Texte d’une amie
Avant de venir habiter en Normandie, nous habitions un petit village dans le nord de la France.
Mon père avait été muté, et ne voulant pas me faire changer de collège en court d’année, ils s’arrangèrent avec son meilleur ami pour m’héberger les 6 mois qu’il restait.
Michel était un homme d’une 40aine d’année, vieux monsieur que j’avais toujours connus vivre seul.
Il vivait dans la maison de ses parents, une vielle maison à l’ancienne où les murs étaient très fins.
Tous se passait très bien chez lui, il était toujours très gentil et très serviable, il me mettait juste un peu mal à l’aise parfois dans la façon qu’il avait de me regarder.
Un soir ou je prenais ma douche, je vu le rideau qui servait de porte bougeait, je fis genre de rien mais j’aperçu Michel en train de me mater, sur le coup j’étais un peu en colère mais je ne dis rien je ne voulais pas me fâcher car sinon j’aurais dû partir et tout quitter en cours d’année.
Le lendemain, je fis plus attention au rideau et la même scène se passa et soir après soir c’était toujours pareil mais j’en avais fait un jeu. Après tout il ne faisait rien de mal il se rinçait juste l’œil.
Un soir ou nous étions devant la télé, j’avais mis un mini short sous lequel je ne mettais pas de sous-vêtement et un petit t-shirt, c’est ce qui me servait de pyjama. Je le voyais qu’il n’arrêtait pas de me regarder, et je me rendis compte que mon mini short était mal placé et qu’il pouvait voir la naissance de ma foufoune, je trouvais ça plutôt flatteur qu’un homme de cette âge soit attiré par moi, surtout que j’étais très fine et je n’avais pas beaucoup de forme, alors je le laissais mater.
Un soir il était partis chez des amis, et j’étais seule, je m’étais mis un film à la télé mais je m’étais endormis devant, en me réveillant Michel était là, il me regardait allongé sur l’autre canapé, je lui fis un petit sourire et en bafouillant un peu il me dit « tu es vraiment belle », l’alcool l’aidant surement, je me levais, je lui fis un petit bisou en lui disant merci, et alla me coucher.
Le lendemain matin je le retrouvais dans la même position que le soir sur le canapé, je le réveillais et il avait l’air gêné. Il se leva et alla à la douche, je sais pas pourquoi mais c’est moi ce coup-ci qui allait mater, je n’avais jamais vu un homme nu, et je le trouvais plutôt pas mal, même si un peu bedonnant, mais je me l’étais jamais imaginé nu.
Au fil des jours, une complicité c’était créé entre nous, sans réelle raison, même si au fond de moi j’avais une certaine fierté de plaire à cet homme et il devait le sentir car il devenait tactile, temps en temps il me faisait des petits câlins sans être indécent et c’est moi qui déclencha un soir les choses.
C’était un soir ou il faisait un gros orage, chose dont j’ai très peur et je m’en servis un peu, j’allais toquer à sa porte et lui demanda si je pouvais rester avec lui car j’avais peur. Il hésita et me dit oui.
Alors je me faufilais sous sa couverture, il ne bougeait plus dans son lit et c’est moi petit à petit qui me glissais vers lui et fini par me coller à lui, je le sentais un peu mal à l’aise alors je me lui demandais « ça te gène ? » il me dit « oh non pas du tout » et on s’endormit comme ça. Le matin en me réveillant, j’étais totalement dans ses bras et une jambe par-dessus lui, je lui fis un petit smack pour le réveiller.
Le soir suivant, sans raison, je le rejoignis dans son lit, j’avais mis une petite nuisette, je refis la même chose que la veille, me collant à lui, mais une nuisette ne reste pas en place comme un mini short, donc mon corps collait parfois au sien. Ce n’était pas grand-chose mais j’étais certaine que ça lui plaisait.
Les nuits s’enchainèrent et je ne dormais plus qu’avec lui.
Une nuit ou j’avais très chaud, je retirais ma nuisette restant juste en petite culotte, après tout je me réveille toujours avant lui donc ce n’était pas très grave. Le matin arriva et comme d’habitude je me réveille lui dort encore, je pense à remettre ma nuisette et dans le même temps je veux jouer la provocation, je me colle à lui, ma poitrine contre son dos, et j’essaie de le réveiller doucement, je ne mets pas longtemps à y arriver, il se retourne vers moi pour me dire bonjour, il ne voit pas mes seins mais il a dû sentir que je n’avais plus rien en haut, je me colle de nouveau à lui de face et lui fais un petit smack, ma poitrine est sur son torse, ma cuisse étant sur lui je sens rapidement que je ne le laisse pas indifférent, alors je retire ma jambe, je retire la couverture et je me lève, il me dévisage totalement et je file me préparer.
Toute la journée je pense déjà au soir et au moment où nous allons nous coucher, je remets ma nuisette mais sans rien dessous, je sais que je joue à un jeu d’adulte mais ça me plait. On se couche il était la lumière et je me blottis contre lui, et il me dit « tiens ce soir tu n’as pas chaud », je ris et je lui dit « si autant qu’hier », « ba alors pourquoi la gardes tu cette nuit », « ba j’ai rien d’autre en dessous » , il passe son bras autour de moi et me dit « c’est encore mieux », alors je la retire, il fait noir mais je suis certaine qu’il ne quitte pas mon ombre des yeux.
Une fois ma nuisette retirée, je me remets contre lui, sa main caresse mon corps de haut en bas, il ne m’a jamais touché comme ça et j’aime ça, il me caresse les seins, je me découvre très sensible, des frissons parcourt mon corps, il me demande si je veux qu’il arrête, mon exclamation « oh non » le fait rire, il m’embrasse dans le coup pendant que ses doigts font rouler mes tétons bien dur, sa main commence une descente, caressant mon ventre, venant jouer avec mes fesses avant de plonger entre mes cuisses qu’il me fait écarter avant de venir jouer sur mes lèvres, qu’il commence à caresser, mes gémissement l’excite et il intensifie son massage sur ma vulve, il me met dans un état incroyable, je sens que je suis bien humide, et lui aussi, il décolle son corps du mien mais continue à me caresser, je cherche le contact avec son corps, il me demande de ne pas bouger, un premier doigt s’introduit en moi, je pousse un petit cri de plaisir, il me dit que je suis très serré et il joue en moi, je continue à chercher le contact avec son corps, il me dit qu’il ne vaut mieux pas car il pourrait ne plus s’arrêter, et c’est bien ce que je cherche, alors je continue et se laisse faire quand je sens mes fesses toucher son corps je comprends mieux, il bande, je lui dis « retire le toi aussi », il me dit rien et le fait, je sens son sexe contre mon corps, c’est tout nouveau pour moi et j’aime ça, il continue à me doigter, me murmurant à l’oreille qu’il a envie de moi, je lui demande ce qu’il attend alors, il me dit « tu en a envie aussi », avec la même exclamation que plutôt je lui dis « oh oui », il retire son doigt de moi et retira la couverture qui nous couvre, avec sa main il att**** ma cuisse qu’il pose au-dessus de la sienne, vient poser son sexe sur ma foufoune, et lentement commence à pousser sur mes lèvres, en me chuchotant à l’oreille « tu es vraiment certaine », je tournais mon visage vers le sien et en guise de réponse l’embrassa, nos bouches se collèrent, nos langues se mélangèrent, tout ça pendant que son sexe progressait en moi, je sentais bien au fond de moi mon vagin s’ouvrir non sans mal, avec sa main il me caressait en même temps le clito, il me demandait s’il ne me faisait pas trop mal, il était tellement doux que je ne pus lui répondre que non que c’était parfait, et il continua jusqu’à ce que je sente au fond de moi une déchirure, il venait de me dépuceler, il l’avait senti lui aussi, il enfonça son sexe à fond et on s’embrassa langoureusement de nouveau, après un long moment à nous embrasser, il se retira de moi, il m’allongea sur le dos et me monta dessus, sa bouche embrassa tout le haut de mon corps, mon ventre, mes petits seins, mon coup, et de nouveau ma bouche, avec sa main il guida son sexe dans le mien et me pénétra de nouveau, commençant ses vas et viens en moi, jouant avec mes seins dont il disait en raffoler, le rythme s’accéléra au son de mes gémissements que je ne pouvais pas contrôler, il me fit l’amour pendant un long moment, au moment où il allait jouir, il sortit son sexe de mon vagin, il attrapa ma main et me dit « fini moi », je me mis à le branler, il fallut que quelques secondes pour que je sente mon ventre se réchauffer, il venait d’éjaculer sur moi, il ramassa son boxer et m’essuya tout aussi vite.
Il s’allongea sur le dos et me pris dans ses bras, en me disant merci, nous étions tous deux en nage,
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