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Marche dans la forêt

Marche dans la forêt



un jour, je me promenais à travers la forêt landaise, en arrière des plages au Nord de Biscarosse; plages naturistes ou je me trouve souvent.
Cette promenade, totalement nu, sans même un petit sac à dos de secours (pour emporter un vêtement) je la réalise aussi souvent que possible.
La bonne cinquantaine, certes un peu de ventre, mais j’assume, je suis fier de mon corps et de mon sexe circoncis, au point que depuis longtemps, je le rase pour le mettre en valeur d’une part, mais aussi pour le confort de celui ou celle qui aurait envie de me sucer. En effet, je n’aime pas de mon coté avoir quelques poils sur la langue, aussi j’aime offrir le même confort à mes partenaires.

Me promener nu est pour moi comme un don à la nature, dont nous ne sommes que des éléments vivants.

Dans la forêt, il y a forcément des promeneurs, des bien intentionnés et des moins bien, des voyeurs par exemple.
Je me suis retrouvé une fois suivi par l’un d’eux et m’en suis apperçu. Je bandais rien qu’à l’idée. Arrivé dans une clairière, je me suis mis à me branler. A 20m de moi, ce dernier s’est déhabillé et face à moi, s’est mis à s’astiquer en même temps. Sa queue était fine et courbe vers le haut. Il avait un prépuce lâche et son gland apparaissait entre chaque mouvement. Cette vue m’a fait éjaculer comme jamais. Ma queue était grosse d’envie comme jamais et mes boules remontées dans mon pubis glabre, au moment de l’éjaculation. C’est aussi une petite caractéristique que j’offre, mes boules se planquent assez souvent et cela offre la vue d’un scrotum vide, comme si j’étais castré. Elle ne sont pas comme certains que parfois je jalouse, pendantes comme un taureau. Du reste, ça a développé chez moi un fantasme de la castration.
Parfois, je m’en suis ouvert à des partenaires féminines qui ont joué le jeu de cette domination éventuelle sur l’homme; l’une d’elles me les a même sérées avec une élastique et la fallation qui a suivi a été trés longue et houissive.

Mais revenons dans mes promenades.
J’ai une fois été surpris par un groupe de jeunes femmes qui n’ont pas manqué d’utiliser le rapport de force dont elles bénéficiaient. j’étais seul sur ce sentier face à elles et passé la surprise, j’ai été entouré par ce petit groupe de 5 filles, avec sac et tenues de plage et moi bien entendu rien. Il n’y avait pas de photos numériques, ni de smartphones et le face à face se résumait au début à des commentaires entre elles, par rapport à leurs copains ou sur moi. J’étais indécis et l’une d’elles à demandé à une autre: « Cathy, touche sa bite et vois ce qu’il vaut ».
La dite bite n’était pas bandée, plutôt le contraire. Mais une douce main l’a empoignée et devant ce public, elle n’a pas mis longtemps a grandir. Une autre main s’est approchée et j’ai été palpé de partout; même la raie du petit trou. Cela me procurait des sensations inconue jusqu’alors et je m’offrais un peu, tout en palpant et déshabillant les nombreuses poitrines.
Jambes un peu écartées, légèrement penché en avant, des mains sur mes tétons, d’autres sur mon pénis bandé à mort, une autre jouait à l’entrée de mon petit trou, mes boules ne se laissaient pas masser et rentraient à l’abri, ce qui a fait dire à une fille: « mais c’est une fiote ». J’ai entendu, mais je ne pouvais plus rien dire, la bouche entre deux mamelles et les mains sur deux tétons que je palpait. Ces contacts charnels me faisaient bander encore plus fort, à en faire mal, surtout que j’étais branlé à sec. Je n’ai pu me retenir quand j’ai senti un doigt me penétrer dans le trou et une fille qui prétendait me traire par en dessous s’en est pris plein le visage, pendant que celle que je massais et suàait aux tétons est entrée en transe.
J’étais en nage, mais le doigt dans mon cul continuait, ce qui fait que mon pénis jutait un filet et que je sentais une sensation magnifique en moi. Elles ont dit: « putain, c’est bien une fiotte, il jouit du cul ». Je leur ai répondu, si une est prête, je veut bien lui montrer le contraire car justement, mon membre revenait à lui.
Justement, celle que j’avais emoustillé en voulait plus, elle a quité son bas de maillot et m’a présenté son arrière train sans autres formalités. Je me suis mis immédiatement à la pénétrer. Quelle douceur cet intérieur humide et chaud, ça glissait tout seul et mon pubis claquait contre ses fesses devant les 4 autres qui nous palpaient en cadence.
Je claquais et claquais et si je sentais une immense jouissance monter, elle métait du temps à venir et je m’épuisais un peu, je craignais de ne pas y arriver. Je changeais de rythme et au lieu d’aller vite, je la pénétrais par a coups qui claquaient fort. Mes muscles tétanisaient, les abdos, je sentais la crampe venir quand tout à coup, une décharge d’adrénaline immense, une jouissance phénoménale que je ne connaissais pas à cette époque. Elle a joui un peu avant moi, je pense que ça a été mon sauveur, sinon la honte. Je transpirait de partout, j’étais imprenable, mais j’ai laissé ma bite en elle jusqu’à la fin. Elle m’a dit merci et je lui ai renvoyé le compliment. Les autres se sont amusées à me passer une serviette partout et elles m’ont même remis de la crème solaire partout, ce qui revigorait l’objet de tous les désirs. Elles m’ont un peu masturbé à la crème solaire et ça me faisait encore du bien. Mais l’heure passait et je leur ai dit: « les filles, je retorne à la plage; venez vous avec moi? » elles sont venues et j’ai fini l’aprés midi bien entouré.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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