Bonjour, je m’appelle Melinda. Pour me présenter à vous, chers lecteurs et chères lectrices, je suis une latina blonde aux yeux bruns d’origine mexicaine, j’ai 29 ans, je possède une poitrine que l’on peut qualifier de fière (90D) et je suis professeur d’histoire dans un lycée de ma région. Dans les lignes que vous allez lire, je vais vous parler de ma vie de professeur qui, pour ainsi dire, n’est pas si ennuyeuse que cela.
Il me semblait être un élève comme un autre. Peu attentif par moments, distrait et toujours un peu pressé de quitter l’établissement. Cependant, depuis quelques semaines, il me troublait un peu. Étant donné que j’avais une heure double avec sa classe, je laissais quelques minutes de pause aux élèves entre les deux unités pour qu’ils puissent souffler un peu. Tous se levaient de leur chaise et se mettaient à discuter avec animation. Tous sauf un. Lui. En retrait, il se plongeait dans la lecture d’un magasine. Lorsque j’allais vers lui pour lui demander si tout allait bien, il rangeait précipitamment son magasine et me répondait que tout allait bien et qu’il souhaitait simplement être seul.
Mais un jour, alors que tous les autres élèves discutaient bruyamment et qu’il était, comme à son habitude, plongé dans son magasine, je décidai d’insister. Voulant également connaître par curiosité le type de magasine qu’il lisait, je m’approchai de lui le plus discrètement possible. En voyant le magasine, je fus… Mi-choquée mi-amusée. Ce jeune homme timide et solitaire souhaitait simplement s’évader dans un monde plus érotique en lisant un magasine porno. Si cela ne tenait qu’à moi, je ne lui en aurais pas tenu rigueur mais la pornographie étant strictement interdite dans les écoles et les institutions publiques, il était de mon devoir, en tant que professeur, de lui dire de ne plus amener ses magasines à l’école sous peine de dénonciation au proviseur et exclusion du lycée.
Ne voulant pas faire de vagues par souci de la protection de la personnalité de mon élève, je décidai de retenir ce dernier pour lui parler en privé. Je m’approchai de lui et lui demandai à nouveau si tout allait bien. En me voyant arriver, il range son magasine et me répond toujours aussi évasivement que tout allait bien et qu’il souhaitait simplement être seul. Je le laissai donc dans sa lecture en lui disant qu’il ne servait plus à rien de me cacher le magasine, que je savais ce que c’était exactement et que je souhaitais lui en parler. Il se voulut impassible mais je sentais en lui une grande nervosité et une grande peur. Voilà qui me permettait de tirer la situation à mon avantage…
Après la pause, je poursuivis mon cours et il ne sembla pas trop inquiet en songeant à ce que je voulais lui dire. La sonnerie retentit et les élèves sortirent à la hâte de la salle de classe. Lui resta sagement assis à sa place et attendait. Lorsque tous les élèves furent partis, je refermai la porte à clé.
«Voilà, nous serons plus à l’aise pour parler, à présent.»
Je pris une chaise et m’assis en face de mon élève.
«Alors? Pourquoi lis-tu ce magasine porno alors que tu sais pertinemment que c’est contre le règlement et que tu risques l’exclusion? Y a-t-il quelque chose qui te tracasse au point que tu ailles te réfugier là-dedans?
– Si je vous le dis, vous ne le direz à personne?
– À personne, je te le promets.
– Je… Enfin. Ma mère a…quitté mon père pour un autre il y a quelques mois soi-disant parce qu’il ne lui donnait pas assez de plaisir. Mon père est furieux et triste. Il m’interdit de consommer toute chose liée au sexe. Il dit que c’est pour m’éviter de faire subir à quelqu’un d’autre ce qu’il a enduré mais moi, je veux faire l’amour, faire mes propres expériences et découvrir le sexe. J’ai même songé à faire quelques castings de cette revue. Vous comprenez maintenant pourquoi je ressens ce besoin de me réfugier dans ce magasine, Madame?
– Oui, je comprends tout à fait. Je ne te dénoncerai pas mais si tu veux un conseil, je pense que tu as des meilleures opportunités à saisir tout près de toi. Si tu regardes un peu autour de toi, je suis sûre qu’il y a au moins une femme qui peut te donner ce que tu cherches.»
Sur ces derniers mots, je décidai de passer à l’action. Je déboutonnai violemment mon pantalon et en fis descendre lentement la fermeture éclair avant de le faire glisser jusqu’au sol le long de mes jambes.
«MADAME! Qu’est-ce que vous faites???
– Quand je te disais que tu avais des opportunités tout près de toi, je pensais à moi. Je te propose d’être ton initiatrice. Souhaites-tu que je te dépucèle?»
Il me regarda d’abord d’un air à la fois surpris et choqué puis, ce temps passé, il se mit à réfléchir. Finalement, il me répondit avec le sourire:
«Oui, Madame. Je veux perdre ma virginité avec vous.»
Sur ces dernières paroles, nous nous déshabillâmes tous deux et une fois nus, nous contemplâmes l’un l’autre. Son regard portait sur mes seins et ma chatte. Mes yeux, eux, étaient rivés sur son sexe long et épais. Le temps de contemplation passé, nous nous levâmes de nos chaises. Il passa par-dessus la table qui nous séparait et me roula une pelle magistrale que je lui rendis. Ses mains se baladaient sur mon corps, tout heureuses de découvrir un corps de femme pour la première fois. Il me caressa doucement les seins d’un geste peu assuré. Je lui pris la main et lui fis pétrir mes seins. Après quelques instants, je lâchai sa main pour le laisser continuer seul le mouvement. Ma main descendit ensuite sur son sexe, le caressa et le branla énergiquement. Peu habitué à ce qu’une femme le branle, mon élève se mit à pousser des soupirs de plaisir de plus en plus rauques. Sa jouissance était imminente. Je remplaçai ensuite ma main par ma bouche et me mis à sucer sa jolie queue. Mes lèvres montaient et descendaient agréablement bien sur la surface charnelle de ce pénis de jeune mâle en devenir. Je sentais sa queue palpiter dans ma bouche, signe indéniable de sa jouissance proche. Je taillai une pipe à mon élève et sortis son sexe de ma bouche.
«Couche-toi» lui dis-je doucement.
Il m’obéit et je m’empalai tranquillement par la chatte sur sa colonne de chair dure. Je fis quelques mouvements sur sa queue puis lui pris les mains et les posai sur mes hanches.
«Monte-moi et abaisse-moi sur ta bite à ton rythme.» lui dis-je sur le même ton qu’auparavant.
Mon jeune élève m’abaissa d’abord lentement sur son sexe d’un geste mal assuré puis, devenant plus sûr de lui à chaque pénétration, il me soulevait et m’abaissait sur son sexe avec la vitesse de l’éclair et la force du taureau. Il tint ainsi durant dix minutes avant de me crier:
«Oh putain Madame Melinda, je vais jouir!!!»
Je retirai donc sa queue de mon sexe et me couchai, l’invitant ainsi à jouir où il le souhaitait. Mon élève s’agenouilla à côté de moi et se branla. Après quelques secondes, cinq à sept giclées de sperme m’arrivèrent sur la poitrine. Dans un dernier râle, mon élève me donna son gland à sucer. Apaisés, nous nous rhabillâmes.
«Alors, ça t’a plu?
– Plus que ça, Madame. C’était génial!
– Ravie que ça t’aie plu car il y a encore quelques petites choses que tu dois encore apprendre avant de pouvoir t’engager avec une femme. La prochaine fois qu’on se verra, tu me sodomiseras et tu te branleras dans mes seins. Au fait, pour ton père, tu peux lui dire que je t’ai dépucelé. Il est furieux parce qu’il est jaloux. Lui aussi veut du sexe. Tu lui diras aussi que je suis tout à fait disposée à lui donner ce qu’il souhaite. On se verra pendant la réunion de parents lui et moi. Tu me communiqueras sa réponse pour le prochain cours, vu?
– Très bien, Madame. Je vous dirai ce qu’il aura décidé!»
Nous en restâmes là et repartîmes chacun de notre côté. Maintenant, il se sentait prêt et n’avait désormais plus besoin de son magasine pour s’évader.
—–
Quelques jours après son dépucelage, mon élève me rapporta la décision que son père avait prise suite à leur discussion qu’il me rapporta en ces termes:
En arrivant chez lui le jour de son dépucelage, mon élève salua son père.
«Salut, papa.
– Salut, fiston. Où étais-tu? Tu rentres plus tôt d’habitude. Il s’est passé quelque chose?»
Mon élève rejoignit son père dans le salon.
«Papa, il y a quelque chose que je dois te dire. Voilà… Depuis que maman est partie, je lis un magasine porno pour m’évader dans le monde du sexe lorsque que j’en ai besoin. Y compris durant les pauses entre les cours. Ma prof d’histoire a vu que je lisais ce magasine et a voulu m’en parler en privé. Elle a été très indulgente même beaucoup…
– C’est-à-dire?
– Elle m’a dépucelé. Avec elle, j’ai appris à faire l’amour.
– Quoi?! C’est pas sérieux, ça! Je vais tout de suite appeler le lycée. Il faut que le dirlo sache quelle prof perverse il a engagé!»
Le père se saisit du téléphone mais son fils le retint par le bras.
«Ne fais pas ça! Tu ferais une grosse erreur! J’ai tout raconté à ma prof. Elle sait que tu as besoin d’une femme qui puisse te donner du plaisir. Elle m’a dit qu’elle était tout à fait disposée à coucher avec toi. C’est une mexicaine et elle est juste bandante. Il faut juste que je lui rapporte ta réponse. Réfléchis, papa.»
Le père, calmé par les propos de son fils, reposa le combiné et regarda son fils. Il se passa de longues minutes avant que le père ne brise le silence.
«Bon, on se voit demain soir à la réunion des parents, c’est bien ça? Dans ce cas, dis à ta pute de professeur de bien se préparer. Je suis le dernier à la voir, c’est ça? Dis-lui que je veux la voir nue dès que je rentre dans la classe.»
Je remerciai mon élève puis donnai mon cours comme à l’ordinaire. Lorsque la sonnerie eut retenti et lorsque tous les élèves furent sortis, je refermai la porte derrière moi et rentrai chez moi me préparer pour la réunion. La réunion des parents devait avoir lieu le soir même. Je n’avais que trois parents à voir dont le père de mon élève. Je pris une douche puis revêtis un jean et pull sans mettre de sous-vêtements. Après m’être mis un peu de déodorant, je repartis pour le lycée.
Je vis la maman d’une élève puis celle d’un autre. Je leur dis à toutes les deux que leur enfant s’en sortait très bien en cours d’histoire et qu’il s’adaptait très bien à la classe. Je serrai la main des deux mamans et attendis que la deuxième qui devait venir me voir soit loin de la salle de classe pour recevoir mon troisième et dernier rendez-vous de la soirée.
Je me déshabillai tranquillement et attendis que le père de mon élève fasse son apparition. La porte s’ouvrit quelques minutes plus tard sur un homme d’environ la cinquantaine de 1,90m aux cheveux bruns. Il semblait plutôt musclé et portait une chemise blanche simple et un jean.
«Bonsoir, monsieur!
– Bonsoir, madame Medinda! Vous êtes extrêmement bandante.
– Vous n’êtes pas mal non plus.
– Merci. Bon, trêve de bavardage. Donnez-moi ce pourquoi je suis venu.»
Sur ces derniers mots, il retira sa chemise puis son jean, me laissant admirer un torse puissant et une paire de jambes sculptées. Il fit ensuite glisser son boxer au sol, me présentant une magnifique verge d’au moins 20 cm et une paire de couilles hors norme. Plus aucun doute possible. Le père avait beaucoup transmis à son fils. Je m’agenouillai au sol, attendant qu’il vienne me prendre. Il s’avança vers moi et me donna sa bite à sucer. Dans ma bouche, le sexe de mon partenaire avait un agréable goût salé. Il avait probablement dû uriner avant de venir me voir. Je fis quelques va et vient sur cette impressionnante colonne de chair en m’appliquant à sucer mon partenaire jusqu’à la garde, ce qui ne manqua de le faire soupirer de plaisir.
«Hum. C’est bon. Vous êtes une véritable pompeuse de queues. Vous sucez mieux que mon ex. Continuez.»
Je continuai donc avec plaisir à sucer cette bonne grosse bite d’homme divorcé en manque. Je le suçai encore durant une dizaine de minutes avant qu’il ne retire sa queue de ma bouche et m’ordonne de me coucher au sol. Il me couvrit ensuite de son corps et introduisit son énorme verge dans ma chatte. Ses va et vient dans mon sexe se firent d’abord lents puis de plus en plus rapides et puissants. Ses coups de queue me firent jouir comme une truie.
«Ah…si… Vous aimez ce cul de latina alors défoncez -moi bien la chatte!!!»
L’homme ne se fit pas prier pour accéder à ma requête. Il poursuivis ses va et vient pendant un bon quart d’heure toujours avec la même force puis il se retira de ma chatte et souleva mes jambes pour les passer sur ses épaules. Ainsi, mon anus était bien en vue et sans attendre, le père de mon élève m’enfonça sa queue dans le petit trou. Comme dans la chatte, ses va et vient furent d’abord lents puis de plus en plus puissants. Son ventre claquait contre mes fesses. Ses mains étaient crispées dans mes hanches. Après m’avoir ramoné le cul durant une vingtaine de minutes, il se retira de mon petit trou. Il contempla mes seins dont les tétons étaient durcis par l’excitation et pointaient fièrement vers mon partenaire. D’une main, il me caressa un sein et commença à se masturber de l’autre.
«Wouah!!!! Vos seins sont plus gros que ceux de mon ex-femme. Je pense qu’une paire de mamelles comme la vôtre mérite de branler une bonne bite.»
Comprenant ce qu’il voulait, je compressai mes seins et l’invitai à se branler entre mes deux boules. Mon partenaire ne tint pas plus d’une minute avant de me crier:
«OHHHHHH!!!!! OUI!!!!! JE VAIS JOUIR!!!ROHHHHHHHHHHHHHHHH!!!!!!!!!!!»
Six giclées de sperme me maculèrent les seins et le menton. Je mis ensuite le sexe de mon partenaire en bouche afin de sucer ce qui restait de sperme sur son gland.
Apaisé par sa jouissance, le père de mon élève s’allongea à mes côtés et me caressa les cheveux. Comme un mari le ferait avec sa femme.
«Vous êtes incroyable, madame. Je vous aime pour ce que vous m’avez offert. Accepteriez-vous de passer à la maison de temps en temps pour vous occuper de moi et de mon fils?
– Bien sûr, avec plaisir. Des bites comme la vôtre, ça ne se trouve pas à chaque coin de rue.
– Très bien Melinda. Moi c’est Laurent. Quand pourriez-vous passer chez moi?
– Quand vous voulez! Votre fils et vous êtes des hommes superbes!
– Dans ce cas, peut-être pourriez-vous emménager chez nous et nous pourrions commencer à nous tutoyer. Qu’en dites-vous?
– J’accepte sur-le champ!
– Très bien. À partir de demain, nous déménagerons tes affaires, mon amour.»
Il me donna un dernier baiser puis nous nous rhabillâmes et rentrâmes chez lui. Son fils dormait déjà.
«Nicolas va avoir une belle surprise quand il se réveillera demain.» me souffla-t-il en me faisant un clin d’œil plus qu’explicite. Laurent me fit monter dans sa chambre. Nous nous déshabillâmes et passâmes la nuit dans les bras l’un de l’autre.
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