal, c’est une maison style cottage aux abords du golf de Saint Nom la Breteche. Très cossue et surtout très grande. Lors de son divorce, elle l’a récupéré ainsi qu’une rente mensuelle très confortable. Elle travaille comme elle le dit pour avoir une vie sociale et rencontrer du monde. Elle a eu 2 enfants, un garçon qui a, à ce moment-là, 35 ans et vit aux Etats-Unis, une fille de 29 ans qui vit en Suisse.
Moi, je suis des Landes, châtain très clair, yeux bleu-vert, teint bi, 1m83 pour 75 kg en temps normal mais 70 kg lors des périodes de préparation et compétitions. Je suis triathlète, ma spécialité est l’Iron-man. A ce moment-là de l’histoire, je suis au poids de forme donc sec, les muscles très saillants et surtout célibataire.
Le soir de notre première rencontre, elle m’avait invité chez elle afin de finir la soirée. Comme vous vous en doutez, ce fut du même acabit qu’à la salle de sport. Elle avait même un côté pervers qui je me suis dit, pourrait être exploité plus tard au cas où notre relation se poursuivait. Elle avait une armoire pleine de jouets coquins : boule de geisha, godes, gode ceinture, menottes, ensemble de latex, etc., un vrai sexe shop ! Mais ce soir-là, nous sommes restés « classiques » ! Et la chose qui m’avait marqué le plus, c’est qu’elle mouillait abondamment, sa cyprine m’enduisait le sexe et les couilles et même son cul mouillait tout autant, un vrai bonheur.
Finalement, je rendais ma chambre d’hôtel et allais vivre chez elle pendant le temps de mon stage.
Ce qui fut plus intéressant, arriva le weekend suivant, le samedi soir pour être exact. Je voulais l’inviter au resto mais elle avait prévu une soirée bridge avec des copines chez elle.
Comme nous avions baisé toute la semaine, je n’y voyais pas trop d’inconvénient même si j’étais devenu un vrai mordu de son corps. J’aurais pu la baiser plusieurs fois dans la journée au boulot si nous en avions eu l’occasion.
Donc ce samedi soir arrivait et je décidais d’aller courir avant que ses copines se pointent. Toutes les trois mariées, elles s’appelaient Evelyne, Sylvie et Chantal. Je ne savais absolument rien sur elle, Brigitte ne me les avait pas décrites mais m’a bien fait comprendre qu’elle aurait préféré que je sois rentré avant leur arrivée.
Evidemment ne connaissant pas du tout le coin, je me suis complétement perdu et rentrait avec une heure de retard. En franchissant le palier, je fus accueilli par ma Brigitte toute inquiète et légèrement agacée après moi mais qui se dissipa rapidement en me voyant tout transpirant. Elle me caressa le sexe en me disant :
– Tu as bien de la chance que mes copines soient là sinon je t’aurais bouffé le sexe !
– Arrête, tu vas me faire bander et je vais avoir l’air fin devant tes copines.
Elle se retourna avec un sourire en coin et moi, je dus me diriger vers le salon avec une demi-molle ! Le souci c’est que je porte rarement des calçons sous mon short de running et je ne pouvais cacher trop ce début d’érection.
Je dis bonjour aux trois dames, Chantal une petite rombière assez mince, petite poitrine, cheveux grisonnants et yeux bruns, les traits marqués mais très souriante. Sylvie, elle ressemblait physiquement à Brigitte (sportive) sauf qu’elle avait une poitrine plus petite mais n’hésitez pas à la mettre en valeur ce que je pus reluquer lorsque je l’embrassai et eu cette vision sur son décolleté. Elle fréquentait les mêmes cours de fitness que ma bourgeoise, rien d’étonnant. Enfin Evelyne, probablement la plus jeune des trois, rousse aux yeux verts, grosse poitrine assez lourde et surtout un bon gros cul, la peau très claire, bref je me suis dit en l’embrassant : elle, si je pouvais, je n’hésiterais pas !
Une fois le tour finit sous le regard de ma Brigitte qui avait l’air de dégager un sentiment de fierté en me présentant à ses copines, je pris congé de ces dames sous leurs regards lubriques (eh oui, je suis toujours en mode demi-molle) pour aller sous la douche.
Sous la douche, je m’imaginais une partie à quatre mais une partie à trois avec Evelyne serait déjà une aubaine. Donc pour être à mon avantage au cas où, je rasais mon sexe intégralement. Au travers de la porte vitrée et brouillée de celle-ci, je crus apercevoir une silhouette me regardant mais ce fut très furtif. Je sors de la douche en m’essuyant et me dirige vers la chambre pour me rhabiller et tombe nez à nez avec Evelyne.
– Oh désolé, David, je me suis trompé de porte en voulant aller dans le bureau ! Me dit-elle avec un regard malicieux.
– Il n’y a pas de mal, c’est la porte suivante. Lui répondis-je.
– En tout cas, Brigitte ne m’avait pas menti sur toi !
– Ah ? Et qu’a-t-elle dit au juste ?
– Que la vie pouvait apporter de bonnes surprises et que la nature savait être très généreuse !
– Merci c’est gentil, cela ne te dérange pas si je m’habille et on se retrouve en bas ?
– A tout de suite vivement !!!
En arrivant dans le salon, j’entendais des petits rires qui s’arrêtèrent net. Le silence et leurs regards en disaient long sur le sujet de la discussion. Sur la table, 2 bouteilles de champagne, une vide, l’autre bien entamée. Sylvie me proposa de m’assoir sur le canapé entre elle et Chantal. Je m’exécutai et Evelyne m’offrit une coupe. S’ensuivit une discussion doublée d’un jeu de regard de ces 4 cougars qui miaulaient intérieurement à l’idée de pouvoir me dévorer. Brigitte, elle, s’absenta pour aller à son tour à l’étage pour je ne sais plus quelle raison invoquée.
De là, commença ce qui allait être la soirée la plus chaude de ma vie.
Chantal commença à caresser mon pantalon pendant que Sylvie m’embrassait dans le coup. Je fus instantanément saisie de la situation mais je m’attendais à cela. Je ne me posais même pas la question : Que dira Brigitte ? Je me laissai faire.
Evelyne s’approcha de nous et commença à se déshabiller. Elle portait uniquement un tanga qui lui moulait admirablement les fesses. Elle se mit devant Sylvie et la déshabilla à son tour. Pendant ce temps Chantal baissa mon pantalon, mon caleçon et enleva ma chemise. Elle me caressait tout comme Sylvie et Evelyne. Chantal commençait à me sucer. Evelyne et Sylvie s’embrassait tout en se caressant. Tout ce tableau était divin. Je jouais avec le sexe de Chantal qui releva ses fesses pour mieux l’atteindre. Evelyne vint au-dessus de Sylvie et lui présenta sa chatte toute épilée. Elle ne se fit pas prier pour lui manger. Moi d’une main, je jouais avec le sexe de Chantal et de l’autre celui de Sylvie.
Evelyne changea de partenaire et m’offrit sa chatte. Quelle vue et quelle joie de pouvoir en profiter. Moi qui en rêvait depuis mon arrivée. Chantal continuait sa besogne et fut rejointe par Sylvie. Elle, se concentrait sur mes couilles et descendait progressivement sur ma rondelle. Cela m’excitait terriblement. Et là, je reçus un annulingus en bonne et due forme. Evelyne se retourna et m’offrit sa raie mais ce que je pensais être un cadeau était un moyen de pouvoir att****r mes chevilles pour que mon cul soit bien relevé. Comme une mort de fin, Sylvie s’empressa d’accentuer son annulingus. Ma rondelle s’ouvrit d’elle-même. J’étais aux anges, Chantal qui me suçait, Sylvie qui me bouffait la rondelle et Evelyne à qui je lui mangeait littéralement la chatte et le cul. Je ne pouvais me retenir plus longtemps et j’éjacula dans la bouche de Chantal !
Pensant avoir un peu de répit, il en fut tout autrement. Les femmes redoublèrent d’intensité. Sylvie commençait à me masturber la prostate avec son doigt, Chantal continuait à me sucer après avoir avaler mon foutre et Sylvie enfonçait ses fesses sur mon visage à m’en étouffer, étonnamment de mon côté, je ne débandais absolument pas bien au contraire. LE PARADIS !!!
Quand soudain Brigitte apparut en disant :
– Alors Mesdames, Il est prêt ?
– Oui vas y vient, il est tout à nous !!!
Brigitte portait son gode ceinture !

La suite au prochaine épisode ….

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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