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Camping 6

Camping 6



Vengeance.

Pierrette du sentir la main de Marie qui me masturbait tout contre ses fesses car elle sortit sa petite langue de ma bouche, me donna un petit bizou mouillé sur le nez et me dit les yeux brumeux réduit a deux petites fentes.
-On va vous gâter Paul !
Je l’étais déjà. Doux Jésus!
Elle se redressa à genoux tandis que je continuais à caresser sa poitrine molle et tombante, mes doigts s’enfonçant profondément dans la chaire tendre faisant gonflé plus ses mamelons rosés que je pressais avec mes pouces. Elle posa ses mains sur le mur au-dessus de ma tête et s’avança en faisant tanguer le matelas pour amené son sexe mouillé à ma bouche. Je sortis la langue et commencer à taquiner le petit clitoris au sommet de sa fente sans le toucher trop directement tout en laissant mes mains glisser sur ses hanches puis sur ses fesses molles, un peut large et bien rondes. Je les presser avec fougue, les écarter, les soupeser très exciter de faire ça sous les yeux de la belle Marie qui me branlait toujours en m’agaçant le gland du bout de la langue comme j’agaçais le clito de sa tante. Miss télé me pressait les testicules en même temps avec ses longs doigts fin, une vrai torture, surtout que je ne pouvais même pas voir ça.

Mon nez me chatouillait agacer par la toison rousse et fournie de Pierrette qui sentait la crème a bronzé tandis que je glissais le bout de ma langue sous le petit chapeau qui protège le clitoris. Elle gémit doucement les yeux en l’air et se tortilla, surtout quand je mordiller son petit bouton avant de lui sucer goulûment ! En même temps, je laissais le bout de mes doigts se faufilée dans sa craque de fesses par-dessus sur son anus que je sentais plisser, un peut bomber et le tapotée avec mon index avant de l’y enfoncer légèrement. L’anus libéra un lubrifiant naturel et se contracta, se resserra sur mon doigt, Pierrette se crispa et ralla profondément avant de lâcher un long soupir.

Tout se passait si vite depuis ce matin que j’avais de la misère a réaliser tout ce qui m’arrivait et puis je commençais à penser que j’avais une commotion cérébrale. Je me sentais bizarre, c’était du sans doute a ma dure rencontre de toute a l’heure avec cette maudite branche basse. En tout cas une chose était certaine, jamais plus je ne pourrais écouter les nouvelles de 5h avec Marie Lemieux sans me revoir, ici, un doigt dans le cul de sa tante pendant que la vedette me masturbait et me léchait la bite. Sa ses sur !
Et soudain, les portes du paradis s’ouvrirent juste pour moi. Marie plaqua ma queue contre mon ventre pour me gober les couilles l’une après l’autre et mes les étirer lentement, très lentement en même tant que le bout de sa langue me les chatouillait.
Jésus Christ que c’était bon…
Je gémis de plus belle, déjà surprit que la bombe sexuelle me fasse la faveur de me prendre la bite pour me masturber, mais la. Ouf…
J’eu droit a trois sucettes baveuses a chaque couilles avant que sa langue humide ne glisse sur ma hampe tout du long jusqu’a mon gland. Elle releva ensuite ma bite gonfler à block et l’avala de moitié jusqu’a son poing fermer puis elle tourna la tête de gauche a droite plusieurs fois.
Mes orteils se raidirent bien écarter, même le blessé du groupe, comme si on venait de me connecter directement sur le réseaux d’Hydro Québec.
Les yeux vitreux et le souffle littéralement couper par le plaisir je gémis contre le mont de vénus en serrant plus les fesses molles de sa tante. Ça poussa même mon index plus profondément dans son cul tout en me disant que j’avais dut être vraiment, mais vraiment un bon garçon dans une autre vie pour mériter ce délicieux traitement de faveur.
Et la, Marie commença une pipe baveuse en continuant à me branler avec une lenteur infinie. Ses longs cheveux soyeux me chatouillaient les cuisses et le bas ventre. Elle stoppa un moment, sans doute pour les ramener derrière ses oreilles car quant elle recommença je ne les sentais plus.
Énormément de salive s’écoulait de sa bouche rendant sa main bien glissante, un pur délice. Je sentais un peut ses deux grosses dent d’en avant mais bon, quand une femme comme sa vous suce et de bon coeur en plus, on se plaint pas.
J’aurais tout donner pour la regarder faire, mais c’était impossible. Tout ce que je voyais c’était un buisson ardent, y manquait que Moise et en levant les yeux au ciel, c’était le dessous en sueur des seins de Pierrette qui miaulait de plaisir le front contre le mur en caressant avec ses doigts ses mamelons gonflés et durcit.
Ma langue s’agitait toujours mais elle était déjà un peut fatiguer, après tout ses pas fait pour sa ! Une bouche non plus c’est pas fait pour sucer, me dit une petite voix. Ta gueule lui dis-je mentalement.
Mes petites douleurs s’étaient envolées comme par magie, enfin presque.
Miss télé, comme l’avait appeler sa tante tout à l’heure, était entrain de me faire une pipe. Sa me galvanisa et faillit me faire jouir, déjà. Je la revoyais au bulletin de nouvelles les lèvres couvertes de rouge luisant, ou en première page d’un magazine maquiller et coiffer comme une star en sentant mon gland trop sensible glisser entre ses lèvres et sur sa langue contre son palais. Ça avait un petit quelque chose de sur-réel mais, surtout, d’extrêmement érotique.
-Réalise tes rêves mon petit Paul ! Me disait toujours Soeur Yvonni a l’orphelinat. Si elle savait la pauvre. Que Dieux est son âme !
Je me forcé à me concentré sur autre chose que la pipe de la vedette pour ne pas jouir trop vite en attaquant le sexe mouillé de Pierrette a pleine bouche et avec plus de vigueur y enfonçant ma langue profondément sous le coup de l’excitation et l’agitant furieusement dans le vagin complètement détremper à présent. J’eu l’impression d’y sentir mon doigt qui était maintenant complètement enfoncé dans son cul et qui s’y agitait, mais je devais rêver. Elle cria de plaisir en ondulant des hanches, son liquide vaginal légèrement salé m’inondait le visage, coulait dans ma bouche et je l’avalais goulûment.
Prit dans un tourbillon de plaisir je ne pensais plus qu’a une chose. Que Marie grimpe sur moi pour enfoncer ma queue jusqu’au couille dans sa plote juteuse et se démène furieusement les mains empoignant les seins mou de sa tante avec moi en criant ! Ah oui ! Ah oui ! Ah que ces bon Paul ! Crist que ces bon ! ! !

Mais… Malheureusement… Soeur Yvonni ne veillait pas sur moi cette fois la.

La grande rousse retira plutôt ma bite de sa bouche et se mit à me masturber furieusement en serrant sa main bien lubrifier si fort quelle m’étirait la queue. C’était comme si elle avait att****r subitement la maladie de la tremblote. Mes fesses se resserrèrent comme un étau, mes yeux s’arrondirent devant le buisson, je me crisper, langue raidit en arquant les reins et… j’exploser en un temps record. Mon petit puits de pétrole cracha son or blanc jusque sur le dos de Pierrette qui tourna la tête pour regarder ce qui se passait tandis que je ravalais ma langue la tête enfoncer dans l’oreiller.
Je m’étais retenue trop longtemps pour pouvoir me contenir, c’était décevant mais aussi une vraie délivrance. Sa main délicate mais puissante heurtait mon gland et mon ventre bruyamment et mon sperme jaillissait à la puissance 10, m’aspergent le torse et le ventre. L’orgasme était si puissant que j’allais probablement tatouer mes empreintes sur le derrière de la tante. Je jouissais dents serrer et le souffle couper, mes jambes en tremblaient et mes petits orteils replier craquait.
-Marie ! Fit sa tante indignée, la voix enrouer sans doute par le plaisir très court quelle avait du ressentir. Qu’est ce que tu fais-la ?
Son anus expulsa mon doigt tout naturellement.
J’entendis rire la grande rousse tandis quelle finissant de me faire éjaculer ralentissant peut a peut son mouvement de vas et viens. Je sentais mon sperme jaillir déjà moins fort et me remplir le nombril pour en déborder et s’écouler sur mes flancs tandis que l’orgasme diminuait.
C’était quand même grisant de pensé que cette femme la était entrain de me faire décharger.
-C’est ma petite vengeance pour ce matin. Dit-elle la voix plus profonde et granuleuse qu’a l’habitude.
Me faire jouir avait dut tout de même l’exciter un petit peut, enfin je l’espérais. Un homme a sa fierté.
-Sa vous apprendra à me jouer des petits tours toué deux. Rajouta-elle.
Elle rit encore en pressant ma queue pour bien me la vider et me la secoua en femme d’expérience m’arrachant quelques grimaces de plus. J’en pleurais presque, autant de soulagement que de déception tellement j’avais eu envie de fourrer l’une et l’autre.
-Faut jamais ce décourager Paul ! Me disait soeur Yvonni. Recommence !
Facile a dire.
La, je l’étais tout de même un peut décourager en me sentant vider de mes pulsions sexuelles pour un bon moment et en plus, mes petites douleurs revenaient.
-Té pas correct ! Se plaignit Pierrette visiblement déçut sur un ton très digne malgré tout.
-Ah ben ! Fit la rousse qui s’amusait follement. Pis le chaud de fesses tantôt sa c’était correct ?
-Toué-je te dis. Fit Pierrette avant de rire un bon coup.
Une fois mes couilles vidées, mon pénis flétri rapidement dans la main gluante de sperme, mon sperme. Une petite fierté de plus. Elle me le lâcha et donna quelques petites tapes dessus en rajoutant.
-Tien, cé faite, mission accomplie. Cé vrai qui a un gros réservoir tabarouette !
La elle rirent encore, comme d’habitude.
-Je trouvais ça drôle aussi que tu te joignes à nous, prude comme té Marie. Lâcha sa tante.
-Bof… J’ai eu une jeunesses moi ! C’était pas le fun Paul ? Entendis-je l’esprit embrumer.
-Hum, hum !
J’ai eu une jeunesse moi, sa voulait dire quoi ? Me dis-je. Trio, partouze, orgie romaine… Toutes sorte d’images sulfureuses avec Marie Lemieux me traversaient la tête.
Encore des rires.
Je laisser mes poumons se vider complètement en souriant bêtement moi aussi, lâchant les fesses de Pierrette qui soupira en me regardant avec un petit air désoler des plus comique tout en s’assoyant sur mon ventre.
Je la trouvais lourde un peut mais jamais j’aurais oser lui dire.
Marie se leva et je put enfin la revoir, la grande miss télé plus bandante que jamais dans mon t-shirt a tête de mort qui s’arrêtait a mi-cuisses. Ses mamelons pointaient fièrement sous le tissus, sa me fit déglutir. Elle baissa la tête embarrassée que je la regarde apparemment en replaçant ses longs cheveux derrière ses oreilles de la main gauche.
Je regarder la droite, quelle tenait lever, ses doigts étaient recouverts de sperme, je lever les yeux vers son visage. Elle rougie un peut en me souriant, apparemment contente d’elle mais pas tant que ça, comme si elle le regrettait. Mais je délirais peut-être.
Je venais de jouir et pourtant la voir comme sa provoqua des chatouillements dans mon bas ventre.
Je me vis me lever, lui arracher le t-shirt pour ensuite la plaquer sur ma table de cuisine sur le ventre, lui écarter ses longues jambes et la fourrer à mort bien agripper à ses hanches en la faisant gémir et crier. Mais…
J’avais 50 ans et ma bite toute molle prendrait un temps fou a se remettre et de toute façon je suis pas le genre a faire sa. Trop timide. En plus j’avais jouis deux fois en quelques heures, a mon age ses beaucoup.
-Bon, fit-elle toujours embarrasser, je vais aller me laver. Elle disparue dans ma petite salle de bain, on entendit couler un robinet.
-Pauvre Paul ! Fit Pierrette décourager en me regardant, ses mains délicates poser sur mon torse osseux.
-Sa vas, c’était le fun ! Dis-je épuiser tout a coup en caressant ses cuisses. Je ravaler le goût de son sexe en rajoutant sans trop de convictions. Je peux continuer si vous voulez ?
-C’est gentil mais… La elle passa une main derrière elle et je la sentit prendre ma queue molle et poisseuse. Vous avez besoins de reprendre des forces Paul ! Cé pas grave ! On se reprendra j’espère. Dit-elle en débarquant du lit avec précaution.
-Quand vous voulez ! Affirmai-je avec conviction, retenant une grosse envie de bailler.
Marie sortit de la toilette tout sourire, elle donna une serviette a sa tante et se rassit en croisant ses longues jambes, étirant mon t-shirt pour cacher son sexe, ce qui fit grimacer la tête de mort autant que moi et elle dit, radieuse.
-Continuer, vous gêner pas pour moi !
-Ben oui ! Lâcha Pierrette en s’essuyant le dos. Tu nous a couper le fun assez raide ma grande !
-Moi ?
-Non, la voisine !
-Cé ça, moi. Chut la voisine ! Elles rirent encore.
J’avais de plus en plus de misère a les suivre, mon esprit s’embrouillait.
-Ton héros est en train de bailler ma tante de toute façon !
Marie rit à nouveau, si belle en replaçant encore de longues mèches de cheveux cuivrés derrière ses oreilles d’un geste mille fois répéter. Mais elle me regardait intensément, ses grands yeux de biche quasi fermer luisait d’une étrange lueur, je trouver ça intrigant et fantastique. Des yeux de déesse fixer sur moi. Je rougis à mon tour et non seulement je baillais mais mes yeux se fermait tout seul.
-Sé ben un homme ça ! Lâcha la grande rousse moqueuse. Même quand c’est les femmes qui se démènent, eux, y s’endorment une fois leur petite affaire conclue.
Je bailler encore en souriant pendant que Pierrette essuyait mon torse et mon pénis en disant quelque chose. Mon esprit s’embrouillait de plus en plus…
Je les entendis rire vaguement… Je crus entendre ma douche… et… Y fait dodo… Encore des rires…
Une porte qui se referme…

Quand je m’éveiller il me fallut quelques secondes pour sortir d’un cauchemar terrifiant remplie de crocs acérés et de griffes sanguinolentes et reprendre vraiment conscience ! J’étais seul dans ma petite roulotte, je me sentais alanguis, vaseux et par la fenêtre je vis que de gros nuages gris bouchaient complètement le ciel. Sur ma table il y avait un sac d’épicerie, mes deux t-shirt bien plier et une note.
-Merde ! Lâchai-je en imaginant déjà ce qu’il y avait d’écrit dessus. « On est rentrer à Montréal, on a trop peur que l’ours revienne. A un de ses jours Paul” XXX !
J’imagine toujours le pire, je suis comme sa. J’aurais fait un bon Noé. Je regarder ma montre, cassé. Ma belle montre neuve, j’avais dut la briser en tombant quelque part. Je sortis ma caméra coincer entre le mur et le matelas pour regarder l’heure.
3-22h de l’après-midi. Wow ! Elles avaient eu le temps d’aller au village et de revenir deux fois.
Je me lever tout d’un coup pour lire la note, grave erreur. Je crier de douleur tout étourdie, j’avais mal partout, vraiment partout et mes jambes tremblaient. Mais c’était mon dos surtout, j’avais un genre de tour de reins. Plier en deux je me traîner humblement à la table de cuisine, m’assit et prit le bout de papier, anxieux. J’y vis une belle écriture féminine.
C’est un gros dodo ça Paul. Voila le vin, le change est dans le sac avec le billet de loto. Vous avez pas spécifier le quelle alors comme je ne suis pas une joueuse j’y suis aller au hasard. Ma tante vous avait inviter ce soir mais, elle s’excuse, elle a rencontrer des amis au village. Mais je vous invite à souper, des steaks, si je réussis à ouvrir le maudit propane. Si non, on se fera une salade, j’ai…
Miss catastrophe et du propane. Je déglutis péniblement imaginant déjà un gros cratère la bas avec un squelette calciné de lectrice de nouvelle recouverte de corbeaux affamés au yeux noirs et luisants.
…. acheter tout ce qui faut, j’espère que sa vous vas ? Amener du vin si vous voulez mais j’en est déjà. A tantôt !
Ps ; Je ne suis pas vraiment une bonne cuisinière alors… Ne venez pas trop tard. Vers 4h sa irais.
By !
Pas de petit xxx Sa me déçut un peut mais quand même… J’allais souper en tête a tête avec elle, wow !
Si elle était encore en vie.

En repensant à ce quelles c’était raconter ce matin, plus ma petite pipe ultra rapide de tout à l’heure, je me voyais déjà faire tanguer sa roulotte une bonne partie de la nuit malgré mon dos.
Une main sur les reins et les dents serrer je filé sous la douche. J’avais tellement d’égratignures et d’éraflures que j’eus l’impression de me laver à l’acide formique. Je prit un temps fou a me raser tout partout sans m’infliger d’autres blessures surtout au couilles. Je sortis de la salle de bain minuscule en grimaçant, le corps si échauffé que je dut m’essuyer en me tamponnant, impossible de me frotter. J’avaler des analgésiques, placer une pommade sur mes traces de fouet et la, je vis arriver un 4×4 des gardes forestiers.
Un jeune gaillard solidement charpenté, tout en muscle, cheveux en brosse et coincer dans un uniforme vert et brun qui semblait être trop petit pour lui en sortit pour venir frapper à ma porte. J’aller ouvrir en pensant à l’ours évidemment.
-Salut ! Dis-je en attachant la serviette autour de mes reins tout en essayant de me tenir droit par fierté mais impossible, je dut même m’acrocher au cadre de porte en lui souriant, avenant.
Il me regarda de bas haut. Soit il était gai, sot il était impressionner par mes petites blessures. En tout cas une chose était sur, ce gars la s’entraînait. Il était le genre a soulever une petite voiture pour impressionner les filles sur la plage.
-Bonjours monsieur ! C’est votre femme qui a appeler pour l’ours ? Me demanda t-il.
-Non, ça doit être à côté, y est rentrer dans leur roulotte a matin, mais je l’ai vue aussi !
-Ah ! Ok ! On nous a dit sa pour la roulotte et qu’il n’y avait pas de blesser heureusement. Mais on la att****r et on le déplace vers le Nord loin d’ici, y vous inquiétera plus !
-Déjà ! Fis-je la mâchoire décrocher. Je refermer la bouche.
J’étais vraiment surprit.
-Oui, en arrivant on la trouvé assit dans le chemin pas loin d’ici.
-Ah! Fi-je en souriant. Y se frottaient les fesses par terre je paris?
Le gars sourit aussi les pouces enfoncer dans son ceinturon. Son arme de service m’impressionna. Je me demandais s’il avait une mire au laser dessus pour placer des petits ronds rouge dans le front des Braconniers.
-Wais, bref on la endormit et embarquer sans le blessé.
-Mais, vous êtes sur que c’est le même ?
Je voulais en être vraiment certain. J’allais être seul ici trois jours de temps.
-Sur !
-Laisser moi deviner. Dis-je, tout heureux de l’impressionné.
Nous, les petits paquets d’os, on aime bien faire savoir au grand gars musclé comme lui qu’on a une tête sur les épaules…
-Il est marquer ces sa ? Continuai-je sans laisser le temps a Hulk de répondre. Il a as une bague a l’oreille, un bracelet ou un implant sous la peau qui émet un signal avec un nom et un numéro de série, genre code à bar et avec sa, vous pouvez le suivre grâce à un réseaux complexe de satellites lancer par la Nasa, les Français, les Russes ou les Chinois et qui vous a sans doute renseigner sur tous ces petits déplacements des derniers jours. C’est comme sa que vous savez que ces le bon. Y parait qu’Angélina Jolie a fait poser des trucs comme ça a ses enfants au cas ou y se feraient enlever. C’est pratique pareille toute cette nouvelle technologie la. Ça, les GPS, nos téléphones portable, l’internet sur les frigos pis les aspirateurs, même dans nos autos intelligentes qui se stationne toute seul en riant !
Il ouvrit la bouche mais je continuer sur ma lancer fier de moi.
-Pis ça doit vous donner des tas d’informations sur le nombre d’individus, leur migration, avec qui ils s’accouplent, qu’est-ce qu’ils mangent. Les ours je veux dire pas les enfants de… enfin… Même que je paris qu’on peut suivre leurs déplacements sur un site internet. J’ai vu sa avec les grands requins blancs, les ours pis les enfants aussi sans doute. Wow. Ses pas croyables hein ! Vous auriez pas l’adresses du site internet pour les ours, comme sa on saurait si y approche de nos roulottes ? Les grands blancs on s’en fou.
La, Le jeune me regardait abasourdit bouche entrouverte. Une vraie caverne a mouche. Je lui avais clouer le bec assurément. Et je rajouter trop heureux de le finir.
-Je suis un fan de documentaires ! Je faillit dire, MOI, mais, je voulais pas le vexer plus le pauvre. Des gars comme sa ne pense qu’a s’entraîner, se saouler, jouer à des jeux vidéo et baiser les filles. Navrant.
Mais il souriait. Je froncer les sourcils intriguer toujours bien accrocher au cadre de porte.
-Non eh… en fait monsieur, il avait simplement sur le museau et la tête des restes de nourriture qu’on trouve rarement en pleine nature sauf laissé quelque part par des humains. De la sauce à spaghetti et des nouilles pis en plus y buvait un 2 litres de Pepsi.
Un petit silence, mon sourire diminua lentement, le sien augmenta, ma caverne a mouche s’ouvrit.
-Pardon… Fis-je ahurie en grimaçant parce que je venais de me redresser un peut. Sa détacha ma serviette qui glissa. Embarrasser de lui montrer mon outil plus petit que jamais je la ramasser vite fait, la rattacher et cette fois je la tint solidement.
Le gars rit de bon cœur cette fois. Mais de quoi ? Ma bite ?
-Je vous jure, y buvait du Pepsi monsieur. Ouf… pensai-je. Je sais pas s’il a enlever le bouchon lui-même l’histoire le dit pas, mais probablement. C’est très habile un ours. Y en as qui ouvre des portes de chalets, y tourne la poignée, y vous regarde faire et y font pareil ou ouvre des fenêtres même et aussi des portes de véhicules sa, mon père la vue une fois. La bouteille vide est dans mon camion si vous me croyez pas y as des traces de griffes dessus. Dit-il en pointant le 4×4 d’un pouce plus imposant que mon outil.
-Y as but 2 litres de Pepsi et vous avez réussit à l’endormir ? Dis-je ahurie.
La le jeune me regarda comme si j’étais une étrange bestiole.
-Wais ! Fit-il finalement en riant. Fermer toujours la porte de votre roulotte et barré la la nuit et laisser pas traîner de nourriture surtout, ni de liqueur ni de bière y adorent sa. Déjà que vous êtes très isoler ici, c’est pas comme dans un camping. Si vous en voyer un autre faite du bruit, faut pas les surprendre et appeler-nous. Bon je vous laisse, je vais aller voir vos voisins. Bonne journée et bon documentaire monsieur ! Dit-il avec un étrange sourire.
-Bonne journée ! Fis-je tout bas en soupirant main sur les reins tout en refermant ma porte. Sauce à spag, le déjeuner de la rousse. Et ben…

Comme le temps c’était rafraîchi j’enfiler des jeans pour les enlever aussitôt ! Les jambes me brûlaient trop, je mis plutôt des pantalon de toile ample vers forêt, ma plus belle chemise et me fit beau. Coiffé, maquiller et parfumé je sortis l’une des bouteilles de vin du sac pour la rangée dans le mini-frigo. Le billet de loto y était coller. Un gratteux, gros lot 100,000$.
Il fallait gratter 3 cases seulement sur 12. Je le mit dans ma poche de chemise et partit récupérer mes affaires dans le bois avant qu’il pleuve car sa sentait la pluie. En marchant humblement mains dans le dos je me mit à la recherche d’un solide bâton qui me servirait de canne. Je trouver mon sac rapidement et mes runnings qui avec eu le temps de sécher. En revenant à ma roulotte je trouver mon bâton de berger, long, solide et sans écorce. Je retourner chercher la bouteille de vin rester dans le sac et filer par la route vers mon souper en galante compagnie fier comme un coq.
En marchant à petit pas prudent, plier en deux ou presque, bâton en main, je me dis qu’il ne me manquait que la cape et une longue barbe pour ressembler à Gandalf.
Et soudain, j’imaginer surprendre Marie en pleine partit de jambe en l’air avec Hulk.
Christ d’ours ! Me dis-je en donnant un coup de pieds a une petite roche ronde. Sa me tira dans le dos et m’arracha un cris de souffrance.
Un corbeau me répondit.

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