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A deux sur les grosses fesses de ma voisine

A deux sur les grosses fesses de ma voisine



J’habite dans un charmant village du sud de l’Allemagne. Les maisons sont des chalets avec du géranium aux balcons et tout est propre et bien tenu. On se connaît tous et on se rend souvent visite les uns les autres. Maintenant, il y beaucoup d’hommes et de femmes seuls, veufs, divorcés, célibataires endurcis. Je m’appelle Hans, j’approche de la soixantaine et je suis célibataire. Par un bel après midi d’été, assez chaud, je décidai de rendre visite à ma voisine, Troudi, que je n’avais pas vue depuis quelques jours. Elle est encore belle, Troudi, veuve d’un ouvrier qui avait l’habitude de boire pas mal, malgré les quelques kilos qu’elle a en trop. Elle est grande, blonde et que l’on voit tout de suite quand on la rencontre, c’est sa forte poitrine : des seins que l’on devine opulents sous le vêtement, quel qu’il soit, léger ou plus lourd.

En frappant à la porte, j’entendis des voix. Elle n’était donc pas seule, rien de grave. Elle vint m’ouvrir, un grand sourire aux lèvres sur le visage.
– Quelle joie de te voir, mon cher Hans, que me vaut ta visite ?
– Rien, de spécial, je rentre d’une ballade dans les bois et je me suis dis que ça faisait quelques jours que je n’avais pas pris de tes nouvelles ;
– Entre donc, je suis en pleine discussion avec Peter et on a besoin de quelqu’un pour arbitrer entre nous.

Peter, un autre homme seul, divorcé, sa femme l’ayant rendu cocu de nombreuses fois et étant partie finalement dans la grande ville voisine pour y vivre en toute liberté…sexuelle. Et la discussion avec Troudi était fort animée en effet. Ils parlaient politique et n’étaient pas du tout d’accord sur une décision que venait de prendre le maire de notre charmant petit village.
– Et toi, Hans, qu’en penses-tu ? me demanda Troudi en se tournant vers moi ;
– Je n’en pense pas grand chose et ce que je dis, c’est que tu dois être un peu nerveuse, Troudi, avec cette chaleur. Tiens, laisse moi te masser le cou, tu verras, tu te sentiras mieux et tu reprendras la discussion plus calmement. Tu veux bien ?
– Si tu penses que ça peut me faire du bien… Je veux bien que tu essayes !

Sitôt dit, sitôt fait. Je me plaçais derrière elle, sans la serrer de trop près et de mes deux mains, je m’appliquais à lui détendre les muscles de son cou.
Tu vois, tes muscles sont très durs, on dirait du bois. J’avais raison, tu es bien tendue, nerveuse à la limite !
Et je continuais à la masser. Elle se détendait de plus en plus et je sentais que son dos venait vers moi comme pour avoir plus de confort pour profiter de son massage. Elle ne pouvait ne pas sentir ma bite qui grossissait sous l’effet de la chaleur de son dos. Ma bite commençait à se sentir à l’étroit dans sa cage formée par mon pantalon. Je voulus arrêter mon massage pour ne pas la gêner et être mal à l’aise avec la présence de Peter dans la cuisine dans laquelle on se trouvait avec Troudi. Je lui dis :
– Voilà, c’est bon, tu dois être plus détendue maintenant !
Et je fis mine de partir m’asseoir en face d’elle pour continuer la conversation. Elle fit :
– Oh, non, c’est bon, continue
Je compris qu’elle en voulait plus en cette fin d’après-midi d’une chaude journée d’été. Je continuais donc à la masser mais je changeai de comportement. Je commençais à lui plaquer plus franchement ma bite sur son dos, entre les omoplates et mes mains commencèrent à descendre plus bas au niveau de son cou, atteignant le haut des gros seins. Elle ne me disait rien et au contraire, plus je descendais au niveau de ses seins, plus elle se plaquait sur ma bite qui n’arrêtait pas de grossir. Peter, en face de nous, ne perdait rien du spectacle et commençait à se dandiner sur sa chaise. Mes mains, maintenant, enveloppaient carrément ses nichons et comme il étaient gros, j’avais de la place pour mes massages. Visiblement, Troudi devait fermer les yeux de plaisir car je vis Peter commencer à se toucher la bite qui devait, elle aussi, avoir de plus en plus de mal à tenir dans son caleçon. D’ailleurs, d’une main, je continuai mes massages et de l’autre, je mis ma bite à l’aise dans mon pantalon pour qu’elle puisse bander à son aise.

C’est là que Peter rompis un peu le charme en disant :
– Mais, ma parole, vous me faites bander, vous avec votre massage du cou. Je vais venir vous aider.
La réponse de Troudi m’étonna :
– Ne te gêne surtout pas, ça me fera aussi du bien

Peter passa alors sous la table et se mit à genoux face aux cuisses, fortes mais fermes, de Troudi qui visiblement les écarta pour que Peter puisse profiter du spectacle. Moi, je continuai à saisir les seins de ma voisine et mes mains s’étaient carrément insinuées sous le corsage et même sous son soutien gorge qui avait de la peine à contenir les deux globes d’un blanc laiteux agrémentés des veines bleuâtres de la belle Troudi. Peter me décrivait le spectacle qu’il avait sous les yeux :
C’est magnifique, quelles cuisses et quelle chatte, je vois sa chatte poilue !!! Je bande !!!
Et je devinais qu’il avait commencé à sortir sa bite de son pantalon et qu’il la branlait en même temps qu’il se rapprochait de la chatte de notre voisine. Je sentis qu’il n’étais pas loin de passer à une autre étape en lui suçant la moule car il était en train de humer les odeurs de la chatte de Troudi. Elle, elle ne disait rien et nous laissait faire, s’abandonnant à nous avec plaisir. J’entendis des bruits de succion venant de dessous la table et je compris que Peter, la tête cachée sous la jupe ample de Troudi, suçait avec force la moule juteuse de Troudi. Ses gémissements ne tardèrent pas ce qui me laissa le temps de sortir ma bite et d’enlever mon pantalon et mon caleçon pour mieux me frotter au dos de Troudi. Je lui enlevai aussi son chemisier et son soutien gorge pour profiter davantage de la chaleur de son corps.

Tout en continuant à lui masser les seins, je soulevai son bras et lui mis ma bite sous une de ses aisselles poilues et commençait à m’en servir comme d’une chatte en faisant des va et vient. Ma bite venait buter sur un de ses gros nichons tendre provoquant un jaillissement de plaisir sur mon gland chaque fois qu’il venait buter dessus. Troudi n’en revenait pas de voir apparaître ma bite sur son gros seins en profitant de la chaleur de son aisselle poilue. Je laissais un instant seule Troudi en train de se faire sucer la chatte par Peter pour me saisir d’un gros concombre qui était sur une table de desserte en vue de m’en servir comme d’un gode improvisé. Je le pelai sur les trois quarts de la longueur pour enlever les picots et faire naître un liquide gluant qui, je le savais allait faire merveille pour lubrifier encore davantage la chatte de Troudi et la faire jouir en la branlant avec.

Peter sortit de sous la table en disant :
– J’ai envie de baiser !!!
Je pris les choses en mains en prenant Troudi par le bras et pour la placer penchée sur la table autour de laquelle la conversation avait eu lieu quelques instants plus tôt. Elle n’opposa aucune résistance et, bonne fille, fit ressortir son cul le plus haut possible en creusant ses reins. Peter se mit immédiatement derrière elle et la pénétra d’un seul coup. Heureusement qu’il lui avait bien sucé la chatte et qu’elle était dégoulinante de mouille car autrement, elle aurait crié. Là, elle gémit de plaisir en faisant des onomatopées de jouissance. Peter ne tint pas longtemps en la bourrant en levrette. Sans doute le plaisir d’avoir les grosses fesses de Troudi venant se mouler sur sa bite ont eu raison de sa capacité de tenir la distance car il éjacula rapidement en annonçant qu’il déchargeait son jus. Il le fit dans la chatte de Troudi qui dégoulina un peu plus.

Pour ne pas laisser notre gentille voisine sans une vraie jouissance, je pris rapidement sa place en faisant quelques va et vient dans sa chatte débordant de la mouille de Troudi et du sperme de Peter. Sa connasse était large et distendue et je n’y restais pas longtemps. Une de mes mains remplaça ma bite et ce furent carrément quatre doigts que je fis entrer dans sa chatte pendant qu’une autre de mes mains lui malaxait ses gros nichons. Dans son con, ma main arriva rapidement à son point G intérieur que je lui massai avec application. Ce massage lui déclencha une énorme jouissance. Elle serra les cuisses, hurla de plaisir et un jet de mouille sortit de son con poilu s’étalant sur le sol immaculé de sa cuisine. Je lui laissais à peine le temps reprendre son souffle que je lui introduisis dans sa chatte ruisselante le gros concombre que j’avais préparé à son attention. La douceur du légume lubrifié naturellement, sa longueur et sa grosseur firent immédiatement un bien fou à ma voisine qui se mit à nouveau et manifester son plaisir à grand cris. Moi, je manipulais et le concombre et ma bite qui, je le savais, ne tarderait pas longtemps à vouloir cracher son jus blanchâtre. De temps en temps, je me frottais contre les grosses fesses blanches de Troudi pour profiter des sa chaleur et j’eus l’impression que ça lui faisait plaisir de sentir ma bite sur ses fesses.

Du coin de l’œil, je regardais ce que faisait Peter qui, assis sur une chaise, matait le spectacle du concombre entrant et sortant, infatigable lui, de la chatte de Troudi qui en demandait, encore et encore. Je voyais que sa bite reprenait des forces et qu’il serait bientôt prêt à déverser une nouveau jet de foutre. Je lui dis de venir me rejoindre pour venir s’occuper du cul de ma voisine. Il ne se fit pas prier et se colla sur les fesses de Troudi se frottant en cadence, sa bite reprenant alors tout d’un coup une belle vigueur.

C’est là que nous décidâmes d’un commun accord sur un regard échangé de nous finir sur le cul de Troudi. On accéléra ensemble la cadence et en même temps que je continuais à la branler avec le concombre, nous déversâmes nos jets de sperme sur les fesses blanches et grosses de notre si aimable voisine. Ce furent des cris de jouissance de nous trois. On jouissait ensemble et c’était formidable de partage de plaisir.

Troudi se tourna alors vers nous pour nous dire :
– Vous êtes de sacrés coquins, tous les deux. J’ai super bien joui, merci. Et vous, j’ai encore votre jus sur mon cul !!! Je vous attends très bientôt pour une nouvelle partie, mes chéris !!!

Elle nous tendit ses lèvres et nous l’embrassâmes tous les deux à tour de rôle, bien profond !!!

Cette histoire est traduite librement de l’allemand à partir du récit d’un membre de Xhamster

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