En choisissant de retourner chez Mireille, la dominatrice de plus de 60 ans, je savais que je ne ressentirais d’excitations que sur un plan purement cérébral. Comme la dernière fois, nous commencerions de parler normalement, retardant le moment où, notre excitation commune commençant à monter, je verrais la main potelée de cette petite dame assez forte et pleine de verve remonter sa jupe, avancer le bassin pour poser ses cuisses grasses sur les accoudoirs de son fauteuil en cuir, et se branler sa motte glabre aux lèvres gonflées. Elle écumerait d’obscénités, ses yeux deviendraient fixes, tandis que j’aurais sorti ma bite pour me la toucher.
Après un an, elle se souvenait de moi. J’adorais son allure normale de grand-mère pleine de gouaille populaire.
-Attends-moi, mais ne te déshabille pas, avait-elle ordonné.
Assis dans la pièce sombre, je regardais tous les objets noirs et cloutés qui auraient pu constituer un musée du sadomasochisme. Je me réjouissais à l’idée de parler cru avec cette dame, tout en me branlant. Une branlette un peu chère, mais qui s’achèverait par une délicieuse giclée, quand je la verrais se doigter le cul en lançant des obscénités d’une voix forte.
Il pris de nouveau place dans son fauteuil en cuir. Rien ne trahissait la perverse, si ce n’est un oeil plein de vivacité louche, et quelques mouvements de langues, furtifs comme ceux d’un serpent, qui ne cadraient pas avec le physique de la vieille dame.
Je sortis mon boniment habituel sur Brigitte. Je soulignai son âge, 73 ans, son goût pour la sodomie, et tout le plaisir que j’avais éprouvé à la voir se costumer en pute, comment la digne dame me lécher les couilles et le cul, la chaleur de son vagin lorsque je la pénétrais furtivement debout, par jeu, tandis que l’aide familiale faisait le ménage dans la pièce d’à côté. (je renvoie le lecteur aux histoires précédentes, autour des numéros10 à 15, je ne sais plus).
-Tu sais que tu m’excites avec tes vieilles, haletait Mireille, les cuisses écartées comme un gros bébé, sa main branlant sa fente sans vergogne.
-J’en suis ravi, et cela ma flatte.
-Elle est belle, ta grosse queue.
Je lui rappelai à quelle point mes érections durables étaient appréciées par certaines dames âgées, qui avaient besoin de temps pour que la grosse saucisse se fasse accepter, millimètre par millimètre, dans les petites chattes endormies, que la mise en veille avaient rendues sèches et serrées.
ah, si les petits jeunes savaient comme c’est bon de fourrer sa bite dans une fente qui doit se réhabituer à recevoir de la queue…d’entendre les gémissements de la jolie grand-mère qui commence à mouiller tandis que son fourreau se détend, que la vieille fente avale le membre avec de petits bruits mouillés qui n’avaient pas résonné depuis longtemps dans cette chambre toute sombre et pleine de bibelots…
-Viens plus près.
Mireille se penche en avant. Ce faisant, son décolleté ne cache plus grand chose de ses gros seins touchent presque son ventre, tandis que…oh surprise…elle me gobe la queue!
-Regarde comme tu me fais mouiller, petite salope, me dit-elle en portant son index dans sa fente baveuse.
Tiens, suce mon doigt! Ensuite, tu devras me lécher…
-Je devrai lécher ma maman? Vous voudrez que je vous lèche?
-Oui, mais maman est gentille. Elle va d’abord te sucer.
Je n’y croyais pas: la dominatrice aux gros nichons me gratifiait d’une merveilleuse pipe. Je n’aurais jamais pensé qu’elle aimait cela, et qu’elle suçait bien, la salope. De petits coups de langues rapides, alternés avec dans longues succions qui m’auraient très vite fait monter la sauce si je n’avais pas du mettre une capote.
Je n’avais qu’une envie: sentir mon membre glisser dans le fourreau humide qui s’ouvrait entre les cuisses de la grosse dame.
-Vous ne pensez tout de même pas que je devrais fourrer cette queue dans la chatte à maman?
-Si, viens la mettre dans la chatte à maman. Viens la fourrer, petite pute.
A mon grand plaisir, je la vis enlever sa chemise et se diriger vers le lit. Son ventre un peu rebondi, ses nichons de poissonnière sur lesquels j’allais m’étendre, et ses grosses cuisses étaient comme autant de signes de bienvenue pour les assauts de ma bite. Je m’enfonçai dans la fente charnue qui m’accueillait sans difficulté. C’était mouillé là-dedans.
Après m’être bien frotté dans sa vieille chatte, elle m’ordonna:
-Sors, maintenant, branle-toi. On va se branler, on va se regarder.
Je plongeai dans ses yeux étincelants, tandis que ses doigts virevoltaient autour de son clitoris, et que je m’astiquais, bien que ma queue soit enveloppée d’une capote maintenant toute humide de la cyprine de la vieille.
-Reviens, baise-moi.
Je m’exécutai, heureux de retrouver la chaleur du con de Mireille. Je donnai des coups plus vigoureux, pour arriver à la jouissance.
-Oh, tu me bourres, tu me défonces…
Les avants-bras tendus, gémissant comme un boeuf, je sentis le sperme se déverser en elle, tout en regarder tressauter ses gros seins.
-A bientôt ma salope, me dit-elle sur la pas de la porte, après que nous nous soyons tranquillement rhabillés. La prochaine fois, il faudrait que tu me lèches.
Elle précisa:
-Je veux te langue dans mes deux trous.
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