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Jeanne la femme de mon patron 2

Jeanne la femme de mon patron 2



Voici le second chapitre de « Jeanne la femme de mon patron »

Bien que d’habitude je traînais la patte pour aller à l’atelier le samedi matin, ici la fin de la semaine n’en finissait pas. Les soirées n’arrivaient pas assez vites. Je prenais plaisir à me faire plaisir.
Mes parents croyant que je devais plus assidu à la rédaction de mes devoirs, ne me faisaient aucune remarque lorsqu’après le repas du soir et ma douche prise, je filais dans ma chambre à l’étage. Ayant « découvert » ma poitrine et la douceur du lycra, je prenais plaisir à mettre les panty et ma culotte de pyjama dessus. (On ne sait jamais).

J’avais sur le marché du jeudi acheté une paire de très petits pas des sokas. Une sorte de chaussettes confectionnés dans cette même matière que le lycra. De cette manière, je pouvais y mettre les mains comme s’il s’agissait d’une paire de gants et étaient facilement dissimulable aussi.
Donc toujours avec les mêmes images de Jeanne en tête, mes soirées se passaient dans mon lit sous les couvertures, un livre scolaire à portée de main. Je m’amusais beaucoup de la sorte. Je commençais toujours par le même rituel, à savoir sentir l’entre-jambe de mon collant avant de le mettre tout en me pinçant les pointes de ma poitrine. Je dois dire que cela me faisait vite bander.
Pourtant le vendredi soir, tout excité pour le lendemain, j’ai mis mon sexe mou dans un soka avant qu’il ne prenne vigueur. J’avais serré la base du soka avec un tour de papier collant (oui ouille les poils). Je sentais l’entre-jambe du panty la tête enfouie dans l’oreiller, une main me caressant le sexe à travers le lycra du soka et l’autre griffant très doucement mon téton.

Mon sexe s’est vite trouvé à l’étroit dans se fourreau de lycra au fur et à mesure que l’excitation montait mon sexe gonflait et tentait le soka. N’en n’ayant qu’une paire, je du faire attention de ne pas y éjaculer, déjà que mon gland laissait un liquide incolore le tacher. Ce soir là il fut moins une que je n’y déverse cet abondant éjaculat crémeux et chaud. Par contre, mon visage donc mes lèvres enfuient dans l’entre-jambe du collant y avaient laissé un filet de bave. Quelle odeur… Vivement demain que je sois à l’atelier.

Inutile de dire que le samedi matin, soit le lendemain, j’ai englouti mon déjeuner et étais à l’heure à l’atelier.

C’est Jean qui est venu ouvrir la porte du magasin, j’étais un peu trop tôt, mais bon… Il m’ouvrit et retourna dans sa cuisine terminer son déjeuner. Quant à moi je savais que faire, et le travail ne manquait pas non plus. En traversant le commerce, puis le couloir qui menait à l’atelier, j’avais vue sur la partie « privée » de l’habitation, soit une sorte de véranda où en général Jeanne y faisait pendre son linge etc…

Dans le quart d’heure qui suivi, Jean est sorti de la cuisine et m’informa du travail en surplus de dernière minute. Il me demanda si, une fois n’est pas coutume, je pouvais venir aussi cet après-midi, ça lui tirerait une épine du pied comme on dit. Cool me dis-je en moi-même.

« Oui monsieur, je retournerai manger chez mes parents sur le temps de midi puis serai de retour vers 1300 heures », « Parfait Charles, j’apprécie ».

La matinée s’est déroulée comme prévu, je n’ai malheureusement pas vu Jeanne et était dans la partie privative et s’activait.

Devant effectuer des allées et venues dans le couloir pour me rendre dans la cave réserve, je ne manquais jamais de regarder en direction de la véranda. Arrgghh, je viens de rater de peu Jeanne, elle vient juste de mettre du linge à sécher. Dans le linge qui séchait, j’y ai aperçu de banaux sous-vêtements et notamment deux ou trois panty clairs et un très foncé, mais aussi quelle ne fût pas ma joie de voir qu’elle avait mis à sécher le même type de sokas que j’avais soigneusement cachés dans ma chambre. Wahou, mon sexe se réveilla dans mon boxer sous la salopette.

Donc vers 1200 heures, retour maison et repas. Juste après m’être lavé les mains à l’étage, je file dans ma chambre et récupère mes propres sokas. Heureusement que je n’y avais pas éjaculé dedans.

De retour à l’atelier vers 1300 heures, donc, rien de spécial, mis à part que Jean doit aller rechercher un cadre (de vélo) à l’émaillage au centre ville, une commande de dernière minute pour un groupe de cyclo-touriste de la principauté. Quant à moi je suis afféré tant physiquement sur mes vélos que mentalement sur ce que je ne parviens pas à ôter de ma tête, c’est-à-dire les sous-vêtements qui sèchent et les sokas que je regarde à chaque passage de part le couloir.

Oh miracle, Jeanne sort de la partie privative car un client vient d’entrer. Au passage elle me salue par le dépôt d’un petit bisous sur la joue. Elle est toujours habillée pareil, chemisier clair à petites fleurs, jupe trois quart à carreaux, panty sombres ici et ses chaussures ouvertes.

Tandis qu’elle s’affaire avec le client et doit se rendre sur le parking de l’autre côté de la rue pour décharger le vélo du client, j’en profite pour prendre ses sokas et y mettre les miens sur le fil à linge. Mon coeur bat la chamade, je crois qu’il va me sortir par la gorge. Mais non, tout se passe bien et je retourne à mon ouvrage dans l’atelier.

De l’atelier, je vois Jeanne derrière le comptoir, elle est debout sur une jambe, l’autre la droite, elle est relevée et son tibia est parallèle avec le sol, le pied est donc sorti de sa chaussure ouverte. J’en fais une fixation de ce pied. Je m’imagine entrain d’y toucher délicatement le talon, de le masser doucement. Lorsque toujours entrain de parler avec le client elle remet machinalement son pied pour ensuite le sortir et ce à quelques reprises, je me demande qu’elle tête elle ferait si sa chaussure lui échapperait et viendrait se perdre sous le comptoir massif en bois.

Merci seigneur. Elle se retrouve un pied sur l’autre jambes donc croisées et ne bouge plus. Je me marre discrétos.

Le client parti, je vois Jeanne de plus embêtée en essayant de récupérer sa chaussure il va falloir bouger du matériel trop lourd pour elle pour la récupérer, j’attends l’appel.

« Charles ? » , « Oui madame, » « Tu sais me venir en aide SVP ? »

Je ne me fais pas prier bien entendu.

Elle m’informe de la situation et termine sa requête par un large sourire rehaussé de ses yeux brillants.

Elle me semble frêle, fragile, délicate. Sa peau est blanche comme le lait, le cou est enjolivé par un petit collier discret, elle porte de petites boucles d’oreille en argent je crois.

« Charles ? Charles ? Chaaaaarrrles ? » « Heu oui madame. » « Tu es où là, tu as à l’air absent, je te parle… » « Oui madame ».

Ouf, elle n’a pas vu que c’était elle qui me fascinait de la sorte.

Afin de pouvoir récupérer sa chaussure ouverte, elle me prête assistance et débarrasse avec moi le matos, elle se défait de son autre chaussure histoire d’être moi clopin clopant.

A un moment donné, je dois me coucher au sol pour dégager des boîtes et tenter d’att****r la chaussure droite de Jeanne. Mon visage plaqué à terre se trouve à une dizaine de centimètre de ses petits pieds et de son autre chaussure restée au sol. Ses pieds me semblent parfaits, le lycra épouse leurs formes, je tends mon bras et touche presque l’autre chaussure.

Dring, dring, la porte du magasin s’ouvre, un autre client, décidément. Jeanne et moi sommes donc derrière de comptoir, moi au sol, elle debout. Tandis qu’elle parle avec le client, je me risque un regard sous sa jupe trois quart, je contemple ses jambes gainées de lycra sombre. Malgré tout j’ai le temps de distinguer son entre-jambes plus clair, elle semble porter une culotte blanche. Je vois la couture du panty qui se marque dessus.

Je parviens à enfin saisir la chaussure droite de Jeanne, « ouf » ou plus tôt « zut ». Je m’assieds les joues en feu. Jeanne est toujours entrain de discuter avec le client et lorsque je lui tends sa chaussure droite et m’octroie un sourire de toute beauté appuyés de ses yeux rieurs.

Son sourire me fait lâcher prise et ratt**** de justesse sa chaussure.

La chaussure dans une main, assis à terre, ses pieds tout mignons méritent une protection me dis-je. Gloups, sans maîtriser mon geste, ma main gauche vient saisir son talon droit et je lui enfile la chaussure. Comme ça, sans crier gare, comme un grand.
Elle ne dit mot, je suis tétanisé sur place, pour toute réprimande, elle me tend le pied gauche et je lui enfile sa chaussure de la même manière.

Quelle sensation. Toucher ses talons, ses chevilles délicates… Je suis aux anges.

Sans me retourner, je vais dans l’atelier, des images plein la tête.

Le client quitte le magasin. Jeanne prend le couloir et en rentrant dans la partie privative me lance un « Merci beaucoup Charles ».

« Je vais ranger mes affaires, si tu a besoin de moi tu m’appelles, ok ? » « Oui madame. »

Je l’entends siffloter en rangeant ses effets dans la véranda. Manifestement elle plie son linge.
Je croise les doigts et espère qu’elle ne se rendra pas compte de l’échange. J’aperçois bien un changement de rythme dans ses sifflotements mais sans plus.

La fin de journée est là, je quitte Jeanne en prenant soin de ne pas trop la regarder dans les yeux. Elle pose sa main sur mon bras en me saluant d’un baiser sur mes joues et me remercie encore pour l’avoir aidée. Si elle savait.

Je file chez moi. Ma main droite dans la poche durant le trajet, je ne rêve pas, j’ai bien ses sokas avec moi.

Ma soirée couché dans mes draps fut mémorable. Mais ici ce sont ses sokas qui se sont retrouvés sur mon oreiller. La tête enfouie, le nez cherchant la moindre odeur de Jeanne. Je me suis même surpris en me caressant à les goûter en mettant les pointes des sokas en bouche. Je m’imaginais les lui avoir retirer de la sorte en les tirant avec les dents, je me voyais encore regarder sous sa jupe comme tout à l’heure. Que de souvenir ce samedi. Suis content d’avoir fait des heures sup.

Maintenant il me faudra attendre mercredi après-midi. D’ici là le lycra va chauffer.

Le lundi de retour de l’école, ma mère m’informe qu’elle a croisé Jean ce matin et qu’il voudrait bien que je passe le voir après souper. Gloups me dis-je.

Donc après souper, direction le commerce. Jean est entrain de ranger quelques boites et est manifestement content de ma prompte venue.

« Dépose ta veste Charles, on en a pour une bonne demie-heure, je te montre un truc . » « Ok monsieur ». Je dépose donc ma veste au porte-manteaux donnant dans la veranda.

Jean m’a fait venir car il vient de recevoir une nouvelle machine pour monter les roues et n’a pu résister à me faire partager sa joie. Tandis que nous sommes dans l’atelier entrain de discuter et de refaire le monde tout en buvant une bière, je vois Jeanne qui passe et repasse dans le couloir puis véranda puis enfin viens nous retrouver. Elle m’embrasse nous blaguons un peu, puis elle nous quitte.

Quand à moi, l’heure passant, je dois rentrer. J’att**** ma veste, salue Jean et quitte le commerce.

Sur le retour, je mets mes mains en poche et y découvre une chose en boule, cela m’interpelle. Je la sors et me rends compte qu’il s’agit d’une boule de lycra avec un papier à l’intérieur. Je le lis : « Je les ai portés… bonne soirée Charles, à mercredi. »

Voici la fin du second chapitre, j’espère qu’il vous procurera autant d’effet qu’il m’en a procuré.

A bientôt si vous aimé…