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histoire 6: j’y prends goût

histoire 6: j’y prends goût



Il y a quelques jours
Michel travaille tard ce soir. Je suis seule à la maison. On sonne. Je vais ouvrir. Son boss. Il sait que Mich n’est pas là, forcément. Il entre, comme chez lui.
Il s’assied et me regarde, goguenard. « Alors, tu te déshabilles ? » Je reste immobile. « Allez, tu sais que t’as pas le choix, à poil ». Je sais qu’il a raison. Je me déshabille le plus froidement possible. Pas de raison de lui faire plaisir.
« Couche toi par terre, écarte les jambes, ouvre ta chatte ». Les ordres suivent. Je suis furax. J’exécute l’ordre. Le carrelage est froid. Il s’assied sur une chaise placée entre mes jambes. Je sens la pointe de son soulier qui vient buter sur l’entrée du sexe. « Branle-toi sur mon soulier ». L’horreur. Je me redresse un peu sur les coudes et j’essaie d’animer mon bassin de quelques mouvements. Le soulier est très pointu, il parvient donc à pénétrer quelque peu. Quant à obtenir un résultat comme ça, forget it !
Agacé du fait que je m’agite sur sa godasse sans résultat, il m’ordonne de me mettre sur le dos. Il est toujours assis au même endroit. De la pointe de son soulier il ouvre la vulve et commence à écraser le clito, tournant doucement de la semelle dessus. C’est horrible mais je ressens beaucoup plus comme ça. Il le remarque forcément. Il m’ordonne de me pincer et tordre les tétons. Je suis vaincue. L’orgasme arrive, plutôt violent. « Debout ! Penche toi, prends tes genoux dans les mains ». Debout, au milieu de la pièce, il me laisse un peu ainsi avant de me prendre par les hanches et de s’enfoncer. Il va vite et lâche tout rapidement. Il s’en va sans dire autre chose que « à bientôt ». Je décide de me taire. Mich serait catastrophé de savoir ce qui s’est passé.
Mon mari rentre tard, il est crevé. Nous mangeons un morceau sans parler beaucoup. À peine au lit, il dort. Je me sens coupable de n’avoir rien dit mais aussi d’avoir pris un plaisir dans une situation anormale. Je voudrais me punir.
Vers deux heures, je n’y tiens plus. Je fouille dans le tiroir de la table de nuit et je trouve ce que je cherchais : une ceinture en cuir tressé. Je réveille doucement mon homme, très câline. Je lui tends la ceinture en lui disant de me fesser. Il a l’air un peu éberlué, encore mal réveillé. À genoux, nu à côté de moi, je regarde sa queue et je me demande si me fesser le fera bander. Premier petit coup sur les fesses. Je lui crie que s’il est trop fatigué, il n’a qu’à dormir plutôt que de faire semblant. Pfff, là, ça claque vraiment. Coup après coup. Sa queue grossit à vue d’œil. La raclée est sévère mais c’est ce que je veux.
Je compte les coups. On arrive à cent, j’ai les fesses en feu, l’impression que la peau va se décoller. Je me retourne sur le dos. Surprise, je ne dois rien demander, il continue. Sa queue ballotte dans tous les sens. Il n’épargne rien, du haut des cuisses aux aisselles, ça claque. Je lui prends le sexe en main. Les mouvements qu’il fait en frappant le font se masturber naturellement. Son excitation monte. Juste avant de gicler sur moi, il s’acharne sur ma poitrine. Il frappe vraiment fort. Le sperme arrive sur mon ventre.
J’ai payé. Il ne saura jamais ce qui m’a poussée.
J’attends donc que son patron revienne…
Le lendemain, je rentre du boulot. Une petite boite devant la porte avec « pour Patricia » comme inscription. Je rentre et, curieuse, je l’ouvre. Une paire de menottes, un masque genre celui donné dans les avions, un bâillon boule, deux pinces du modèle tarabiscoté qui serre selon la tension que l’on exerce en tirant, reliées par une chaîne, . Je cache tout ça dans ma table de nuit. Qui m’a offert ça ? si c’est Michel, il va forcément vouloir utiliser. Si c’est pas lui, je n’ai pas intérêt à en parler.
Deux jours passent. Michel part à Madrid pour trois jours. Je suis honteuse mais j’attends le retour du patron, inquiète mais excitée.
Il est 19h, le téléphone sonne. Je reconnais la voix, c’est lui. Froid comme d’habitude. Sans rien me demander il donne ses ordres.
« Dans le hall, nue, à genoux, porte de rue entrebâillée, masque sur les yeux, bâillonnée, pinces sur les tétons, mains derrière le dos, menottées, menottes attachées au radiateur ». Il me dit qu’il passerait, je n’aurais qu’à attendre.
Je vais dans le hall, j’attache les menottes comme demandé. J’ouvre la porte, me mets à genoux, mets le masque sur mon front, mets le bâillon, place les pinces sur les tétons. Ça fait un mal de chien. Je n’ai pas le choix. Je mets le premier bracelet des menottes, baisse le masque et me tortille pour fermer le deuxième bracelet. J’y arrive. Tout à coup, la panique me prend : s’il ne vient pas, je suis attachée sans moyen de me libérer. Les seins me font mal, très mal.
Le temps passe, j’ai mal aux genoux, j’ai mal au dos, je suis trop penchée en arrière, je commence à avoir froid, je sens le vent venir de la porte (pourvu qu’elle soit restée dans la même position). La chaîne qui relie les pinces est plus lourde que je ne croyais. C’est lancinant. Envie de pleurer. J’entends du bruit, des pas. Le vent devient plus fort. Quelqu’un entre. « Bien ». C’est lui qui parle, ouf. « tu vois qu’elle obéit ». Il n’est pas seul. Je sens qu’il prend la chaîne, il tire, je gémis de douleur. Il m’enlève les pinces. Le sang revient dans les tétons, c’est horrible.
Il me passe une ceinture (ça y ressemble) autour du cou. Il détache les menottes du radiateur. « Debout ». J’ai les jambes ankylosées mais comme il tire fort sur la ceinture, m’étranglant à moitié, j’arrive à me mettre debout.
« Qu’en penses-tu ? » demande-t-il à l’autre. Grognement approbateur. Il m’enlève le bâillon. Ma salive a coulé jusque sur mon ventre. « On dirait qu’elle a des marques » fait-il remarquer. L’épisode de la nuit est encore légèrement visible. « Ton mari t’a battue ? » je ne peux que répondre oui. Je n’ai pas envie d’expliquer que c’est moi qui l’ai demandé. Il pourrait avoir des idées.
On m’entraîne vers la chambre. Ils ont forcément tout le temps… à peine dans la chambre, je me retrouve à genoux, le ventre sur le lit, les fesses bien exposées. J’entends farfouiller, un sexe me pénètre. On me relève la tête en tirant sur la ceinture, c’est désagréable. Le deuxième s’enfonce entre mes lèvres. Ils changent de place. Je sens cette queue gluante de ma mouille entrer dans ma bouche. Il gicle, j’avale. L’autre se vide en moi. On m’entraîne vers la salle de bain, toujours menottée. On me pousse dans la douche. L’eau froide me cingle tout le corps. Ils s‘amusent de me voir grelotter. Ça dure une éternité. Je dégouline de partout. L’envie d’uriner devient pressante. Je le dis. Il me fait plier les genoux et m’ordonne de le faire. Je suis honteuse mais le jet coule, manifestement dans un récipient. Je suis là à genoux dans cette douche, attendant la suite qui arrive rapidement. Il me tire les cheveux en arrière et il verse sur mon visage le contenu du verre. Ma pisse coule sur mon visage et ma poitrine.
On m’enlève le bandeau. Je n’ai pas le temps de réagir qu’un jet m’arrose. En pleine figure. Je reconnais ce type. Je l’ai déjà vu lors de cocktails de la boite de Michel. Le boss rigole de cette bonne blague. Il se soulage avant de me rincer à l’eau enfin tiède.
Je me retrouve sur le lit, les poignets toujours menottés, derrière le dos. X, appelons-le ainsi, me pénètre. C’est dur à avouer mais j’aime sa manière de baiser.
Il se retire. J’ai une idée. Je demande au boss de se coucher pour que je le chevauche. Il se couche, la queue bien raide. Je me contorsionne pour arriver à me mettre à cheval sur lui, les poignets meurtris.
Il se glisse en moi. X se met derrière et me torture les tétons. Je jouis avant lui, très fort. Je me penche en avant. Nos bouches se collent, nos langues se mélangent. Avant qu’il ait pu jouir, X a repris forme et je sens sa queue chercher mon petit trou. Je suis prise en sandwich.
On se sépare, repus.
Ils finissent par partir. Le boss promet de revenir le lendemain.
Je suis une …, j’ai aimé cette soirée.
Je vous raconte la suite demain.

Troisième soir.
Il m’appelle pour me dire qu’il m’emmène diner. Il arrive à la maison, met sa voiture sur la pente de garage (on est certain que les voisins savent que je reçois quand mon mari est absent…)
Il m’embrasse, fait l’inventaire des richesses cachées et me donne un petit paquet en me disant « de la mettre ». J’ouvre, petite robe noire en stretch. Je la mets : une cata. Elle est courte, pas moyen de mettre des bas. Le dos est nu et la matière moule étroitement les tétons.
Il me demande si j’ai des bottes. Je mets celles qui montent quasi au-dessus du genou.
Je veux mettre un manteau. Non, il veut une veste courte pour que l’on puisse voir les cuisses. J’ai l’air d’une pute. Il me demande quel restaurant où je suis trop connue et donc à éviter. On part à pied. Je sens les regards qui passent sur la peau nue des cuisses. Je sens le vent sous la robe qui protège mal ma chatte de ses caresses.
P…, il m’entraîne dans le restaurant que je voulais éviter. Alfredo, Francesco et Giuseppe, le pizzaiolo, me connaissent depuis sainte perpette.
On s’installe dans un coin, assis à 90°. Ma robe trop courte est donc bien mise en valeur pour la salle…
Quand le garçon apporte les suggestions, j’ai déjà une main sur le genoux. Quand il prend commande, la main est sur la cuisse. Quand l’apéro arrive, je dois cacher sous la nappe que la main a atteint ma toison.
Le repas, pour le reste se passe calmement.
Nous rentrons. À 100 mètres de la maison, il me colle contre un abribus et m’embrasse en pleine rue. Il fait calme et la nuit est tombée mais c’est quand même mon quartier. Comme je le freine, il commence à remonter ma robe. Je tente d’échapper à l’étreinte. Ma robe est autour de la taille. Il me dit d’obéir si je ne veux pas rester le cul à l’air. Il redescend le bout de tissu qui me couvre. J’ai eu chaud, si je peux dire.
Nous rentrons à la maison. Arrivés dans le living, je vais vers la fenêtre pour tirer les tentures. Il m’arrête. Le cauchemar continue. Le living est en façade en partie et est brillamment éclairé. Il m’ordonne de me déshabiller. Je prie le ciel que le programme TV soit bon… Si un voisin regarde par la fenêtre, il me voit nue, debout dans la salle à manger. Je me retrouve les pieds au sol, le dos sur la table, jambes écartées, sexe ouvert face à la fenêtre. Je me caresse pendant qu’il commente la scène en me disant d’imaginer un mec ou des mecs en face qui se branlent en me regardant . Je finis par jouir.
Nous sommes montés dans la chambre. On a fait l’amour, simplement. Il est parti au matin.
Mon mari est rentré dans la journée. Il ne saura jamais…

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