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Ma logeuse perverse.

Ma logeuse perverse.



Etudiant, j’avais trouvé cette petite piaule juste en face de la fac. Pour moi, ce n’était pas vraiment le pied, car il s’agissait juste d’une chambre aménagée dans un sous-sol avec un lavabo. Les WC et la douche étaient à l’écart, à l’autre bout du sous-sol. Je devais passer chez mes logeurs pour rentrer dans ma piaule. Inutile de préciser que je ne me sentais pas vraiment à l’aise, pas vraiment chez moi ! Cette chambre n’avait qu’un avantage, celui d’être bon marché.
Mes logeurs étaient un couple d’affreux ringards. La quarantaine fatiguée. Lui, moustachu, buveur, il passait ses week-ends à lustrer sa voiture. Elle, femme au foyer, femme à lunettes, à l’aspect terne et sévère, elle passait tout son temps à faire la poussière. Chez eux, tout était nickel.
Je me sentais un peu seul, surtout le soir, et je me branlais très, très souvent. J’étais amateur de revues érotiques, une partie de mon petit budget passait dans l’achat de presse masculine. Le soir venu, je m’astiquais la bite pendant des heures en feuilletant ces revues, retardant au maximum ma jouissance
Un jour, je suis rentré beaucoup plus tôt que d’habitude, parce que les cours avaient été annulés.Je suis rentré dans la maison en silence, j’avais bien sûr ma propre clef. J’allais descendre au sous-sol lorsque j’entendis des cris qui venaient de l’étage. Des cris et des voix d’hommes, ils devaient être plusieurs et ils riaient beaucoup. Très intrigué, je compris vite que les cris en question étaient des cris de jouissance et que ma logeuse s’envoyait en l’air. Mais avec qui ? Son mari travaillait à cette heure et il ne rentrait d’ordinaire qu’en fin d’après-midi.
J’étais figé en bas de l’escalier. Hors de question bien sûr de gravir les marches, car elles auraient craqué. Mais la curiosité était très forte. Je n’aurais jamais imaginé ma logeuse en train de s’envoyer en l’air dans le dos de son mari, surtout avec plusieurs hommes. Ils étaient deux, c’est certain. Avec le temps, je finis par reconnaître distinctement leurs voix, sans trop comprendre pour autant ce qu’ils étaient en train de dire. Au mieux, je devinais des « Elle est bonne cette salope » ou des « Elle aime la bite » et ma logeuse qui gloussait. Des ahanements très graves de mec en train de pilonner. « Vas-y Jeannot, troue-lui le cul »
Par la suite, il y eut des mouvements à l’étage et je compris qu’il était bientôt temps pour moi de me planquer. Je redescendis au sous-sol, bien décidé à voir de quoi avaient l’air ces deux baiseurs. Finalement, j’ai vu les deux types s’en aller, tous les deux en bleu de travail, un grand blond mince et un maghrébin un peu plus vieux, mais d’allure plus solide. Tous deux plus jeunes que ma logeuse.
J’allais regagner mes pénates, lorsque j’entendis la porte de l’escalier. Pas le temps de me planquer, juste le temps de faire croire que je revenais des chiottes.
– Ah, vous étiez là ?
Je crois que j’ai rougi jusqu’aux oreilles. J’ai répondu en balbutiant : prétextant un mal au ventre, j’ai expliqué que je n’étais pas allé en cours ce matin-là et que j’étais resté au lit toute la matinée… Elle m’a laissé raconter mes bobards et bien m’enfoncer :
– Pourtant, je vous ai vu partir ce matin. J’étais dans la cuisine quand vous avez pris le bus.
La honte ! Pris en flagrant délit de mensonge.
– Euh, je suis revenu juste après, j’avais trop mal.
L’explication ne tenait pas debout et elle n’était pas dupe. Elle était devant moi, impassible, l’œil sévère, et me barrait l’accès à ma piaule, apparemment bien décidée à obtenir des explications.
– Arrêtez un peu de mentir, je suis certaine que vous m’avez espionnée.
Je secouais la tête sans conviction.
– En plus, je vous ai entendu refermer la porte tout à l’heure, vous n’êtes pas très discret.
J’étais sans voix. Surtout lorsqu’elle enchaîna :
– Ecoutez, je vais vous dire la vérité : J’étais avec deux amants. Lorsque je peux m’envoyer en l’air avec deux jeunes hommes virils, je n’hésite pas une seule seconde. Vous savez, je suis comme toutes les femmes, j’aime baiser. Ça vous choque ? Ça vous étonne ?
Oui ça m’étonnait, ça m’étonnait vraiment qu’une femme qui aurait pu être ma mère, d’apparence froide et coincée, s’envoie en l’air comme une pute.
Je rêvais depuis toujours de femmes chaudes et vicieuses, de véritables salopes. Comme je ne répondais toujours pas :
– Et puis vous savez, j’aime les étudiants, j’aime la jeunesse, j’adore les jeunes hommes très vicieux. Et si vous avez envie, vous aussi, de me baiser, vous savez, je n’ai rien contre, bien au contraire. Je peux être gentille, très gentille…
Je la regardais, comme un ahuri. J’avais quand même du mal à imaginer une partie de jambes en l’air avec elle. Avec ses grosses lunettes à double foyer ! Plate comme une limande qu’elle était, et fagotée comme une vieille femme, pas du tout mon style.
– Ne vous fiez pas aux apparences, je peux vraiment être très très gentille, enchérit-elle au bout d’un moment, et je suis, paraît-il, un bon coup… En plus, vous me plaisez. Alors si vous vous décidez, faites-moi signe.
Sur ce, elle tourna les talons et me laissa seul dans le sous-sol. Je regagnai ma piaule, assez perturbé par cette conversation. Ce n’était pas mon type de femme, mais c’est rare aussi de rencontrer une femme prête à baiser sur demande, ça mérite quand même réflexion. J’étais jeune et viril, j’avais besoin de baiser.
Les femmes mariées à lunettes étaient-elles toutes des salopes ? Et ma logeuse, comment s’appelait-elle
En soirée, je suis sorti…Ma logeuse était avec son mari en train de manger dans la cuisine. Je les ai salués d’un signe de tête. Le mari était en « marcel », avait-il l’intention de baiser bobonne ce soir-là ? En passant devant la boîte aux lettres, j’ai vérifié les noms : « Jules et Marie-Berthe Fournier ».
Le lendemain matin, sur les coups de 6h, j’entendis la voiture sortir du garage, comme à son habitude. Je jetai un coup d’œil pour voir Jules refermer le portail. Je savais que Marie-Berthe était désormais seule pour la journée. Seul avec Marie-Berthe, depuis la veille au soir j’attendais ce moment ! Il n’y avait personne au rez-de-chaussée, je décidai donc de la rejoindre à l’étage, essayant de ne pas trop faire craquer l’escalier.
Elle était dans la chambre conjugale, allongée sur le lit, complètement nue. Je crois qu’elle m’avait entendu grimper l’escalier et qu’elle m’attendait. En tout cas, elle me regardait avec ses grosses lunettes et avait une main collée sur la chatte, une chatte assez poilue et très brune et des seins à peine prononcés, presque des seins de mec, avec des bouts très foncés. Tandis que je restais à la contempler sur le pas de la porte :
– Approche-toi, viens regarder entre mes cuisses, je suis pleine de sperme
J’approchai timidement. Elle écarta ses lèvres largement avec ses deux mains et je pus voir la colle blanchâtre qui s’écoulait sans complexe de son trou.
– Comme à son habitude, trois coups de bite, et Jules m’a remplie de sperme. C’est un éjaculateur précoce, il ne m’a pratiquement jamais fait jouir en me pénétrant. Et comme ce n’est pas non plus un as des préliminaires, je te laisse deviner…
Une nouveauté, elle me tutoyait. Le jus, abondant, sortait lentement de son trou. Maintenant que j’étais plus près, je voyais qu’elle en avait aussi plein les poils.
– Lèche-moi, j’ai envie que tu me lèches.
Je n’en croyais pas mes oreilles. Vouloir me faire bouffer le sperme de son mari ! Mais, sans se démonter, elle en récupéra un peu avec ses doigts et le porta à sa bouche :
– Humm, c’est vraiment très bon. Tiens, goûte-le, dit-elle en me tendant ses doigts.
Je n’avais encore jamais goûté de sperme, sauf le mien. Je décidai de faire un effort et de lécher ses doigts. Je lui tétais les doigts !
– Maintenant, viens entre mes cuisses, viens lécher tout ce jus.
Et comme j’hésitais encore :
– Ohh, s’il te plaît, nettoie-moi la chatte, lèche le foutre de mon homme. Imagine sa grosse bite noueuse qui crache en moi par saccades. Je suis sûre que tu vas aimer. Et ensuite je te promets d’exaucer tous tes vœux.
Je me mis entre ses cuisses. Rien que de savoir qu’il s’agissait du sperme du mec que j’allais cocufier, cela m’excitait. De son côté, ça avait l’air aussi de bougrement l’exciter. À chaque coup de langue, elle gémissait. Elle écarta ses lèvres au maximum en ouvrant plus large les cuisses…
– Elle te plaît, ma chatte ? Tu aimes les chattes bien rouges ? Dire que tu viens d’avaler tout le jus de la bite de Jules, je trouve ça hyper excitant. Mais maintenant à mon tour de te lécher.
Elle se redressa, me fit mettre debout devant le lit. Puis, sans hésiter une seule seconde, elle s’agenouilla devant moi et entreprit de dégrafer ma braguette, extirpant ma queue déjà dure pour se mettre à la lécher. Elle faisait ça très bien, semblant tout connaître sur l’art et la manière de sucer une bite. Cela dura très longtemps. Elle m’emmenait peu à peu vers le point de non-retour, puis s’arrêtait et faisait diversion en aspirant mes couilles, en embrassant mes fesses. Elle passa même sa langue dans mon cul. Puis elle revenait invariablement à mon sexe pour à nouveau l’engloutir. J’étais tendu comme un arc, je n’allais plus tenir. J’allais décharger. Au dernier moment, elle s’aspergea copieusement avec ma bite, tout en en recevant un bon paquet sur les lorgnons. Elle avala le reste et me téta jusqu’à la dernière goutte. Puis, après m’avoir bien vidé, elle retira ses lunettes et entreprit de les lécher.
– Ahhh qu’est-ce que tu sens bon et qu’est-ce que j’aime ton foutre. Ça m’a excitée de boire autant de jus.
Intrigué par ses minuscules mamelons, je me décidai à les titiller :
– Aïe, doucement, ils sont hypersensibles.
Le passage de ma langue sur les tétons suffisait maintenant à la mettre en transe. J’ai continué mes caresses et je crois qu’elle a éprouvé une certaine forme de jouissance alors que je la tétais. Elle a été prise de convulsions et est restée tétanisée alors que je continuais à « tirer » sur ses tétons. À la fin, elle a dit :
– Stop, stop, arrête, je t’en supplie, je n’en peux plus (encore secouée de spasmes). Je jouis…
Pour nous remettre de nos émotions, nous descendîmes entièrement nus grignoter quelque chose. Une tasse de café, puis elle m’entraîna dans le sous-sol jusqu’à ma chambre
.
En attendant, nous avons fait l’amour, très longtemps et dans toutes les positions. Elle était incroyablement résistante et exceptionnellement douée. Et en plus très légère, je pouvais la porter et la manœuvrer à ma guise. Après avoir bien joui, elle a voulu que je l’encule. Je n’en pouvais plus, j’étais exténué. Afin de récupérer et pour le faire patienter, j’ai entrepris de lui lécher son petit trou et d’enfoncer ma langue dedans, ma langue et mes doigts. La rosette était élastique et avait l’habitude de ce genre d’hommage.
– Attends, j’ai une idée, dit-elle soudain. Suis-moi, jeune homme !
Elle m’entraîna à l’étage jusqu’à la salle de bain, une énorme glace trônait près de la baignoire :
– C’est ici que je veux que tu m’encules, je veux voir ta bite rentrer et sortir de mon cul.
Alors qu’elle disait cela, je remarquai que ses bouts de seins étaient dressés et tout durs, deux petites pointes marron qui bandaient d’envie. Elle s’enduisit le cul de crème et prit la position pour que je glisse en elle. Ça rentra tout seul comme dans du beurre. Hum mm, effectivement, c’était bandant de voir mon sexe aller et venir dans son cul. Tout en la pistonnant, j’attrapai ses tétins pour les faire rouler entre mes doigts. Ils étaient aussi durs qu’une bite. Elle se baisait elle-même, son cul allant au devant de ma bite !
-Vas-y petit cochon, pine moi bien.
– Prend ça, vieille pute ! La vache ! T’es bonne tu sais…T’aimes ma bite, hein ?
– Oui j’aime la queue, surtout une jeune comme la tienne. Un bon braquemart, grosse matraque bien raide !
– Ah c’est pas Jules !
-Oh lui, il balance la purée à peine entré dans moi ! Vas-y-toi, enfile-moi ! Mets la moi au cul ! Ressors la entièrement et là maintenant, enfonce ! Voilà comme ça !
– Han, han. Je la défonçais à grands coups de rein.
-Encule, encule, troue moi le cul !
– Putain t’es serrée du cul ma cochonne !
– Qu’est ce que tu crois ! Baise moi, baise moi, ça vient ! Bourre, bourre ! Oh saligaud…… Je jouiiiiis !
Elle cria, elle griffa, elle se démenait comme une bête en s’empalant sur ma queue qui ne tarda plus à exploser en elle et à remplir le petit sac prévu à cet effet.
Marie-Berthe n’était jamais satisfaite. En fin d’après-midi nous refîmes l’amour juste avant que Jules ne rentre. Par la suite, plusieurs fois, j’eus droit à la visite de ma logeuse qui venait me rejoindre dans ma piaule pour un bon coup de bite…

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