Cette nuit fut longue. J’avis vaguement dormis en me réveillant en sursaut pour reprendre ma respiration par le nez. J’avalais tant bien que mal ma salive, ma langue plaquée par ce bâillon boule, mon visage trempé de bave, mes bras ankylosés attachés dans le dos, mon cul et mon dos encore en feu du fouet de la veille, mes peids maintenus écartés. Ma robe en cuir collée à ma peau de sueur.
Mais je fus quand même réveillé en sursaut par l’ouverture de la porte de bonne heure.
Toute la nuit, je m’étais repassé les dernières paroles de ma cruelle maitresse. Elle me laissait entre les mains d’un homme pour mon ‘éducation’ ! Mais je n’avais pas eu mon mot à dire ! Elle me menait au taureau !
Même sous le fouet de ma maitresse, je restais excité par son corps, son contact, ses rires même.
Là, j’allais être traité en pd, mais je ne voulais pas apprendre à sucer et encore moins me faire enculer par un homme. J’espérais quand même que Mme X serait là et que je resterais sous son contrôle.
J’ouvrais le yeux tétanisé de peur, complétement prisonnier de mes liens : pas de bruit de talon aiguille cette fois, mais une démarche lourde.
Un homme se présenta devant moi, laissa tomber un énorme sac de sport au sol et me regarda sévèrement sans rien dire en me détaillant des pieds à la tête.
Je ne bougeais pas et le regardais à travers les bas.
Il avait une bonne cinquantaine d’année, un bon mètre quatre-vingt pour 100 kilos, un ventre proéminent, mâchoire carrée, les cheveux ras, tout en jean et perferto, le genre hell’s angels qu’on n’aimerait pas croiser le soir dans une ruelle !
Et ce tueur me regardait en mâchant un chewing gum, me reluquant dans ma robe en cuir, le sexe enchainé et la bouche remplie !
Il se pencha sur mon collier:
-Salut Simone, moi c’est Jean-Pierre. Bon t’es au courant: on va passer la journée ensemble.
Tu te tiens à carreaux et ca se passera bien pour toi.
Je vais faire de toi une bonne pute bon pour le service. Bon y’a du boulot m’a dit Mme X mais crois moi je vais m’occuper de ton petit corps Simone !
Après ça, tu vas l’aimer la bite. Tu vas même devenir accro.
Je vais faire de toi une salope de première !!’
Je ne brochais pas et j’acquiesçais de la tête malgré la trouille que ses paroles avait provoquées en moi.
Bon d’abord tu vas te laver, tu pus la fillette négligée !
Je te détache, tu gardes tes petites couilles attachées, tu te remaquilles et je vais te choisir une petite tenue qui m’excite. Il parait que tu ne portes que des culottes en nylon, ça va me plaire à moi aussi.
Il me détache, je baisse les yeux, attends docilement. Je m’assois sur le bord du lit, il m’enlève ce bâillon et les bas, des flots de bave coulent sur ma robe.
Je me lève tout ankylosé
‘Allez Simone va te refaire une beauté, mon gourdin commences déjà à chauffer’
Il me prit la main par le poignet et me la plaqua sur son entrejambe.
Je me débattais pour me libérer. Il éclata de rire et me mis une main au cul en me plotant sur ma robe de l’autre :
‘Mme X m’avait bien dit que tu étais vierge ma belle, ça va être bon !
J’étais rouge de honte et partis vers la salle de bain.
J’évitais de me regarder dans la glace et restais sous la douche à essayer de me relâcher, j’étais mort de trouille.
J’étais sous la douche quand il entra brusquement et ouvrit la pare douche et me reluqua en souriant.
‘Je t’ai choisi ta tenue ma belle. Hum ça va buriner sec !’dit-il en se frottant la tenue de lingerie sur son entrejambe. ‘Allez je t’attends’
J’avalais ma salive et regardais la tenue que je devais mettre : soutien gorge et culotte nylon et dentelle rouges avec porte jarretelle assorti, paire de bas noir et combinaison satinée noire.
Je me séchais, tentais de me maquillais comme me l’avait montré cette Mme X qui me manquait, je terminais par le rouge à lèvre rouge pétant. Je passais la lingerie, ajustait mes bas et passais ma culotte sur mon sexe, toujours enchainé.
Je passais cette combinaison sur le tout et me regardais dans la glace.
Malgré ma frayeur je recommençais à bander…
‘Simone je t’attends…’ roucoulait mon ‘formateur’.
Je sortais courageusement de la salle de bain, voyais que la porte d’entrée était verrouillée et me dirigeais lentement dans le salon, mes pieds gainés sur le parquet, mes jambes en nylon qui se frottaient.
Il était avachi sur mon canapé à regarder la télé en buvant mes bières et chemise jean, le sexe à l’air, jean et caleçon jetés par terre.
Il tourna la tète en me voyant arriver, la tète baissée, rouge de honte.
Il me siffla et me fit signe de tourner sur moi même, plusieurs fois.
J’étais devenu sa poupée, son regard s’était allumé.
‘Jolie demoiselle, veuillez approcher!’ Puis changeant de ton : ‘Mme X m’a dit que tu n’avais rien mangé depuis hier, c’est vrai ?’
‘Oui’
‘Oui Monsieur Jean-Pierre’
‘Oui, …M. Jean-Pierre’
‘Bon on va arranger ça …’
A SUIVRE
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