Cette histoire est en partie inspirée de fait réels.
Je me présente je m’appel Sofia.
Je vis dans la région lyonnaise et ma famille est originaire du Maroc.
Si je devais me décrire je dirais que j’ai plutôt un physique agréable.
Je mesure un peu plus d »1m70 et je suis assez svelte, j’ai toujours été assez sportive.
Niveau poitrine je suis bien lotie, je fais un joli 95c.
J’ai de grands yeux marron, une belle chevelure noire que je prends soin d’entretenir pour les garder bien lisse, et une peau couleur caramel presque chocolat au lait.
Cela dit venons-en à mon histoire.
Pour préciser le contexte je porte le voile depuis mon adolescence, ce n’est ni qu’on m’y a forcer ni par conviction particulière mais dans ma famille cela ce fait alors j’ai un peu suivie le mouvement.
Sautons toute cette période et rendons nous directement à mon année de terminale, au lycée.
À l’époque les hormones de la jeune femme que j’étais étaient en ébullition.
À l’époque mes parents venaient de m’offir un ordinateur portable et pour tout avouer il n’était pas rare que le soir avant de dormir je fasse une petite incursion sur un site porno pour me masturber devant une vidéo, souvent une vidéo m’étant en scène une femme avec plusieurs hommes. Je m’imaginais alors prises de la sorte par 2 ou 3 bel âtres…
J’avais également, en bonne lycéenne, le béguin pour une de mes enseignants.
Notre prof de math Mr.Loran, il était plutôt jeune, la trentaine, avait un charisme incroyable et un sourire ravageur il ne laissait aucune de des élèves indifférentes.
Mon intérêt pour la gente masculine se faisait donc de plus en plus présent. Mais venait se placer devant moi mon éducation et ma condition sociale que je n’osais pas dépasser.
Cepandant je profitais indirectement de devoir retirer mon voile dans l’enceinte scolaire pour m’embellir et tester ainsi la popularité sur les jeunes hommes avec qui je partageais la classe.
C’est là que les choses vont devenir intéressantes chers lecteurs.
Un jour je reçu un sms d’un garçon avec qui j’étais en cours d’histoire.
Il s’appelait Enzo, et pour tout vous dire c’était exactement le genre de garçon qui avait toute mon attention…
Il était très beau gosse, sportif et semblait avoir de l’humour pour venir parfaire le tout.
Il m’expliquait alors avoir demandé mon numéro à une amie en commun, ils me dit aussi que, bien qu’il pensait que je serai insensible à son message, je lui plaisait beaucoup et qu’il souhaitait faire plus connaissance avec moi.
Charmée je lui répondit après une longue hésitation.
Nous discutâmes une bonne parti de la soirée et le moment de dormir venu des images me venaient alors en tête.
Ce soir là pas besoin de porno.
Je l’imaginais lui entrain de me prendre fougueusement, je l’imaginais la tête entre mes jambes me dégustant la vulve.
Je ne pu m’empêcher de glisser ma main sous mon pyjama pour la diriger sur la chatte déjà détrempée.
Je commençais d’abord par délicatement titiller mon clitoris pour faire monter le plaisir puis j’introduisis un doigt dans mon vagin puis un 2ème.
Les vas et viens se faisaient de plus en plus fort et je tentais par tous les moyens d’étouffer les gémissements incontrôlables qui m’échappaient.
Je finis alors par jouir en pensant à cette aventure qui débutait.
Nous continuâmes à échanger par texto quelques temps. Bien qu’au lycée nous restions distant. Je n’osais pas m’afficher avec un garçon.
Un soir où nous textotions il me posa des questions sur ma « vie sexuelle » au début je fus très mal à l’aise.
Non pas que je n’avais pas envie d’en parler, au contraire cela m’excitais au plus au point.
Mais qu’allait il penser et surtout raconter.
Je passais aux yeux de tous pour la gentille fille voilée du lycée je n’avais pas forcément envie que tous le monde sachent que je masturbais devant des pornos avant de dormir.
Malgré tout la tentation était trop forte et je fini par discuter du sujet.
Il semblait très excité par ce que je lui confiai.
Il me demanda même si je me doigtais en pensant à lui.
Le coeur battant à 2000 à l’heure je pris mon courage à 2 mains pour lui répondre que oui…
Sa réponse fut plus qu’explixite une photo de lui se masturbant.
Aussitôt je ne pus m’empêcher de plonger ma main dans ma culotte pour en faire de même.
Très rapidement nos discussions par message interposées se transformèrent en échange très hot de sextos.
Il n’en revenait pas.
Et moi non plus à vrai dire…
J’avais maintenant envie d’aller plus loin…
Mais comment faire.
Voilà qu’un matin les lycée était paralysé par une panne général de courant.
Enzo sauta sur l’occasion pour me proposer d’aller se promener vers chez lui.
J’accepta sans réfléchir.
Là bas personne ne me connaissait j’étais du coup bien plus à l’aise.
Sur le chemin la pluie se mêla à notre affaire.
Tout naturellement Enzo m’invita à aller chez lui. La maison était vide ses parents étant tout 2 au travail.
Encore une fois je dis oui sans hesiter.
Ce n’est qu’une fois arriver devant le portail de sa maison que je compris ce que ma venu impliquait…
À peine rentré je lui demandais où se trouvait les toilettes.
Il m’indiqua la salle de bain.
Je profitais du lavabo pour me rafraîchir le visage et un paquet de lingettes pour l’hygiène intime le sauta aux yeux.
J’en profitais alors pour me rafraîchir le sexe. Sans trop me l’avouer je savais ce qui allait suivre….
En revenant dans le salon Enzo me proposa de mettre un film dans sa chambre.
Je le suivis donc.
Arrivé là il se plaignit alors de son dos et me demanda si je voulais bien le masser.
Je m’assis alors derrière lui sur le lit et vins déposer mes mains sur son dos.
Ni une ni deux ma culotte était trempée de mouille.
Il m’arreta un instant pour retirer son t-shirt.
Cette fois les choses sérieuses commençaient.
Il se tourna vers moi pour m’embrasser.
J’étais à la fois surexcitée et en même temps tétanisée.
J’avais déjà une ou deux fois embrassée des garçons.
Mais jamais dans leurs chambres alors qu’ils étaient torses nues.
Très vite les baisers devinrent intenses et mes mains comme indépendantes de ma volonté se baladaient sur le corp ferme d’Enzo.
Sans me demander mon avis il prit mes seins en mains pour les malaxer.
À vrai dire je n’y montrais pas la moindre opposition.
Au contraire j’en ronronnais de plaisirs telle une petite chatte.
Je finis par prendre mon courage à 2 mains et descdendis doucement les mains jusqu’à son entrejambe.
Là je pu sentire sa bite raide, gorgée de sang.
Voyant cela il détacha son pantalon pour me laisser la sortir.
Je me mis alors à le branler maladroitement.
Lui suivi le pas et deboutonna mon jean.
Je portais ce jour-là une tunique qui m’arrivais jusqu’aux fesses et un jean.
Et bien-sûr j’avais encore mon foulard.
Dernier garant de ma « morale » que je ne voulais pas retirer malgré la situation.
Il deboutonna donc mon jean et glissa délicatement sa main sur ma culotte pour venir la poser à hauteur de ma chatte.
Tout doucement il commençait des carresses délicates qui témoignaient qu’il avait plus d’expérience que moi.
Je m’étais caressée des centaines de fois mais jamais ça n’avait été aussi excitant.
Il initia de me retirer mon pantalon, je le laissais faire l’aidant même en me dandinant pour faciliter la chose.
Je retirais ensuite moi même ma culotte sans dire un mot.
J’écartais, sans me faire prier, largement les jambes pour lui donner le plus accès possible à mon sexe.
Il ne se deroba pas instant et se laissa glisser jusqu’à arriver face à ma vulve sur laquelle il déposa de doux baisers.
Puis sa langue s’est attardé sur mon clitoris venant le chatouiller.
Provoquant chez moi un plaisir inouï, mon corp bondissait sous l’effet de ce qu’il me faisait.
Quand je reprenais mes esprits je n’en revenais pas de ce qu’il se déroulait.
J’étais à la fois mal à l’aise et honteuse et dans le même temps je n’avais pas du tout envie de m’arrêter.
L’orgasme atteint, il se releva ensuite, retira totalement son pantalon et son caleçon et se présenta nu face a moi.
Je compris immédiatement ce qu’il attendait de moi.
Je m’exécuta de suite, je vins me mettre face à lui.
Il était debout devant le lit, moi assise à son bord.
Sa queue raide pointait juste devant mon visage.
Je la pris alors d’une main et je vins doucement envelopper son gland entre mes lèvres.
Sa bite dégoulinait de liquide séminal et le goût que ça avait me plaisait.
J’avais vu des centaines de fois cela en vidéo mais là c’était vrai.
Cette queue je l’avais en bouche.
Tout doucement je faisais glisser les lèvres le long de sa verge avec maladresse.
Puis l’excitation pris le dessus sur la réflection et j’accelerais le mouvement. De plus en plus à l’aise j’écoutais ses gémissements et son souffle.
Un gémissement plus prononcer me laissa deviner qu’il allait jouir.
Je me mis immédiatement à penser qu’il risquait d’éclabousser mes vêtements et mon voile.
Alors puisque le goût du liquide séminal m’avait plut je me dis alors:
« autant qu’il éjacule dans ma bouche. »
Ni une ni deux, je sentis sa bite se contracter et une première giclée vint remplir ma bouche à peine le temps de l’avaler que la seconde arriva.
Cela continua quelques secondes alors que je n’avais pas cessé de ke sucer.
Le plaisir éprouver avait du être intense vu la quantité de sperme qu’il décharga dans ma bouche.
Une fois finis il prononça des mots qui, à défauts de me vexer, me mirent mal à l’aise.
« Ah ouais t’es une sacrée chienne toi, t’avale dès la première fois ! »
Dans le bus qui ramenait chez moi je repensais à tout cela et surtout à ce qu’il m’avait dit.
Comment devrais-je le prendre?
Était-ce là une insulte ou bien je vais le prendre comme un flatterie vantant mon « enteprenariat » sexuelle.
Le soor venu je fus rassurer par ces messages dans lesquels il me remerciait de cette superbe journée et me félicitait sur les qualités de maîtresse.
J’en étais fier. Et tout comme lui j’avais hâte de remettre.
Malheureusement la fin de l’année arriva assez vite et nous n’eurent pas l’occasion de retourner chez lui.
Quelques fois, lorsque le temps nous le permettait nous nous rendions près du lycée dans un hall d’immeuble qui recèlait une petite cachette à l’abris des regards.
Une fois là à l’abri des regards indiscrets nous pouvions nous laisser aller.
Tout commençait par un échanges de baisers passionnés.
Souvent je deboutonnais moi-même mon pantalon pour lui faire comprendre que j’attendais qu’il y glisse sa main.
Là il me masturbait jusqu’à l’orgasme.
Une fois la chose atteinte je prenais le relais et venais m’accroupir face à lui.
Il me laissait le soin d’extraire sa queue, qui était déjà bien raide, je prenais un malin plaisir à chaque fois à voir apparaître face à moi ce sexe en érection.
Puis sans attendre je me lançais dans une gâterie.
Multipliant les vas et viens le long de sa verge, jusqu’à ce que vienne l’orgasme, je me delectais alors de son sperme qu’il ne manquait pas de décharger entre mes lèvres.
L’année terminée il allait ensuite partir dans le sud pour ses études et nous ne nous reverions plus….
Pour autant tout ne s’arrêta pas là…
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