Place au théâtre
La jolie blonde sortit de scène sous les applaudissements, puis le silence ce fit a nouveau, sauf pour les gémissements de Jeanne et on entendit un coucou. Aussitôt celle qui jouait mon rôle s’assit dans le lit en bâillant et s’étirant, bras en l’air avant de se prendre les seins pour les soulever et se les embrasser l’un après l’autre et côté seins, elle en avait tout autant que moi et Jeanne, mais en plus mou et plus tombant.
-A que je vous aime vous deux, dit-elle très fort, et toi aussi ma jolie fente si visiter.
Elle glissa une main entre ses cuisses sous le drap pour se branler en grimaçant exagérément. Puis, elle attendit que les rires se taisent pour rajouter.
-Déjà midi, comme la nuit a été courte. Mais comment ça se fait que je me réveille seule dans mon lit ? Ça n’arrive jamais ça. Je dois vieillir. Miroir, miroir, dit-elle en regardant le grand miroir ovale a la gauche du lit, dit moi, suis-je toujours la plus belle femme de mon royaume, du pays, du continent, et de la terre ?
Et là, un visage apparut dans le miroir qui n’était en réalité qu’un tissu peint et élastique.
-Faut pas trop pousser reine vicieuse, répondit le miroir avec une grosse voix d’outre-tombe.
(Rires)
Elle prit un air offenser et frappa dans ses mains, aussitôt une belle petite brune entra ne portant qu’un tablier de bonne. Jeune et jolie, mince, cheveux épais crêper en chignon et seins lourds, un peut pendant. Belle a croqué et j’eus un orgasme au même moment. Mes cuisses se refermèrent sur la tête de ma guide. Le feu me monta au joue et je lâcher un petit cri.
-C’est quoi ça, fit le miroir inquiet en me regardant. Pas une souris, j’espère, je déteste les souris, elles me grignotent les pattes.
(rires)
-Oui ma reine. Fit la bonne en la saluant.
-Amène moi une grosse masse de forgerons, j’ai un miroir a cassé.
-Bien ma reine, répondit la boniche en sortant.
Et la, le miroir s’exclame paniquer pendant que mon orgasme s’évanouit :
-Oui, oui, reine Margo, tu es la plus belle femme du monde. Même plus que ta sœur jumelle, pourtant totalement identique. Aucune ne t’arrive à la cheville. Tu as les plus belles dents, les plus beaux yeux, le plus beau nombril, les…
-Ça va, ça va idiot, ferme-la.
(Rires)
-Comment ça se fait que je suis seul dans mon lit alors ? Demande t-elle l’air totalement décourager.
-Pardon, fit le miroir.
-Mais non idiot, je parle a ma bonne.
Elle était revenue avec une grosse mailloche.
-Oh, désolé. Répondit-il.
-Eh ! fit la bonne jouant les nonotes en train de réfléchir très fort les yeux lever vers le plafond. A oui, on a dû ramener le cheval à l’écurie ma reine.
-Le cheval, fit le miroir en soupirant très fort, seigneur, vu a l’envers c’était quelque chose.
(Rires)
A ce moment, un petit cochon de lait entre et saute sur le lit en grognant.
-Non-monsieur, dit la reine en le pointant du doigt, pas de pipe de sitôt le matin ni de baise, aller file, vilain cochon avec tes deux petites queues. Et le cochon sort de scène en passant entre les jambes de la bonne sous les rires appuyer.
-Je ne savais pas que tu étais aussi perverse ma sœur, murmura Jeanne avant de soupirer très fort en agrippant la tête de ça petite orientale par-dessus son voile.
-Tien dont, qui c’est fait prendre par… justement un cheval hier au cirque ? Ouf…
-Pas un vrai je te rappel, dit-elle en se tortillant sous son voile.
-Mais bien monté.
-Ça oui ma sœur.
Mon Oriental me léchait l’intérieur des cuisses en me pinçant les mamelons. Difficile de se concentrer sur une conversation ou un spectacle dans un moment pareil, surtout en sentant ses lèvres s’approcher de mon sexe à nouveau. Sous le voile, je caressez ses épaules et sa tête me sentant tout près de jouir encore.
-Qui étai-ce, le cheval, Holga ? demanda la reine. Démon ou Tonnerre ?
-Hum… Difficiles à dire ma reine, eux aussi sont jumeaux.
-Tonnerre, répondit le miroir, il a des couilles plus grosses que l’autre et un grain de beauté sous la gauche.
(Rires)
-T’es un sacré voyeur toi le miroir.
-Bof ! Je n’ai que ça à faire, vous savez ma reine, regarder et être regardé.
(Rires)
-Vien me lécher la chatte Holga.
-Oui ma reine, mais la masse de forgerons j’en fais quoi ?
-Amène la avec toi, ça peut servir.
-Oui ma reine, fit la bonne en se faufilant sous le drap avec le maillet qu’elle se mit a agiter comme si elle baisait la reine avec. Aussitôt celle-ci devint les yeux tout croches.
Encore des rires.
A ce moment, un jeune homme déguiser en garde entre, l’air catastropher en tenant ses pantalons aux cuisses, couilles et bite a l’air et bander dure, un beau gros membre courber vers le haut, très alléchant.
-Reine Margo, reine Margo, aidez-moi, votre sœur me poursuit, elle veut me faire des cochonneries.
-Pauvre toi, fit la reine. Mais pourquoi ça t’effraie ? Tu ne la trouves pas belle et désirable ma sœur ?
La reine ne le regardait même pas et avait toujours les yeux tout croche. C’était trop drôle.
-Si, mais, je suis puceau et je me garde pour ma bien aimer que je dois épouser ce mois si.
-Ah bon, fit-elle la mine déconfite, ça, c’est nouveau.
-Tu parles, commenta le miroir.
-Bon, vient te cacher sous mon drap, je vais te protéger de ma vilaine sœur et cache cette belle bite dans ma bonne Holga. Comme ça, ma vilaine sœur ne pourra pas jouer avec.
-Oh, merci ma reine.
Le garde se faufile à son tour sous la couverture pour s’installer derrière la bonne et v’là la reine qui sourit exagérément en écartant les jambes provoquant des rires et on entendit de sous le drap :
-Oh, c’est humide cette cachette mademoiselle, pourquoi don ?
-Hum, mais agite-toi don, idiot.
-Je ne peux pas… Je suis… oh !
C’est la bonne qui s’agitait.
-Et c’est reparti, dit le miroir sur un ton lasse, c’est comme ça tous les jours.
(Rires)
Voulant profiter du spectacle je dis à ma guide de me laisser. Elle sortit du voile pour s’asseoir à mes pieds, bientôt imitée par sa complice. Mais je la remplace par ma main, me contentant de me masser le pubis lentement.
Puis, une fille nue et ronde entre sur la scène en se cachant les seins et le sexe… J’eus l’impression de me voir à 20 ans. Même gros seins, même beau petit cul bomber.
-Reine Margo, reine Margo… Fait celle-ci toute énerver.
-Laisse moi deviner, ma sœur te poursuit et veut te violé sans doute ?
-Oui, elle veut me lécher le con et le cul, c’est épouvantable, écœurant.
-Pauvre toi, oui c’est vraiment épouvantable. Serais-tu pucelle toi aus….si ? Ouf…
-Oui, vous également ?
-Hein ! Seigneur non !
-Seigneur non en effet, rajouta le miroir sur un ton blasé.
-Pour quoi vous grimacer autant ma reine ?
-Moi, je dois avoir un maillet dans le cul. Viens te cacher sous mon drap, susurra la reine, je vais te protéger ma jolie. Ohhh…. seigneur !
-Merci ma reine, merci.
Rire général tandis que la fille se glisse elle aussi sous l’immense drap. Puis on entend un… OH… et un Ah… et… ( Lâche-moi toi, impudent !) Dis la pucelle. (Mais qu’est-ce que tu fais ?) La bonne. (Je suis pucelle moi.) La pucelle. (Mais moi aussi mademoiselle.) Le garde. (Pas là, ça, c’est mon petit trou.) La bonne. (Oh. Désolé et là..?) (Oui, c’est bon, hum…) Encore la bonne. (Et moi, on m’oublie !) La pucelle.
-Chut, fit la reine en tapant sur une tête tandis que quelqu’un d’autre entrait.
(Rire)
Une grosse femme ne portant qu’un tablier de cuisine tout sale avec une carcasse de lapin dans une main et un gros hachoir dans l’autre.
-Laisse moi devinez Charlotte, fit la fausse reine, ma sœur te… Ooohhhhh. Te… ahhh… poursuit toi aussi… ouuu…
On voyait clairement sous le drap une tête monter et descendre entre ces cuisses. La cuisinière fronça les sourcils en fixant le drap ou des corps remuaient.
-Hein ! Qui vous lèche le con ma reine ?
-Personne. Ohhhh… ouiiiii.
-C’est faux, fit le miroir, il y a un puceau, une pucelle et une bonne.
-Du civet pour le souper ça ira ?
-Je ne mange pas, répondit le miroir.
(Rires)
-Pas toi idiot, dit la cuisinière.
-Oups ! Pardon !
-Hummmmm… moi oui… fis la reine mimant un grand plaisir. Oh oui, du civet…. oh oui, dans le cul, c’est trop bon.
-Hein, du civet dans le cul ? s’étonna la cuisinière.
-Ohhhh…… oui…
-Vous voulez le lapin dans le petit trou ! Seigneur ! C’est trop pour moi, je démissionne ma reine. Des papes, des monstres, des chevaux, des cochons, des vrais et maintenant des lapins dans le derrière. Adieux reine perverse ! Trop, c’est trop !
(Rires prolonger)
-Moi aussi je démissionne, fit le miroir. Le visage s’effaça.
(Encore des rires)
La femme sortit sous les applaudissements et deux moines entrèrent aussitôt en robe de bure jouant les offensés a la vue des gros seins de la fausse reine et des corps s’agitant sous le drap, ils se retournèrent prestement. Un grand maigre et petit gros. Je ne sais pas par quel prodige, mais ils eurent chacun une grosse érection en même temps. Deux belles bosses soulevèrent les robes.
-Cacher votre poitrine reine Margo. Fit le gros.
La reine grimaça en remontant le drap sur ses seins en retapant sur la tête qui s’agitait contre son sexe.
-C’est fait.
Les moines jetèrent un coup d’œil, puis se retournèrent et la reine fixa leurs bosses.
-Hum…. quelle belle érection vous avez les moines. Je croyais que vous aimiez seulement vous enculer comme vous le faites chaque jour depuis que vous consultez les ouvrages de ma grande bibliothèque.
-Nous, s’enculer, fit le grand, pas du tout, hein Jaque ?
-Non, pas du tout mon frère.
-Je vous ai espionné, ne mentez pas.
Ils se regardèrent jouant les embarrasser.
-Eh ! commença le gros. Ont voulaient vous remercier avant de partir reine Margo, mais la… votre sœur nous poursuit….
-Oui, fit le grand, on a fait vœu de chasteté vous comprenez, mais la tentation est si grande. Elle a de si belles mamelles, bien grosses et bien gonflées de lait, et son cul est si… enfin.
-On a peur de ne pouvoir lui résister. Fini le gros l’air triste.
-Oui, je comprends. Dis la reine. Cachez-vous derrière mon paravent. Je vais vous protéger.
V’là les moines qui se faufilent derrière le paravent, bien visible en ombre chinoise. Aussitôt le gros tombes à genoux et entre la tête sous la robe de l’autre pour lui pratiquer une fellation. La fausse reine regarde ça d’un air comique et deux filles entrent en pleurant leurs robes tout déchirer laissant voir leurs jolies poitrines, leur fesse et même leurs toisons.
-Votre sœur… Commença l’une d’elles.
-Je sais, vite, cacher vous sous mon drap. Je…
–Je vais vous protéger,– cria la foule avant d’éclater de rire.
Les filles entre sous le drap en lâchant des ; oh, salut, salut….
Et la, un homme déguisez en corbeau portant un long bec et de fausses ailes noires entre en s’agitant et croassant en tournant sur lui même comme un oiseau affolé, avec une belle érection. La reine soulève le drap prenant une mine lasse et il s’y glisse.
Une femme d’un certain âge entre, visiblement inquiète et en robe. La reine soulève le drap.
-Reine Margo, je cherche ma fille.
-Oh ! Elle rabaisse le drap. Jeune ronde et pucelle ?
-Oui, celle-là.
-Pas vu.
-Et qui s’agite comme ça sous ce drap ?
-Un vilain gros corbeau entré par mon balcon.
-Je dois croire ça ?
L’homme corbeau sort la tête du drap et croasse avant d’y disparaître a nouveau.
(rires)
-Oh mes dieux un monstre, hurle la femme en voulant se sauver par le balcon, mais elle fut accroché par les moines qui la tirèrent derrière le paravent pour la mettre a quatre patte et soulever sa robe. Ces protestations cessèrent rapidement, quand elle fut embouchée et prise par le con en même temps.
Un homme grand et maigre entre.
-Pardon reine Margo, je cherche ma femme et ma fille.
-Pas vue.
-Ah, eh, ça s’agite drôlement sous ce drap.
-Un vilain corbeau.
-Oh, bon.
Il sortit pour rentrer aussitôt visiblement apeurer cette fois, voir paniquer, en disant :
-Mon Dieu ma reine, le pape arrive, il va s’imaginer que vous et moi… S’il en parle à ma femme, je suis bon pour le couperet.
Gros soupir de la reine qui soulève le drap. L’homme s’y glisse pendant qu’un homme déguiser en Pape entre portant un haut chapeau conique et un bâton de berger.
-Reine Margo Je voulait vous remercier pour… mon dieu, ça s’agite là-dessous.
Le visage dans le miroir réapparaît en disant :
-Oui, un puceau, une pucelle, deux servantes, une inconnue, non trois servantes et un corbeau. Je croîs que c’est tout, pour le moment.
(Rires)
-Je peux les rejoindre Margo ? Je ne suis pas pressé d’aller dire la messe tout à coup.
-Tien don. Je croyais qu’il avait perdu la tête celui la, dit le miroir.
(rires)
-Absolument, mais pour la reine Margo. Dit le pape en se faufilant sous le drap avec son bâton de berger.
Aussitôt la reine se raidit les yeux tout ronds en disant :
-Oh mon dieu, mais ce n’est pas une bite ça que j’ai dans le con, n’y dans le cul d’ailleurs.
-Oups ! Désoler reine Margo (voie du pape) c’est mon bâton de berger et un maillet on dirait juste en dessous.
-Hummm ! Fit-elle tout sourire.
(Gros rires)
-Moi, fait le miroir apparemment très lasse, je retourne chez Blanche neige, c’est plus calme chez elle, sauf quand les nains sont la. Le visage disparaît.
Le pape est à peine entré sous les draps que des tas de vêtements en jaillissent et qu’une autre femme ronde et nue portant un masque de moi entre. Celle-là imite Jeanne sans aucun doute et se laisse tomber lourdement sur un fauteuil tandis que ça baise joyeusement sous le drap.
-Ah ma sœur, je viens d’épuiser tes 20 chevaux ce matin, 80 de tes soldats hier, tes 10 valets également et un palefrenier et je ne trouve plus personne pour me baiser. Tout le monde ce sauve de moi on dirait. Comme ces ennuyeux de vivre ici. Heureusement que le carnaval commence demain.
-Tu as passé mes 20 chevaux ce matin ? Effectivement, c’est ennuyeux.
-Oui les 20, enfin non, Tonnerre n’arrivait pas a bander le pauvre, je ne sais pas pourquoi. Je ne sais pas ce que j’ai, j’ai de ses chaleurs, pas toi Margo ?
-Oh oui, surtout en se moment.
La reine agrippe un éventail et l’agite devant son visage. Je ris comme Jeanne et les autres. Cette pièce n’est pas un chef-d’œuvre, mais je la trouve bien amusante.
-Qui bougent comme ça sous le drap ma soeur ?
-Des plombiers, j’ai un grave problème de tuyauterie.
(Rires)
-Oh ! A voir tes yeux si croches et tes drôle de mimiques comme celle que tu fais quand je te lèche le con, ça l’air sérieux comme problème Margo. Et depuis quand tu te passes des lapins dans le cul toi ?
La comédienne qui jouait mon rôle ne put s’empêcher de rire avant de donner sa réplique, comme si l’autre n’était pas prévu.
-Un fantasme ma sœur, tu devrais essayer, c’est si doux ?
-Oh ! fit la fausse Jeanne en regardant le paravent retenant elle aussi une envie de rire. Et ceux-là ?
-Une femme qui cherche sa fille aider par des moines.
-A l’entendre gémir, elle cherche très fort, surtout à n’en faire une autre. Et toi, qu’est-ce qui te fait grimacer comme ça ? Le plombier qui a des seins ou l’autre avec un long bâton ?
-Bien, je crois que c’est l’autre, celui qui a un gros outil, très, très long, un débouche tuyau béni par le pape lui-même
(rires)
-Bon, je vais juste m’assurer qu’il travaille bien.
Elle se glisse sous les draps, la reine y disparaît aussi et un concert de gémissement se fait entendre et le drap glisse apparemment tout seul, mais on voit bien qu’une petite corde le tire et une belle scène d’orgie se déroule sous nos yeux. Et le paravent tombe tandis que le visage dans le miroir réapparaît comme pour se rincer l’œil. Le manche du maillet visite vraiment le cul de la comédienne et le bout du bâton de berger son con. Le puceau et la pucelle baise tandis que Holga suce le faux pape pris en même temps par l’inconnue qui visite son cul et sa chatte avec une belle grosse queue veiner. Jeanne est assise sur le visage de Margo qui lui lèche la vulve. Les moines et la femme rejoignent les autres et le tout finis un peu plus tard par du sperme qui jaillit en abondance tandis que le rideau se ferme sous les applaudissements.
La blonde revient quelques minutes plus tard pour saluer avec les comédiens, ils furent chaudement applaudis à nouveau. Tandis que les spectateurs se levaient pour retourner à l’orgie, la blonde vint se planter devant nous en disant :
-Alors mes dames, ce spectacle léger vous a t-il choquer, vais-je perdre la tête ?
-Ça dépend de qui se cache sous se masque de cochon ma jolie ? Répondis-je.
La fille sourit et leva son masque. Surprise, je reconnus effectivement l’une de mes anciennes bonnes.
-Pénélope, je te croyais à Paris pour étudier le dessin et la peinture.
-Et aussi le théâtre. Je suis venu pour le carnaval et le Gros ma commander une pièce pour…. vous amuser. C’est lui qui a trouvé tous ces comédiens amateurs, je ne sais où. Elle vous a plus ?
-Oh oui, fit Jeanne, mais je ne savais pas que l’ont étaient aussi vicieuse moi et Margo.
-Bon, j’ai un peut exagérer, dit-elle en riant, mais c’est ça le théâtre. Amuser vous bien les jumelles diaboliques, dites-elle en remettant son masque, on va se revoir pendant le carnaval.
Toute la soirée on se contenta de regarder différentes scènes d’orgie pour finir par baiser avec nos guides dans une petite alcôve en prenant du vin. Ce fut délicieux, apaisant et follement érotique. Ensuite on se rhabilla et après avoir remercié le gros pour cette délicieuse soirée et les voiles qu’il nous donnait en cadeau on se rhabilla pour retourner au château pour se coucher après s’être baigné et Jeanne se jeta sur moi dans mon lit.
Tout en frenchant ma sœur passionnément en caressant ses fesses aussi douces que les miennes, je ne pus m’empêcher de regarder le miroir en souriant pour voir s’il nous surveillait.
Sous la terre, sous les étoiles
Plus tard, Marie vint m’éveiller en me disant a l’oreille qu’elle avait un message d’Héras ; il a envoyé un messager pour te dire que ton beau chevalier sera au rendez-vous ce soir. Je peux venir ? J’aimerais bien le voir celui-là, depuis le temps que j’en entends parler. Et puis, si on doit te partager entre nous…
-Ça va coquine, dis-je surexciter en enfilant une robe de chambre en silence pour ne pas réveiller Jeanne qui ronflait. Allons s’y.
On s’y rendit par différents passages secrets en s’éclairant avec une grosse lanterne et, une fois là, terriblement déçut, je trouver simplement une lettre écrite a l’endos de la page de garde d’un livre.
« Je t’ai attendu, mais tu n’es pas venu Margo, mais je peux le comprendre, après toutes ses années a me croire mort et vue la manière don cela c’était terminer pour nous. Comme notre ami Héras va te l’apprendre, il m’a trouvé en piteux état. J’ai retrouvé toute ma cervelle grâce à ses bons soins. Quand j’ai appris qui étaient vraiment cette Mara et ses pauvres filles qui m’hébergeaient, j’ai vu rouge comme tu peux l’imaginer.
C’est de penser à toi qui m’as permis de survivre dans le cachot du Pape pendant toutes ses longues années alors… Je vais chez ma sœur à Florence le temps que les choses se calment pour moi. Qui sait, peut-être qu’il te prendra des envies de voyage ma belle reine.
Adieu !
Le pèlerin »
Les larmes aux yeux je regarder le plafond du vaste caveau ou était les sarcophages de pierre des rois et des reines ayant gouverner ce royaume. Différentes constellations du ciel y avaient été reproduites, chaque étoile était une petite pierre précieuse qui scintillait à la lueur de la lanterne que tenait Marie derrière moi. J’avais sous les yeux un beau ciel étoilé sous la terre. Je me retourner et donner la lettre a Marie qui la lue tandis que j’essuyais mes larmes.
-Il t’aime toujours Margo.
-Et oui. Pourquoi ne m’as t-il pas attendu plus longtemps dans ce cas.
-Il est en fuite et pourchassé. Bon, demain matin on va seule dans les bois échanger nos vœux, ensuite baiser comme des démones sous un grand chêne et ensuite on fait nos bagages pour le voyage de noces, ma future femme. Mais, incognito, tu as tellement d’ennemis.
-Tien don. Un voyage de noces, ma future épouse. A mes frais, j’imagine ?
-C’est pas avec mon salaire de bonne que…
-J’ai compris. Alors, on va la passé ou notre nuit de noces ?
-Dans une carriole… c’est romantique non ?
-Dans une carriole, ben oui. Et on va ou en carriole ? Paris ?
-Je suis une artiste alors… Florence bien sûr. Jeanne va être trop heureuse de jouer à la reine.
J’en rester sans voix, a pleurer de bonheur.
-Approche que je t’embrasse ma belle. Dis-je en ouvrant les bras.
-Oh non, pas avant le mariage, dit-elle en se sauvant dans les escaliers avec la lanterne en riant.
-Marie ! Ne me laisse pas dans le noir…. Marie…. Marie…
Et merde, me v’là dans le noir complet, je ne voyais même plus mes mains. Et là, j’entendis quelque chose qui me fit frissonner de peur, le bruit d’une dalle de pierre qui glisse et une voix d’homme qui dit :
-Enfin seul ma belle Margo, j’attendais se moment depuis si longtemps.
Mon cœur bondit en reconnaissant cette voie. Je faillis même m’évanouir.
-Pèlerein ! Merde ! Tu m’as fait une peur bleue, salaud, fils de pute, j’en ai les jambes qui tremblent.
Il rit et soudain des bras puissants m’enlacèrent et des lèvres douces écrasèrent les miennes. Je fondis littéralement dans ces bras. Puis il dit :
-Voyage de noces hein et avec une bonne. Tu ne changeras jamais Margo. Crois-tu que je vais pouvoir profiter de cette carriole ?
-Et de la bonne hum, salaud. Si tu me baises bien cette nuit, je vais y songer sérieusement.
-Et bien, tes seins on grossit.
-Te gêne pas…
Fin
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