Je reprends après notre rencontre avec Denis. J’ai écrit que j’étais honteuse après. C’est tout à fait vrai n’empêche que c’est moi qui insistais auprès de ma sœur pour qu’elle accepte de garder les enfants le samedi soir prochain et plus la fin de semaine approchait, plus le trouble me torturait le ventre alors que mon cerveau était obsédé par cette prochaine rencontre avec un inconnu. A tel point que ma sœur me demandais si j’allais bien, si ça se passait bien avec mon mari et même Jean-Pierre mon patron me trouvait bizarre et me demanda si je n’étais pas malade. Le vendredi soir, je rentrais à la maison, m’occupais des enfants, mais en faisant la cuisine, j’avais le ventre noué et la fermeté des carottes entre mes doigts, la douceur des abricots ou l’onctuosité tiède d’une béchamel, ramenait mon esprit au « plat » que j’allais devoir avaler le lendemain soir. Mon mari est rentré tard, il m’a rejointe au lit. Je me colle nue à mon mari, il me caresse doucement les fesses. J’ai envie de lui j’att**** son sexe et le caresse. Il se laisse faire, repousse les draps et me dit « suce moi ». Je ne me fais pas prier. Je m’applique, il bande dans ma bouche, se contracte et éjacule très vite dans ma bouche ses mains dans mes cheveux. Je vais me rincer la bouche et lorsque je reviens il est à moitié endormi me laissant toute excitée. Je râle, le repousse dans le lit il grogne et se retourne me laissant frustrée. Impossible de dormir. Je ne pense qu’au lendemain.
De nouveau, je ne savais rien de l’homme que mon mari avait contacté pour le lendemain. j’avais donné des consignes claires mais sommaires : hygiène et pas de pénis géant. En dehors de ça, mon mari avait carte blanche. Je souhaitais qu’il choisisse lui-même : ça me paraissait plus équilibré car quand même, il avait le droit de sélectionner celui qui le rendrai cocu pour la deuxième fois. Et puis je pense que cela me déculpabilisait de transférer (dans un mensonge éhonté à moi-même) mon désir sur le sien comme si, finalement, je ne faisais qu’obéir en bonne épouse aux perversions de mon mari.
Le lendemain matin, je suis fatiguée de ma nuit trop courte et toujours nerveuse. Je décide d’aller courir (je fais beaucoup de running). Ca me fait du bien et en rentrant sous la douche je me sens bien détendue. La journée se passe, mon mari dépose les enfants chez ma sœur. Je reste seule et la tension remonte d’un coup. Je prends un bain. Mon mari rentre, je sens à ses yeux qu’il est surexcité. Il me dit de mettre une jupe. Je fais des essayages : « trop longue, trop sage… Pourquoi ne mets-tu pas la minijupe que tu avais au réveillon ? ». Cette mini jupe noire est vraiment très courte et hypermoulante, mais pourquoi pas après tout, c’est la fin du printemps et il fait bon. Je l’enfile sur un string en dentelle blanche pour éviter les marques de culotte sur mes fesses mets une paire de dim up. Je choisis un chemisier en satin bleu marine. « très bien dit mon mari mais ne mets pas de soutif ». Je n’ai pas tellement envie car mes tétons seraient très visibles et surtout, étant hypersensible des bouts de seins, je sais que les frottements contre le satin lourd et doux ne risquent pas de me calmer. Il insiste, j’obéis mais ajoute un boléro noir pour masquer mes pointes de seins. Des vernis noirs et je suis prête. Lavée, parfumée, juste un peu de rimmel et de rouge. Mon mari est content de l’allure de sa femme, il s’amuse à me peloter les fesses nues sous ma jupe mais je le repousse car nous partons dans un quart d’heure et je suis maintenant à nouveau très anxieuse.
Finalement nous sortons. C’est à Paris, pas très loin. On ne prends pas la voiture. Un taxi ? Non mon mari me dit que c’est à quelques stations de métro, que c’est direct en souriant. Je comprends qu’il a envie de m’exhiber dans le métro habillée ainsi. Ou bien j’ai grossi ou cette jupe a rétréci mais je me sens serrée. Surtout, au moindre pas et particulièrement dans les escalier, ma jupe remonte irrésistiblement, et je tire dessus toutes les 10 secondes. Évidemment, je me fais mater dans le métro et plus je fais des efforts pour baisser ma jupe, plus cela attire les regards. Enfin, nous arrivons, sortons du métro. Je monte les escaliers très gênée parce que les gens derrière moi doivent voir la naissance de mes bas, la peau nue au dessus et probablement aussi le tissu de mon string. Nous voilà enfin dans la rue, un immeuble, on monte.
Mon mari sonne. On nous ouvre la porte : un homme petit et mince, le visage jeune mais quasi chauve, bien habillé. Il a des yeux assez inexpressifs mais il est très courtois. Il me dit bonsoir en prenant simplement ma main son pouce et ses doigts . J’avoue que cela me rassure car j’imaginais un gros vulgaire genre Fabrice. On entre dans un très bel appartement parisien où au notre hôte nous assoit dans un grand canapé moelleux et nous propose à boire : Champagne, Whisky ? J’accepte le premier et mon mari le second. Pendant que l’homme prépare en cuisine, mon mari prends ma main et me sourit, il m’embrasse très tendrement sur la joue. Le revoilà. Il me sourit et nous sert, toujours aussi élégant, on trinque et on grignote, il s’appelle Antoine et j’ai l’impression de découvrir un oncle oublié, je veux dire que je me suis dit que c’est comme si il faisait déjà partie de ma famille.
Mon mari et lui parlent de tout et de rien « oui on est venus en métro, les honoraires médicaux (monsieur est médecin), je les observe silencieuse verre à la main et l’ambiance qui était un peu tendue s’apaise.Lui et moi nous découvrons par de petits oeillades. Son regard passe de mes yeux à mes cuisses et il devine sous ma jupe très courte, mes cuisses nues au dessus des mes dim-up en nylon noir et le tissu de ma culotte de dentelle blanche. Je ne ressens aucun désir pour cet homme, pourtant mon ventre se détend et une douce chaleur l’envahit. Antoine appuie ses regards de plus en plus longtemps entre mes cuisses tout en cherchant mon regard pour que je ne puisse pas douter qu’il me mate les cuisses. En fait, ma jupe est remontée jusqu’en haut de mes bas et il doit parfaitement voir ma culotte et peu-être deviner ma vulve et mes poils pubiens en transparence. Je ne baisse pas ma jupe mais finit mon verre. Antoine se lève pour me resservir. Long silence, je m’amuse presque de la situation en sirotant mon verre me demandant qui mettra sur la table le but de notre visite. Mon mari pose sa main sur ma cuisse et l’écarte légèrement. Antoine peut regarder maintenant ma petite culotte gonflée par ma vulve. Il me sourit, ses yeux pétillent et je sais qu’il a envie de moi, enfin de ma chatte en tout cas. Mon mari caresse ma cuisse nue au dessus des bas et petit à petit remonte ma jupe. Antoine avale sa salive les yeux rivés entre mes cuisses que mon mari ouvre encore plus, complètement indécente.
Finalement, Antoine fait un signe à mon mari genre « je peux ? » et vient s’accroupir devant moi, son visage touche presque mes genoux. Mon mari remonte complètement ma jupe. Le type ne me touche pas, il regarde juste. Moi qui ne suis pas exhibitioniste pour un sou, j’ouvre très lentement mes cuisses sous son nez. C’est mon signal pour lui dire que je m’offre à lui. L’excitation monte terriblement en moi, mes tétons tendent mon chemisier et je bouge mon bassin pour calmer les frissons qui parcourent maintenant mon ventre. Mon mari retire sa main de ma cuisse m’abandonnant à mon amant. Il comprend immédiatement le signal et approche son visage jusqu’à ce que je sente son souffle à l’intérieur de mes cuisses. Son nez effleure le tissu de ma culotte devant mes lèvres. Il me renifle et à ses soupirs, je comprends qu’il apprécie mon parfum intime suave. Je ferme les yeux, j’ai chaud au visage. Je pousse un petit gémissement en sentant le visage du type effleurer ma culotte. Ça fait soupirer de plaisir mon mari qui se délecte du spectacle. Je sens à la respiration rapide de Antoine que lui aussi adore la situation mais il reste très patient tout en effleurement textile. J’ai chaud et je m’aperçois que j’ai fini ma deuxième coupe. Antoine se relève pour remplir mon verre le pose et prends mes mains pour me mettre debout. Il est tout près de moi et je sens son souffle contre mon cou. Il remonte doucement ma jupe, retire mon boléro et déboutonne mon chemisier libérant mes seins aux tétons bandés. Il avale sa salive « vous êtes magnifique ». Je suis touchée par le compliment. Il s’agenouille devant moi le visage devant mon pubis et ses mains baissent doucement mon string qu’il abandonne au milieu de mes cuisses. Il regarde mon pubis, son nez effleure mes poils, il se délecte de mon parfum intime. Il finit de baisser ma culotte, la prend et l’inspecte, je vois comme lui que le tissu est un peu humide. Délicatement, il vient frotter le tissu de mon string contre ma chatte pour recueillir ma cyprine que je n’imaginais pas si abondante, il essuie ma vulve avec soin et une fois le tissu trempé et gluant, il se relève, prend une boite et me la tend. « Si vous le permettez, j’aimerais garder votre slip. Voici un joli ensemble pour vous dédommager. C’est votre taille ». Je le remercie, j’adore la lingerie fine, celle-ci vient de Lise Charmel. Je veux regarder mais il m’arrête : « vous l’ouvrirez rentrée chez vous ». Il déboutonne ma jupe.
Je me retrouve debout nue en bas debout dans le salon avec mon cadeau dans les mains et je dois avoir l’air bien gourde. Il me sourit, s’amuse même peut-être de me voir ainsi et me propose de passer à côté. A côté c’est sa chambre richement décorée, un grand lit, il m’y invite, je m’y allonge. Mon mari s’assoie sur un coin du lit. Antoine enlève sa veste mais garde sa chemise et son pantalon. « Votre mari m’a indiqué que vous aimiez être léchée ? » j’acquiesce en me réjouissant intérieurement. Il me rejoint sur le lit, je m’apprête a lui ouvrir mes cuisses mais il me demande de me retourner à quatre pattes, de m’appuyer sur les coudes. Une position très indécente qui lui offre une vue imprenable sur mon cul cambré, ma raie et ma vulve luisante. Je sens ses doigts effleurer mes fesses ce qui me donne la chair de poule et ils remontent sur mon dos sur ma nuque, je frissonne. Ses mains passent devant sur mes seins et quand ses doigts effleurent délicatement mes bouts de seins je ne peux réprimer un gémissement. Plusieurs même. Ses doigts tournent sur mes aréoles, effleurent mes tétons tendus à me faire mal, cela dure longtemps, c’est presque sadique et que je ne peux m’empêcher d’onduler du bassin tant j’ai le ventre en feu. J’ai envie de ses caresses sur mes lèvres mais je sens sa langue doucement lécher mon anus, ça ne me fait pas grand-chose, au début en tout cas car combinée à ses caresses sur mes bouts de seins, je commence à ressentir des vagues de frissons dans le ventre. C’est un mélange de plaisir et de frustration. Enfin il lâche mes seins et se retire de mon anus. Je reste ainsi, mon intimité brûlante offerte. Ses mains caressent mes fesses longuement puis il me demande de me retourner. Couchée sur le dos, genoux pliés, j’attends sagement de nouvelles caresses. Ses main écartent mes genoux, je ferme les yeux pour mieux sentir son souffle chaud sur ma moule qui doit être dégoulinante. Sa langue plonge brusquement entre mes petites lèvres, je pousse un petit cri, il lèche entre mes lèvres en remontant jusqu’à mon clitoris déjà très sensible. C’est divin, je me laisse aller à mon plaisir. Il lèche, il mordille, embrasse, laissant échapper de petits grognements. Après quelques minutes, je comprends qu’il contrôle mon plaisir à la perfection : dès que je commence à monter, il change de caresse ou souffle sur ma chatte ou encore il fléchit mes cuisses sur mon ventre pour reprendre mon anus avec sa langue. De nouveau, je ressens de la frustration en même temps que du plaisir et tout mon corps est à fleur de peau.
Je ne pense plus à mon mari à côté de moi et je ne sais pas quel est son sentiment à ce moment. Toujours est-il qu’à un moment il entreprend de me caresser un téton. Surprise, je pousse un cri en repoussant sa main violemment. Je me concentre immédiatement sur les caresses de mon amant sans même me rendre compte à quel point j’ai été blessante envers mon mari. Il quitte la chambre. Antoine le suit et je l’entends dire, resservez-vous un verre, faites comme chez vous. Antoine revient dans la chambre avec un sourire satisfait. Est-il content d’être seul avec moi ? C’est bien possible. Il reprend ses caresses, toujours aussi contrôlées. Je ne saurais dire comment il fait mais j’ai l’impression qu’il me connaît par coeur. Les sensations qui montent me sont inconnues, je gémis et je crie aussi, à par moments, j’ai envie de me masser le clitoris pour jouir enfin. Mon bouton est tendu, bandé, vibrant prêt à déclencher l’orgasme à la moindre caresse un peu insistante mais Antoine de nouveau apaise cette tension en m’enfonçant son doigt dans le cul. Je l’entends grogner de plaisir, sans doute satisfait de jouer avec ma jouissance aussi facilement. Il me libère enfin : son doigt immobile dans mon cul, il aspire mes lèvres, me bouffe littéralement la moule, mon ventre se secoue et ondule, je gémis de plus en plus fort. Il porte l’estocade en attrapant mon clitoris entre ses lèvres et en l’agaçant avec sa langue, ça monte encore et encore et puis sa langue s’appuie fort sur mon clito, elle le presse et en même temps son doigt s’enfonce entièrement dans mon petit trou. Il me fait jouir ainsi embrochée comme un poulet. Je ne peux m’empêcher d’att****r sa tête dans mes mains, son crâne chauve est moite d’excitation. Je jouis en écrasant son visage contre ma chatte prise de spasmes et en criant à tel point que sa main libre me baillonne la bouche sans ménagement. Je continue de gémir un long moment plus je sanglote sans pouvoir me contrôler alors que mon vagin et mon anus continuent de se contracter violemment. Je retombe en arrière enfin et pousse un dernier cri lorsqu’il retire son doigt de mon cul. Je l’entends sortir et discuter avec mon mari mais pendant de longues minutes je reste allongée sur le côté, cuisses serrées. Je sens ma moule dégouliner sur le haut de ma cuisse. Je suis toujours seule quand je reprends mes esprits et décide de me lever.
J’arrive dans le salon. Mon mari me regarde à peine mais Antoine ne se gêne pas pour mater mes cuisses fuselées et mon cul galbé. Il est toujours habillé. Mon mari la tête basse, boit du whisky. Trop. Il a l’air abattu. Je veux me rhabiller, je me souviens que je n’ai plus de culotte, que ma chatte est un champ de bataille gluant et que je suis venue avec ma jupe de putain. J’enfile quand même ma jupe après qu’Antoine ait essuyé ma raie, ma moule et mes poils avec un mouchoir et j’enfile mon chemisier. Je demande à Antoine d’appeler un taxi. Il s’exécute, je m’aperçois de la bosse dans son pantalon et réalise qu’il n’a pensé qu’à mon plaisir mais je ne lui propose rien. Nous nous disons au revoir. Nous retrouvons dans la rue à attendre le taxi et sommes rentrés à la maison très vite. Nous n’avons pas échangé un mot. Je comprends qu’il me fait la gueule, qu’il boude. J’essaie de lui tirer les vers du nez et finalement, en colère, il me lance « mais tu te rends compte de comment tu m’as traitée tout à l’heure devant ce type ? » Je repense au moment où j’ai repoussé ses caresses brutalement. Je m’en excuse mais il continue de râler. A la fin je lâche « mais, toi tu ne comprends même pas qu’aucun homme ne m’a jamais fait jouir ainsi ? ». Je regrette immédiatement ma phrase en me disant à moi-même que je suis vraiment une salope enfin une conne surtout. Je m’excuse à nouveau, tente un câlin mais il me repousse. Il se déshabille et se couche. Je me dis qu’il vaut mieux que je ferme ma grande bouche pour ce soir et le rejoins au lit. Difficile de dormir… Je repense à l’ensemble de lingerie. Mon mari ronfle alors je vais ouvrir la boîte. C’est un ensemble shorty soutif blanc en coton brodé et tulle, très joli. Je déballe, une carte de visite tombe de la culotte : Antoine X. Psychiatre Psychanalyste et au dos manuscrit : merci pour cette soirée. L’ensemble me plaît beaucoup. Je prends une douche pour l’essayer. Je m’admire dans la glace et sens mon excitation monter. Je range l’ensemble dans sa boîte pour ne pas froisser encore mon mari et retourne me coucher. Je suis excitée, je commence à me caresser, nue. Je me fais jouir à côté de mon mari et enfin m’endors.
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