Chapitre 30- Un mobilier de choix
16 soumises, bâillonnées et solidement entravées arrivèrent deux par deux accompagnés par des surveillantes ,ainsi que quatre hommes pour venir aider Hugo dans l’installation du « mobilier ». Chacune de soumises étaient chaussées de ballets boots noir et habillées de catsuit de latex noir pourvues d’une multitude d’anneaux, et ouvertes aux seins et à leurs entrejambes, dévoilant ainsi leurs poitrines annelés et leurs clitos bagués ou encagés ,tout comme leurs anus, tous comblés par de larges plugs XXL vibrants.
Seul restait les cagoules d’isolation à leurs mettre sur leurs têtes aux cranes glabres maintenues bien droite par de larges colliers de maintien de latex.
Ambre attendait que Hugo fasse l’appel pour dispatcher « le mobilier », tandis que Slutty ne cessait de couiner inlassablement dans les enceintes.
Le dernier coup de patte de la panthère de la Directrice ayant eu raison de la sensibilité de l’interrupteur, ce qui faisait que le gode se regonflait automatiquement tout seul.
“ – Les quatre là, à la suspension d’éclairage ”
Dit Hugo, en commençant l’appel, en s’adressant aux deux combattantes qu’il avait suspendu au réfectoire, qui se retrouvèrent associées à 2 autres soumises, que Géraldine reconnu, pour être celles qu’elle avait aperçu le jour de son arrivée, en salle de »LAVEMENTS ET NETTOYAGE DIVERS », et qui se faisait rincer la bouche pour ses gros mots, ainsi que celle qui était attaché par sa tresse au lit, qui avait depuis disparu pour laisser place à un crane lisse.
“ – MMMMMMMPPHHH !! Mmmpphh… ”
Geignirent presque en cœur les soumises, que déjà les quatre hommes emmenaient sous des larges croix de saint André équipées de plusieurs ampoules tels des lustres, suspendues au plafond , et qui allaient leur servir de support.
Pendant que les hommes descendaient les croix de saint André, les surveillantes encagoulèrent les soumises avec dextérité, les rendant sourdes et aveugles. Les cagoules étant juste pourvues de deux trous au niveau du nez.
Les soumises prévues en lustre furent empoignées sans ménagement par les hommes de main de Hugo , dans des gémissements qui prouvaient « leurs approbations » à leur nouvelle situation. Elles furent solidement sanglées aux croix, qui reprirent le chemin du plafond ,une à une.
Pendant ce temps , Hugo avait ordonné à deux surveillantes libérées de leurs soumises de s’occuper des portes plateaux qui avaient pour prénoms Stephy, Joy, Amandine et Rachelle.
A l’identique des soumises d’éclairages, des cagoules couvrirent leurs têtes, et après leurs avoir étroitement sanglées les bras dans le dos, pour étirer au maximum les épaules des soumises en arrière, les surveillantes leur placèrent une large sangle corset autour de la taille, muni de prises pour fixer les futurs plateaux des coupes de champagne. Puis elles emmenèrent chacune d’elles le long de piliers qui encadraient deux larges tables, où les French maids de l’école disposaient déjà des plateaux de petits fours .
Les quatre hommes sanglèrent les soumises tellement solidement à chaque poteau que tout mouvement leur était impossible, même leur tête était sanglée. Pour finir, les surveillantes fixèrent des pinces japonaises munies de chaînettes à chacun des mamelons annelés de la première soumise, qui répondait au doux prénom de Joy, ainsi qu’à son collier de maintien, tandis qu’une deuxième plaçait un large plateau dans les prises-encoches du corset , puis les chaînettes furent reliés ensuite à ce dernier, pour le stabiliser .
“ – MMMMMMMPPHHH !!!AAARRRGHHH !!!MMMMPPHHH !!! ”
Couina la pauvre soumise, quand ses mamelons furent instantanément étirés par le simple poids du plateau, heureusement également stabilisé par les chaînettes reliées à son collier.
Ce processus limitait un étirement trop grand et évitait un arrachage des pinces, qui entraînerait la chute du plateau. La soumise couinante comprit bien vite qu’elle devait se taire, quand la main d’une surveillante se plaça sur les trous de la cagoule qui laissait passer le peu d’air dont elle disposait, tandis que son autre main étirait un peu plus les pinces pour leurs faire mordre la tendre chair de ses mamelons annelés, vérifiant ainsi la stabilité du plateau.
“ – MMMMMMMPPHHH !!!AAARRRGHHH !!!MMMMPPHHH !!! ”
Geignit la pauvre Joy, son petit clito au bord de l’explosion dans sa minuscule cage, quand la main de la surveillante se retira pour la laisser respirer, entraînant aussitôt que ses gémissements baissent d’un ton, pour finalement se taire.
C’est dans des gémissements tout aussi sournoisement étouffés comme ceux de la petite Joy, que les trois autres soumises subirent le même traitement.
En se dirigeant vers une soumise que Géraldine n’avait jamais vu, mais dont le visage lui disait quelque chose, Hugo croisa le regard de la soumise géante qui répondait au nom d’Amanda, qu’elle avait vu s’occuper avec vice des mamelons d’ Alexandra le premier soir.
La nouvelle soumise portait sur le front, l’inscription« BITCH 773 » tracé au marqueur noir, prouvant qu’elle était devenue la propriété de l’école définitivement, en attente que la Directrice ne lui trouve un prénom, ou ne décide de la faire tatouer ainsi.
“ – Amanda aux toilettes pour hommes…Cela t’apprendra à baisser les yeux !” Dit Hugo en s’adressant à la soumise,dont le regard avait croisé le sien, et qui jucher sur ses ballets boots, faisait plus de deux mètres.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! NAAAANNN!!! MMMMPPHHH !!! ”
Couina Amanda, en comprenant qu’elle allait être à une place de choix pour la soirée, en commençant de tirer sur sa laisse.
“ – Mettez celle–ci dans celles des dames !”
Ordonna Hugo, en donnant la laisse de BITCH773 à la surveillante, qui avait lâché celle de la Sissy géante, devenue presque hystérique a l’annonce de sa position aux toilettes pour hommes, et que deux hommes avaient déjà ceinturé sans ménagement pour l’entraîner vers les toilettes.
“ – Bien, Monsieur Hugo ”
Répondit la surveillante en se dirigeant vers les toilettes pour dames, accompagnée de BITCH773.
“ – Cendriers ”
Dit Hugo en se tournant vers trois des soumises restantes, et montrant du doigt Mégane, Alexandra, ainsi qu’une nouvelle qui répondait au nom d’Alice.
“ – MMMMMMMPPHHH !!! NAAAANNN !!! MMMMPPHHH !!! ”
Gémirent presque en cœur les soumises, aussitôt prises en main par les deux hommes restants. Les surveillantes, maintenant plus nombreuses que les soumises aidèrent à la mise en place, retirant les baillons des soumises, avant leur placer des cagoules isolantes, mais différentes des autres soumises déjà installées, celles-ci possédaient une ouverture au niveau de la bouche.
Alexandra fut la première qui fut mise à genoux sur un socle-plateau roulant à roulette, où était fixé un pied central.
Après que ses jambes eurent été repliées en équilibre, ses bras et son torse aillent été solidement sanglés au pied, sa tête fut renversée arrière et fixée au haut du pied, pour qu’une surveillante force l’ouverture de sa bouche en y glissant un bâillon-dentaire, attrapant en suite l’anneau de sa langue, qu’elle étira pour la relier aux anneaux de ses mamelons .
Puis pour récupérer les mégots, on plaça un large cendrier muni d’une sangle au niveau du bas ventre de la soumise, le raccordant à ses mamelons par des pinces japonaises.
Ainsi la langue de la soumise ne servirait que pour éteindre les cigarettes et les cigares, et « le peu » de cendre qui s’égarerait suivant la perversité des dominants.
“ – Bien, il ne reste plus que vous trois, vous serez assistantes de vestiaire ! »
Dit Hugo ,tout en allumant une cigarette, déposant avec un sourire mesquin sa cendre sur la langue étirée de la première soumise-cendrier, sous le regard médusé des trois soumises restantes.
“ – HAAANNN ! AAARRRGHHH !!!… ”
Déglutit la pauvre Alexandra, s’agitant inutilement sur son socle, quand la cendre de la cigarette de Hugo lui chauffa sa langue étirée.
Mais il dégusta suffisamment sa cigarette pour se laisser le temps de déposer sa cendre sur chacune des langues étirées des deux autres soumise-cendrier, et leur donner déjà le goût de leur soirée, tout en regardant les surveillantes équipées les dernières soumises pour le vestiaire.
Après avoir été cagoulé par les cagoules d’isolations complètes, leurs corps furent fixées solidement à un pied vertical, tandis que leurs bras étaient ensuite écartés et solidement sanglés à un axe horizontal, chaque bras de la catsuit était pourvu de plusieurs anneaux permettant de recevoir un cintre, tandis chacun de leur doigt était écarté et pourvu d’un crochet pouvant recevoir l’anse d’un sac à main.
Pour finir une barre de métal également muni de crochets, prévu pour recevoir écharpes ,et foulards, fut fixée à leur mamelons annelés par quatre pinces japonaises.
“ – MMMMMMMPPHHH !!!AAARRRGHHH !!!MMMMPPHHH !!! ”
Gémit la première soumise, qui fut équipée de la lourde barre de métal.
“ – Tu es vraiment doué pour installer confortablement toutes ses petites soumises, Hugo ! ”
Dit Ambre, en s’approchant du Maître du donjon, tout en se mordant la lèvre inférieure, le regard plein de désir.
“ – Je pense que cela peut se faire avec n’importe qui …Surtout si elles sont en plus de bonne volonté ”
Répondit Hugo, son regard malicieux plongeant dans celui de la préceptrice.
“ – Je vais cogiter sur cette réflexion !”
Ironisa la préceptrice, en tirant Géraldine vers les toilettes, pour voir les conforts qu’avaient prévu Hugo pour les deux soumises qui avaient gagné le privilège de l’endroit.
Les toilettes pour dames était maintenant équipée d’un porte-papier toilette très pratique, la soumise « BITCH 773 » était en équilibre sur les genoux, ses cuisses ayant été solidement sanglées l’une a l’autre, tandis que ses bras étaient maintenant pris dans un armbinder.
Sa tête encagoulée était rejetée en arrière par une sangle qui la bloquait, et l’ouverture au niveau de la bouche était écartelé par un bâillon dentaire identique à ceux des soumise-cendriers, tandis que sa langue pouvait être attrapée à l’aide d’une courte laisse pour faciliter au besoin le nettoyage des parties intimes des Maîtresses qui seraient en présence à la soirée.
“ – Aux dires, ‘’BITCH 773 ‘’ était une « fêtarde people» avertie, et au décès de ses parents dans un accident de voiture, il y a 3 semaines, elle allait devenir l’héritière d’une grosse fortune. Mais sa tante connaissant ses goûts pour la fête et la luxure, et deuxième actionnaire de la société a racheté toutes ses parts sans qu’elle ne s’en aperçoive, entraînant sa ruine et « son suicide ».
Et comme elle est également actionnaire de l’école, nous la retrouvons ici….Dans ses toilettes ! La vie est pleine de surprises, parfois ! ”
Dit Ambre, sur un ton ironique, en se retournant vers Géraldine, qui reconnaissait maintenant la dite soumise connu désormais comme BITCH 773.
“ – HAAANNN ! AAARRRGHHH !!!… ”
Couina la Sissy, quand la préceptrice lui attrapa sa langue étirée par sa laisse pendante entre ses seins annelés qui retenait le porte-rouleau.
Relâchant son étreinte, la préceptrice curieuse tourna les talons, entraînant Géraldine vers les toilettes pour hommes.
La Sissy n’avait plus rien de géante dans la position, où elle était installée.
Elle avait été solidement sanglée sur une table à hauteur de bassin, telle une grenouille à disséquer.
Son anus était ouvert par un large « fuck plug » tube, qui le laissait ainsi à une entière disposition.Sa tête cagoulée était renversée dans le vide, et solidement sanglée aux pieds de la table, tandis que sa grande bouche était maintenue ouverte par un large ring-gag, permettant un accès aussi facile que le coté opposé.
Des pinces japonaises lui mordaient ses mamelons et ses testicules, et étaient chacune reliés à une cordelette qui passait dans une poulie, pour maintenir un bol de métal, placé environ 30 centimètres au-dessus.
“ – Amanda est devenue une ravissante « Dame pipi » pour tout usage , tu ne trouves pas ? Elle a même ce qu’il faut pour les pourboires ! ”
Rigola la préceptrice, en se plaçant au-dessus du visage de la Sissy, tout en se mettant de secouer le bol de métal.
“ – NANNNN !! S’I OU’ PLAI ,MA’AME !!! AAARRRGHHH !!!… ”
Gémit la soumise, rendue aussitôt silencieuse par le sexe de la préceptrice qui l’étouffait presque.
“ – Chaque Maître reçoit 20 jetons de plomb pour les pourboires en début de soirée, et ils en font ce qu’ils veulent après. Les pourboires de la « Dame pipi » doivent dépasser un certain « poids », sinon elle se verra sévèrement punie par la Directrice ! Il faut donc mieux que ses petits mamelons et les couilles de cette petite salope s’étirent au maximum ! ”
Dit la préceptrice, en faisant des sévères va et vient dans la bouche écartelée de la Sissy, tout en continuant de secouer le bol de métal.
“ – AAARRRGHHH !!! NANNNN !!! AAARRRGHHH !!! ”
Couina Amanda, étouffée par le sexe de Ambre, qui tapait maintenant le fond de sa gorge, sentant déjà ses pauvres mamelons et ses couilles largement étirés par le bol qui se balançait maintenant allégrement au-dessus d’elle.
Quand Ambre se retira enfin, se fut pour remplir la bouche de la « Dame pipi » de son sperme chaud, qui dégoulina sur la cagoule opaque.
“ – Allez, en route, petite Géraldine ! Que les Jumelles te préparent et que tu apprennes ton texte ! ”
Sourit la préceptrice, en tirant sèchement la soumise derrière elle, après avoir remis un grand coup de poing dans le bol .
“ – NANNNN !!! AAARRRGHHH !!!NANNNN !!! ”
Pleurnicha la « Dame pipi », qui avait déjà le goût de sa soirée en bouche , mais sans en connaître encore le pesant.
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