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Mon mari me livre à ses amis suite N°3

Mon mari me livre à ses amis suite N°3



Depuis quelques temps, mon mari avait imposé un règlement pour lequel ma conduite était toute tracée. Ce règlement draconien finissait presque immanquablement de me valoir des punitions corporelles. Tout était basé sur ma soumission, et si je manquais à une obligation, j’étais punie. Aujourd’hui encore, mon mari me téléphona vers 15 heures. Il me demanda si je lui avais obéit en tout. Evidemment comme ses exigences étaient illimitées, je lui avouais quelques lacunes. C’est alors que la sentence tomba. Je devais l’attendre au milieu du salon à genoux sur un tapis de crin (qui me faisait atrocement mal), avec une brosse à cheveux serrée entre mes cuisses au niveau de ma vulve, les lèvres de mon con bien ouvertes de manière à me piquer douloureusement les muqueuses. Il m’avait fallu également disposer sur mes seins un instrument de son invention constitué de deux pinces plates garnies de dents et reliées par un anneau. Les pinces devaient m’écraser les mamelons tout en englobant toute l’auréole. Ca les étirait et les rapprochait en même temps. Je ne vous explique pas la douleur occasionnée. J’avais beau les disposer avec précaution, c’était atroce. Pour compléter le tout j’avais dû disposer un gode énorme en forme d’œuf qui disparaissait entièrement dans mon derrière, après m’être enfilé un litre d’huile avec une poire. (Il me disait que ça assouplissait mes intestins en prévention d’une sodomie sauvage). Enfin pour terminer je devais passer un collier à chien muni d’un anneau à l’arrière réuni à deux bracelets dans lesquels je devais m’emprisonner les poignets. Disposée ainsi et n’ayant pas la clé, j’étais obligée d’attendre que mon maître arrive pour me délivrer.
Il arriva deux heures plus tard. J’étais épuisée par toutes les contraintes imposées et mon corps était douloureux. Il s’approcha de moi sans un mot, fit le tour afin de vérifier si j’avais obéit à ses consignes. Satisfait il se débraguetta et me présenta son sexe afin que je le prenne dans ma bouche. Il prit ma tête agrippant mes cheveux et s’enfonça de tout son long. Je suffoquais mais me laissais faire. Il ne mit pas longtemps à se vider dans ma gorge.
Il se pencha ensuite derrière moi et attrapa le manche de la brosse et me dit de serrer un peu plus les cuisses. J’obéis, tout en gémissant de douleur car les brins de nylons s’enfonçaient cruellement dans mes muqueuses. Il tira alors doucement la brosse en lui donnant un mouvement de rotation de droite et de gauche, m’égratignant encore plus. Arrivé au niveau de l’anus, il imprima un autre mouvement de va et viens qui me griffa également la rosette distendue par le gode. Je pleurais en me tortillant sans pouvoir éviter le supplice.
Il attrapa ensuite l’anneau qui reliait mes seins aux pinces et tira vers le haut afin de me faire lever. Je criais à nouveau car la douleur de mes mamelons qui s’était un peu endormie se réveilla de plus belle. Une fois debout, il continua à tirer vers le haut, m’obligeant à me mettre sur la pointe des pieds. Puis de son autre main, il attrapa mon clitoris et le tira en le pinçant de plus en plus fort. Il m’imposa cette position un bon moment, et pendant tout ce temps, il me rappela mes obligations tout en me pinçant un peu plus fort à chaque fois qu’il insistait sur mes manquements. Lorsqu’il me lâchât, je m’écroulais sur le sol.

Un autre jour, arrivant avec une autre femme, il nous dit de nous déshabiller puis nous fit mettre tête bêche, la bouche de ma compagne se trouvait à hauteur de ma poitrine et la mienne juste en face de la sienne. . Je devais prendre entre mes dents un de ses tétons, pendant qu’elle en faisait de même. Notre maître nous imposa alors de mordre, en mâchouillant cruellement la pointe du sein que l’on avait dans la bouche. Évidemment la douleur était importante et nous tirait les larmes des yeux. Il fallait changer de sein assez souvent et pour ponctuer ce changement, un coup de cravache appliqué sur nos fesses nous en donnait le rythme. Il fallait également laisser des marques de dents à chaque fois. Si les marques n’étaient pas assez visibles, Le coup de cravache nous atteignait en plein dans la raie, nous arrachant un cri encore plus prononcé.
Nos seins avaient maintenant changé de couleur, le tour de l’auréole était devenu rouge foncé tandis que la pointe avait viré au violet. Ensuite, il nous dit de prendre le mamelon entre les dents et tirer le plus possible afin d’allonger le sein et d’en faire autant avec le deuxième. Nous avions de plus en plus mal à la poitrine, estimant que cette partie avait assez souffert, il nous firent changer de position.
Tout en restant tête bêche, nous devions maintenant nous prendre les lèvres du sexe entre les dents et mordre à nouveau. Cette pratique nous tira rapidement de nouveaux grognements de douleur. La compétition était rude, et je mordais aussi fort qu’elle ne me mordait. Nous imposant ensuite de prendre le clitoris entre nos lèvres pour le sucer, il savait que cette caresse venue après tant de brutalité allait le rendre très érectile. Une fois celui-ci bien en vue, il nous fallut également le prendre entre nos dents et serrer. L’effet fut immédiat, faisant comme une décharge électrique et nous obligeant à nous tordre en tous sens afin de faire lâcher l’autre. Mais aucune ne lâcha, sachant que ce serait suivit d’une punition exemplaire. Au comble de la douleur, il nous dit d’arrêter.
A suivre…

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