J’avais pris rendez-vous dans ce salon parce que j’étais décidée à m’épiler complètement. Je me rasais avec le rasoir de mon mari mais tout ce que ça lui faisait c’était qu’il se moquait de moi. Au téléphone, ils m’avaient rassuré et je suis sorti du boulot en prévenant mon patron que je rentrerai deux heures plus tard. Il était assez cool avec moi et je voyais non sans amusement qu’il était amoureux de ma jeune collègue.
– Simone a fait la patronne du salon quand je suis arrivé ! Vous allez vous occuper de madame !
La Simone m’a semblée avoir dans les quarante ? Des mains soignées avec des doigts très longs et surtout des seins énormes qu’ils ne semblaient pas naturels. Je l’ai suivie dans la cabine.
– C’est pour épilation, m’a dit la Simone en regardant sa fiche ? Vous savez, si c’est bien planté et bien fourni, ça vaut le coups de les laisser, a-t-elle ajouté !
– Non, lui ai-je répondu ! C’est envahissant et ça cache tout !
– Oh, il y a des hommes qui aiment bien l’attrait de la découverte, m’a t-elle répondu !
Elle m’a demandé si ça me gène de me déshabiller complètement et de m’allonger sur la table et je lui ai obéi. Après ça, elle s’est penchée sur mon ventre et elle a passé ses doigts dans ma toison puis elle m’a dit que je dois aimer me masturber.
– Oui !
– J’aime ça aussi et j’ai bien me prendre une bite, m’a répondu Simone ! J’aime bien aussi la langue d’une femme ! Je peux ?
Elle a enfoncé l’index et le majeur dans mon vagin et elle m’a branlé le clitoris avec le pouce. Pour dire quelque chose, je lui ai demandé si c’est compris dans la note.
– Ah, chérie ! Tu veux que je me déshabille ?
Comme je tardais à lui répondre, elle a verrouillé la porte de la cabine avant de se déshabiller.
– Tu ne m’a pas l’air si farouche, a-t-elle continué et je suis sûre que tu aimeras ça !
Elle a refourré ses doigts dans mon vagin et elle a recommencé à me masturber avec son pouce puis elle a passé les doigts de son autre main sur mes cheveux.
– Ah, chérie !
Simone m’a embrassée sur la bouche. Elle y a même enfoncé sa langue tout en continuant à me masturber. Ses lèvres restaient à quelques millimètres des miennes.
– Maintenant, tu jouis, m’a-t-elle murmuré.
J’ai jouis tout de suite. Un orgasme si violent que mes fesses se sont décollées de la table puis je suis retombé.
– Oh, chérie, m’a fait Simone ! Maintenant, il faut que je répare les dégats !
Elle s’est mise entre mes jambes et elle m’a léché la chatte. Sa langue m’a pénétrée le vagin et elle s’est aussi entortillée autour de mon clitoris, m’a titillé mon petit trou puis elle s’est attardée sur mon anus.
Je pensais à ce qu’avait été ma vie jusque-là. J’étais mariée depuis un an et mon mari n’arrivait pas à se décider à me faire un enfant. Je pensais aussi à la fille que j’avais embrassée sur la bouche. Elle était là, seule avec moi et ça m’avait pris comme une envie. Je m’étais précipitée sur elle. Elle s’était un peu opposée avant de se laisser faire et je lui avais aussi tripoté les seins.
Je ne saurai sans doute jamais pourquoi mais j’ai toujours été attiré par les seins. Des tout petits aux tout gros. C’était une vraie folie quand j’étais sur une plage. J’avais bataillé dur quand ma mère avait décidé que je devais mettre le haut de mes maillots de bains et je m’étais souvent rebellée en citant les autres filles en exemple et sans doute à cause de ça, j’avais commencé à me masturber.
Il y avait aussi les hommes qui se changeaient sans se cacher derrière une serviette ou qui la laissaient tomber intentionnellemment pour se montrer et j’en avais vu plus d’une bien raidie mais ça me faisait moins d’effet que la toison d’une fille ou d’une femme.
– Oh, mon dieu, me suis écriée, on va faire ça pendant longtemps ?
Je venais d’avoir un autre orgasme. Simone m’a dit que suis encore là pour une heure puis elle a ajouté que dans une demi-heure son patron va partir de la boutique et elle m’a proposé de rester. J’ai protesté que je travaille mais elle m’a tendu mon portable et j’ai appelé pour demandé si je peux prendre le reste de mon après-midi.
– Elle n’avait pas prévu que ce serait aussi long, a dit la voix de mon assistante ! Elle voudrait bien prendre son après-midi entier !
J’ai entendu la voix de mon patron dire qu’il est d’accord et j’ai pensé qu’il allait en profiter pour se jeter sur elle.
– C’est bon, ai-je dit à Simone ! Autant que tu veux !
Elle m’a demandé si je me suis déjà servi de mon anus. Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire mais elle a sorti un plug anal d’un sac. Il était énorme. Elle a mis de la pommade dessus puis elle l’a présenté à mon anus et avant de commencer à l’enfoncer, elle m’a dit que ça va me faire mal au début et elle a ajouté qu’après j’apprécierai et c’est ce qui s’est passé.
A croire que Simone s’amusait à faire durer le plaisir. Elle y mettait du temps et elle n’écoutait pas me cris. J’ai eu l’impression que mes fesses allaient d’écarter définitivement mais au bout d’un moment, le plug bien au fond de mon anus, j’ai juste ressenti le plaisir de l’avoir dedans.
J’étais très timide à cette époque et seule l’excitation m’a fait parler. Je n’arrêtais pas de guetter les seins de Simone et je lui ai demandé si je peux les toucher.
– Mais oui !
J’ai posé la main sur son sein gauche mais elle m’en a mis le mamelon dans la bouche et je l’ai tété. J’oubliais tout. Que c’était bon. J’ai eu un nouvel orgasme puis ils se sont succédés. Quand je suis ressortie du salon, je n’avais plus de jambes et mes deux trous étaient en feu. Je suis rentré chez moi et ce soir-là, mon mari m’a dit qu’il a envie de moi et je l’ai pris dans mon trou puis je lui ai demandé de m’enculer et c’est ce qu’il a fait.
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