Histoires de sexe en français Histoires tabous

Confidences de ma fille

Confidences de ma fille



Confidences de ma fille

Ce que je vais vous raconter est le fruit de mon imagination.
Je ne suis nullement impliquée dans ce texte, et si j’apparais, c’est un double, un clone, issu de mes fantasmes…

Ma fille, Anne vit près d’Annecy, avec son mari, Mike, et ses 2 enfants qui grandissent super vite.
Ceux qui me connaissent, et ont lu mes diverses aventures, savent combien je les adore et suis proche d’eux, d’elle, des enfants, et surtout de mon gendre, pilote chez Air France. Et si nous avons eu quelques aventures lui et moi, des rapprochements passagers et intimes, en toute liberté pour les dernières, c’est que ma fille est généreuse et tient de moi et qu’elle a déteint sur son mari.
Ce qui sous-entend un respect sans faille entre Anne et moi, elle ne s’aventurerait jamais à des gestes irréfléchis, ou des pensées malsaines…

Chapitre I – Première partie

– Allo, maman ?
– Anne, comment vas-tu depuis ces quinze jours ? Bonnes vacances ?
– Oh, oui, très délassantes… L’hôtel était magnifique, et je me suis mise au vert sans problème, choyée par les gens d’ici, nous étions dans un cocon…
– Bravo et les enfants ?
– Avec la mère de Mike, elle est venue chez nous, ils étaient aux anges, elle leur laisse tout faire…
– J’ai regretté de n’avoir pu les garder, mais mes amies et mes rendez-vous, je ne me voyais pas les emmener chez mon gynéco, l’esthéticienne, etc… Mais je sais on en a parlé, j’avais compris, j’aurais dû te prévenir plus tôt ! Mais Mike m’avait fait cette surprise, la Corse, un hôtel perdu entre mer et oliviers, une plage pour nous, des fêtes chaque soir, à moitié nus…
– Oh, dis-donc…
– Tu vois, on se ressemble…
– Quand est-ce que vous venez par ici ?
– Oh, pour l’instant rien de prévu, il est en train de nager, il se détend, l’ambiance est difficile… Alors je lui laisse la bride… C’est d’ailleurs pour ça que…
– Oui ?
– Enfin, il était fatigué, à bout, stressé… Et comme on s’engueulait car il ne voulait pas bouger, je me suis organisée avec l’hôtel pour sortir, visiter…
– Tu as eu raison, tu lui a dit ?
– Oui, il était d’accord, il passait sa journée entre piscine, les matelas de plage, le restaurant, un zombie…
– Bon, et alors ?
– Il nous restait encore dix jours lorsque j’ai décidé que je ne conduirais pas et prendrais un taxi, en fait un véhicule avec chauffeur, de l’hôtel.
– Bien !…
– Il s’appelait Reno… Nous avons fait une liste des choses à voir, des sorties, des visites, des horaires, afin qu’il se prépare, et qu’il me présente une solution et un devis.

Le soir au restaurant il nous a apporté le détail de sa réflexion. C’était parfait, de 11h00 à 19h00 chaque jour… Visites des villages typiques, des plages, des excursions en bateau, une séance de ski-nautique…
J’acceptais avec la bénédiction de mon époux, ravi…
Le lendemain, première journée…

Reno

Le temps était beau, je prenais tout de même un petit sac, avec une veste, des chaussures de marche, mon maillot de bain, une serviette et des produits pour le soleil, plus quelques trucs de femme, pour femme, on ne se refait pas, car on aime bien être belle et le rester au fil de la journée…

Reno était souriant, gentil, serviable et se montra dès les premiers kilomètres un être discret, complice de mon évasion, et un jeu commença entre nous, jeu de séduction discrète, de plaisanteries coquines mais très fines, je me suis mise à l’apprécier au-delà du conducteur… Entre deux villages, je m’endormais, je le surprenais à me dévisager dans le rétro, regarder mes seins, mes cuisses… Je continuais ce jeu en trichant, un peu plus de ci, ou de ça…

La plage était magique, ronde, claire, je ne pus résister. Dans le parking, à l’abri des regards des passants, j’ai passé mon maillot, il était là, béat…

– Tu t’es régalé Reno ?
– Euh !… Quoi ? Ah ? Oh…
– Ne me dis pas que c’est pas beau !
– Non !… Pas assez longtemps, tu vas trop vite madame…
– Bon, au retour, je serai plus lente…

Le temps et le moment, j’allais m’allonger, il me suivit, il était bronzé, presque noir, des muscles saillants, ses cheveux bouclés Origine Corse, accentuaient son regard et ses yeux verts nous pénétraient… Il était beau ce mec ! J’avais de la chance… Maillot noir, son ventre plat, je vis nombre d’yeux féminins le suivre lorsqu’il plongea du ponton…

Il me rejoignit dans l’eau, nagea de concert, puis revint avec moi…
Mon mari a dû lui demander de me surveiller de près…

– Maman, tu ne me croiras pas, quand il s’allongea à mon côté, j’aperçus une bosse devant son maillot qui me glaça…
– Te glaça, cela m’étonnerait…
– Tu as raison, m’horrifia alors ?
– Non plus, disons piqua ta libido au point de te dire que tu lui plaisais, et que ma fois, mère nature agissais selon un principe immuable, le rut chez les animaux…
– Parce qu’il avait vu ma minette dans la voiture ?
– Ou tes seins, si tu as mis le maillot auquel je pense…
– Justement oui… Tu es perverse… En fait, comme il me draguait, je pense que c’était les deux qu’il avait eu le temps de lorgner, ce pervers…
– Tu ne t’en étais pas cachée ?
– Je regardais vers le parking, pas devant ! Il y avait un mur !
Je suis retournée à l’eau, me disant que cela le calmerait… Mais il ne me suivit pas et resta à regarder mes évolutions, allongé sur le ventre…
C’est là que j’ai heurté Lena, une ravissante jeune anglaise, blonde comme les blés, blanche, dégoulinant de crème contre le soleil… Maillot deux pièces, ses petits seins bien rangés, ventre plat, course nerveuse, je la suivis pour m’excuser…
– Aucune importance, merci…
– Ses yeux bleus me donnèrent le tournis… Son sourire finit de me convaincre d’entamer la conversation…
– Tu es seule ?
– Oui, à l’hôtel, là-haut…
– Elle m’indiqua un bâtiment blanc, masqué d’une épaisse verdure, des balcons… Je lui demandais bêtement si elle était d’ici. Non de la banlieue de Londres, elle était mannequin, en vacances pour 3 jours…

Connaissait-elle la région ? Non.
Aimerait-elle la visiter avec moi, je suis seule, mon mari se repose à l’hôtel, mais au village plus loin, je parcours la région avec mon chauffeur que je lui pointais du doigt…

Elle me regarda, accepta de me suivre et nous fîmes connaissance tous les trois.
Reno lui expliqua la suite, le lendemain et le surlendemain… Elle fut immédiatement d’accord, et voulait partager le taxi, ce que je refusais…

Ses affaires étaient à deux pas, elle passa les chercher, monta se changer dans sa chambre et fut prête pour nous accompagner pour la suite de notre après-midi…

Pendant ce temps, Reno assistait à mon rhabillage, il put voir la majorité de mon anatomie, et m’aida pour le soutien-gorge…
– Tu serais mieux sans… Je te parie qu’elle n’en aura pas mis, elle…
– Pari tenu. Au fait je suis lesbienne dans mes moments perdus, alors tu te calmes…
– Il fut décontenancé… Perdit son sourire, elle arriva peu après, j’était certaine cette fois que Reno avait gagné, et même pour la culotte, car sa robe ne cachait vraiment rien… Quand il lui ouvrit la porte, nous en fûmes certains, il eut le loisir de faire le tour du propriétaire côté cour et côté jardin, vue directe ou par le décolleté.
Il me sourit largement en s’installant au volant, je lui tirais la langue, puis insidieusement, je passais ma main entre le siège et la carrosserie, pour atteindre un endroit précis que… enfin, je pus constater les dégâts…
– Dis-donc, c’est chaud ton histoire, Anne. Tu es un peu libertine maintenant. Tu le fais souvent ?
– Non pas, seulement avec nos voisins. Nous allons parfois chez eux ou eux chez nous, on passe de très bonnes soirées, en toute amitié, cela décontracte et nous replace sur des rails pour nos étreintes conjugales…
– Au moins, j’ai servi à quelque chose…
– Oui, Maman, et tu t’es largement servie aussi…
– Oh !… Continue…
– Bref, nous sommes partis visiter un très beau village, à pieds. Haut perché, tout en côtes, des vestiges, une église, une vue sur les toits et sur la campagne et au loin, la mer…
Nous pouvions visiter la tour, 200 escaliers avec quelques paliers… Il n’y avait personne, nous sommes passées devant Reno…
Ce fut magique…
Elle était passée devant, sa robe courte se soulevait parfois au hasard de ses mouvements et laissait entrevoir ses cuisses fuselées de mannequin, et même un peu du reste…
Mon regard ne la quittait pas, toujours au-dessous de la ceinture, elle s’arrêta à un palier pour reprendre son souffle et regarder par le machicoulis… Reno arriva, un peu essoufflé, nos regards se croisèrent…
– Ça ira Reno ?
– Oui, je ne monte pas souvent ici, mais le paysage vaut la peine de se torturer un peu…

Je me mis à sourire, Lena repartit…

Au second palier, la vue devenait magique, le vent soufflait plus fort, sa jupe se releva, Reno arrivait et toussa… Elle ne s’aperçut de rien, regarda un moment, s’exclama, me sourit encore, et repartit, elle manqua glisser, je la rattrapais par la main… Elle ne me lâcha plus…

On atteignit un dernier palier, sans vue, sans lumière, juste une pénombre ; il fallait monter 3 mètres, par cet escalier style échelle de grenier, pour atteindre la plate-forme au sommet de la tour.
Je sollicitais Reno et son savoir vivre en premier, il nous attendit en haut, main tendue…
Lena monta à son tour, je relevais la tête et manquais un barreau…
Je suivis, puis je pris la main de notre pilote, qui me tira.
Nous étions serrés, la plate-forme était étroite, tournait autour d’un dôme.
On en fit le tour, j’eus le vertige en regardant en bas de la tour, puis je revins vers l’entrée.

Lena avait pris les jumelles que Reno avait monté… La vue était sublime, mais comme il y avait du vent, Reno, appuyé contre le dôme, la maintenait par les épaules, pratiquement dans ses bras… Elle me jeta un œil, me tendit les jumelles…
Elle ne bougeait plus, ondulait, une main dans le dos… Je compris…
Elle tenait son sexe à la main et le masturbait…
Je m’avançais et l’embrassa, elle passa une main sous mon tee-shirt, puis sous ma robe… j’avais mal fait de garder ma culotte, car elle, n’en avait pas…
On se déchaîna, d’abord toutes les deux, nous embrassant, nous caressant, nous doigtant outrageusement devant le membre oublié…
Il se joignit à notre couple, et perfora notre belle anglaise penchée sur la rembarde…
On s’embrassait à perdre haleine, il me doigta à son tour, je déversais mon désir dans sa main en le voyant forniquer Lena à grands coups de reins…
Elle gémissait au gré du vent et la fit jouir… Il me prit après elle, et m’envoya vers un orgasme, facile, après ce que je venais de voir et d’entendre…
Ils me caressaient, nous nous caressions, ils s’embrassaient, elle m’embrassa ses seins contre les miens, je goûtais sa vulve détrempée en redescendant, elle embrassa Reno dans la pénombre au bas de l’échelle. Nous nous arrêtions à chaque palier, Reno allongé sur le sol… Deux furies déchaînées, avec ce mâle en rut…

Nous refîmes l’amour toutes les deux, à l’arrière de la voiture en revenant.
J’avais interdit à Reno de regarder dans le rétro…
J’invitais Lena à venir dîner avec mon époux ce soir, elle accepta…

Lena
La nuit a été chaude… Mike fut surpris de voir débarquer cette magnifique jeune femme… Il était allongé près de la piscine, je fis les présentations, Lena se pencha pour l’embrasser, il était déjà d’accord pour tout…

Il nous invita pour l’apéritif, après un verre de jus de fruit et de Coca…

Je montais avec elle dans notre chambre, lui proposa une douche qu’elle accepta, un top et un short, elle était désirable à croquer…

Elle me dit qu’elle avait aimé notre intermède coquin, Reno était très correct…

– Chut ! Pas de Reno devant mon mari, c’était notre premier baiser, enfin flirt… Et tu en es un peu responsable…
– Moi ?
– Oui, à te balader à poil, jupe ultra-courte dans des escaliers raides, tu as montré la marchandise pendant 200 marches… Pas étonnant qu’en haut il craque… Mais j’ai aimé aussi !
– Tu m’as appréciée lorsque je suis montée à l’échelle ?
– Certainement, ma douce, un appel direct, j’avais mon visage sous ta chatte…
– Tu m’as plu dès la plage… Et quand j’ai vu les yeux de Reno ! Mon dieu !… Je me faisais draguer par des malades, moches et malpolis…
Là, j’avais un couple idéal, je suis bi, aussi…
– Mike est très bon amant, tu vas voir, nous sommes libertins.
– Alors c’est d’accord ; je vais prévenir mon hôtel que je passe la nuit avec des amis, ici… Ses baisers m’emportèrent, on fit l’amour dans la salle d’eau, j’en crevais d’envie tant elle était belle et sensuelle…
– Quand nous sommes redescendues, Reno prenait l’apéritif avec Mike… Mais je lui fis comprendre que je n’aimerais ne pas le traîner avec nous ce soir… Mike comprit, nous nous séparâmes, Reno m’appela…
– Attends, demain même heure ?
– Oui, bien sûr.
– Tu as oublié ça dans la voiture…
– Ma culotte, elle ne servira pas ce soir, j’en ai mis une autre… Tu la veux en trophée ?
– J’ai déjà le string de Lena ! Tu vas te régaler… Mike est ravi…
– Et oui, c’est la vie, à demain. Et gardes-en, on ne sait jamais…

– Voilà, maman, notre première journée se termina en champ de bataille.
Mike nous passa à la machine, on ressortit à genoux et aussi fripées… Elle adore la sodomie, elle a fait quelques pornos avant… Il nous a démontées toutes les deux… Il s’est endormi très tard, un peu bourré par notre faute, pour qu’on ait le temps de nous câliner entre femmes… J’ai tout connu d’elle, de partout, elle respire l’amour, le sexe, et n’a peur de rien. Elle est d’accord pour le surlendemain, elle nous invite dans sa chambre pour déjeuner…

A 11h00 Reno est en bas, paré, je descends, Lena est repartie tôt ce matin, en taxi Reno était là… Je suis sur les rotules, mais résiste jusqu’à m’affaler dans les fauteuils en cuir…

Pour Mike, il va devoir s’allonger 10 heures d’affilée, prendre ce qu’il faut pour se remettre en selle, du bois bandé, des trucs pas clairs, des remèdes miracles car demain sera un autre jour…

Direction, le nord, dans la montagne pour changer, un village calme, des maisons brûlées par le soleil, après le village, une forêt, puis un col… La vue est merveilleuse…
Nous n’avons guère parlé, il me regarde de temps à autres, mais je rêvasse, plonge dans un sommeil profond jusqu’à qu’il passe dans une ornière, les routes ce n’est pas le fort du Pays…
– Madame est servie…
Le paysage est magnifique, la neige, et à droite, la mer, des îles, on distingue une côte…
– La Sardaigne…
Je descends en m’aidant de mes bras, marche lentement, arrive enfin jusqu’au banc, m’assieds face à la mer…

– Tu as l’air détruite…
– C’est peu dire, l’apéro avec vous deux, ensuite cette nuit avec Mike et Lena… Elle a fait du porno au début de sa carrière, mais là… Mon Dieu… Mike était sur les rotules, j’ai trouvé mon maître…

Reno s’assied à mon côté…

– Tu veux rester tranquille cette après-midi ?
– Bof…
– Je sais ce qu’il te faut Anne, un massage… On ira chez un copain, sa femme est divine, des doigts de fée, elle a un cabinet en ville…
– Tu n’es pas fâché pour hier soir, je ne pouvais pas faire autrement…
– Je sais, je te remercie d’y avoir pensé.
– Avant d’aller plus loin, nous sommes libertins avec Mike, nous faisons des soirées chez nous, entre amis, juste pour le fun, le plaisir. Nous avons l’habitude de trier les participants…
– Je comprends, je…
– Ne dis rien, dans quelques jours on ne sera plus là, ne rêve pas. Tu nous as plu, on a baisé à près de 60 mètres de hauteur. On était chaudes comme la braise… Tu as assuré, elle était ravie. Elle aussi, ancienne actrice porno, elle baise pour le moral, une à deux fois par an, elle se lâche pendant ses vacances. Sinon, elle a un mec à Londres.
– Je sais, je l’ai raccompagnée ce matin, elle n’a pas pu dire grand-chose… Repose-toi, je vais voir pour le massage.
Il revient quelques minutes plus tard, je suis assoupie sur le banc…
– Hum…
– Oui, Reno ?
– C’est OK pour le massage vers 14H30. On a le temps de manger un bout chez un copain au village, je vais te faire goûter la vraie charcuterie de chez nous et le rosé de Corse du Sud.
Nous descendons, il me sourit, je suis trop vannée, mais je reprends vie… Finalement, ce sont eux deux qui ont surtout baisé, Mike se devait d’être à la hauteur… Après ce fut tendre entre nous deux… Elle était déjà fatiguée de ses exploits avec mon mari…

Après un très bon en-cas, assiette charcuterie et fromage avec une glace à la myrte et un café, nous partons à pied vers le centre.

L’établissement est discret, semble confortable et le sourire de son amie me rassure…
– M, je te présente ma sœur et son associée. Deux perles aux mains de fée. Tu seras entre de bonnes mains. Je reviens dans une heure, appelle-moi si tu prolonges…
– M, tu es tendue, belle et tendue… Coquine avec des cernes ?
– Un peu de relâchement, les vacances…
– Seule ici ?
– Non, mari stressé, épuisé, dormeur, alors hop, visite des environs et des autochtones…
– Le terroir a du bon, ici, en Corse. J’aime ceux et celles qui viennent goûter à tous nos produits…
– Hum…
– Allez, passe dans la cabine et déshabille-toi.

Elle me tend un peignoir, une serviette immense et douce…
– – D’abord, un spa, dynamique et relaxant ? Ensuite un baume sur tout le corps, puis un massage soft, tu peux finir pas un sauna court de 20 minutes… Seule ou accompagnée, couple ou mixte…
– Dis donc, tu es directe… Je verrai…

L’eau me calme, les jets me soignent, me relaxent, me font du bien, puis ses mains passent le baume, leurs mains, c’est magique… Elles passent de partout, sans hésiter, sans prévenir… Je coule… Mon corps approuve… Je me laisse palper, lénifier, emporter… Je rêve… D’une langue, d’un sexe, de sexe… Je délire, écartelée, abandonnée, curieuse, passive…

– Allez, il faut raffermir tout ça ! Hop, au sauna. Tu as décidé ? Seule, au féminin, en couple ? Rien ?
– Un ensemble, un mix de tout ça, douceur de masseuse, tendresse de femme, virilité de l’homme, jouissance inconnue, jouissance éperdue…
– Alors c’est parti, on a ce qu’il te faut…

Ses yeux me transpercent…
La chaleur devient intense, nue, seule, allongée, mon corps transpire dans la vapeur et les parfums subtils, fenouil, menthe, myrte, eucalyptus, thym, un vrai barbecue…

Je me retourne sur le ventre, je cuis… Je sens des mains douces, un courant d’air, je suis rafraîchie, refroidie… Un gant de toilette, glacial, sur ma peau…
Avec des lèvres douces qui viennent m’apaiser, points sensibles, zones érogènes, toucher subtil… Je fonds à vue d’œil… La main passe et repasse, légère et pourtant insistante, et je me retourne sur le dos, je vois…
Belle, métisse, yeux noirs, cheveux noirs, lèvres roses, seins poirés, ventre plat, elle monte sur la table, m’enjambe à genoux en enlevant son peignoir, et passe un onguent aux senteurs inconnues, douces enivrantes, puissantes…
Elle fait partout, termine par l’entrejambes… Un doigt s’attarde, j’écarte les cuisses, elle continue, s’aventure, elle y est… Que c’est léger, doux… je me laisse faire…

Je m’écartèle, offerte, je la cherche avec ma main…
Elle est entre mes jambes, sa langue remplace la main, le gant, l’onguent, divine, sournoise, coquine, je fonds…

D’autres mains viennent empaumer mes seins, une autre langue sur mes tétons durcis, mes aréoles café, le doigt est entré, glisse dans la moiteur qu’il a déclenchée, plonge, ouvre, tourne…
Mes râles s’amplifient, résonnent…
Des lèvres sur les miennes, j’accepte, les ouvre, une langue, c’est parfait, parfumé, odorant, enivrant… Le baiser est tendre, un baiser comme j’aime, un baiser de femme…

Un autre courant d’air, l’air est plus respirable, je suis ouverte, abandonnée, sexe béant, je n’ose regarder, je sens la table qui bouge… Un contact… Entre mes cuisses, sur mon pubis, un homme, en rut, bandé, il approche, effleure mon abricot, la source recommence, il teste, il écarte, il passe un degré, continue, oui… Il me prend…
Un inconnu… Un… Reno ?

Non, plus puissant, ses mains prennent mes hanches, un premier va et vient, délicieux, tendre, subtil, hésitant…

Oh !… ça y est !… Il me reprend… Accélère… Il est énorme, long, large, il me remplit jusqu’au bout, pousse encore…
– Ah !… Oui… Euh !…. Ouh !… Quel pieu !…

Il me lutine, cadence parfaite, va et vient dans l’océan…
Je plane, délire, je jouis doucement, sans rien dire…

Il prend mes seins dans ses mains… Il est monstrueux dans mon vagin délirant, me pilonne, et l’orgasme monte, plein, sublime, je tremble, je gémis, je me plaque contre lui, relève mon bassin, ouvre mon sexe et mon esprit…
Ses coups de reins redoublent, il tape contre mon pubis, écrase mon utérus, j’att**** ses fesses et tire encore vers moi…
Je le serre dans mon vagin, à la limite de la douleur…

Il grogne, rugit, la table de massage grince, je tremble, il grossit encore, termine en m’écrasant, me clouant, martelant mon pauvre sexe défiguré, ouvert, dégurgitant sa semence sur la table…

J’ouvre les yeux sur deux rangées de dents étincelantes, deux globes noirs entourés de blanc et pointés sur mes yeux et son sourire…
– Bonjour madame, moi c’est Aristide…
– Je suis Anne…
Il est encore fiché en moi, gros, il abaisse la table, me soulève contre lui, me serre dans ses bras. J’enroule mes bras autour de son cou, il me savoure, moi aussi, pleinement… Debout, il me lutine, me fait coulisser le long de son dard, j’enroule mes jambes autour de ses hanches…
Il me porte, me délire, m’embrasse tendrement, je jouis… J’aime cette position… Je jubile !

Il s’assied sur un lit moelleux, et me dépose sur lui, toujours emboîtée, il me laisse mener le bal, m’introduire à mon rythme, savourer son dard puissant, onduler mon bassin, jouir sans relâche, puis le supplier de m’embrocher en levrette, détruisant ce que les soins préalables, le Spa, et les onguents, ont mis si longtemps à remettre en état…

Je sors de la cabine l’esprit en émoi, embuée, ivre de sexe, ce sexe énorme, légèrement plus gros que celui de Mike, plus long aussi…

J’en ressens les effets, j’ai du mal à marcher, à tenir mon équilibre…

Ma douce masseuse m’attend, je caresse ses deux seins de jeune fille, avance mes lèvres, lui donne un long baiser, la patronne arrive, je reconnais ce sourire complice, son ventre plat, ses seins qui écrasaient les miens, ses doigts de fée qui m’ont emportée, et que je porte à mes lèvres… Je passe ma main sous sa blouse, elle se laisse palper, complaisante, ravie…
– Tout a été parfait, merci. Je ne pouvais trouver mieux pour évacuer ma fatigue, quoique… Mais c’est génial…
– Le plaisir a été pour nous 3… Reno n’a fait que regarder… Il a pris le DVD…
– Le coquin !
Les images défilent dans ma tête en me rhabillant dans la cabine, je suis une putain…
Me laisser prendre comme cela, par un inconnu, après 2 jours de délires, 2 jours éprouvants, épuisants, mais si intenses d’émotions, de passions…

– Maman, je suis folle, j’ai passé un cap, je m’en veux de tromper Mike comme cela, gratuitement, sans qu’il ne s’en doute. J’ai partagé ma conquête Lena avec lui par amour, par tendresse, elle le valait…
Reno, lui, c’est un bonus, et Mike doit s’en douter…
– Non, chérie, ne t’en veux pas, tu es jeune, en pleine maturité sexuelle, tu es libre quelques jours, profite, le plaisir est si éphémère… Personne ne te jettera la pierre dans ces conditions….

Le voyage

Quelques jours plus tard, Anne me rappelle…
Croyant que cette aventure était terminée avec ses vacances, je ne pensais plus à cette Corse qui me poursuit…
– Maman ?
– Oui ?
– On part pour Londres une semaine…
– Mais qui part ? Vous êtes où ? Et tes enfants ça va ?
– Oui, tout va bien maman, juste une rallonge… En fait Lena est devenue notre amie. Je te passe la longue nuit avec Mike, chez elle…
– Puis le lendemain, Mike a voulu venir avec nous visiter Sartène, car elle repartait le lendemain soir… je pense qu’elle lui plaît bien alors je veille…
– Je te raconterai au retour, c’est divin comme vacances…

La semaine d’après, dring !
Ils sont arrivés hier, une nuit de sommeil, les enfants sont aux anges…
Anne plane encore, Mike est dans un nuage, tous deux émerveillés par Lena et son monde…

– En fait Maman, elle ne nous avait pas tout dit… Lena est actrice et mannequin, et son père est richissime. Elle a une villa en bord de mer, dans un beau village au sud de Londres, elle nous a reçus comme des VIP, et nous avons fait le tour de leurs propriétés, ranches, vignobles, et un château en Ecosse…
– Mon dieu, vous avez eu de la chance de rencontrer cette fille.
– Son ami est producteur, nous l’avons rencontré, beau, gentil, amoureux d’elle, disons à sa façon, un peu la nôtre avec Mike…
– Oui, je vois… Et alors ? Vous avez… ?
– Oh, un feu d’artifice ! Mike était sur le c…
– On a commencé chez elle tous les trois, puis son ami est venu le second soir… Un régal maman, il m’a adorée et propulsée dans les sphères cinématographiques…

Photos, vidéos, nous sommes partis au château pour un soir, magique, envoûtant, un souvenir incroyable… Puis le père de Lena est arrivé le lendemain, il nous a gardé les jours suivants… On a visité la région en Rolls, on a fait du cheval, on a vu le loch Ness, la légende, on a dormi en bordure du lac, et sortis à minuit pour nous baigner avec le monstre… Génial, épidermique, et très sensuel…
– Tu me raconteras ?
– Bien entendu, je dois partir travailler, bises maman…

Elle n’appelait pas, presque dix jours sans nouvelles… J’étais restée sur ma faim…

– Allo ? C’est moi…
– Ah, maman, je t’ai un peu oubliée. On a été… Mon dieu, ça passe vite… Les enfants ont repris l’école, les beaux-parents ont réintégré leurs pénates, j’ai eu un travail monstre en lessives et ménage, Mike est revenu une fois seulement deux jours, heureusement car, il est encore dans ses rêves de vacances et lui qui ne voulait rien faire au début, n’arrête plus de me chercher… On dirait un taureau, il me coince de partout et hop, il en a même oublié les enfants le premier jour, ils nous regardaient, heureusement j’étais habillée, et n’on vu qu’un enlacement conjugal… Un bisou quoi ! Ils adorent nous voir amoureux, mais…
Tu sais on a fait le plein d’images et de sons, entre Lena et son mari, Reno, le papa au château…
– Le papa ?
– Je ne t’ai pas raconté la sortie sur le Ness ? Ah… Oui, le Papa et sa Rolls, ses grands airs et ses mains agiles pendant que Mike admirait le reflet de la lune sur les eaux noires, avec Lena…
– Eh, bien non, tu me laisses une grande semaine, plaquée comme une malpropre juste où ça devenait torride…
– Bon, voilà… Lena nous avait hébergé deux journées, son ami était venue le dernier soir, il est très pris, toujours en voyage. Elle aussi, elle fait des photos, des tournages de pubs, des spots pour l’administration et parfois accepte encore une ou deux séances X… Ca paie très bien, elle est connue en Angleterre… Bref, ensuite, son père l’a appelée, et nous a invité, elle parlait de nous comme un couple divin, il s’ennuyait tout seul… Nous sommes partis en train, ce n’était pas loin…
Le château, est petit mais bien refait, au bord de la falaise, c’est magique, pas très loin du loch Ness…
Papa a 70 ans, très bel homme, anglais, pas lord mais presque… Il nous montre son domaine en arrivant, puis le garage, il adore les véhicules anciens, il possède une Rolls de 50 ans, impeccable… Après dîner, il nous propose de l’essayer, vers le célèbre loch…
La nuit est tombée, mais le lac est impressionnant, Lena, Mike, moi et lui au volant, nous roulons dans les brumes de cette fin d’été…
Il nous arrête souvent, je monte à son côté laissant la place à Lena qui connaît et profite des sublimes places arrière et relever la vitre de séparation… Surtout lorsque la vue est du côté de Mike, elle ne se gêne pas pour se frotter contre lui, dans le dos de son père…

Je sens le regard bleu me détailler, il m’invite à descendre, prendre un sentier, nous suivons, l’eau clapote, il fait nuit noire, nous nous abritons du vent qui se lève dans une grotte naturelle… Il me serre contre lui pour me réchauffer, mais va bien au-delà et ça devient très érotique, je sens son sexe dans mon dos, il bande comme un ado, je fonds…
Mike et Lena ont disparu dans la profondeur de la caverne du monstre…

Je me sens emportée, soulevée, déposée, ses lèvres sur les miennes, une main dans ma chatte… Son sexe sort par miracle, il est vif pour son âge, écarte mes cuisses, ma culotte et me lèche, il s’enivre de ma chatte ouverte, suce, plonge ses doigts, me fait jouir… Il me prend dans la foulée, appuyée contre une table où traînent des prospectus, robe relevée, fesses à l’air, dans la nuit noire, les monstres regardent et écoutent mes plaintes et mes râles de femme adultère…

Petit coup vite fait, rapide et efficace…
Il m’embrasse, c’est doux, très sensuel à cause des moustaches et de son parfum qui me fait craquer…
Il ne doit pas avoir l’occasion de se taper des jeunettes de quarante ans dans ces régions reculées…
Sa fille en tous cas semble se régaler, je capte son émoi, et son sourire béat quand elle réapparaît aux bras de mon époux…

Nous retournons dormir au château, chambres bien meublées, couloirs sombres, seules deux chambres sont ouvertes pour les invités en cette saison morte.
Vers deux heures, j’entends du bruit, Mike n’est plus avec moi, pourtant nous avons fait l’amour, une occasion inespérée de le faire dans un château !
J’ai senti une baisse de régime, sans doute à cause de l’attrait de Lena, seule dans la chambre à côté…
Le bruit n’est que plainte, du vent, de la bête ? Allez savoir…

Je me glisse dans le couloir en nuisette pour aller aux toilettes, le bruit vient de la chambre de Lena…
Un bras me happe en revenant, le papa est là, nu, bras tendus, le reste aussi…

Au matin, j’ai retrouvé ma chambre. Mike était rentré aussi, avec Lena dans notre lit…

– Anne ? Cadeau… Merci pour papa, il est si seul ces temps-ci…
– Rassure-toi il va bien ! Tout fonctionne encore, il compense l’âge par une prédisposition naturelle, une langue d’une longueur particulièrement efficace…

Je me disais qu’Anne était bien portée sur la chose depuis notre dernier contact, chez elle avec ses voisins adorables…
Bref, quelques jours ont passé, son récit m’avait émoustillée.

Un détail me chagrinait, je la rappelais un soir. Mike était en vol, les enfants couchés…

– Alors, tu ne te sens pas trop seule ?
– Non, le boulot m’assaille, les enfants sont sur les nerfs, ma voiture fait des siennes, j’ai pris celle Mike, la BMW…
– Il ne s’en sert pas ?
– Ah, non, TGV maintenant, payé par la compagnie jusqu’à Genève ou Paris ça dépend…
– Cela ne t’a pas trop perturbée, cette aventure avec Lena, ou son père ?
– Euh… Non, au contraire, je te l’ai dit Mike est plus pressant, plus tout d’ailleurs…
– J’espère qu’il sait se tenir en escale…
– Oh, je ne me fais pas trop d’illusions… Mais ce n’est que de l’hygiène…
– Le Papa t’a comblé alors, ce fameux soir ?
– Oh, oui… Après m’avoir prise par le bras, nu comme un ver, tandis qu’on entendait les gémissements de Lena, il m’a jetée sur le lit et baisée pendant 1 heure, comme un lion, j’étais vannée… Il était doux, tendre, si sa bite avait des défaillances bien pardonnables, il se débrouillait pour m’envoyer sur des nuages, me léchant la chatte, et me masturbant avec de longs doigts de pianiste… Un plaisir que d’être travaillée au corps… Mais surtout, le lendemain soir, un invité, son fils… Un an de plus que Lena, beau comme un Dieu, marié, cocu par principe, elle était mannequin elle aussi…
Bref, soirée magique, Mike accroché à Lena, qui ne voyait plus que par lui, envoyant balader son ami pour rester avec nous…
Le soir, donc, repas très british, dinde et pancakes, elle est venue me demander de passer la nuit avec Mike… J’acceptais, surtout que son frère ne savait pas où dormir…
– Avec moi et je pense que je trouverai de quoi le réchauffer…
La nuit fut encore plus torride, entre les gémissements de Lena et les miens, le château reprenait vie…
Les fantômes chassés, les courants d’air stoppés…
Il s’avéra digne de sa sœur et de son père réunis, je passais une nuit somptueuse, baisant toute la nuit, jusque dans la bibliothèque, devant le papa ébahi…

– La famille était épuisante…
– Tu ne crois pas si bien dire, nous y sommes restés les deux jours suivants, le frère aussi, je ne revis pas Papa, parti pour affaires…
Nous sommes rentrés direct sur Genève… Nous avons décidé de nous revoir avec Lena, pour lui faire découvrir notre région et les montagnes suisses et françaises…
Voilà Maman, ces confidences restent entre nous deux, pas que ce soit très hard, ni tabou, juste préserver notre intimité, la famille c’est sacré !…

FIN
Marika842010 – Août 2018

Série Confidences de…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire