Précédemment : Céline surprend sa mère avec Caramel. Jalouse, elle met au point un stratagème pour se venger. De fil en aiguille, elle fait de sa mère son esclave sexuelle. C’est alors que Julie fait son apparition…
Julie franchissait le seuil de la porte, rayonnante, comme à son habitude. Elle s’approcha de moi, posa son bras autour de mon cou, et m’embrassa tendrement sur la bouche. Je sentais sa langue écarter mes lèvres, fouiller l’intérieur de ma bouche. Et bientôt, sa langue se collait à la mienne, exécutant un étrange ballet très sensuel, chaud et humide. A mon tour, je la saisissais par la taille, lui rendant son baiser au centuple. Elle frémit quand mes mains se posèrent sur ses fesses rebondies, faisant lentement remonter le petit bout de tissu qui lui servait de vêtement. A mon plus grand bonheur, elle ne portait pas de culotte.
– Tu es dans tout tes états, dis-moi, déclara ma comparse, occupée à me lécher le creux de l’oreille. On va bien s’amuser, tu peux me croire.
– Je te fais confiance.
Julie s’apprêtait à défaire le cordon de mon peignoir lorsque le chien tira sur sa laisse. Il était tourné vers la cuisine, le museau dressé en l’air. Soudain, il agita sa queue et aboya très fort.
– Oh oh ! Rex a flairé une piste, on dirait. Allons-y.
Je prenais la direction de la cuisine, tenant la main de mon amie pour la guider à travers la maison, lui adressant des clins d’œil coquins à l’occasion. Pendant ce temps, le chien tirait toujours sur la corde, redoublant d’effort, déterminé à trouver la source de son trouble. D’ailleurs, il n’avait pas besoin de moi pour savoir où aller.
Quelques secondes plus tard, nous étions dans la cuisine. Je cherchais ma mère du regard, voyant que la table était vide. Je finissais par la localiser, dissimulée dans un coin de la pièce, essayant tant bien que mal de cacher ses parties intimes. De son côté, Julie calmait le chien, lui susurrant des mots doux à l’oreille.
– Viens-là, maman. Je ne te présente pas Julie… tu l’as pratiquement élevé comme ta fille. Et bien, tu ne veux pas nous rejoindre ?
Elle semblait incapable de bouger, le regard terrifié.
– Tu as intérêt à te dépêcher si tu ne veux pas que je mette ma menace à exécution, répondis-je d‘une voix forte.
Maman sortait enfin de sa torpeur, accourant dans ma direction.
– Oui C… maîtresse. Je ne voulais pas vous désobéir. Que voulez-vous de moi ?
Je me tournais vers ma complice, plutôt contente de moi. J’étais curieuse de voir sa réaction.
– Oh ! C’est magnifique, Céline, me dit-elle d’un air admiratif. Tu disais donc vrai… tu as fait de ta mère ton esclave sexuelle. Oh ! Oh ! Dès mon retour, je fais pareil avec la mienne. Je compte sur ton aide… Et dis-moi, elle t’obéit au doigt et à l’œil ?
– Bien sûr ! Attends-voir… A partir de ce jour, tu devras également consentir à toutes les exigences de Julie, c’est bien compris, très chère mère ?
– Oui… J’exécuterais ses ordres comme s’il s’agissait des vôtres, maîtresse.
– C’est parfait. Tu es une bonne esclave. Et en échange, tu auras une récompense.
Je m’approchais du chien pour lui caresser le ventre de façon affectueuse, appuyant mon visage contre son museau et percevant la chaleur de son souffle. Je pouvais sentir la tigette quitter son fourreau, à la fois fine et dure… et je prenais beaucoup de plaisir à imaginer la suite. Je voyais déjà ma mère se faire saillir comme une chienne, criant sa jouissance à n’en plus finir. Et voilà… je mouillais à nouveau. Un filet de cyprine coulait le long de mes cuisses, allant se répandre sur le carrelage.
– Et voici Rex… c’est lui ta récompense. Il va bien s’occuper de toi, tu vas voir.
Je la voyais reculer lentement, hésitante.
– Rex va te saillir, c’est un ordre.
Elle cessa de bouger et réalisa un hochement de la tête, au bord des larmes. Je la voyais se mettre à quatre pattes, attendant la venue de son partenaire à fourrure.
– Et voilà pour mon toutou qui a été très sage, soufflait Julie à l’oreille de l’a****l, le libérant de sa laisse. Amuse-toi bien.
Rex ne se fit pas prier. Il se précipita vers ma mère à une vitesse ahurissante, plongeant la tête sous le ventre nu pour la lécher de toute part. Ah, quelle vision de rêve ! J’assistais à la transformation de ma mère. Et j’en éprouvais un plaisir vraiment intense.
– J’ai envie de toi. Tout de suite.
Julie semblait du même avis. Elle pressa son corps contre le mien, venant plaquer une jambe derrière ma cuisse. Nos bouches se mêlaient en produisant des bruits mouillés, nos doigts exploraient chaque parcelle de notre anatomie, et notre désir n‘en devenait que plus ardent. Au bout du compte, je lui ôtais son tee-shirt, les yeux rivés sur sa poitrine aux formes généreuses, approchant ma bouche de ses tétons pour les lécher de façon langoureuse. Je la voyais rejeter la tête en arrière, produisant un long râle satisfait.
Par la suite, je la débarrassais du bout de tissu qui dissimulait son intimité, la guidant vers le sol pour qu’elle puisse s’allonger et profiter de mes caresses. Je plongeais le visage entre ses jambes, léchant la partie supérieure puis le contour de son sexe.
– Aaaah !… Vas-y, ma chérie. Mange-moi la chatte.
Je ne me faisais pas priée, encouragée par les gémissements de mon amie. J’enfonçais ma langue dans son minou gonflé de plaisir, bien décidée à en explorer chaque recoin. Soudain, elle me saisissait par la tête, incapable de faire le moindre mouvement, ravie de goûter sa mouille qui coulait en abondance. Entre-temps, je glissais deux doigts dans sa fente, la faisant crier encore plus fort. Au quatrième doigt, elle se trémoussait dans tous les sens, abrutie par le plaisir. Et finalement, je voyais ma main coulisser dans son sexe, effectuant des mouvements de va-et-vient.
– Oh, tu vas me faire jouir ! C’est… c’est merveilleux !
Mon regard plongé dans le sien, brûlante de désir, je la branlais encore plus vite, désirant son bonheur. De son côté, elle cambrait le dos, les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte. Je me délectais de sa plainte, la main toujours enfoncée dans le creux de son ventre, à l’origine de sa jouissance qui la faisait soulever du carrelage de la cuisine. Au bout du compte, je quittais ses entrailles, me régalant de sa liqueur qui coulait toujours entre mes doigts.
– Tu m’as fait jouir comme jamais… déclara Julie entre deux souffles. Je vais m’occuper de ton cas dans un moment, que je reprenne des forces.
Elle attrapa un sac plastique qui traînait sous un tabouret et déballa le contenu sous mes yeux ahuris, présentant un gode ceinture dont les dimensions égalaient celles de mon compagnon à la longue crinière. Et rien que l’idée de m’enfiler ce monstre… je me léchais les lèvres, le cerveau en ébullition.
Julie serra le godemiché autour de la taille, armée d’un sexe doré qui devait avoisiner trente centimètres, au bas mot. Je pouffais de rire en la voyant équipée de la sorte, me disant que ça lui allait plutôt bien.
– Tu es resplendissante, mon amour !
– Je te ferais cadeau du même si tu es sage, répondit Julie d’une voix suave. Et maintenant, tourne-toi.
Je me mettais à quatre pattes, appuyée sur les avant-bras, le bassin très haut. Cette position me rendait vulnérable… et aussi folle d’excitation. Je pivotais la tête sur le côté mais ma partenaire était toujours invisible, dissimulée dans mon dos. Finalement, je sentais ses mains enserrer ma poitrine avec langueur puis descendre vers mes reins, et bientôt entre mes cuisses. Je tressautais lorsque ses doigts entrèrent en contact avec ma vulve gorgée de plaisir, ouvrant la bouche pour laisser échapper un gémissement très faible. Et surprise… quelque chose de chaud et humide qui s’immisçait dans mon petit trou ! Quelle sensation merveilleuse… Ma respiration se faisait plus difficile, entrecoupée par des soupirs assez bruyants, attestant mon degré d’excitation.
– Continue et tu vas me faire jouir avec ta langue…
Julie se retira tout de suite et cracha dans le sillon de mes fesses. Je sentais un doigt approcher mon anus et forcer le passage, puis disparaître dans mon fondement, aspiré à l’intérieur par une force mystérieuse, faisant accroître mon plaisir.
Quelque va-et-vient plus tard, elle présentait son engin à l’entrée de ma grotte et poussait très fort afin qu’il me pénètre de toute sa longueur. Je poussais un cri de surprise, craignant qu’elle ne me déchire en deux, les larmes au bord des yeux. De son côté, elle ne cessait de faire coulisser son sexe à l’intérieur de mon ventre, de façon brutale. Et la douleur diminua peu à peu… remplacer par une sensation de bien-être intense. Je la suppliais de continuer, écartant les fesses pour qu’elle s’enfonce encore plus profondément, des larmes de bonheur illuminant mon visage.
– Tu aimes te faire limer le cul, n’est-ce pas ? demanda Julie en multipliant les coups de reins. Je vais tellement te défoncer le cul qu’il va ressembler à un garage à bites.
– Oh, ouiiiii ! Prends-moi ! Prends-moi ! Je veux sentir ta bite dans mon cul !
Elle me saisissait par les hanches puis me branlait encore plus fort, bien décidée à me faire jouir. A vrai dire, je faisais tout mon possible pour retarder l’inévitable… mais cette salope me besognait avec une telle virtuosité ! Bon sang, je voudrais que ce moment soit gravé dans le temps. Que cela ne s’arrête jamais.
– Hmmmm… oui ! Oh, ouiiii !! Je jouis !…
Je ne contrôlais plus mon corps, me tordant de toute part alors que ma compagne me pénétrait une dernière fois, criant son plaisir. Je m’effondrais sur le sol, les paupières lourdes, la rosette dilatée.
Julie se présenta à mes côtés, serra ses lèvres contre les miennes et me donna un baiser qui sembla durer une éternité. Un vrai bonheur.
– Je t’aime pour la vie, déclara-t-elle au bout d’un moment, me fixant droit dans les yeux.
– Je sais. Moi aussi je t’aime.
Je lui adressais un autre baiser, faisant glisser ma langue dans sa bouche pour qu’elle puisse se confondre avec la sienne, et danser un étrange ballet au rythme endiablé.
– Et si on allait voir ma mère… à présent, elle doit bien s’éclater.
Julie hochait la tête, plutôt excitée.
Effectivement, elle semblait prendre son pied. Je pouvais voir la truffe du chien se perdre dans les cuisses de ma mère… et cette dernière manquer de basculer sur le côté lorsque la langue de Rex glissa sur sa chatte frémissante de plaisir. Elle laissait échapper des petits cris, les jambes écartées, tremblante de désir.
– Aaaaah ! Je suis ta chienne, disait-elle en remuant le bassin, les yeux flamboyants. Prends-moi comme telle.
Rex continuait de lui lécher la fente, entrait à l’intérieur de sa grotte puis sortait de manière constante, toujours plus loin. Il avait l’air d’apprécier car son museau était toujours coincé entre ses lèvres, troublé par les odeurs intimes de sa femelle.
– Ta mère est une vraie chienne, déclara Julie, ravie.
Et pour confirmer les propos de ma compagne, le chien lui grimpait sur le dos pour mieux la saillir. Je voyais le bout de son sexe pointu, rose et parcouru de veines taper dans le vide, à la recherche de son minou, de façon maladroite. Et ma mère qui essayait de le guider vers sa niche…
– Je sais qu’elle aime ça. Et depuis toujours. Elle l’ignorait, voilà tout.
Elle poussa un gémissement quand le membre canin glissa à l’intérieur de son ventre, surprise par la grosseur de l’engin. Jamais elle n’avait reçu quelque chose de si volumineux… et cette mère de famille avait probablement du mal à faire face à la férocité a****l de son partenaire. De mon côté, je souriais intérieurement, consciente que son bâton gonflerait davantage, décuplant son plaisir.
– Hmmmmm, oui ! oui ! criait-elle, complètement déchainée. Baise-moi !
Rex semblait la comprendre car il augmenta immédiatement la cadence, la pénétrant de manière très brutale. C’était à peine croyable. Je parvenais tout juste à distinguer une ombre entrer et sortir du con de maman. Et cette dernière enchainait les orgasmes, faisant retentir son bonheur aux quatre coins de la maison.
J’en profitais pour me glisser sous son ventre, le visage à quelques centimètres de sa chatte dégoulinante de mouille. Je posais mes lèvres sur sa fente, me délectant de son nectar au goût de miel, mais aussi du jus canin qui n’arrêtait pas de couler, ô combien délicieux. Je saisais aussi les testicules du chien, brûlantes, et je les faisais rouler entre les doigts, délicatement.
– Oh, c’est tellement bon, hurlait ma mère, le souffle court. Ma fille chérie…
Je lui mordillais le clitoris. Et son cri se perdit lorsque Julie enfonça sa bite en plastique dans le fond de sa gorge, lui faisant monter les larmes aux yeux.
– Un peu de respect pour ta maîtresse, tonna Julie, faisant des va-et-vient dans la bouche de sa victime.
Pour ma part, je fixais la queue du chien écarter les parois vaginales de ma génitrice, la boule qui se trouvait à la base grossissait à n’en plus finir, empêchant tout retrait. Rex grogna plus fort, se détendit et finit par relâcher son étreinte.
– Hmmmm ! Hmmmm !
Je pouvais entendre ma mère émettre des gargouillements alors que son compagnon à quatre pattes tapissait ses entrailles, se répandant à l’intérieur de son vagin en de longs et puissants jets. Au bout d’un moment, elle fut en mesure de respirer à nouveau, libérée de cette verge qui lui obstruait la gorge.
– Je peux le sentir, haleta-t-elle, cherchant son souffle. Il se vide en moi… mais je n’arrive pas à me dégager. Que m’arrive-t-il ?
– C’est son nœud, expliqua Julie. Il va rester coincé quelques minutes. Tu devrais en profiter.
Par la suite, le chien se dégageait. Maman glapit lorsque la queue gonflée du chien jaillit hors de sa chatte, toujours impressionnante. De mon côté, je recueillais une grosse quantité de sperme canin, comblée.
Finalement, je glissais sur le côté, croisant le regard de Julie. Je percevais une lueur dans la prunelle de ses yeux. Et puis, nous nous sommes confondus dans un dernier baiser.
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