Lorsque j’étais étudiant à l’université Paris VII, j’ai réussi à avoir un rendez-vous avec deux polonaises après une sòirée étudiante. Lors de celle-ci, on avait échangé nos numéros et elles m’avaient donné rendez-vous un mardi dans leur appartement dans le quinzième arrondissement de Paris.
Lorsque je suis arrivé à la porte, j’ai sonné et les deux filles m’ont ouvert la porte en me souriant et en me disant qu’elles avaient eu peur que je ne vienne pas. Elles ne portaient qu’un soutien gorge et une culotte, l’une rouge et l’autre vert et leurs intentions étaient claires pour moi.
Devant ce spectacle, ma bite s’est mise à durcir si vite que j’ai ouvert ma braguette et que j’ai attrapé Aleksandra par ses beaux cheveux blonds pour l’inviter à me sucer la bite. Elle avait du mal à se frayer un chemin jusqu’à sa gorge tellement j’étais excité. Sa copine Ola se met à genoux et me lèche les boules. Que c’est divin cette sensation!
Rapidement, Ola et Aleksandra échangent leurs rôles.
Puis au bout d’une dizaine de minutes, je pousse Aleksandra sur le canapé et je lui mets ma bite dans la chatte que je pilonne pendant environ 5 minutes pendant que je lui tire ses cheveux blonds. Ses gros seins se mettent à bouger dans tous les sens, eux que je n’ai pas encore honorés. Elle crie que c’est bon pendant que sa copine me caresse les boules.
Ola me dit que c’est à son tour de se faire baiser. Malgré leurs accents, elles parlent toutes les deux très bien français même si cela ne faisait pas très longtemps qu’elles étaient arrivés en France.
Je me mets sur Ola, qui elle est allongée sur le tapis du salon, juste à côté de ce canapé.Elle est toute excitée, que sa culotte est toute trempée. J’enlève cette dernière et je commence à la doigter, et elle me regarde du genre qu’est ce que tu attends.
Je commence à caresser ma bite contre son clitoris et cette sensation la fait décoller, qu’elle att**** ma bite qu’elle met directement dans sa chatte qui est si chaude et si humide. Que c’est bon!
A chaque coup de bite, elle crie de plus en plus fort. Ce qui m’excite encore plus.
Aleksandra reprend elle ses esprits sur le canapé et me regarde baiser sa copine.
Puis, elle s’éclipse dans sa chambre et revient avec un tube de lubrifiant qu’elle pose sur la petite table en me regardant avec un sourire.
Je reste concentré sur les coups de reins que je mets à ma partenaire et ses cris sont de plus en plus fort et je sens de plus en plus ses griffes dans mon dos. Puis, elle jouit avec une telle intensité.
Aleksandra m’att**** et me pousse¨pour que je sois allongé sur le dos. Je n’ai pas le temps de protester, j’en avais pas l’envie d’ailleurs. Elle prend ce tube qu’elle ouvre et en met sur ma bite qu’elle enfourche. Ma bite est dans son cul tout serré mais après quelque va et vient, seul le plaisïr que je ressens est présent. Que c’est bon que je ne fais même pas attention à Ola dont la langue vient à nouveau me lécher les boules.
J’ai l’impression d’être seul, et j’att**** les tétons d’Aleksandra que je caresse et que je lèche, ce qui décuple en elle son plaisir. Elle criait moins fort qu’Ola mais ses joues étaient bien rouges et ses tétons durs. Plus, je les touchais et plus, elle bougeait sur ma bite.
Ola dit à Aleksandra que c’est son tour.
Elle s’est empressée de s’empaler sur ma bite et cette sensation d’avoir enfin ma bite dans son cul l’a fait redécoller. Cela se voit qu’elle aime ça et elle le rend bien. Elle bouge bien sur ma teub qui parvient encore à être toute dure. Ses mouvements me font chavirer que j’en oublie presque la langue d’Aleksandra qui parcourt agréablement les boules. Je m’amuse avec les gros seins d’Ola et je sens que je vais jouir dans son cul.
C’est tellement bon et elle a une telle façon de bouger sur ma teub que je prends un plaisir de fou.
J’éjacule dans mon préservatif en poussant un cri si puissant.
Ola et Aleksandra s’allongent près de moi et me disent qu’elles ont bien kiffé. Elles posent leurs têtes sur mon épaule et me demande si j’avais déjà fait un trio.
Je réponds que oui mais que c’était avec un homme et une femme.
Elles me regardent avec des gros yeux et me demandent de leur raconter.
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