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Mon statut de cocu soumis

Mon statut de cocu soumis



Ma femme Nadia n’a jamais été folle de sexe, mais elle fait encore tourner quelques têtes avec sa poitrine généreuse et son joli petit cul.
Il faut savoir qu’un caractère de soumis sommeillait en moi. J’ai toujours préféré lui administrer un cunnilingus plutôt que la pénétrer. J’hume régulièrement ses petites culottes sales, je me branlais, subissant ses moqueries lorsqu’elle refusait mes avances, et sur un plan domestique, c’est clairement elle qui porte la culotte.
Avec les années, nos relations intimes s’étaient réduites à 3 ou 4 fois par an (eh oui !). Je dis « s’étaient » car depuis deux ans, plus rien. Il faut dire qu’avec mon petit zizi de 8 x 3 en pleine érection (enfin, si on peut appeler ceci érection !) je ne l’ai jamais fait grimper au rideau. Et ces deux dernières années, je n’ai plus qu’un truc mou qui s’élève à peine. Pire, comme j’ai maintenant quelques fuites urinaires, mon caleçon propre du matin pue régulièrement la pisse en fin de journée. Avec son odorat sensible, elle ne manque pas de me le faire remarquer : « Je m’emmerde avec toi, tu pues ! ». Une fois, en présence d’une de ses amies intimes, elle a même ajouté « et ce n’est pas tout ! » avec un petit signe du doigt qui a très bien été interprété. A une autre occasion, alors que sa bonne lui demandait s’il fallait changer le drap de mon lit vu la tâche sans équivoque, elle répondit « inutile, c’est mon mari qui nettoiera sa pisse ».

Dernièrement, un événement complètement inattendu a tout fait basculer. Membre d’une association de bénévoles actifs en Afrique de l’Ouest, elle a voyagé 2 semaines à 2 reprises dans cette zone. Elle en est revenue transformée, et c’est peu dire ! Lors d’une dispute pour un motif futile, elle a explosé. « Je m’emmerde vraiment avec toi, tu pues, tu pisses dans ta culotte, t’es qu’un impuissant avec ta bite de sous membré ! Sache que désormais, tu es cocu, grâce à quelques blacks membrés et endurants comme de vrais mecs, qui m’ont prise par mes trois trous, comme une chienne certes, mais bon sang que c’était bon ! ». Le choc ! Je suis resté comme un con, tétanisé. Sonné, j’ai alors ajouté ce que je n’aurais peut-être jamais du dire : « Tu as raison chérie, je suis un porc qui ne bande plus. Je te prie de me pardonner ». Et là, je ne sais si tous les cocus l’ont ressenti, une sorte de vague excitation agréable me gagnait en parallèle au sentiment que ma bite rétrécissait encore plus ! Est-ce le signe du cocu heureux ?
Certainement surprise par cette réaction, elle saisit la balle au rebond : « L’association cherche un logement pour l’un d’eux qui vient un mois en cours de perfectionnement professionnel, tu vas proposer qu’il vienne chez nous ! ». « Oui mon amour » fut ma réponse.
La semaine suivante, j’ai bien tenté de réagir, mais c’est elle qui assure l’essentiel de notre train de vie et à mon âge, je n’ai ni fortune ni aucune autre perspective. Donc, ma misérable stratégie se résuma à subir ce statut de cocu heureux telle une drogue et absolument éviter qu’elle me quitte et demande le divorce.
Deux mois plus tard, IL débarquait. Moussa, la trentaine, athlétique, pas moche, mais pas un dieu non plus. Nadia avait mis les choses au point : il occuperait officiellement la chambre voisine de la notre, mais moi je devais emménager dans la pièce du sous-sol pour la durée du séjour. En plus de mon activité professionnelle, je devrais m’occuper des courses/repas/boissons/nettoyages (la bonne ne vient qu’une fois par semaine), et de les conduire lorsqu’il ou elle en aurait le besoin.

Le premier soir, après quelques bières et à l’initiative de Nadia, la discussion tourna rapidement sur la taille de nos engins. Il est clair qu’il savait que je connaissais mon état de cocu et savait également que j’avais « insisté » pour qu’il réside chez nous. A un certain moment, Nadia me demanda, ou plutôt m’ordonna, de baisser mon pantalon et caleçon. Eclats de rire. Nadia colla alors sa main sur la braguette de Moussa et, méprisante, me dit : « Là, dessous, il y a une vraie bite comme tu n’en jamais vu. Alors petite bite ridicule, tu vas faire les rangements puis aller te masturber dans ta cave ! Et garde ton mobile près de toi ! Nous montons dans notre chambre afin de me faire défoncer autant qu’il lui plaira et par où il lui plaira ».
A 3h du mat, je devais déposer une bouteille de champagne derrière leur porte, mais sinon je ne les ai revus que le soir suivant, après la préparation de leur petit déjeuner, un peu de nettoyage et ma journée de travail. Ma femme avait certes les traits un peu tirés, mais aussi cette lueur dans le regard qui semblait me dire « Purée ce que c’était bon ! J’en veux encore et encore ! Et toi cocu soumis, heureux de ton rôle de lopette sous membrée ? ». Et la manière dont je baissais les yeux en leur présence devait sembler répondre « Oui, ma femme adorée, je suis cocu, soumis, humilié, mais j’aime çà ».
Ce bal a continué assez souvent les deux semaines suivantes, sans toutefois en être certain car je n’étais pas autorisé à monter à leur étage. Puis, pour marquer la moitié du séjour de Moussa, je dus les conduire aux portes d’un magasin de lingerie fine où Nadia choisit un ensemble en dentelle hyper sexy qu’elle s’était toujours refusé à acheter et porter auparavant et que je dus payer après qu’elle ait précisé à la vendeuse que ce serait là mon seul privilège.

Le soir venu, ils sortirent au restaurant à mes frais, après que ma femme m’eut montré la lingerie sexy sous une fort belle robe qu’elle ne portait par ailleurs jamais. « Il n’y a rien à la télé ce soir, essaye de trouver des vidéos porno de cocu soumis à petite bite, t’arriveras peut-être à juter » dit-elle encore en fermant la porte.
Plus tard dans la nuit, je passais à l’étape supérieure de ma déchéance. A peine rentrée, Nadia, avec uniquement la lingerie fine sur la peau, vint me chercher, me disant qu’après en avoir bien discuté et surtout ri avec Moussa, mon attitude était celle d’une lopette et qu’une lopette, ça suce des bites, des vraies ! Elle m’ordonna de faire une vraie fellation à Moussa en m’interrompant de temps à autre pour m’obliger à lui dire bien distinctement :
« Ah Moussa chéri, j’aime ta bite. Défonce moi la bouche, chéri ! J’avalerai tout comme une grosse fiotte que je suis ! Avec vos bites, vous les blacks, vous êtes nos maîtres ! Les mecs à petit zizi comme moi ne sont rien, juste bon à jouer les rouleaux papiers WC sur pattes ».
J’étais non seulement cocu, mais heureux d’être converti en sous mec lopette avaleuse de foutre, comme si cela contribuait à donner du plaisir encore plus intense à mon épouse.
Je redescendais dans ma cave, les amants passaient leur nième nuit torride et cela se répéta ainsi quelques fois durant le reste du séjour de Moussa. Une fois avec une variation, Nadia vint me faire couler le sperme qui dégoulinait de sa chatte directement dans ma bouche.
Nous reprenons maintenant notre vie de couple (jusqu’à son prochain voyage), je conserve mes tâches ménagères, mon rôle de soubrette, mon traitement de lopette et mon logement à la cave. Je dois « m’occuper de mes petites affaires », ce qui se traduit par : m’exhiber sur des sites spécialisés, raconter les aventures de mon épouse avec ses amants, me goder jusqu’à en gémir de plaisir, me branler en sa présence, parler à de parfaits inconnus par messagerie interposée de mon statut de cocu soumis et heureux de l’être.

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