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Abâtardissement – 3

Abâtardissement – 3



Chapitre 3 :

Après une plusieurs minutes de marche et quelques montées d’escaliers, on m’assois sur une chaise, on m’attache les bras et les jambes à celle-ci et on me met quelque chose sur le dispositif enserrant mon pénis. (Je ne suis absolument pas rassurée)
J’ai toujours mon sac sur la tête, mais je tente de comprendre ou on a bien pu m’amener, quand j’entends une voix qui me parle
– Bienvenue S.23, me dis une voix de femme.
– Qui êtes-vous, que me voulez-vous ?
– Qui nous sommes, tu n’as pas besoin de le savoir pour le moment, et quand à ce qu’on veut de toi, enfin il faudrait dire ce que l’on VA faire de toi AH AH AH !!! (Rire diabolique)
– Je m’appelle Alexandre, vous m’entendez ALEXANDRE !!! et personne ne va rien faire de moi !!! dis-je dans un sursaut de bravoure
Là, immédiatement, je ressens une décharge électrique qui part de mon entre jambe et qui envahis mon corps
– HAAAAAAAA !! HAAAAAA !!!! hurlais-je de douleur
J’ai horriblement mal, l’impulsion électrique qu’on vient de me donner me coupe toute envie de rébellion pour le moment.
– Alexandre est mort, il a eu un accident de voiture, tu as eu un très bel enterrement, tu n’existes plus, tu es désormais S.23, Tu es désormais notre chose.
Ces mots résonnent dans ma tête comme s’ils m’avait percuté violemment, je me dis que ce n’est pas possible, ce dois être une blague.
Une autre impulsion électrique me sort de ma torpeur
– Haaaaaaa ça fait mal !!!!!

– S.23, les règles dans cet endroit sont simples, ici tu n’es plus rien, tu es esclave, un chien, ici tu dois obéissance a tout le monde aux Maitres et Maitresses comme aux gardiens, si tu nous déçois tu finiras vraiment dans la tombe qui porte ton nom. A tu compris les règles S.23

– OUI, j’ai compris.
Nouveau choc électrique, je me tortille de douleur, mais qu’ai-je dis de mal ?
– Quand tu réponds à une maitresse, c’est oui Maitresse, quand c’est un garde, c’est oui Monsieur. As-tu compris petite merde.

– Oui Maitresse j’ai bien compris

– Gardiens ! ramené le dans sa cellule en isolement afin qu’il puisse réfléchir sur la nouvelle vie qui l’attend.

Les gardiens me détachent, me remettent un collier et me demande de me lever mais je n’y arrive pas, je n’ai plus de force, il me soulève à deux et me traine jusqu’à ma cellule ou il me jette dedans sans ménagement.
Dans la cellule mon plateau repas m’attendais je mange ma pâtée infect et bois la cruche d’eau qu’il mon avec cette fois-ci, même l’eau à un gout bizarre.
Ils ne m’ont pas enchainé cette fois, ils ont peut-être oublié, mais bon ça ne change rien à ma condition, je me dirige péniblement donc vers ma couchette et je m’endors en pensant à mon sort.
Les plateau repas passe tel une routine bien huilé, j’en suis au 8e depuis mon retour en cellule, je n’en peux plus, je suis prêt a accepté mon destin (ALEA JECTA EST).
Deux plateau repas plus tard, j’entends que quelqu’un est devant la porte de ma cellule est me dis
– Qui es-tu ?

– Je suis S.23 Monsieur

– Tu es ici pour quelle raison ?

– Je suis là pour obéir Monsieur (tout en baissant ma tête instinctivement)

Ma phrase terminée, que la porte s’ouvre brusquement les trois gardes entre, me menotte, me passe une laisse à mon collier et m’entraine avec eux.
Il m’emmène dans une pièce blanche entièrement carrelé, m’enlève la laisse, m’asperge d’une poudre désinfectante, puis m’arrose avec un jet d‘eau froide.
Je suis surpris par le jet d’eau, une fois rincé ils me lancent un savon
– Savonne-toi le chien ! tu pue la merde et la pisse
Je m’exécute immédiatement et me savonne consciencieusement le corps, le visage et les cheveux, je n’aurais jamais cru que se savonner aurais était un moment si agréable.
Un autre jet d’eau froide me sort immédiatement de ce moment de bienêtre.
– Dépêche-toi chien, la doctoresse t’attend
La doctoresse me dis-je, mais pourquoi veulent-il m’emmener voir un docteur.
Ils me rattachent la laisse à mon collier me sorte de la douche et on rentre dans le cabinet du Docteur qui se situe juste à côté.
Le cabinet est grande pièce blanche est entièrement carrelée elle aussi, a vrai dire cela ressemble plus à un bloc opératoire qu’au bureau d’un docteur, l’atmosphère qui s’en dégage me donne la chair de poule.
Au centre de la pièce se trouve une table gynécologique entièrement en INOX autour ce trouve plusieurs armoires et chariot avec divers équipements médicaux dont je ne connais pas l’utilisation.
Un garde tire d’un coup sec la laisse vers le bas et dis
– A genoux chien
– On va attendre le Docteur Mengele
Je me mets en position, la tête baissée et docile.
Après plusieurs minutes d’attente deux femmes rentre dans la pièce.
La première femme entrant dans la pièce est une grande femme blonde avec des yeux bleus perçants et quelques taches de rousseur sur le visage, elle porte un tailleur pantalon gris foncé en tweed avec au-dessus une blouse blanche le tout sublimé par une paire d’escarpins noir à semelle rouge.
La deuxième femme est très différente de la première elle a le crâne entièrement rasée, elle porte une tenue latex blanche avec une énorme croix rouge au milieu. Cette tenue lui laisse libre ses seins dons les mamelons sont percée et ornée d’anneaux, ainsi que son pénis enserré dans un dispositif en métal comme le mien mais encore plus petit a vrai dire cela ressemble plus à un énorme clitoris et en plus celui-ci est transpercé par un énorme anneau également.
Elle a des bracelets en métal aux poignets comme aux chevilles, ainsi qu’un collier en métal avec une petite plaque gravée.
A la vue de tous ces ornements, je prends peur et tremble de tout mon corps.
La femme blonde se poste en face de moi et me regarde avec un sourire glaçant
– C’est toi le petit nouveau alors.
– Hmmm il y a pas mal d travail à faire avec toi avant de t’envoyer chez la directrice …
– Messieurs installé le sur la table d’examen s’il vous plait.
Les gardes me font me relever, m’installe sur la table gynécologique et ensuite m’attache les poignets et les chevilles.
– Bien, voyons cela…
– Tu es bien trop poilu et tu as trop de cheveux il va falloir enlever tout ça.
– Ta bite est bien comprimée dans sa cage de chasteté c’est plutôt pas mal pour un début, mais avec le temps ton pénis va rétrécir il faudra pensée à la changer.
– Claudia, note ceci dans le dossier du résident S.23 !!

– Oui Docteur répondit l’assistante tout en écrivant dans un dossier.

– Il faudra aussi lui poser un prince Albert, un anneau au scrotum et des anneaux aux tétons, ce sont les attributs réglementaires de base pour les pensionnaires de cet institut.

– Le tout en 4 mm de diamètre pour commencer, inscrit le bien dans le dossier.

– Oui Docteur c’est noté

Je commence à me demander ce qu’elles vont me faire, mon esprit imagine toutes les situations possibles, veulent –elle me transformer comme Claudia ?
Non !! non !!! je ne veux pas être une femme, je suis un homme, je ne veux pas …
Un objet pénètre mon anus et me tire de mes pensées, il s’écarte, ça fait mal ! jamais rien encore n’est passée par ici avant
– Ouverture maximale de l’anus toléré par le sujet 3 cm, il faudra travailler ce point-là aussi.

– C’est noté Docteur

– Voyons voir l’urètre…, donnez-moi la sonde de 2mm, et préparé la 4 et la 6mm

– Donc la 2mm rentre sans problème, voyons la 4 mmm ….. hmmm ça à plus de mal, l’indice de pénétration n’est pas très bon.

– Noté : le sujet tolère une insertion à 4 mm dans son urètre, besoin d’amélioration

– Docteur dis Claudia, je lis dans son dossier qu’il est demandé que soit inscrit S.23 sur l’arrière de son crâne.

– Merci Claudia, Veuillez maintenant préparer le matériel

Je suis là, ne pouvant rien faire, on va me faire des modifications corporelles, je vais être marquée et à cet instant je me dis qu’aujourd’hui est le premier jour du reste de ma vie.

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