Dès mon arrivée dans la boîte, je me suis retrouvée dans le même bureau que Virginie. Elle avait 34 ans, j’en avais 24. On a très vite sympathisé, puis elle s’est mise à me confier des histoires très intimes pendant nos heures de travail. J’y ai pris goût rapidement. Je prenais beaucoup de plaisir à l’écouter, en particulier les jours où le patron était en déplacement. Il ne risquait pas de surgir à tout moment, on était tranquilles.
Je me souviens d’un jour de juin où Virginie m’a raconté que son ex ne tolérait pas qu’elle ait les seins nus sur la plage. La seule idée que d’autres que lui puissent les voir le rendait furieux. Moi, personnellement, je n’aurais pas supporté ça, non seulement à cause des traces blanches que ça laisse sur le corps, mais surtout parce que j’aime me sentir presque nue sur les plages. Je ne garde que le bas. Virginie est restée quatre années avec ce mec. Très peu de temps après l’avoir quitté, elle s’est rendue au bord d’un lac situé près de chez elle.
Je la revoie d’ici me raconter tout en détail…
« J’ai longé la berge pendant un moment, m’a-t-elle dit, jusqu’à ce que je ne voie plus personne autour de moi. C’était en milieu de matinée, en plein été. J’ai posé ma serviette sur une parcelle de sable et je me suis déshabillée. J’ai tout enlevé. Je me suis retrouvée à poil au bord de l’eau. Tu n’imagines pas le plaisir que ça m’a procuré. J’ai dû aller dans l’eau pour me masturber, tellement ça m’excitait. Tu t’es déjà branlée dans l’eau ? »
« Non, jamais, ai-je répondu. »
« C’est absolument génial. C’est froid et ça te pénètre de partout. Ça fait un peu comme plein de langues liquides qui te sucent entre les cuisses et les fesses. Il faut que tu essayes. »
« J’essaierai. Continue ton histoire. »
Nos bureaux étaient disposés à la perpendiculaire, collés l’un à l’autre. J’avais lâché mon clavier pour m’accouder et regarder le visage de Virginie. Elle faisait plein de mimiques différentes en parlant.
« Je suis sortie de l’eau, dit-elle, j’ai pris mon bouquin et me suis couchée sur la serviette, sur le ventre. Je me sentais bien et il n’y avait pas un chat en vue. Le soleil a rapidement séché ma peau. Le temps de fumer une cigarette, j’ai de nouveau eu envie de me masturber, mais cette fois-ci je ne suis pas allée dans l’eau. J’ai passé une main sous mon ventre et j’ai ouvert les fesses. J’ai fermé les yeux et je me suis caressée. C’était divin d’être à poil dans la nature et de faire ça. Tu t’es déjà branlée dans la nature ? »
« Oui, dis-je. En été, quand j’étais ado et que j’allais en vacances chez mes grands-parents, je m’éclipsais à vélo et je me trouvais des coins de forêts où je me mettais toute nue. Ça fait longtemps que je ne l’ai pas fait. Mais continue ton histoire. »
« Ok. Donc, je me suis branlée comme ça pendant un petit moment, avec les yeux fermés. Je me suis imaginée qu’on me matait. J’avais les cuisses bien écartées et j’imaginais qu’un pêcheur passait derrière moi en bateau. Un mec de n’importe quel âge, je m’en fichais. Même un vieux. Ce qui importait, c’était que je sois vue comme ça, à poil en train de me branler. J’étais poilue à l’époque, et j’avais encore mes traces de bronzage. Tu vois ? »
« Je t’imagine très bien, dis-je en décollant les coudes de mon bureau pour poser mes mains à plat sur mes cuisses. Continue. »
« Je ne sais pas combien de temps ça a duré. Je sais juste que j’ai joui une fois, que j’ai rouvert les yeux, puis que j’ai recommencé presque aussitôt. J’étais dans tous mes états, parce que pendant quatre ans, l’autre connard m’avait obligée à cacher mes seins en public. Et là, j’étais célibataire, libre et complètement à poil. »
Je portais une petite robe beige ce jour-là. Elle m’arrivait à mi-cuisses et se boutonnait devant. Et tandis que Virginie me racontait son histoire, j’ai fait remonter doucement le tissu le long de mes cuisses, puis défait un bouton pour les écarter légèrement.
Pour sa part, Virginie effleurait son téton droit de l’index en parlant. Elle aussi portait une robe légère, kaki, sans soutien-gorge, ça se voyait très bien. Elle n’avait pas de très gros seins et sa peau était dorée.
« Continue », dis-je.
Elle reprit :
« Jusqu’au moment où j’ai de nouveau rouvert les yeux. Il y avait un mec à dix mètres de moi, non pas dans un bateau, mais pile en face, debout dans l’herbe. J’ai sursauté et aussitôt retiré ma main de mon entre-cuisse en le regardant. Il était en short et en tee-shirt. Il avait la cinquantaine, assez grand, un visage assez ordinaire, grisonnant avec des lunettes. Il souriait. Puis il s’est mis à marcher dans ma direction en disant : “Je suis désolé de vous déranger dans un moment si intime”. Je savais qu’il voyait mes seins, mais aussi mon cul. J’ai refermé mes cuisses et répondu : “C’est moi qui suis désolée”. Il souriait toujours. Il s’est arrêté à trois mètres de moi et il m’a dit : “Il n’y a pas de quoi. Il y a des choses plus désagréables à regarder dans la vie, ma foi. Vous habitez dans les coins ?” J’ai répondu : “Pas très loin.” Et il a dit : “Moi tout près. Je viens souvent me promener par ici. Le coin est tranquille. Il y a peu de risques d’être dérangé.” J’ai dû sourire en lui disant : “ Quelques petits risques malgré tout.” Il a éclaté de rire et dit : “A la fin de l’été dernier, je suis tombé sur un jeune couple, un peu plus loin sur la berge. Quand je dis jeune, ils étaient jeunes. Ils commencent décidément de plus en plus tôt, de nos jours.” J’ai répondu : “Si jeunes que ça ?” Il a dit : “Je dirais seize ans, grand maximum. Ils étaient tout nus, comme vous.” »
Le temps de me dire tout ça, Virginie avait défait trois boutons de sa robe qui était déjà un peu décolletée ce jour-là. Et là, je voyais parfaitement la naissance de ses seins. Ce n’était pas la première fois. A chaque fois qu’elle me racontait une histoire, elle faisait ça. Elle se touchait les seins, tandis que moi je commençais toujours par le bas. J’avais fait sauter trois autres boutons et j’avais les cuisses bien ouvertes sous mon bureau. Deux doigts appuyaient doucement sur mon clito, sur le tissu de ma culotte.
« Continue », dis-je.
Elle continua :
« J’ai dit à l’homme : “Et ils vous ont vus ?” Il a dit : “Oui, au bout d’un moment, la fille a levé les yeux vers moi et elle a bondi. Non seulement parce qu’elle était surprise, mais aussi parce que j’avais fini par sortir ma queue. Je vous choque ?” J’ai répondu : “Seize ans, c’est jeune.” Et il a dit : “Ce n’est pas moi qui les ai cherchés. Ils n’avaient qu’à trouver un endroit plus discret.” Je n’ai rien répondu. Je me suis demandée comment j’aurais réagi si j’avais surpris deux ados de cet âge tout nus au bord de l’eau en train de faire des choses. Comment tu aurais réagi, toi ? »
Elle continuait de défaire ses boutons et je voyais le haut de sa culotte à présent. Pour ma part, j’avais glissé ma main sous la mienne. J’étais trempée et je fixais du regard les seins de Virginie.
Je lui ai répondu :
« Seize ans, c’est l’âge que j’avais quand j’allais me mettre toute nue dans la forêt, chez mes grands-parents. Je t’avoue que ça m’aurait plu d’avoir un partenaire. Ou une partenaire. Quelqu’un qui m’aurait vu et qui se serait déshabillé aussi. Mais continue. Dis-moi ce que ça t’a fait d’imaginer deux ados en train de baiser au bord de l’eau. »
« Ça m’a plu, dit Virginie. Ça m’a terriblement plu. A tel point que j’ai eu envie de me remettre à me branler sur la serviette. Sauf qu’il y avait cet homme à trois mètres de moi, qui me parlait en matant mon corps. Alors je n’ai rien fait, évidemment. J’ai attendu qu’il poursuive. Et tu sais ce qu’il m’a dit, juste après ? Il m’a dit comme ça : “Vu les traces blanches sur vos fesses, ça doit être la première fois que vous vous faites bronzer à poil, je me trompe ?” Je lui ai confirmé que c’était la première fois et il a dit : “Et ça vous plait que je voie votre cul ?” J’ai mis quelques instants à répondre. J’ai fait tourner la question dans ma tête. Je venais de me branler et il m’avait surprise. J’étais célibataire depuis quelques jours et j’aimais terriblement ce qui était en train de se passer au bord de ce lac. Alors je lui ai dit : “Ça ne me déplait pas.” Et il a dit : “Ça vous dirait d’ouvrir vos fesses comme tout à l’heure et que je passe derrière vous pour mater votre chatte ?” Tu sais ce que je lui ai dit ? Je lui ai dit comme ça : “A condition que vous me décriviez en détail ce que faisaient ces ados que vous avez matés pas loin d’ici.” Et tu sais ce qu’il a fait, juste après ? Il a enlevé son tee-shirt en disant : “Toi, tu es belle petite vicieuse, hein ?” Il a viré son short et il est passé derrière moi. Il bandait. J’ai ouvert mes cuisses et j’ai attendu qu’il se remette à parler. Il a dit comme ça : “Je t’avoue que j’aurais volontiers passé un moment avec la fille. Je te choque, petite vicieuse ?” En guise de réponse, tu sais ce que j’ai fait ? J’ai repassé ma main sous mon ventre et j’ai recommencé à me branler, sans le regarder, sans me retourner. J’avais envie qu’il continue à me dire comme ça et qu’il finisse par s’approcher. Qu’il me bouffe le cul et qu’il me prenne par derrière, putain, j’en crevais d’envie, dit Virginie en se levant pour ouvrir sa robe et l’enlever. »
Elle la posa sur son bureau, puis elle baissa sa culotte.
Je l’ai imitée juste après. On s’est retrouvée à poil sur notre lieu de travail, puis on a contourné nos bureaux pour s’enlacer, s’embrasser sur la bouche, se cramponner les fesses, puis se masturber mutuellement la chatte en restant face à face. Ce n’était pas la première fois. J’adorais ces moments. J’avais envie qu’on nous surprenne.
Elle m’a tout raconté en détail : les ados en train de baiser, la position dans laquelle ils étaient quand l’homme les a surpris, et celle qu’ils ont pris ensuite, tandis qu’il sortait sa bite pour se branler en les matant.
Puis la description détaillée du corps de la fille : ses petits nichons qui tremblaient comme des flans, son adorable petit cul blanc, sa petite chatte épilée en ticket de métro.
Jusqu’au moment où Virginie a senti l’homme s’approcher d’elle pour se mettre à genoux et se pencher, lui prendre le cul à deux mains et le lui lécher tandis qu’elle se branlait toujours. Le contact de son gland contre sa moule, puis la pénétration. Et l’homme qui lui parlait toujours.
Je ne me suis jamais faite surprendre en train de me masturber dans cette forêt où j’allais. En revanche, lors d’autres vacances passées dans un camping avec une copine de classe et ses parents, le père m’a surprise en train de pisser derrière la caravane. J’avais dix-sept ans. Il n’a rien dit, il m’a regardée. Je n’ai pas cherché à me cacher. Le lendemain, on a couché ensemble.
On ne s’est jamais faites surprendre par le patron dans ce bureau. C’est dommage. Ça m’aurait plu. Virginie aussi. On n’a jamais osé faire des trucs pendant qu’il était dans son bureau à lui, juste à côté. Les trucs en question, c’étaient surtout des soixante-neuf sur la moquette qui était couleur saumon. Cela dit, je ne sais pas comment il aurait réagi s’il nous avait surprises comme ça, à poil en train de nous gouiner. C’était vraiment un accro du boulot. Si ça se trouve, il aurait aussitôt refermé la porte pour aller se réfugier dans son bureau. Nous, le boulot, on n’avait pas que ça à faire. Et depuis Virginie, je ne suis plus jamais parvenue à laisser mon sexe au vestiaire avant de me mettre à travailler. Mon sexe me suit partout.
Pas vous ?
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