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Ondes sensuelles – 4

Ondes sensuelles – 4



Nouvel épisode de la série « Ondes sensuelles ». Encore merci pour les magnifiques retours sur le dernier opus !
J’espère que cette histoire vous plaira !

Claire progresse dans un long couloir sombre. Au bout de celui-ci, une porte entre-ouverte d’où émerge un rai de lumière. Des soupirs et des petits cris se font entendre, ils parviennent de la pièce située juste derrière cette porte. La jeune femme s’arrête devant cette porte et regarde à l’intérieur de la pièce. C’est une chambre, avec un lit trônant en son milieu. Sur ce lit, Sophie et Matthias font l’amour et Claire les regarde… Les cris de jouissance de Sophie occupent de plus en plus l’esprit de Claire, couvrant les bruits ambiants : les sons de la rue, les grincements du lit et la respiration saccadée de l’amant.
Claire glisse une main vers son sexe et se caresse à la vision de cette scène. Elle se rend compte de sa nudité et cette prise de conscience augmente encore son excitation. La vue des deux amants fait grossir la boule de désir dans son ventre. Les cris d’extase sont de plus en plus forts. Les hanches de Matthias décrivent un va-et-vient hypnotique. Sophie crie sa jouissance. Claire vient elle aussi… tout son monde tangue autour d’elle.

Claire se réveille, mais les gémissements n’ont pas disparu. Encore à demi-endormie, elle sent le lit bouger sous elle. Se retournant, elle découvre Matthias calé entre les cuisses de Sophie, au bord de la jouissance. Matthias la regarde, mais la main de Sophie tourne aussitôt son visage. Dans un soupir, elle lui intime un ordre :

– Regarde-moi jouir ! Regarde le plaisir que tu me donnes !!

Calant sa jouissance sur celle de Sophie, les yeux dans les yeux, Matthias relève les jambes de sa compagne. Sophie a maintenant les genoux au niveau de sa poitrine, son con est ouvert au maximum, elle explose dans un orgasme communicatif.

– Je viens !!! Ouiiii ! Ouiiii !

Derniers mouvements pour Matthias, il se libère de la tension sexuelle dans un dernier soubresaut. Il sent sa tige propager son jus d’amour au fond du vagin de Sophie, aux portes de sa matrice. Claire regarde la scène comme la plus perverse des voyeuses, elle sourit. Les deux amants, haletants, regardent leur amie du matin. Le trio part dans un fou-rire joyeux qui va sceller le ménage à trois.

Sophie, Claire et Matthias vont ainsi passer un été ensemble. Un été rempli des plaisirs de la vie, ils vont profiter de leur liberté de jeunes adultes : baiser bien sûr (le trio sera de plus en plus érotique et pervers), voyager, découvrir le monde…
Mais cette trinité ne dura que le temps d’un été. Insatiable, le volage Matthias approcha une autre fille pour former un quatuor. Sophie le quitta, emmenant Claire avec elle. Les deux jeunes femmes restèrent ensemble, bisexuelles affirmées et libres, croqueuses d’hommes. Se fut une véritable révélation pour Claire, avec Sophie dans le rôle de l’initiatrice. A la rentrée universitaire, les deux copines étaient toujours ensemble. Sophie continua ses études de Lettres classiques en se lançant dans une étude des perversions dans l’œuvre du Marquis de Sade. Claire, elle, poursuivait ses études de journalisme, et faisait toujours partie de l’équipe de « On en Parle » sur Sun FM.

Michel, le patron de Sun FM, n’aimait pas ces rencontres avec de futurs investisseurs. Depuis la fondation de la radio, il était l’homme des idées, celui qui était plus à l’aise avec les concepts qu’avec les chiffres. Mais la crise était passée par là, et ses premiers associés avaient du quitter le bateau. Le patron de la radio avait racheté quelques parts, mais c’était un fond d’investissement qui avait repris la majorité du capital de Sun FM. Toujours directeur d’une radio en mauvaise santé financière, Michel devait ainsi trouver de nouveaux fonds et de nouveaux débouchés pour son média.
Il entre ainsi dans la salle de réunion. L’ambiance est cosy, mais studieuse. Une femme élancée, vêtue d’un tailleur pantalon, l’accueille. Elle se présente comme la directrice d’un groupe d’investisseurs locaux. Son visage et son allure rappellent quelque chose à Michel, mais il n’arrive pas à fixer son souvenir. Trop absorbé par la présentation qu’il doit effectuer devant les investisseurs, Michel laisse filer ce sentiment et se concentre sur l’avenir de la radio qu’il dirige.

La présentation semble convaincante, le parterre applaudit Michel. La jolie femme qui l’avait accueilli en début de matinée le rejoint sur scène et invite les participants à la pause déjeuner. Dans le brouhaha de la sortie de salle, elle retient Michel par le bras.

– Michel ? Tu ne me reconnais donc pas ? Toi, en tout cas, tu n’as pas changé… Toujours aussi charmeur et convaincant !

Michel lève un sourcil interrogateur, le sentiment d’avoir déjà vu cette femme le reprend, mais il n’arrive pas à la situer. Est-elle une connaissance de travail, une ancienne animatrice radio (sa voix est jolie), une amie oubliée ?

– … Je suis désolé… Mais j’ai oublié votre nom…
– … Karine. Karine Didier, mais c’est mon nom de femme mariée. Je suis la fille de Solange et René, les voisins de tes parents !
– Ho ! Oui, bien sur ! Karine… Je suis confus, je ne t’ai pas reconnu tout de suite. Je suis désolé, car je ne suis pas très physionomiste. Je me souviens plus des noms que des visages, déformation professionnelle…
– C’est pas grave… Je suis heureuse de tomber sur toi, quelle surprise ! Viens, on va discuter au resto pendant la pause déjeuner ?

Les retrouvailles sont chaleureuses, et Karine lui raconte un peu sa vie. Sa grande fille de vingt ans, maintenant à l’université, qu’elle a eu très jeune d’un premier mariage calamiteux. Elle s’est ensuite remariée avec un politicien de la région, qui est devenu par la suite député. En épousant le futur député, elle épousait aussi la vie de femme d’homme politique : un mari puissant, mais souvent volage… Karine le savait et cela ne semble plus trop la soucier aujourd’hui. La belle femme élancée de cinquante ans vit sa vie de femme au jour le jour. Elle ne cache pas à Michel les infidélités de son mari et ne se gène pas pour lui rendre la pareille en prenant elle aussi des amants.
Elle est le prototype de la femme qui s’est construite socialement toute seule : ayant repris ces études d’économie sur le tard, elle occupe aujourd’hui un poste important dans le microcosme économique d’une grande région active en province. Le nom de son mari lui permet de développer ses projets et de rencontrer des gens intéressants.
Michel la détaillait attentivement : elle avait changé depuis ses jeunes années. Au départ timide et réservée, elle semblait maintenant complètement extravertie. Sa silhouette s’était affinée aussi, son pantalon moulant un adorable petit cul. Elle avait sans doute de belles jambes, et la cambrure de ses reins était encore renforcée par les talons qu’elle portait. Sa poitrine était modeste, sans être menue. Il pouvait distinguer la dentelle de son soutien-gorge par la transparence de son chemisier blanc. Son visage est fin, les pommettes saillantes trahissent ses ascendances slaves par sa mère. Son brushing impeccable sur ses cheveux châtains complète le tableau. Michel se dit qu’il a de la chance de déjeuner avec une si belle femme.

La journée se termina ainsi de la plus belle des façon. Les deux amis d’enfance partagèrent un atelier de réflexion autour de l’économie des médias en région, puis ils allèrent boire un verre en début de soirée, ou ils refirent le monde tous les deux.
Les mains se rapprochèrent et les regards se firent plus insistants… Michel raccompagna Karine, et elle déposa un chaste baiser sur sa joue en guise d’au-revoir. Ils se revirent plusieurs fois dans la semaine qui suivi. Les baisers sur la joue devinrent des baisers plus coquins, une relation amoureuse se construisait très vite. Très vite, elle l’invita pour la semaine suivante à un événement organisé dans la capitale régionale. Karine lui confia ses mots qui résonnèrent les jours suivants :

– Viens avec moi, j’aurais besoin de compagnie, et je pourrais te faire rencontrer quelques personnes intéressantes… Tu ne vas pas regretter cette soirée !

Michel arrive au cocktail donné par la municipalité pour célébrer l’inauguration d’une pépinière d’entreprise. Il laisse son manteau au vestiaire, croise quelques entrepreneurs de la région qu’il salue chaleureusement avant d’entrer dans la salle. Le discours du premier magistrat de la ville a déjà commencé, et Michel essaye de se faire le plus discret possible. Il ne remarque pas tout de suite la silhouette élancée de Karine, mais cette dernière se rappelle à son souvenir via une vibration dans la poche intérieur de sa veste.
Un SMS de Karine.

Tu es déjà dans la salle ? Les discours viennent de commencer…

Michel est dans le fond de la salle, derrière la foule des invités. Il consulte son message discrètement, se retirant derrière les tables dressées pour le buffet. Sans attendre, il lui répond :

Je suis là. Circulation difficile.

La réponse est quasi-immédiate.

Parfait. Je me sens si seule ce soir, tu vas me tenir compagnie. Et j’ai une surprise pour toi…:)

A la suite de ce dernier message, une image apparaît dans le fil de la conversation. Michel découvre Karine dans un ensemble de lingerie noire. Elle s’est photographiée devant le grand miroir de son dressing. Des bas noirs complètent le tableau, Karine soupèse l’un de ses seins, et son regard coquin ne laisse aucun doute sur ses intentions. Le selfie coquin de la belle fait monter le rouge aux joues de Michel, qui ne s’y attendait pas. Légèrement embarrassé par la situation, il revient très vite à l’écran d’accueil de son smartphone, alors que les employés chargés du service du buffet reviennent derrière les tables.

Les discours se terminent, les applaudissements résonnent dans la salle et le maire invite l’assemblée à rejoindre le buffet. Michel est aussitôt alpagué par le président de la chambre de commerce, ce dernier voulant s’entretenir avec lui des prochaines élections professionnelles. Alors qu’il tente de se concentrer sur la conversation du moment, il aperçoit enfin Karine. Une jupe crayon grise, un pull moulant noir, et des jambes gainées de noir. Toutes les étoffes sont au plus près de son corps, soulignant les courbes de sa poitrine et de son ravissant postérieur. Elle porte un petit sac à l’épaule ; un verre à la main, elle entraîne par le bras un homme fort corpulent en costume. Ils semblent plaisanter tous les deux et l’homme en face d’elle est dans une attitude charmeuse. Karine remarque Michel et lui lance un regard furtif avant de s’éloigner. Elle roule des hanches dans cette jupe qui met parfaitement son corps en valeur, et qui fait tourner quelques têtes.

Quelques minutes plus tard, Karine retrouve Michel, toujours en grande conversation, cette fois-ci avec deux dirigeants d’entreprise des médias et du high-tech. Sûre de sa capacité de séduction, elle n’hésite pas à s’immiscer dans le petit groupe. En prenant le bras de Michel, elle lance son regard mutin vers ses deux interlocuteurs…

– Bonsoir… Allons Michel, tu ne nous présente pas ton amie ?
– Oui, bien sûr ! Voici Karine, elle dirige un fond d’investissement en région…

La soirée se poursuivi, Karine présentant à son amant les personnalités importantes de la région. Les cartes de visites furent échangées, une partie de l’avenir de Sun FM se jouait dans ce cocktail. A la fin de la soirée, alors que la foule des invités se clairsemait, Karine glissa ses quelques mots à l’oreille de Michel :

– Tu me raccompagnes ? Mon mari est encore à Paris pour l’examen d’un projet de loi… Nous aurons la maison pour nous…

Quelques dizaines de minutes plus tard, après un court trajet en voiture, Karine et Michel passent la porte d’un appartement cossu de centre-ville, collés l’un à l’autre et s’embrassant toujours aussi fougueusement. La belle et coquine bourgeoise rompt l’étreinte pour dire ces quelques mots :

– Déshabille-moi…

Les vapeurs d’alcool avaient quitté l’esprit de Michel. Avec des gestes très sûrs, il ôta le pull, dévoilant le soutien-gorge noir. Les tétons s’érigeaient déjà sous la fine dentelle de la lingerie, il passa une main sur le tissu, arrachant un premier soupir à la belle. De son autre main, il chercha la fermeture éclair de la jupe de Karine. Cette main baladeuse s’attarda sur le cul bombé de son amante, mais Karine le guida assez vite vers le zip. La jupe glissa tout aussi facilement sur les hanches de la belle.
Michel se recula de deux pas pour contempler la sublime femme qui se tenait devant lui. La tension érotique était à son comble, car même si il avait pu voir Karine dans cet ensemble de lingerie noire sur le petit écran de son téléphone, Michel est troublé par cette vision. Sa peau bronzée tranche parfaitement avec les sous-vêtements noirs. Karine le regarde, puis l’entraîne vers le lit. Elle l’invite à se coucher, puis s’installe à califourchon pour lui ôter sa chemise blanche. Avec une lenteur consommée, elle déboutonne le vêtement et en profite pour passer ses mains sur le torse. Le contact électrise les deux amants, Karine aime cette caresse en préliminaire. Les pans de la chemise son ouverts, mais la coquine ne s’arrête pas. Elle attaque le pantalon, défait la ceinture et découvre le boxer de Michel, que déforme une belle bosse. La petite langue coquine de la belle pointe entre ses lèvres et laisse deviner son désir pour l’organe encore emprisonné. Sans plus attendre, elle glisse ses doigts sous la ceinture du sous-vêtement, et dévoile le sexe déjà à moitié bandé de Michel…

Karine pousse un petit cri de satisfaction à la vue de ce trésor. Le gland déjà décapuchonné et humide de l’excitation du moment, le sexe de Michel pulse doucement. Elle soupèse les boules de son amant alors que l’autre main commence un langoureux va-et-vient sur la hampe qui commence à prendre une belle vigueur. Karine prélève encore un peu de liquide séminal au sommet du gland, et masturbe juste le bout du sexe. Michel est aux anges, jamais une femme lui avait donné autant de plaisir dès les préliminaires. Lorsque la jolie bourgeoise pose ses lèvres sur le bout de son pénis, la sensation est divine. Karine aspire et titille le méat avec sa langue, avant d’engouffrer la moitié du vit. Remontant lentement le long de la hampe, elle s’arrête à la base du gland avant de repartir vers le pubis de Michel. Plusieurs aller-et-retours de cette bouche chaude et sensuelle suffisent à Michel pour bander à bloc… Karine le sent et c’est le moment qu’elle choisi pour abandonner provisoirement l’objet de son désir.

Les deux amants sont toujours sur le lit et vont se livrer à la dernière danse avant leur ébats… Il se met à nu devant elle, tandis que les derniers remparts de dentelle tombent au pied du lit. Karine a gardé ses bas, et les deux amants entament un soixante-neuf, elle sur lui… et lui butinant sa fleur d’amour. Michel att**** les fesses de sa partenaire pour faire venir à lui le sexe de Karine. Ses lèvres intimes sont déjà entrouvertes et la douce humidité vient aux lèvres de l’amant. Elle n’est pas en reste, et reprend sa fellation : la bouche de Karine s’active sur le manche alors qu’une main ferme branle la hampe. Michel lèche maintenant toute la longueur de la fente de sa partenaire, et découvre peu à peu le clitoris de la belle. A la succion sur son gland, il répond par de petits coups de langue sur le bouton d’amour. Les gémissements étouffés de Karine lui parviennent, il sait qu’il vient de toucher le point sensible…
Michel accentue sa caresse sensible et sensuelle et Karine perd pied une première fois. Le compas de ses jambes enserre toujours le visage de son amant, et elle se relève maintenant, abandonnant sa pipe. Les gémissements se transforment en petits cris, annonciateurs de l’immense plaisir que l’homme allongé sous elle lui donne. Son bouton d’amour est comme fusionné avec la bouche qui la dévore. Karine prend de plus en plus de plaisir, et l’exprime de plus en plus fort

– Hummmm…. Oh ouiii ! Ouiiiiii ! C’est bon…..

Les mains de Michel caressent l’intérieur de ses cuisses, la sensation est encore décuplée par le nylon de ses bas auto-fixants qui frotte lui aussi sur ses zones érogènes. Karine aime aussi cette position de domination à ce moment là de l’acte. Se faire manger la chatte de cette façon, assise sur le visage de son amant, lui donne un immense plaisir. Elle mouille de plus en plus, elle voit le sexe bandé de Michel et son désir n’en est que plus grand !

Se sentant parfaitement prête à accueillir ce mandrin dans son vagin, Karine se soulève de la bouche qui la dévore et se positionne au niveau des hanches de son amant. En préliminaire de la pénétration, maintenant inéluctable, elle frotte ses lèvres intimes le long de la hampe. La mouille recouvre le sexe de Michel, et trois doigts viennent dresser le gland vers la fente. Dos à son amant, et dans le plus beau des mouvements, Karine vient doucement descendre sur le vit. Michel l’accompagne en prenant ses petites fesses de ses mains puissantes. La descente se fait sans aucun arrêt, la chatte de Karine épousant le phallus dans mouvement continu… La base est épaisse et Karine marque un temps de pause pour s’habituer. Elle tourne sa tête vers lui, et du coin de l’oeil observe le visage de son partenaire. Michel a les yeux fermés, il vient de ressentir le plaisir de la pénétration dans le sexe bouillant de la jolie coquine, et il compte en profiter jusqu’au dernier moment. Il ouvre les yeux, et dans l’échange de regard qui suit, Karine commence à onduler du bassin.

Le sexe toujours fiché au fond de ses entrailles, Karine se caresse le clitoris en rythme avec son mouvement de va-et-vient. Tous ses sens sont en éveil, et elle ressent au mieux les soubresauts de son amant. Il l’accompagne toujours avec ses mains qui la caresse, alternant un toucher sur ses fesses et sur ses hanches. Elle accélère encore le mouvement de ses hanches, se qui fait souffler et gémir Michel. Elle aussi ressent les prémices de la jouissance, son souffle devient plus court, et les petits cris reprennent.
Karine veut jouir, elle se relève légèrement et se positionne en appui sur ses jambes pour se pistonner plus fort le minou. Elle monte et descend en rythme sur la queue de Michel et elle sait que cette position la fait jouir à chaque fois. Son expérience de jouisseuse ne lui ment pas, et les premiers signes de l’orgasme chatouillent son sexe. D’un coup, son orgasme la submerge :

– Haaa ouiiii ! Je jouis ! Oooohhhh…

Karine ralentit le rythme pour se désengager. Le gland luisant de jus quitte les lèvres intimes de la belle. Elle choisi de continuer en andromaque, cette position lui donnant la légère domination qui l’excite sur le moment. Mais pour la suite de leur étreinte, Karine revient face à lui, lui présentant sa poitrine aux tétons dressés. Michel redresse son pénis pour la pénétrer à nouveau, et une fois fiché en elle, il choisi d’imprimer des va-et-vient tout en lui caressant la poitrine. Les mains en appui sur le torse de son partenaire, Karine domine la situation, mais se laisse entraîner dans le plaisir sensuel de l’étreinte. Les mains puissantes qui roulent ses tétons, empaument ses deux petits globes, et cette queue qui parcoure son intimité, tout ceci la mène inexorablement vers une deuxième jouissance.

Michel, quand a lui, veut sentir d’encore plus près son amante. Il change de position, pour adopter celle du lotus, face à face, tous les deux assis, elle sur lui, les jambes de Karine derrière son dos. Là encore elle peut être un peu dominatrice, mais Karine se laisse maintenant totalement aller à son plaisir. Le contact de sa poitrine sur le torse de Michel la fait décoller encore une fois. Sa fleur d’amour est ouverte à son maximum, elle à l’impression de ressentir chaque veine du chibre qui la transperce maintenant. Michel sent les légères contractions du vagin autour de son sexe, et il décide de frustrer gentiment sa partenaire en se retirant immédiatement.
Elle lâche un « Oh » de surprise, alors qu’il la soulève tranquillement, ses grandes mains calées sur ses cotés.

Michel invite son amante à se mettre à quatre pattes sur le lit. Derrière elle, il réinvesti sa chatte dans un long mouvement, à la fois doux et volontaire… Karine n’en peut plus, elle veut encore jouir de ce bâton de chair.

– Ouiiii… Fais moi encore jouir ! Prends-moi fort !!!!

Michel ne se fait pas prier. Il donne des coups de reins puissants, en en une dizaine d’aller et retours, la belle crie son plaisir pour le deuxième fois en quelques minutes.

– Hummm… Je jouis !!!! Continue… C’est bon, ouiiiiiiiii !

Sur ce dernier soupir jouissif, elle s’écroule sur ses avants-bras, repue de sexe et heureuse. La bite de Michel glisse hors du fourreau, Karine se retourne sur le dos. Elle regarde son amant, encore haletant de la baise qu’il vient de vivre. Michel n’a pas encore joui… Son sexe pulse doucement contre son ventre. Il s’approche de sa belle, Karine se saisit de la queue encore humide de son jus intime et entame une branlette entre ses doigts fins. Au dessus d’elle, Michel apprécie la vue : les beaux seins en poire, les tétons dressés par l’exitation encore presente, le regard de la coquine qui le branle… Il gémit, la caresse le conduit vers l’explosion finale. Dans un dernier râle, il éjacule trois belles giclées de sperme sur la poitrine de Karine, suivi de deux plus petites, dont les gouttes vont se perdre entre ses seins, jusqu’au pubis…

Peu après, dans les bras de son amant, Karine lui susurre à l’oreille :

– Tu m’as comblée… et je n’en attendais pas moins de toi, chéri. Je crois que tu as mérité ta récompense… Je vais t’aider à sauver ta station de radio, mais il faudra continuer à être très gentil avec moi…

A suivre…

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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