Dans mon lotissement
Je suis arrivé dans ce département lors de mes quarante ans, suite à une mutation. J’ai trouvé à louer une maison dans un lotissement. J’ai découvert mon nouvel environnement, trouvé le supermarché, le boulanger, le médecin, la pharmacie. C’est cette dernière qui m’a surpris. Le pharmacien avait un drôle de look. Pas moche à regarder, sa coiffure était parsemée de mèches colorées, parfois en blond, tantôt rouges. Un jean toujours à la mode. Je le trouvais en décalage par rapport à sa femme plus classique.
Mon jardin était séparé sur la droite par une haie, un monsieur veuf, d’une quarantaine d’année, élevant ses trois enfants, sur la gauche un grillage marquait la frontière avec une famille composée de trois filles, d’une mère et d’un père de mon âge, d’allure paysanne, négligé dans ses tenues, et faisant beaucoup plus que son âge.
Après quelques mois, et plusieurs discussions avec le voisin de gauche, il me proposa de boire une bière. Il m’invita à passer par son garage, pour me faire entrer dans une pièce du dit garage. Mal éclairée, juste une table, un réfrigérateur, quelques verres. Des photos de femmes déshabillée ou presque, arborant des positions parfois gynécologiques décoraient les murs de parpaings bruts.
Tout en buvant la bière fraîche à même la bouteille, il m’expliqua que dans la région, les gens aménageaient des pièces en dehors de l’habitation. Ils appelaient cela des « caves ». Certaines se faisaient dans le garage faute de place, d’autres dans une pièce bien aménagée, comme celle chez son frère
Alors que j’étais dans le jardin, il me pour me présenta son frère. Il n’était pas très athlétique, plutôt rondouillard mais un visage plein de charme. La confiance s’installant, il m’apprit qu’il avait deux frères qui vivaient dans ce lotissement. Celui qu’il m’avait présenté – le plus jeune – était célibataire. Je commençais à m’intéresser à celui là.
Lorsque la discussion s’instaurait, avec ce voisin, je posais quelques questions sur son frère, qui je l’appris plus tard s’appelait Daniel. J’arrivais même à savoir qu’il voyageait souvent avec un copain. Cette information m’encouragea d’en savoir plus.
Toujours avec mon vélo, je passais du temps à me balader dans le lotissement à la recherche de la maison de Daniel. Cela dura plusieurs balades avant qu’au détour d’une rue je l’aperçus entrain de tondre sa pelouse. Il était en marcel blanc et short orange. Je l’observais de loin. Son marcel ne masquait pas son ventre, par contre, son short rebondit me laissait rêveur sur ce qu’il pouvait cacher. Je me suis approché pour le saluer, parler du temps qu’il faisait, idéal pour ce genre de travail. Je le complimentais sur son jardin que je trouvais très bien arrangé. Il me remercia.
Lors de ce premier contact, j’ai pu constater que nos regards étaient encourageants. Je dois dire que j’ai fait du forcing pour l’apprivoiser jusqu’à ce qu’il m’invite à boire un verre chez lui. Ce fut un après midi. Cette fois, il était vêtu d’un t-shirt et d’un jean qui marquait bien son entre jambe. Il me fit entrer dans sa « cave ». C’était loin d’être une cave, c’était une grande pièce au fond du jardin, super bien aménagée. Il y avait un canapé, une table basse, des fauteuils, un mur entièrement lisse et blanc, au plafond un vidéo projecteur. Une vraie salle de cinéma.
Assis confortablement dans un fauteuil, mes yeux ne pouvaient se détacher de sa braguette, ce qui eut pour effet de faire gonfler ma queue bien coincée dans mon boxer. J’espérais qu’il ne s’en aperçoive pas. Au cours de la discussion, il me raconta ses voyages de vacances, qu’il aimait faire beaucoup de photos et films, que c’était pour cela qu’il avait aménagé cette pièce dans laquelle il faisait des soirées diapos avec des potes. Je lui parlais de mon métier, ce qui lui rappela des souvenirs.
Voyant mon verre vide de ma première bière, il m’en proposa une seconde. Je lui précisais que je buvais rarement d’alcool, que j’étais vite saoul. Il insista, je n’ai pas refusé. Je commençais à me sentir bizarre mais ma queue ne dégonflait pas. Après cette deuxième bière, nous étions à nous tutoyer. En me relevant pour le quitter, je sentais l’effet de l’alcool, qui n’avait pas fait disparaître la bosse de ma braguette. Il le remarqua si bien qu’il me dit :
– La bière te fait un drôle d’effet !
Au moment de partir, nous avons échangé nos adresses mails pour rester en contact. Arrivé chez moi, j’ai pris une douche bien chaude. Je me suis bien branlé en essayant d’imaginer ce que contenait son jean.
Le travail étant, nous sommes restés un bon moment sans se voir, à s’échanger quelques courriels parsemés d’allusions très subjectives, avec des pièces jointes de ses vacances, en particulier un paysage panoramique où l’on pouvait distinguer une plage naturiste. Je lui avais répondu que moi aussi je fréquentais ce genre de plage.
Par courriel, il me dit qu’il recevait un copain irlandais qu’il avait rencontré lors d’un voyage, qu’il allait lui montrer ses photos de vacances, qu’il m’invitait pour un apéritif dînatoire. J’acceptais. Je suis arrivé avec une corbeille de fruits, pensant que cela ferait passer peut-être les effets alcoolisés.
Il est venu m’ouvrir en jean très serré, et mules. Son bronzage ressortait sur son t-shirt blanc. Il me présenta Shaun, un vrai irlandais dans nos âges, avec ses cheveux roux, une grosse barbe toute aussi flamboyante. Il était habillé d’un pantalon de toile marron, d’une chemise à carreaux ouverte sur un buste robuste et velu. J’avais l’impression d’avoir devant moi un ermite ou homme des bois. Son sourire me rassura. De son visage émanait un personnage accueillant sous cet aspect rustique. Il parlait français (avec un fort joli accent), ce qui m’arrangeait bien, vu que mon anglais très scolaire.
Dans sa « cave », était posé sur une table basse de quoi se goinfrer, aussi bien en victuailles qu’en boissons, (bières, whisky, vodka ….). Le vidéo projecteur relié à l’ordinateur projetait une photo titrée « mes vacances en Croatie ». Afin d’avoir le meilleur angle de vision, nous étions tous les trois assis sur le grand canapé juste en face de l’écran.
Shaun me proposa un whisky. Ne tenant pas l’alcool, je portais mon choix sur une bière rousse – comme Shaun ce qui le fit sourire – . Il la versa dans une chope. La mousse s’arrêta au ras du bord. Il servit à Daniel et à lui aussi un whisky. Après avoir trinqués, Daniel dit :
– Près pour la soirée diapos ?
Daniel a baissé l’intensité lumineuse. Dans la pénombre, les images étaient superbes. Tout en regardant les photos défiler, nos verres se son vidés. Je commençais à sentir les effets de cette bière irlandaise. Shaun refit le service. Les images de monuments, de rues, se suivaient. Alors Shaun posa la question :
– C’est quand la plage ?
– Tu es impatient de voir la plage où j’allais me baigner ? C’est pour bientôt répondit Daniel.
En effet après encore quelques photos du coin, des paysages de bord de mer avec une mer bleue limpide, des pins parasols sont apparus. Au fond une plage presque vide. Shaun s’exclama :
– tu peux pas zoomer que l’on voye qui sont ces baigneurs ?
– Je ne peux pas zoomer, mais attends les prochaines photos.
La deuxième bière commençait à me faire rire pour un rien (Il est vrai que j’ai l’alcool gai – ou gay selon -).
Les photos suivantes prisent sur la plage, montraient que des mecs à poil se faisant bronzer sur tous les côtés. Shaun ne pus s’empêcher de commenter :
– il n’y a que des mecs sur cette plage !
– Tu croyais que j’allais me faire bronzer au milieu de femmes ?
– C’est sûr que tu es plus à l’aise avec des mecs !
– Tu peux parler ! toi aussi tu ne dirais pas non !
– Et toi qui ne dis rien, qu’en penses-tu me dit Shaun ?
– Je trouve ses photos superbes répondis-je !
– Et tous ces mecs et toutes ces bites ?
– J’irai bien en vacances là-bas répliquai-je !
Les photos devenaient de plus en plus explicitent. On pouvait voir les mecs de plus près. Certains étaient allongés sur le ventre, exposant leurs fesses rondes et musclées aux rayons du soleil, d’autres sur le dos jambes écartées, avec leur sexe reposant sur leurs testicules pendantes, aussi imberbes qu’un poupon, d’autres naturellement poilus. Il y en avait couchés en chien de fusil comme pour dormir leur attirail posé sur leur cuisse. Je cherchais plutôt les mecs non circoncis.
A la vue de tous ces mecs, je sentais dans mon slip se déformer par mon sexe. Comme il était replié, et dans la pénombre de la pièce, j’espérai que cela passerait inaperçu. Pour essayer de ne pas penser à mon érection, je dis :
– Personne n’a rien dit que tu prennes des photos ?
– Tout le monde en prenait, et cela devenait banal, il y en a même des TRES NATURELLES répondit Daniel.
– On te voit pas dit Shaun ?
– Un peu plus loin dit Daniel, mais ce n’est pas facile de se prendre tout seul en photo.
Sur l’écran apparut un superbe mec, tout en muscle, la peau cuivrée, sortant de l’eau avec un gourdin, en angle droit au dessus de ses boules bien remontées, le tout agrémenté d’une toison bien entretenue. Cette photo fit dire à Shaun :
– Putain quel mec ! Ce n’est pas pour rien si je commence à bander dans mon fute.
En me regardant :
– Et toi ça ne te fait rien ?
Je ne sais pas si c’est mon état second, mais bêtement, je me suis entendu dire : NON.
– je te crois pas dit Shaun !
Et d’un geste rapide, plongea sa main vers ma braguette. Tout en partant dans un rire, j’eus juste le temps de me retourner. Cela ne lui plut pas et dit :
– Ha ! monsieur ne veut pas qu’on sache ! Monsieur fait sa timide !
Ses mains tentaient d’arrêter les mouvements que je faisais pour me dégager de son emprise, sans y parvenir. Je me suis retrouvé le ventre sur les jambes de Shaun, la tête sur la braguette de Daniel qui m’avait saisi les bras pour m’immobiliser, alors que Shaun bloquait mes jambes.
Toujours aussi pris de rires, je rendis les armes. Dans la bagarre, Shaun avait réussi à déboutonner ma ceinture et ma braguette. Il n’eût aucune difficulté à faire glisser pantalon et slip sur mes cuisses dégageant mon cul qu’il commença à caresser. Je me mis me tortiller comme une anguille. De sentir mon sexe se frotter au contact de la toile du pantalon de Shaun m’excitait davantage, tout comme sentir sur mon visage la bosse que faisait la braguette de Daniel. Shaun ne put s’empêcher de faire cette remarque :
– Il a l’air d’apprécier !
Tout en disant cela, toujours une main sur mes fesses pour me bloquer, il finit d’ôter mon pantalon et slip pendant que Daniel retirait ma chemise. Je me retrouvais donc complètement à poil sur les jambes de Shaun. D’être nu au milieu de deux mecs encore habillés me faisait un effet inconnu à ce jour.
Plus rien n’entravait Shaun à s’activer. J’opposais une légère résistance en serrant les jambes lorsque Shaun passa sa main entre mes cuisses pour saisir mes boules. Je sentais que Daniel n’allait pas rester longtemps avec son sexe prisonnier. Il n’opposa aucune réticence lorsque je lui déboutonnais son pantalon. Il se souleva pour faciliter mon geste. Je lui baissais jusqu’aux genoux. Maintenant, mon visage était au contact de son slip, dont la bosse augurait un sexe de bonne dimension. Je sentais l’odeur d’homme à peine poivrée mélangée à celle suave d’un savon.
Je ne m’opposais plus à l’initiative de Shaun. Sa main saisit mes attributs, les tira vers l’arrière ce qui me décalotta entièrement. Maintenant c’est mon gland qui frottait sur la toile rêche de son pantalon.
Daniel écarta l’élastique de son slip pour laisser jaillir le haut de son sexe mi décalotté. Ma bouche suçotait comme un fruit que l’on veut déguster le lubrifiant que l’excitation avait provoqué. J’aimais ce goût salé. Sentant comme un goût de trop peu, je fis glisser le tissu qui cachait son trésor, pendant qu’il ôtait son-t-shirt.
Je fus comblé par ce sexe droit comme un « i », ni trop gros, ni trop long, surmonté d’une toison bien entretenue, ses lourds testicules rasés. J’écartais ses jambes pour les caresser, alors que ma bouche avait entièrement englouti sa verge.
Je mettais beaucoup d’application à sucer Daniel, ce qu’il me rendait par des soupirs lorsque je m’attardais sur son gland le pinçant de mes lèvres, quand je durcissais ma langue pour titiller son frein et remonter par le sillon de son gland jusqu’à l’urètre, alors que Shaun explorait ma raie en écartant au maximum mes fesses afin de mater mon anus. Il y déposa sa salive pour le masser de son indexe qu’il finit par enfoncer. Sentant qu’il pénétrait facilement, il en ajouta un second. Cela ne lui suffisait pas, il voulait tester ma résistance. Il retira un des doigts ne laissant que son indexe. Je sentis un autre doigt s’insérer. C’était son autre indexe. Ainsi il put écarter mon anus, alors que ses mains écartaient mes fesses. Je sentis un air frais lorsqu’il souffla dans mon trou avant d’y remettre de la salive tiède. J’entendis Shaun dire :
– Putain il s’ouvre bien ! Il doit aimer ça, je vais me régaler !
Daniel se pencha pour constater de visu.
Il fallait une certaine concentration pour ne pas jouir.
Shaun s’absenta. Daniel en profita pour mettre à profit le travail préparatoire que Shaun avait pratiqué. Le temps d’enfiler un préservatif, il se positionna derrière moi, son sexe raide aussi dur que l’acier.
Il frottait doucement son gland sur mon anus, puis l’introduit doucement. C’était un plaisir de sentir ce sexe si dur m’envahir avec autant de précaution.
Il me fit mettre sur le dos les jambes relevées. Je pouvais voir son visage concentré sur sa tâche, il pouvait voir mon visage ravi de la manière dont il m’honnorait.
Lorsque je vis Shaun revenir, j’avais l’impression de voir arriver un ours voir même le yéti. Des poils partout sur le torse, le ventre, de cette forêt se détachait un sexe impressionnant par la taille. Il n’était pas trop grand, mais d’une épaisseur impressionnante.. Les veines étaient saillantes, même à travers le préservatif, son gland circoncis turgescent. Voyant Daniel occupé à me limer, il dit :
– J’avais préparé le terrain, je vois que tu en as profité ! Alors, il est prêt pour m’accueillir ?
Bien qu’ayant l’habitude d’utiliser des godes de bonnes dimensions, j’étais impressionné à l’idée de me prendre cette matraque dans le cul.
Dès que pénétra son gland, je poussais un :
– Vas-y doucement tu vas m’éclater !
Comme s’il n’avait rien entendu, il enfonça la moitié de son chibre. Pour me détendre, Daniel me caressait le torse, m’embrassait dans le cou. Lorsque j’ai senti ses poils toucher mes fesses, je savais qu’il était entièrement dans mon intérieur. A chaque va et vient, j’avais l’impression de sentir ses veines sur les parois de mon rectum. Ayant intégré ce mandrin, je commençais à me détendre et apprécier cette virilité irlandaise.
Mon sexe devenu mou sous le choc de cette sodomisation, Daniel fit en sorte qu’il se redresse en le suçant. Au contact de cette cavité chaude et humide, il reprit de la vigueur. Une fois atteint sa raideur, Daniel se positionna de manière à ce que je puisse à mon tour le sucer. Shaun me labourait sans ménagement. Daniel était très actif sur mon sexe, sans oublier de descendre sur mes testicules. De mon côté, je le décalottais au maximum afin que ma langue fasse le tour de son gland, puis longe sa verge jusqu’à ses boules restées pendantes. Je pouvais ainsi les gober, les maintenir quelques instants dans la chaleur de ma bouche. Mes mains libres, pouvaient écarter ses fesses pour déguster sa rondelle.
Chacun prenait un immense plaisir aux bruits de gémissements que l’on pouvait entendre.
C’est Shaun qui, dans un dernier mouvement se collant brutalement à moi, dans un râle éjacula. Je sentis qu’une grande quantité de sperme remplir le préservatif. Comme si cela avait été calculé, Daniel et moi avons reçu respectivement le sperme de chacun dans notre bouche. Ne voulant rien perdre, nous nous sommes léchés jusqu’à la dernière goutte.
Repus de tant de plaisir, nous nous sommes affalés sur le canapé. Pour se requinquer, Shaun nous avait rempli nos verres, mais cette fois, j’avais pris un whisky.
Le vidéo projecteur avait terminé son diaporama sur Daniel bronzé, les bras levés, jambes écartées, attributs pendants comme pour crier victoire, sur fond de plage et ciel bleu.
Je ne m’attendais pas à ce que Shaun dise :
– Je voudrais bien aussi goûter sa bite !
Bien qu’elle soit au repos, il entreprit de s’en occuper. A voir le sourire de Daniel, j’en déduis qu’il devait être complice. Shaun de mit à quatre pattes devant moi, écarta mes jambes, saisit ma queue molle. De ses gros doigts, il me décalotta, pour porter mon gland à sa bouche.
Je sentais sa barbe caresser mes cuisses. Ces frôlements me provoquaient des frissons. Cette sensation devait être pour quelque chose au fait que mon sexe reprenait de la vigueur. J’en étais le premier surpris. Il s’y prenait tellement bien que je finis par bander fort. Les jambes presque à angle droit, je sentais toujours cette barbe douce qui me caressait lorsqu’il engloutissait la totalité de ma verge. Il lui fallu un certain temps avant qu’il reçoive les dernières gouttes de sperme que je pouvais produire.
Rentré chez moi, j’ai pris une douche, me suis affalé sur le lit épuisé et rassasié.
Pendant longtemps, lorsque je croisais un mec avec une superbe barbe, je sentais des sensations agréables dans mon slip.
Je voyais mon voisin de clôture différemment, en me demandant si il savait ce qui se passait dans la cave de Daniel.
Il y aura une suite …………….
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