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Jour blanc

Jour blanc



C’est le week-end. Enfin. Le temps s’annonce radieux et de la neige fraiche est arrivée. Tout ce qu’il faut pour un belle journée aux sports d’hiver. Nos affaires sont prêtes, en voiture. Une fois sur place, c’est un temps de carte postale qui nous accueil. Nous ne perdons pas de temps et nous nous équipons rapidement. Après quelques dizaines de minutes de file d’attente, qui n’entame pas notre morale, nous voici dans la benne qui nous emmène au départ des pistes.

La cabine est pleine à craquer. Lili est debout devant moi et me tourne le dos. Tout content de la journée qui s’annonce, je me penche vers elle et dépose un baiser dans son cou. Nous sommes tellement collé de part la foule, que je n’ai que peu d’effort à faire. Elle penche tout de même légèrement la tête pour me facilité l’accès et lâche un petit soupir de contentement. Je me redresse et tout à coup, je sens Lili qui bouge ses fesses légèrement. Au début j’ai pensé qu’elle changeait simplement de position, mais en étant attentif, ce n’était pas ça du tout.

Ma petite coquine pressait fermement son cul à hauteur de mon sexe et se frottait tout doucement. Comprenant son manège, je cale mes skis contre mon épaule pour libérer mon bras et glisse discrètement ma main sous sa veste. Je caresse son ventre de ma paume en appuyant légèrement pour lui signifié que j’ai bien compris son petit jeux. Au milieux de tout ce monde, l’excitation vient vite et une légère érection commence à poindre. Lili à dû la sentir car elle appuie un peu plus fort encore. Nous avons continuer notre petit manège jusqu’à l’arrivée.

Toute la matinée, nous dévalons les pistes, chaque remontée en télésiège est un prétexte pour s’embrasser et sur tous les tires-fesses, Lili me passe devant pour m’aguicher en dandinant des fesses et en me jetant des regards coquins par dessus son épaule. Je ne sais pas si c’est la journée ou notre petit jeu dans la benne, mais je la sens bien chaude ma coquine. En plus avec ses tresses, elle me fait complètement craquer et elle le sait bien.

Peu après midi, de gros nuages commence à arriver au-dessus de nos têtes et en un rien de temps, la magnifique journée se transforme en jour blanc. Nous décidons de persévérer. Après tout, le temps change vite en montagne. Dans un sens comme dans l’autre. Malheureusement pour nous, le mauvais temps ne semble pas vouloir s’en aller. Après plus d’une heure Lili me confie qu’elle commence à avoir froid.

J’avoue que moi aussi. Nous nous dirigeons vers le restaurant situé à l’arrivée de la benne. Nous posons nos skis dans un coin et poussons la porte de l’établissement. La salle est bondée. Apparemment, tout le monde à eu la même idée que nous. Il nous faut un moment pour obtenir deux chocolat chauds. Le plateau en main, je scrute la salle, mais ne voit aucune place de libre. Je jette un coup d’oeil à Lili qui me confirme d’un haussement d’épaule qu’elle n’a rien vu non plus. Soudain, je me rappelle avoir vu à l’extérieur d’anciennes télécabines disposées autour de la terrasse. Avec un peu de chance, il y en a une de libre.

Gagné ! Vite nous nous installons, face à face, dans la petite cabine et fermons la porte derrière nous. Tout en buvant notre chocolat chaud, nous discutons de tout et de rien, nous rigolons et nous chamaillons gaiment. Dans cet espace exigu, l’atmosphère à tôt fait de se réchauffer. Nous nous débarrassons de nos vestes. J’adore les pulls de ski modernes. Fins et moulant, ils dessine à merveilles les courbes féminines. Celui que porte Lili, ne déroge pas à la règle et mes yeux se régalent.

A force de discuter, une bonne couche de buée s’est formée sur les quelques vitres qui entourent la petite cabine. Je le remarque et cette relative intimité me donne quelques idées. Je me penche légèrement en avant, faisant mine de m’appuyer sur mes genoux. Lili fait de même en posant ses mains sur mes cuisses, qu’elle caresse machinalement. Nos visages sont maintenant très proches l’un de l’autre. Je remarque alors une petit moustache de lait au coin de sa bouche. Délicatement, je pose ma main sur sa joue et fait disparaitre la petite tache d’un geste du pouce. Lili se laisse faire, mais dès que j’ai terminé, elle tourne la tête rapidement et att**** mon pouce entre ses dents. Une lueur sauvage brille dans ses yeux.

Sans me quitter des yeux, elle enveloppe mon doigts de ses lèvres et commence le sucer doucement. Je reste figé quelques secondes, hypnotisé par son regard plein de promesses coquines. J’enveloppe son visage avec mes deux main et l’attire doucement vers moi. Nos lèvres se touchent et nous commençons à nous embrasser. D’abord délicatement, presque timidement. Puis le baiser devient plus fougueux. Nos langues se cherchent et s’entrainent mutuellement dans un balais délicieux. Mes mains glissent le long de ses joues, puis de ses bras avant de m’emparer de ses seins. Je les caresses doucement à travers le fin textile. Ses tétons commencent à durcir. Je les caresses avec mes pouces. Lili commence à respirer un peu plus fort alors que maintenant ses tétons son clairement érigés.

Je délaisse ses siens et entreprend d’ouvrir la fermeture éclaire de son pantalon de ski. Sans que nos bouches ne se séparent, Lili bougea son bassin pour me faciliter la tache. Signe de son excitation. Une fois ouvert, je glisse ma main à l’intérieur et commence à la caresser. Je sens à travers sa petite culotte que son minou est déjà brûlant. Je décide d’ajouter un peu de piment. Je romps le baiser et lui présente mon majeur. Elle comprend immédiatement où je veux en venir et le gobe avant de le sucer avec application. Une fois bien baveux, elle le lèche une dernière fois en me regardant droit dans les yeux. Dès qu’elle lâche mon doigts, je tire un peu sur l’élastique de sa culotte pour me faire un peu de place et je glisse rapidement mon doigts bien lubrifié de sa salive à l’intérieur.

Lili est déjà bien mouillée. Au contact de mon doigts, elle lâche un long soupir de contentement. Je commence tout de suite à faire glisser mon doigts sur ses lèvres. Elles s’épanouissent lentement sous mes caresses. Par moment, j’introduit mon doigts, ce qui lui arrache de petits cris aigüe. Ma petite coquine se trémousse de plus en plus sur la petite banquette. Elle s’accroche à ma nuque pour ne pas basculer et en profite pour m’attirer à elle pour m’embrasser. Je suis moi-même très excité et j’en veux plus. Je fini par lui murmurer « Tourne-toi ». Aussitôt elle me lance un regard plein de malice et s’exécute lentement.

Sa réaction m’intrigue. Cette petite coquine manigance quelque chose. Sûrement quelque chose d’excitant. Pendant que diverses pensées cochonnes traversent mon esprit, Lili s’est retournée. En appuis sur la banquette, elle me présente ses fesses qu’elle agite sous mon nez. J’agrippe le haut de son pantalon et le fais glisser. Dévoilant un shorty noir, très sobre, mais qui met parfaitement en valeur son magnifique cul. Je les caressent brièvement tout en les admirant. Je fini par faire glisser doucement le sous-vêtement et là, oh surprise, Lili cachait bel et bien quelque chose. Son plug. Je l’entends qui rigole. Tout s’explique maintenant.

Sans plus attendre, je plaque ma bouche contre son minou et commence à l’explorer dans se moindre recoin avec ma langue. Sans oublier de faire bouger le plug afin d’amplifier l’action de ma bouche. Le résultat ne se fait pas attendre. Très vite Lili soupir, puis râle de plaisir. Son minou ruisselle de plaisir. Je n’en peux plus. J’ai envie de la prendre ici et maintenant. Sans décoller mes lèvres, j’ouvre frénétiquement mon pantalon et ski et le fais glisser sur mes chevilles. Idem pour mon caleçon. Ma queue est déjà bien raide. Je dépose un peu de salive sur mes doigts, que j’étale sur mon gland. J’att**** Lili par les hanches et l’attire vers moi. Elle comprends immédiatement et passe sa ma entre ses cuisses pour se saisir de ma bite. Elle frotte mon gland brièvement contre ses lèvres avant de le positionner à l’entrée de son vagin. Elle se redresse et se laisse descendre sur mon membre.

Elle est tellement mouillée que je la pénètre d’un coup jusqu’à la garde. Une fois au fond d’elle, je passe mes mains sous son pull pour m’emparer de ses seins et commence à jouer avec ses tétons qui pointent fièrement tout en l’embrassant dans le cou. Lili commence à monter et descendre lentement sur ma queue. Malgré le peu de place, je l’accompagne du mieux que je peux. Lili halète de plus en plus fort, elle accélère le mouvement et se laisse tomber de plus en plus fort sur mes cuisse dans un bruit sourd.

Je suis tellement excité que je veux la prendre plus sauvagement. Je me penche en avant, elle prend appui avec ses mains sur la banquette en face et suis mon mouvement alors que je me relève. Nous voici dans une levrette approximative, qui me permet de la prendre fermement par les hanches et je commence à la pilonner à grand coup de reins. Lili est tellement trempée que ma queue glisse en elle sans la moindre résistance. Je la vois aller et venir en elle, luisante de son jus.

Je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Je relâche mon emprise sur ses hanches et d’un pouce, je fais bouger son plug, toujours bien inséré dans son petit trou. Lili a passé un main entre ses cuisses et caresse furieusement son clito. Je sens, par moment, ses doigts sur ma queue et mes couilles, qu’elle caressent au passage. Je respire de plus en plus fort. Je sens la jouissance naitre dans mon ventre. Lili lâche des cris de plaisir à chacun de mes coups de buttoir. Sa main s’agite frénétiquement. Ses cris se rapproche, jusqu’à devenir continu et à grimper en intensité. Elle joui. Je me laisse aller à mon tour et dans un profond râle, je crispe tous mes muscles et je sens ma semence jaillir par saccade au fond de ma belle.

Nous restons quelques instants dans cette position avant que je ne me rassied, entrainant Lili, toujours empalée sur ma queue, avec moi. Elle passe une main derrière ma nuque pour m’embrasser passionnément. J’en profite pour peloter encore une fois ses magnifiques seins. Nous finissons par nous rhabiller, tout en échangeant des regards complices et quelques bisous volés. Nous rassemblons nos affaires, ramassons les tasses et nous sortons de la cabine. Là, la neige à cessé de tomber et la place devant le restaurant et pleine de monde.

Je remarques rapidement des regards envieux (surtout des messieurs) et courroucer, voir outrer d’autres personnes (surtout des dames). Apparement, notre manque de discrétion était à la hauteur de la faible isolation phonique de la cabine. Je sens la gêne m’envahir, mais Lili s’accroche à moi, bras-dessous, bras-dessous, m’embrasse sur la joue et avec un grand sourire, m’entraine dans la buvette pour rapporter nos affaires. La gêne fait place à la fierté, j’ai une femme magnifique à mon bras et je lui ai fait du bien. Je croise quelques regard jaloux à qui je retourne un air de « hé ouais 🙂 ».

Nous décidons de stopper le ski pour aujourd’hui. Retour à la voiture. Une fois tout le matériel chargé, je met le contact et c’est à ce moment que Lili se penche vers moi pour me dire : « Dépêchons-nous de rentrer… J’ai encore envie. »

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