J’ai parmi mes fantasmes celui de la boue. Ce rouler ou faire l’amour dans la boue donne des sensations vraiment spéciales. Mais c’est aussi possible avec n’importe quelle substance que l’on peut s’étaler sur le corps.
Il y a toujours un certain plaisir à transgresser un interdit. Jouer dans de la boue ou avec de la nourriture est un bon moyen de libérer la grosse cochonne qui sommeille en moi. Patauger dans ces substances grasses me conduit aux joies de la régression infantile et perdre son identité sociale.
Ce fantasme s’inscrit parfaitement dans le cadre des rapport BDSM. Alain et Christian se font un plaisir de me traîner dans la boue. C’est une sorte d’humiliation très subtile. Le plus exaltant est bien sûr de pratiquer en plein air, en communion à la nature. Les risques de rencontres inopportunes constituent un sérieux piment.
Dans le cadre d’une relation SM, quelques minutes passées sur une parcelle de terre détrampée par de fortes pluies, laissent des souvenirs inoubliables.
Il est extrêmement agréable de sentir les mains de ses partenaires parcourir votre corps et vous enduire de douces matières qui donnent aux contacts tactiles tout son sens. C’est un plaisir que ceux d’entre vous qui ont déjà eu l’occasion de manier l’argile et de faire de la poterie comprendront.
Il y a quelques semaines, Christian m’ordonne de me déshabiller et de l attendre. Il me met un collier de chienne, attache à une laisse et en tirant dessus, il me guide pour le sucer. Je m exécute en silence.
Christian adore me promener nue en laisse comme une chienne. Il peut contempler à loisir mon cul et mes seins se dandiner au gré de la marche. Je prends un malin plaisir à me trémousser de façon provocante sous ses yeux.
Il m’emmène dans le jardin à 4 pattes. Le mouvement de balancier de mes deux globes de chair provoquant suscite en lui une forte envie de me saillir. C’est là qu’il me jette dans une grande marre de boue qu’il avait préparé dans la journée. Il est tellement excité qu’il me prend sans préliminaires dans cette matière visqueuse. Nue recouverte de boue, mon instinct a****l se réveille. Les pulsions sexuelles de Christian sont décuplées. A quatre pattes dans la boue, il écarte mes fesses et enfonce son dard au fond de mon vagin dégoulinant de cyprine. J’aboie comme une vraie chienne. Tout en me baisant comme un sauvage, il étale de la boue sur mon dos et mes fesses. Prenant mes hanches, il m’assène des grands coups de boutoir.
Je crois qu’il n’avait jamais été aussi brutal avec moi. Je prends énormément de plaisir à être prise de la sorte, telle une chienne en chaleur qui s’offre à un mâle dominant dans la fange de son jardin. Je hurle plus fort quand il change de trou pour m’enculer aussi sauvagement que dans ma chatte. Christian me baise si fougueusement qu’il ne tarde pas à décharger tout son foutre sur mes fesses. Sa semence chaude et gluante se mélange à la boue qui recouvrait ma croupe doublement souillée. Je joui à mon tour dans une sorte de hurlement de louve.
Après de tels ébats, je suis dans un état déplorable. Christian décide alors de me laver au jet pour enlever toute trace de boue. C’est comme des coups de fouet quand la pression du jet atteint mes seins et mes parties intimes. Cette humiliation est presque une délivrance et m’apporte un autre plaisir particulier.
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