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Contes algériens

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Il fallut cinq jours à Nissim de Montefrio pour joindre Oran. L’Oranie était alors le plus beau des territoires coloniaux français, où l’alliaient douceur de vivre et liberté des moeurs : éloigné de la capitale, cette région semblait vivre à un autre rythme. Du moins c’est ce que pensait Nissim, chevauchant sur les pistes de sable des contreforts de l’Atlas qui lui paraissaient interminables. Il se souvenait alors de cette idée qu’il avait maintes fois discuté avec le préfet d’Alger, qui était d’ailleurs son amant : on pouvait de toute évidence expliquer le caractère particulièrement oisif des indigènes par l’accablante chaleur qui les étourdissait. Cela avait cependant pour effet de les pousser à chercher la fraîcheur dans des harems, accompagnés de nombreuses concubines, ce qui ne pouvait qu’être mis à leur crédit.

Le lieutenant colonel Nissim de Montefrio se trouvait à Alger depuis maintenant trois ans. Affecté au premier régiment des Spahis Algériens, il s’était toujours attaché à faire de ses cavaliers des hommes doués des plus charmantes qualités. Il était en outre le fils d’un riche négociant parisien, ancien Ferik ottoman exilé dans la ville lumière. Déjà son père figurait parmi les plus grands libertains de l’Empereur Louis-Napoléon. Cependat, Nissim ne se souvenait que peu de son père, duquel il n’avait conservé qu’une vieille photographie et le chaud souvenir de son parfum, qui était à son image : mêlant résine de benjoin et une légère note d’oud, son père incarnait la plénitude de l’Orient.

Même si durant ses classes et ses premières passes d’armes Nissim avait foutu de nombreux culs et cons des provinces françaises et de ses colonies, il regrettait sa jeunesse à Paris, ces quelques années où, jeune homme, il espionnait sa gouvernante et ses maîtresse : elles étaient alors pour lui l’incarnation de la beauté féminine. Fardées, parées et habillées comme des putains de haut-luxe, toute leur essence concentrait la douceur et la luxure de la nature humaine. Dans sa chambre, mitoyenne à celle de sa mère, Nissim avait alors l’habitude d’espionner leurs ébats. Pendant les deux années avant son départ, sa gouvernante s’était entichée d’une jeune filles qu’elle partageait avec son mari et son portier. Il les espionnait souvent, et, une fois, alors que sa mère était seule avec la jeune fille, Clarisse, il fut surpris par cette dernière en train de se branler. Sa gouvernante, qui avait alors quarante ans, le forçat à les rejoindre. Clarisse avait 21 ans, et ses cheveux courts ne dépassaient tombaient à peine sur ses épaules. Alors que Nissim n’osait pas approcher, elle enlevât sa robe, dévoilant un porte-jaretelle en soie, et une culotte fendue qui cachait son pubis mais dévoilait son trou du cul et sa chatte. Sa toison rousse, entourait tout le con, et remontait jusqu’autour de l’anus, ce qui fit bander le jeune homme, de plus en plus mal à l’aise. Clarisse s’approchât de lui et commença à l’embrasser, tout en caressant son pénis au dessus de ses vêtements. Il bandait de plus en plus, alors que sa main s’aventurait dans le bas du dos de la jeune fille qui avait quatre ans de plus que lui, et que ses doigts commençait à sentir l’humidité de la culotte de la jeune fille. A ce moment là, alors que son pouce commençait à rentrer par derrière dans la chatte de Clarisse, Nissim, qui fermait alors les yeux en s’abandonnant à ses sensations, reçut une gifle de la gouvernante. « Interdiction de toucher à son con » cria-t-elle dans l’oreille de Nissim, qu’elle traina jusqu’au lit avant de l’attacher aux montants du lits. Celle qui l’avait élevé força alors le jeune homme à lécher son puits, puant la transpiration et l’urine. Mais de l’autre côté, Clarisse faisait bander à nouveau le jeune homme, lui léchant les couilles et lui suçant la bite. Très rapidement, il déchargea son foutre dans la main de la jeune fille qui le força à tout avaler. C’était là sa première expérience.

Mais après trois années passées à Alger, il en connaissait tous les salons, tous les chefs d’oeuvres, des pièces maîtresses aux esquisses des futurs grands maîtres. Il lui fallait changer de musée, car il était las d’honorer toujours les mêmes seins, d’embrasser toujours les mêmes lèvres, d’enculer toujours les mêmes éphèbes. Il était cinq heures quand Nissim arrivait, perdu dans ses pensées, chez son compagnon d’armes et supérieur Alfred, colonel du second régiment de Spahis. Ayant confié sa monture à un oranien qui faisait officie de valet, il montait dans les appartement du colonel.

En poussant les lourdes portes du salon, il sentit monter en lui les plus belles sensations que peut procurer cette partie du monde : un parfum qui mêlait touches d’encens et agrumes confis flottait dans l’air, comme si les effluves les plus suaves de la Méditerranée s’étaient ici rassemblée. Cette senteur sucrée, entremêlant cannelle, santal et opopanax, transportait le voyageur fatigué jusqu’e dans les îles grecques de l’Empire ottoman : une place calme, réchauffée par les vents brûlants de l’Egée, au milieu de laquelle se dresserait une Eglise, qui, portes grandes ouvertes, laisserait échapper un souffle sacré. Au fond du salon, allongé parmi les coussins et les édredons se trouvait Alfred, qui n’avait gardé de son uniforme que sa large cape camel et son képi bleu azur. Pour le reste, il était complètement nu, et une jeune arabe lui léchait le gland. Elle était accroupie, de dos, et son nerveux laissait au visiteur la liberté d’admirer un con serré dont l’étroitesse excita Nissim. Sous la cape de l’officier, une belle noire l’embrassait langoureusement. Alfred, de sa main droite, caressait la chatte de sa maîtresse dont la couleur rose contrastait avec sa peau, ébène ; seules deux améthystes finement taillées dans cette Afrique la plus noire, qui pointaient au bout de ses seins, rappelaient cette fraîcheur. Le colonel ne tarda pas à amener la chatte gluante de celle-ci à sa bouche pour la sucer. L’oranienne, prénommée Fitna, avait élevé, en branlant et en suçant, le sabre de l’officier qui pointait maintenant vers le ciel. Tout en lui caressant les couilles, elle monta sur cet obélisque bandant qui la transperça, s’enfonçant jusqu’à la garde, tandis qu’elle poussait des petits gémissements. Remontant sur la bite de l’officier, le gland se découvrit à nouveau, caressant un instant le clitoris de sa partenaire, pour disparaître à nouveau dans la jeune arabe : sa croupe remuait délicieusement, en arc de cercle, pour aller mettre bien au fond de sa grotte la bite boursouflée du soldat.

La cape de Nissim n’avait pas touché le sol qu’une grosse alsacienne prit le lieutenant par derrière et lui fît un énorme suçon en dessous de l’oreille (après l’annexion de l’Alsace, quelques prudes jeunes filles avaient fui leur pays pour l’Algérie, craignant la férocité des junkers prussiens). Furieux du saphir que lui avait arraché de force l’audacieuse, Nissim se retourna, arracha sa culotte bouffante de soie bleue et la fessa. Ses fesses étaient blanches et grasses ; on aurait dit une grosse vache laitière dont le trou du cul baillait impudemment. Vêtue d’une petite chemise blanche, la culotte abaissée au niveau des genoux, la jeune fille recevait d’abord les fessées en gloussant, mais, au fur et à mesure que son cul devenait de plus en plus rouge, ses cris étaient de plus en plus douloureux. Son cul était désormais orné de grandes marques de mains, d’autant plus que Nissim avait gardé ses gants de cuir. Enragée par la douleur de la punition, l’a****l sortit le vit du lieutenant et le mordit. Jouissant tous les deux de cette affliction horrible, la fille, Caroline, jouit une première fois, tandis que son amant la pénétrait puissamment. Son con, entourée d’une fraîche couronne blonde, était large et humide, lubrifié à la perfection par la mouille que la blonde sécrétait. Toute en la foutant, il lui griffait ses grosses cuisses, qui finirent lézardées de fissures rouges, tel un marbre rose du Portugal. Continuant à la baiser, il arrachait sa culotte et l’amenait à son nez, s’enivrant de l’odeur renfermée de la chatte alsacienne, ce qui renforçait son érection. Après un moment dans cette position, il retourna Caroline, et commença à sucer les tétons laiteux qui s’offraient à sa vue. Elle aurait été enceinte que cela n’aurait pas étonné son baiseur, tant ses seins étaient énormes ; ils rebondissaient à chaque coup de bite, si bien qu’alors qu’il les mordaient, la jeune fille commençait à se rapprocher de l’orgasme. Mordant et tordant ses tétons, elle mit peu de temps à s’effondrer, pendant que Nissim lâchait son foutre dans sa grotte, qui avala le sperme immédiatement.

Pendant ce temps, Alfred enculait alors Adja, la jeune malienne qui grimaçait à cause de la grosseur de la queue de son fouteur et de la vigueur avec laquelle il transperçait son petit trou. Cela ne l’empêchait pas de fourrer sa langue dans le cul de Fitna qui s’abandonnait à ce bel outrage. Ses seins algériens étaient comme des oranges, et Alfred les pressait et les malaxait : ses tétons pointaient fermes. Il les aspirait et les chatouillait de sa langue. Fitna jouit alors qu’Adja, qui s’était attaqué à son clitoris, utilisait son index et son majeur comme organe masculin. Cherchant son point G, le rythme de ses doigts s’intensifiait, et que la cyprine, coulant à flot du con de Fitna, faisait des bruits de clapot. Cette vision excitait Nissim, qui banda à nouveau en voyant Adja, qui, acculée comme une bête par les coups du colonel, déchargea quand celui ci claqua sa grosse main contre ses fesses fermes comme deux citrouilles, qu’il continuait à pétrir.

Fatigué cependant par ses cinq jours de voyage, le jeune lieutenant-colonel était en train de s’asseoir dans un fauteuil quand Fitna s’approcha lentement de lui. Ses seins étaient d’une taille remarquable, leur peau était soyeuse, presque enfantine. Le spahi les parcourait comme les dunes des précédentes journées : l’oranienne, était à l’image de son pays ; sa peau, un sable chaud, fin et doux. Entre deux montagnes de l’Atlas se trouvait un défilé et un puit profond, entouré de poils qui entourait les grandes lèvres. Le soldat, comme aux Portes de fer, y engagea une bataille avec l’indigène, pénétrant glorieusement ces entrailles, torturant ces chairs. L’oasis fécond dévoilait ses délices : Nissim avait provoqué lors de l’assaut tant d’émoi chez l’envahie que, de ses entrailles, jaillit un geyser fabuleux. Après avoir léché toute la mouille de cette source, qui reste l’ultime infusion de la luxure terrestre, Nissim attaqua à nouveau. Sa bite ayant caressé le clitoris de la belle, il continuait de frotter celle-ci à l’entrée de la chatte sans y rentrer. Il frotttait ainsi constamment le clitoris de Fitna, tout en feignant d’y rentrer. Quand l’organe pénétrait soudainement dans le puit érotique, c’était avec une diligence extrême : Nissim enfonçait alors sa verge enflée jusqu’à la garde avant de la ressortir complètement. Prenant sa verge comme un plateau, il apportait sa mouille à la bouche de sa maitresse, il dévorait alors celle-ci, suçant indirectement sa propre chatte. Véritables razzias sur ce pays indigène, ces intrusions intimes enlevaient à chaque fois un soupir de moins en moins contrôlé. Du moins c’est ce que pensait Nissim : usant de ses ruses, la jeune fille parvint à atteindre le soldat, qui déplorait maintenant une vilaine morsure à la lèvre supérieure. Le sang recouvrait bientôt le sable du Sahara, et cette vision vermeil enivra Nissim, qui, ulcéré par cette plaie et furieux d’avoir cru pouvoir si facilement dompter l’indigène, tout en lacérant son con gluant avec sa lance, rassembla ses forces pour prendre sa dague qui vint se planter dans la cuisse de l’Algérienne quitte atteint l’orgasme en criant, s’effondrant inanimée après cet ultime élan.

Nissim continuait à foutre le corps inerte, qui était maintenant ventre au sol, les deux jambes dans le prolongement du corps, offrant son cul. Enlevant la dague de la cuisse, il introduisit son membre dans la nouvelle fente ensanglantée. Touchant quelque nerf, la jeune fille se réveilla en sursaut, relevant son cul comme un cheval ses pattes arrières. Nissim tomba à la renverse, tandis que la pauvre putain s’apercevait qu’elle n’arrivait pas à se relever. Elle s’était retournée, et Nissim s’assit sur son visage endolori. Posant son anus sur sa bouche, elle commença à le lécher, pendant que l’officier se branlait ardemment. Bloquant les bras de la belle avec ses jambes, celle-ci ne pouvait bientôt plus que bouger sa seule jambe saine ; elle étouffait, les larges couilles de l’officier lui recouvrant le nez et le cul sa bouche. Alors qu’elle était sur le point de mourir, Nissim lâcha son foutre sur ses cheveux, pendant qu’elle reprenait difficilement sa respiration. Il rejoignit ensuite son ami Alfred, qui s’était déjà assoupi.

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Cette histoire est bien entendu une fiction, aucun fait ne saurait se rapprocher de quelconques évènements passés ou à venir.

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