Laurence rentra dans le bureau
– Oui Monsieur ?
– Laurence, Mylène vient de me faire part d’accusations très grave sur toi. Tu piques sa prime et tu te sers dans la caisse ? C’est vrai ?
– N’importe quoi !
– C’est faux cria Mylène tu ments !!
– Laurence ? C’est facilement vérifiable. Alors ?
– Oui d’accord j’ai dû le faire deux ou trois fois…
– Tu te fous de ma gueule Laurence ? Tu voles du fric dans la caisse ? répondis-je
– Après tout c’est l’argent de mon père…
– Oui mais il n’est plus là !! Tu vas dédommager Mylène !
– OK d’accord je vais la rembourser !
– Mylène cela te convient ?
– J’espérais mieux…
– Demande alors…
– Je veux son sac à main, il est griffé d’un grand couturier..
– Mais ça va pas non ?
– Ta gueule Laurence ! continuez Mylène. Demandez ce que vous voulez.
– Le sac d’abord…
– Laurence donne lui ton sac
– Comme vous voulez, je m’en fous, laissez-moi le vider
– Non avec tout ce qu’il y a l’intérieur
– T’es folle j’ai mes affaires perso
– Donne-lui ton sac avec tout ce qu’il y a dedans ! criai je
– Comme..Comme vous voulez, elle se déplaça à l’entrée du bureau et donna le sac à Mylène.
– Voilà, contente ? questionna Laurence
– Je peux demander autre chose ?
– Bien sûr, répondis je
– Ton tailleur !
– Quoi ? t’es folle ça va pas ..Monsieur s’il vous plait…
– Elle t’a demandé quelque chose…Alors tu fais ce qu’elle t’a demandé…
– Sonnée, elle déboutonna sa veste de tailleur, laissant entrevoir son chemisier, avec sa forte poitrine en dessous, voilà…elle tendit la veste a Mylène
– La jupe aussi
– Mais ?…Laurence me regarda désespérée. Elle comprit vite
– Elle dezippa sa jupe derrière et la fit tomber par terre. Elle portait des collant beiges laissant entrevoir une culotte de marque grise.
– Et le chemisier aussi..
– Elle déboutonna le chemisier faisant apparaitre un superbe soutient gorge gris a dentelle.
– Je peux encore me demanda Mylene
– J’acquiesça a sa demande avec un geste de la main.
– Comme nous avons la même taille, je veux ton soutien-gorge.
– Monsieur, non…implora Laurence
– Elle veut ton soutif…
L’affaire commença à me faire bander. Et qui dit bander dit soulager. Je pris mon téléphone pour appeler Martine
– Oui Mon….sieur ? répondit Martine en rentrant dans le bureau. Et regardant la scène effarée
– Grosse pute vient me vider les couilles, cette Mylène commence à me faire bander !
– Si je vous fais bander, alors je continue, me répondit Mylène avec un sourire..
Martine s’approcha de moi, et sans rien dire et comme un automatisme, elle enleva son pull, sortit ses nichons de son soutien-gorge et s’agenouilla face à moi face à Mylène qui n’en croyait pas ses yeux. Je m’approchais de l’oreille de Mylène en lui susurrant quelques mots
– On va changer un peu. Tu vas me sucer sans les mains et tu vas alterner ta fellation avec la phrase suivante : je suis votre pute, mes filles sont vos putes, je suis votre vide couilles, merci de de me faire l’honneur de vider vos couilles dans ma bouche…
– Si cela est votre désir Monsieur…
Elle commença la fellation avec 3 vas et viens et répéta la phrase. Sous les yeux de Mylène..
– Si moi je vous fais bander, je commence à mouiller répondit Myléne
– Alors fais comme moi fais toi du bien.
– … mes filles sont vos putes, je suis votre vide couilles, merci de de ma faire l’honneur
– Dis-moi Laurence. T’es uns salope comme ta mère ? questionna Mylene
– Non..non..répondit Laurence
– … mes filles sont vos putes, je suis votre vide couilles, merci de de me faire l’honneur
– Donne-moi ton soutif salope !
– Mylene arrêtez s’il vous plait !
– Tu te fous de ma gueule ! ta mère suce le patron, elle dit que ses filles sont des putes et toi tu me la joues sainte nitouche, j’ai connu une fille comme toi étant jeune elle s’appelait la bretonne sous ses airs de sainte nitouche c’était la plus grande suceuse la région. Elle vidait toutes les couilles à son passage une vraie tornade. Alors tu me donnes tes sous-vêtements je veux te voir à poil petite pute !
– …je suis votre pute, mes filles sont vos putes, je suis votre vide couille…
– Ah tu vois ta mère confirme !
Laurence se déshabilla complétement dévoilant ainsi sa forte poitrine et son gros cul Mylène s’approcha d’elle, en lui malaxant le sein gauche
– Mais ce n’est pas mal du tout ma salope, t’es bien foutu petite pute, t’as même hérité du cul de ta mère.
– …je suis votre pute, mes filles sont vos putes, je suis votre vide couille merci de de me faire l’honneur de vider vos couilles dans ma bouche…
– Branle moi aves tes seins, Martine !
– Bien Monsieur, je suis votre pute, mes filles sont vos putes, je suis votre vide couille
– Tu veux parler comme ta mère Laurence ? Alors tu vas dire la phrase suivante : ma mère est une pute, ma sœur est une pute et moi je suis une grosse salope. Je suce et lèche qui veux….je ne suis qu’une merde de pute….
– No s’il vous plait
– Ta gueule et répète non-stop !
– Ma mère est une pute, ma sœur est une pute et moi je suis une grosse salope. Je suce et lèche qui veux….je ne suis qu’une merde de pute….
– Alors Martine cela fait quoi d’entendre ta fille ?
– Je suis effaré Monsieur, il y a encore quelques jours nous étions une famille endeuillée et aujourd’hui tout ma famille est a votre service. Nous sommes vos putes ! mes filles sont vos putes ! Nous vous suçons toute les jours, à tout moment ! je suce même les clients ! qu’allons-nous devenir ? Mais qu’allons-nous devenir ?
– Tu devrais plutôt te poser les bonnes questions…
– Oui c’est vrai…pardon, Monsieur…Voulez-vous jouir sur mon visage, ma bouche ou mes seins ?
– Ma mère est une pute, ma sœur est une pute et moi je suis une grosse salope. Je suce et lèche qui veux….je ne suis qu’une merde de pute….
– Prépare ta bouche j’ai encore des choses à faire. Mylène vous ne profitez pas de la situation.
– Non merci, Monsieur : Le spectacle me suffit mais j’ai bien compris que la prochaine fois si je veux profiter d’un membre de la famille je vous demande d’abord et je joue après
– Ma mère est une pute, ma sœur est une pute et moi je suis une grosse salope. Je suce et lèche qui veux….je ne suis qu’une merde de pute…..
– … mes filles sont vos putes, je suis votre vide couilles, merci de de me faire l’honneur
– Exactement Mylène, vous avez tout compris. En attendant voulez-vous avoir l’obligeance de tenir la tête de Martine pendant que lui jute dans la bouche…
– Ma mère est une pute, ma sœur est une pute et moi je suis une grosse salope. Je suce et lèche qui veux….je ne suis qu’une merde de pute….
– Bien sûr Monsieur aves plaisir
Mylène avant de se positionner à genoux derrière Martine me questionna.
– Monsieur, afin de vous remercier et avant de juter dans sa bouche, voulez-vous voir mes seins pour vous donner une excitation supplémentaire ?
– Avec plaisir ! répondis je
Mylène ouvrit son chemisier laissant apparaitre un soutient gorge rouge et tira délicatement faisant apparaitre une superbe poitrine en forme de pommes, très très belle.
– Voilà Monsieur, j’espère que cela vous plait. Vous pourrez les toucher à tout moment de la journée et même plus si vous le souhaitez. Je vous dois beaucoup aujourd’hui ! Maintenant vous pouvez juter dans sa bouche de grosse pute je lui tiens la tête !
Cette vue de toute ces femmes autour de moi , me provoqua une ejac digne de ce nom. Martine en faillit étouffer ! Heureusement que Mylene lui bloqua la tete J’étais au Paradis et Mylène ria de bon cœur !
– Ma mère est une pute, ma sœur est une pute et moi je suis une grosse salope. Je suce et lèche qui veux….je ne suis qu’une merde de pute…..
– … mes filles sont vos putes, je suis votre vide couilles, merci de de me faire l’honneur
Le téléphone sonna c’était Valérie :
– Monsieur ! je suis toute seule dans la boutique ! Je sais ce que vous faites dedans ! Aau fait on en est ou de ma vengeance sur Autilia ?
– Ce soir Valérie, je vous le promets.
– Ça va Mesdames ?
– Ma mère est une pute, ma sœur est une pute et moi je suis une grosse salope. Je suce et lèche qui veux….je ne suis qu’une merde de pute…..
– … mes filles sont vos putes, je suis votre vide couilles, merci de de me faire l’honneur
Vivement ce soir !
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