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L’imprévu

L’imprévu



Ce jour là, nous étions invités par le couple d’amis dont monsieur est notre amant.
Depuis que nous étions si complices tous les trois , je ne ressentais plus de jalousie latente, les choses étaient claires entres nous (jamais l’un sans l’autre) ,nous pouvions donc nous laisser aller à nos désirs / délires.

Rien n’était prévu, ni calculé.. mais ma belle comme à son habitude , sur des désirs communs , avait mis une superbe robe et son si joli Rozebud qui lui pare si agréablement son petit trou.

Il faisait chaud et décidâmes de déjeuner dehors .
L’apéritif se prenait tranquillement , les glaçons tintaient dans les verres et ma belle, dés que l’occasion se présentait, n’hésitait pas à écarter ses cuisses pour que son amant puisse admirer la vue, comme cela lui arrivait souvent …

Celui-ci avait bien évidemment choisi la place idéale pour ne rien rater de l’éventuel spectacle qu’elle pouvait nous offrir.

A un moment,l’épouse partit à la cuisine et ma belle en profita pour laisser jaillir un sein à la pointe turgescente que notre ami appréciât à sa juste mesure.

Mais le sein repartit bien vite se cacher derrière la fine étoffe de la robe au retour de la maîtresse de maison…
Allez, il fallait se tenir bien : nous n’étions pas vraiment venus dans le but de faire quoique ce soit, mais l’alcool, la chaleur et la tenue de ma belle en décidèrent autrement.

Notre ami possédait une piscine somme toute d’assez grande capacité (pas la pataugeoire, si vous voyez ce que je veux dire) .

Le repas tirait à sa fin et je décidais d’aller piquer une tête juste avant de prendre le café.
Mon ami me suivit pendant que les dames procédaient à débarrasser la table.
J’avais prévu à tout hasard un maillot de bain et l’enfilait prestement.
Mon ami avait un caleçon de bain et nous nous mîmes à l’eau…
Bof, 24°c alors que dehors il en faisait 35, ce n’était pas très chaud, mais deux ou trois mouvements nous firent apprécier la douceur de l’eau.

Nous nous laissions bercer par l’eau lorsque je vis arriver ma femme qui elle aussi avait enfilé son maillot de bain.
J’aurais du dire deux bouts de tissus , tant ce maillot était fin et au minimum suggestif, au maximum carrément coquin.

Elle nous dit :
– je peux me joindre à vous ?
Nous nous empressâmes de lui répondre par l’affirmative.
Je lui demandais où était passée la maîtresse de maison et elle nous répondit que celle-ci, un peu souffrante préférait rester dans la maison, plutôt que de risquer une insolation.

Je ne m’attendais pas à ce que nous allions nous retrouver encore une fois tous les trois.
Là, la situation était différente : la maîtresse de maison était à 10 mètres de nous .Dans la maison, certes, mais elle n’était pas loin.

Qu’à cela ne tienne, nous avions tant de plaisir à voir ma belle descendre les escaliers de la piscine, que le désir était déjà intense.

Nous ne rations rien des mouvements que faisait ma belle dans l’eau.
Elle se redressa et nous dit :
– Elle n’est pas très chaude, vous ne trouvez pas ?, la preuve, j’ai la chair de poule !
Le corps à moitié immergé par l’eau et à l’insu du regard de la maîtresse de maison ,si d’aventure elle regardait dans notre direction , celle-ci ne pourrait rien voir….

Sa phrase à peine terminée, elle fit jaillir ses seins hors de son maillot pour nous faire constater qu’effectivement, ses pointes étaient toutes dures, l’eau ruisselait sur ses mamelons…

Ainsi , presque nue, elle nageât quelque temps puis vint vers moi.
– Alors ma chérie, tout va bien, tu n’as plus trop froid ? lui dis-je . Mais au fait, tu l’as retiré ?
-Retiré quoi ? me demanda-t-elle
-Et bien ton Rozebud !
-Non mon chéri, je l’ai encore en moi …..

Notre ami qui suivait la conversation se rapprochât de nous et je lui dit .
-Regarde, ma belle n’a pas retiré son Rozebud , n’est ce pas chérie ? montre-nous s’il te plaît.
Ma belle ne se fit pas prier, et d’un geste élégant, fit glisser le bas de son maillot de bain sur le coté et , remontant ses fesses à fleur d’eau nous laissât admirer que son bijou était bien en place, dans son anus.

Je ne pu m’empêcher de laisser glisser ma main sur la croupe ainsi tendue de ma femme.
Ma paume courait sur ses fesses, mes doigts pris de folie, caressaient l’ourlet des lèvres de son sexe.
-Vas-y , dis-je à notre ami, touche comme elle a les fesses douces …
Celui-ci ne se fit pas prier et bientôt, ce furent deux mains qui caressèrent cette superbe croupe.
-Doucement les hommes, vous allez finir par m’exciter… nous dit-elle.
Son corps se remit en position verticale et ,accroupie face à nous, nous dit d’une voix rendue sourde par le désir :
-mettez vous accroupi face à moi, et baissez vos maillot que je vois vos queues à travers l’eau.
Nous nous exécutâmes immédiatement tout en surveillant la maison .. mais la maîtresse des lieux se reposait.
Nous baissâmes nos vêtements de bain et ma belle pu constater avec plaisir ce qu’elle espérait fortement : nous bandions comme des fous !

Elle se mit entre nous et d’une main experte se mit à nous branler sous l’eau.
-Vous bandez mes salops ! nous dit-elle, vos queues sont bien dures.
Nous ne restions pas inactifs de notre coté : notre ami se mit à les caresser les seins et j’en profitais pour explorer sa chatte exempte de tous poils.

Je me doutais bien de ce que j’allais y trouver : malgré l’eau, son sexe était gluant de cyprine.
Je me fis un devoir de le signaler à notre ami qui derechef, allât lui aussi vérifier que madame était en train de mouiller comme une folle.

-Hmm … vous m’excitez ,nous dit-elle.
-Tu as envie d’être prise ici ? lui demandais-je.
-Tu ne crois pas que c’est un peu risqué ? me répondit-elle
-Mets-toi face à la maison et baisses-toi, tu vas voir.
Ce qu’elle fit.
Je dis à notre amant de passer derrière elle et de la prendre en levrette.
Il ne se fit pas prier,et malgré l’eau qui refermait les chairs de ma belle, il put faire venir buter sa queue contre l’entrée de ma belle.

Celle-ci, d’un geste expert, s’écarta les lèvres et guidât la queue de son amant dans l’antre de son sexe.
D’un « Han », je compris que celui-ci avait pris possession de sa chatte .
Un soupir venant de ma belle signifia qu’il était accueillit avec plaisir et impatience.
-Ne bouge pas trop pour ne pas faire de vagues , dis-je à mon ami.
Je pouvais entendre les discrets feulements de ma belle en train de prendre son pied …
-Accélère ton rythme et jute dans sa chatte ,déclarais-je.
Le va et vient s’accentuait, les sourds halètements des amants m’enivrais.
-Vas-y , jute maintenant ! lui intimais-je.
Je vis son corps s’arc-bouter , une râle s’échapper de sa bouche, sa bite s’enfoncer encore plus profondément en elle .
Et là, je vis , après qu’il se fut retiré, son sperme couler , s’échapper de la motte de ma belle.
Repus, il s’écarta pour me laisser face à l’entrée béante du sexe de ma belle, d’une jouissance à peine terminée.
Je mis un point d’honneur à la faire jouir à nouveau , toujours discrètement mais intensément.
Puis repus, nous nous laissâmes porter par l’eau…
De la jute s’échappait encore un peu de sa vulve….. douce vision…….
Nos ablutions terminées, nous nous rhabillâmes, comme si de rien ne s’était passé…
La maîtresse de maison avait fini de se reposer, nous de nous amuser.
Lorsque nous partîmes de chez eux, l’amant nous raccompagnât et d’un dernière caresse que je lui demandais, il put constater que ma belle avait encore du sperme qui lui coulait entre les cuisses…….divin.
Ce fut une journée….. imprévue.

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