Kevin avait une vingtaine d’année et était étudiant en chimie. Il avait répondu à mon annonce et se présentait comme gay actif. Dans son profil il indiquait qu’il aimait le porno, le cul et les hommes vicieux. Il n’était pas gêné par notre différence d’age et acceptait de me sodomiser dans des rapports protégés. Nos échanges par messagerie ont débouché vers un rendez-vous réel.
Cet après midi de novembre, il m’a rejoint dans ma chambre d’hôtel. Il avait un charmant visage rond avec une pointe de féminité, de très beaux yeux bleus, des cheveux courts noirs et une petite remontée de la lèvre supérieure très sexy. Il me dépassait légèrement avec son mètre quatre vingt trois, et était un peu enrobé (Chubby comme on dit).
Il s’est rendu dans le coin de la chambre et s’est immédiatement déshabillé. Sa peau était assez blanche, douce au toucher, et il était totalement glabre. Je me suis déshabillé à mon tour pour que nous puissions nous enlacer, nus.
Il m’a rejoint au centre de la pièce, m’a attiré contre lui et m’a immédiatement embrassé fougueusement. J’étais légèrement surpris par cet empressement mais ravi de cet élan. Sa langue s’enfonçait à la recherche de la mienne, dans ma bouche. Soudain il a saisi mon visage entre ses mains, l’a éloigné un peu pour me dévisager avant de reprendre ce torride baiser. A nouveau, il m’a écarté un peu, m’a regardé d’un air sévère, puis a repris son baiser et commencé à me lécher les lèvres, les joues, les paupières. Le geste était vif, légèrement brutal, mais pas violent, et bien que je n’y étais pas préparé, j’appréciais qu’il me lèche le visage comme un chien heureux de voir son maître.
Il m’a poussé ensuite vers le canapé clic-clac qui ornait la chambre, Il s’y est installé, moitié assis, moitié allongé, jambes écartées. Je ne pouvais que remarquer sa queue tendue qui devait faire 20cm de long pour 4 de diamètre. Impossible de résister à le sucer. Je m’agenouillais et entourais son gland de mes lèvres puis j’ai commencé à monter et descendre sur sa tige en faisant jouer ma langue. Par instant, il m’a saisi la tête pour imprimer le rythme, mais comme il appuyait trop fort, son sexe tapait au fond de ma gorge et me provoquait des haut-le-cœur désagréables. Je résistais donc mais poursuivais néanmoins la fellation.
Je n’aime pas trop la vulgarité, mais quand il m’a dit : « Oh, tu as l’air d’aimer ça, toi ! Tu suces comme une vraie salope », j’ai gloussé un peu tout en gardant sa queue en bouche, et j’étais en fait assez flatté de pouvoir faire plaisir à ce jeune homme. Il m’a redressé et m’a demandé de me branler devant lui. J’ai commencé à m’astiquer mais il s’est levé, m’a poussé sur le canapé et m’a couché sur le dos. Encore une fois, c’était un peu brutal : J’avais clairement affaire à un actif dominant. Finalement, le maître, c’est plutôt lui ! Il s’est placé au-dessus de moi et j’ai crains un instant qu’il ne me pénètre sauvagement, dans la foulée. Mais il s’est allongé et a frotté son corps contre le mien. Son sexe glissait contre mon sexe et mon ventre tandis qu’il m’embrassait et me léchait la figure. Il pesait de tout son poids sur moi et il a attrapé mon visage entre ses mains, a ouvert ma bouche avec les pouces et a laissé couler un long filet de salive dans ma gorge. Je n’avais jamais essayé ce préliminaire, très suggestif d’une éjaculation buccale, et contre toute attente, j’ai vraiment aimé ça.
Il s’est redressé, m’offrant de nouveau son sexe à sucer. J’ai encore du résister pour éviter qu’il ne me l’enfonce profondément et douloureusement en fond de gorge. Là, il s’est lassé et a décidé de passer à plus sérieux. Il m’a poussé sur le lit, buste en avant et fesses redressées en position de chienne. Il a saisi un préservatif, l’a enfilé et s’est installé debout derrière moi. Il m’a ramené un peu les jambes en arrière pour rapprocher mon cul, et il m’a pénétré fermement et totalement en une fois. Heureusement, qu’avant son arrivée, je m’étais fait une toilette intime et, ce faisant, je m’étais un peu dilaté le trou. Il n’a pas pris la peine d’utiliser du gel et la lubrification du préservatif était juste suffisante. Je mordais les draps et je gémissais à cause de la douleur mais aussi du plaisir de sentir sa bite totalement dans mes entrailles. Tout en me limant le cul, il m’a demandé : « Tu es une bonne salope, toi ! Dis-le ! Dis que tu es une salope ».
Je ne le souhaitais pas, mais je ne voulais pas non plus qu’il s’arrête de me baiser, alors j’ai faiblement murmuré « Je suis une salope ». Et il a continué de me démonter le cul en m’assenant quelques fessées. Brusquement, il s’est retiré, m’a poussé en avant et m’a retourné sur le dos. D’un geste il a retiré le préservatif et est venu se placer à califourchon sur ma poitrine. Il se masturbait et je ne pouvais pas détacher mon regard de son sexe tendu à quelques centimètres de ma figure. C’est alors qu’il s’est libéré dans un râle, son sperme inondant mon visage. Je me masturbais aussi, et j’ai presque immédiatement jouis sur mon ventre. Au global, j’avais un peu souffert, mais j’avais eu aussi beaucoup de plaisir.
J’ai revu Kevin une seconde fois. Notre partie de sexe fut encore marqué par son attitude dominante teintée de vulgarité, et bien que j’y trouvais un certain plaisir je ne m’abandonnais pas à sa soumission. Ça ne devais pas lui convenir car après ce deuxième rendez-vous, il m’a bloqué en messagerie et ne j’ai plus eu de ses nouvelles.
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