C’était un samedi soir comme un autre: Les cours avaient repris depuis 1 semaine et je reprenais doucement mes marques pour une nouvelle année universitaire après un été bien rempli: Je n’avais pas encore revu mes amis, et je n’avais aucun projet mis à part réussir mes partiels qui étaient encore loin: Cela faisait déjà 3 mois que je ne m’étais pas transformé en Charlotte: J’avais trouvé un job étudiant qui demandait beaucoup de temps et d’énergie et je ne pouvais pas me retrouver seul chez moi
J’étais donc sorti faire quelques courses lorsque je croisai une merveilleuse jeune femme: Un visage fin et bien dessiné, sublimé par un maquillage parfaitement réalisé: Ses cheveux longs et lisses descendait en cascade le long de son croc top noir laissant apparaitre une taille fine qui se mouvait dans une danse sensuelle au rythme de ses pas: Elle portait une minijupe noire plissée très courte et ses jambes, gainées par le port d’escarpins à talons noirs, étaient galbés par des collants noirs satinés: Mon cœur rata littéralement un battement et j’eu une poussée d’adrénaline soudaine: J’avais devant moi la définition même de la féminité telle que je la concevais:
C’est alors que le désir monta en moi: Je devais lui ressembler, je voulais que l’on me trouve belle, je voulais pouvoir être fière de mon reflet et exciter les hommes: Je ne connaissais pas l’origine de ce désir mais je ne pouvais ignorer son intensité: Je tournai alors les talons et me précipitai chez moi pour sortir mon sac dans lequel se trouvait tous mes attributs féminins: Sans hésitation, je sortis un rasoir et ma crème dépilatoire et j’opérai une épilation intégrale de mon corps: S’ensuivis la transformation habituelle en Charlotte: Je commençai par le maquillage: J’appliquai un fond de teint, puis je fixai mes faux sourcils style babydoll: J’enchainais avec un fard à paupière dorée, un gloss rosé puis je rajoutai un touche de blush pour perfectionner le tout: C’était un maquillage simple mais relativement efficace, et je ne pouvais faire mieux faute d’accessoires et de connaissances supplémentaires: La perruque blonde finis de me donner le visage d’une femme: J’hésitai quelques secondes devant mes ma panoplie de string et optait finalement par un string rose très mignon et j’enfilai des collants noirs par-dessus: Enfin j’enfilai une robe noire moulante et très courte dont le col argenté s’enroulait autour de mon cou: Le résultat était honorable: J’apparaissais comme une jolie jeune femme, peut-être un peu masculine mais toutefois parfaitement désirable: Mes épaules et ma mâchoire un peu carrés étaient compensés par des jambes longues et fines et une cambrure remarquablement attrayante:
Après trois mois d’abstinence, je retrouvais enfin Charlotte et l’intensité de mes sentiments encore confus me fis réaliser que je ne pourrai jamais l’ignorer une nouvelle fois: C’est alors que les mois à venir, qui jusqu’alors me paraissaient vide et dénués d’intérêt, se parèrent d’un sentiment d’excitation à l’idée de développer ma féminité: Seule dans mon studio d’étudiante, il y avait dehors un monde entier à découvrir d’une nouvelle façon, dans la peau d’une autre personne plus en adéquation avec mes désirs et mes aspirations: Je pouvais tout recommencer à zéro, et me construire la personnalité dont j’ai toujours rêvée, protégé d’un passé encombrant et parsemé d’erreur, je devenais la fille que j’avais toujours rêvée d’être, belle, désirée, mais surtout vulnérable: Un homme viril qui réussi se doit d’être fort, de prendre des décisions à la place des autres et sait se faire respecter: Ma vie d’homme n’était pas une réussite sur ce plan là: J’essayais pourtant: Je voulais me conformer, devenir un homme puisque la nature en avait décidé ainsi, mais j’étais trop faible physiquement et psychologiquement: Dans la peau de Charlotte je pouvais enfin arrêter de me mentir à moi-même et réussir, d’une autre façon:
Je voulu sortir immédiatement mais j’avais peur d’être accostée par des hommes fermés d’esprit ou de me faire agresser: il fallait que je trouve une personne pour m’accompagner: Je fis une recherche sur des sites de rencontres pour rencontrer la personne qui me protégerait et m’aiderait à développer ma féminité: J’envoyais alors quelques messages à des hommes de ma ville et je mis une nuisette après m’être démaquiller pour me préparer à dormir: J’eu du mal à trouver le sommeil car je résistais à la tentation de me masturber: Je ne voulais plus jouir de cette manière car elle ne concordait pas avec ma nouvelle personne: Mon pénis n’était plus mon caractère sexuel principal, il ne remplissait plus la même fonction: Auparavant, je m’efforçais de contrôler ma sexualité: Je pensais que mes transformations étaient le fruit d’une perversion infantile et que je devais la combattre dans le but de retrouver une sexualité ordinaire : Lorsque, il y a 4 mois de cela, je me retrouvai nu avec une femme prête à être pénétrée, je ne parvins pas à entrer en érection: Je me sentis honteux de défaillir une nouvelle fois dans ma vie d’homme: Les premiers jours je voulus absolument remédier au problème, mais je ne trouvais pas la motivation d’aller séduire, sachant qu’au bout du compte je savais que j’allais défaillir une nouvelle fois: Au fil des jours mon état d’esprit changea quant à cette mésaventure: Je me résignai petit à petit à l’idée de ne jamais pouvoir satisfaire une femme: L’idée de faire l’amour de manière ordinaire ne m’avais en fait jamais excité, je voulais juste correspondre au modèle de l’homme viril qui réussi, mais sur le plan sexuel aussi ce fut un échec: A l’inverse l’idée de me m’agenouiller devant un homme viril et d’apposer son gland sur ma langue sortant de ma bouche maquillée et grande ouverte me procurai des érections intense et longue
La prise de conscience eu lieu vers 4 heures du matin: Je me retournai une énième fois dans mon lit, mes pensées prises en étau entre l’envie de résister et d’espérer mener une vie de couple conforme à la société et l’envie d’annihiler en moi les dernières traces d’hétérosexualité qui m’empêcher de me réaliser complètement en tant que femme: C’est alors qu’après des heures de réflexion et de prise de tête, la conclusion s’imposa à moi: Je voulais écouter mes désirs et assumer pleinement ma sexualité en tant que femme: Mon pénis se ramollit: Plus jamais je ne serai dans l’obligation d’avoir une érection pour satisfaire une femme: Mon anus cependant se dilate spontanément: Désormais, il sera ma principal source de désir:
Je me réveillai longtemps après, l’après midi était déjà bien avancé: Je pris une douche puis, pour la première fois d’une longue série, je commençai à me préparer comme une vraie demoiselle seulement quelques minutes après m’être éveillée: Je me maquillai pour la journée et j’optai pour des couleurs assez naturelles: J’avais l’habitude de me préparer en soirée mais je comptais sortir en plein jour, il me fallait alors un maquillage de jour: J’ouvris mon sac où été rangé tout mes habits féminins et j’en sorti un jean moulant noir ainsi qu’un croc-top blanc assez sexy mais pas provocant: Je du changer de string car celui pour lequel j’avais opté en premier avait tendance à dépasser de mon slim taille basse et je souhaitais rester discrète pour ma première sortie en tant que femme en plein jour: Je choisis des boucles d’oreilles assorties à mon bracelet argenté et je mis des ballerines beiges tout à fait classique: Je ne pu m’empêcher de m’extasier devant la femme que j’étais devenu: Belle, élégante et sexy sans être vulgaire: Je me précipitai alors sur mon ordinateur pour voir si j’avais obtenu des réponses: Deux hommes me proposaient une rencontre dans l’après-midi: Le profil de l’un n’était composé que de photos de son pénis, certes très gros et excitant, mais j’avais besoin d’un homme un peu plus patient et compréhensif quant à mon changement de sexualité: Le second prenais des photos de son corps en entier: il était grand, avait un joli visage et un membre d’une taille respectable: il n’était pas particulièrement musclé mais on voyait quand même qui’il prenait soin de son apparence: il m’avait laissé son numéro pour l’appeler si je décidai de le rencontrer: Dans un premier temps je voulu lui envoyer un message car je ne voulais pas qu’il entende ma voix que je ne parvenais pas à rendre assez féminine et sensuelle à mon goût puis je pris conscience qu’il finirait par l’entendre, et qu’il valait mieux qu’il l’entende une première fois avant de me rencontrer: Je composai alors le numéro:
«- Allo !
-Allo Thibault ? Bonjour c’est Charlotte est ce que je te dérange ?
-Ah salut Charlotte ! Non absolument pas je faisais rien d’important !
-Cool ! Tu veux qu’on se rencontre peut-être je suis prête à sortir et j’ai rien de prévu pour l’aprem
-Ouai carrément j’ai rien à faire non plus ! On se retrouve place St-George dans 30 minutes ?
-Oui super ! A de suite ! »
Mon cœur s’était accéléré mais j’avais réussi à maitriser ma voix pour ne pas qu’il s’en rende compte: J’avais donc rendez-vous dans 30 minutes en ville: Je passais 10 minutes devant le miroir à bien ajuster ma perruque et à effectuer quelques dernières retouches sur mon maquillage, puis se fut l’heure de sortir:
Les premiers pas hors de mon studio furent extrêmement étrange: Je ressenti un mélange de peur, d’angoisse mais également de l’excitation et de la joie de pouvoir enfin sortir en tant que femme: Au début, ma démarche fut assez maladroite mais je me sentis de plus en plus à l’aise au fur et à mesure de mon avancée vers le point de rendez-vous qui se trouvait à une dizaine de minutes à pied de mon studio : En plein jour, un dimanche après-midi, les chances de se faire aborder était assez faible et je profitais de mes premières minutes en extérieur de plus en plus sereinement : Enfin j’aperçu Thibault : il me reconnu et me regarda m’approchai de loin sans détourner son regard de moi : J’étais contente qu’un homme assez viril me regarde comme une vrai femme : J’essayai de faire taire mon appréhension pour être la personne dont j’ai toujours eu envie d’être, une femme sexy qui sait plaire : Je me déhanchai de plus belle sans tomber dans la caricature non plus, juste un petit roulement de fesse discret à chaque pas : J’essayai de marcher comme la merveilleuse créature que j’avais vu la veille :
« -Bonjour Charlotte, tu es ravissante !
-Hey ! Merci beaucoup ça fait plaisir ahah »
Je sors mon plus beau sourire et baisse les yeux pour jouer la carte de la timide mignonne dont on a envie d’abuser : On marche vers la terrasse d’un café en discutant de banalités avant de s’assoir à l’ombre d’un parasol : Le serveur vient prendre la commande, ça sera un coctail de fruit pour moi et un café au lait pour Thibault : La discussion se dirige très vite vers les récentes péripéties qui ont changé ma façon de vivre, et Thibault me donne des avis très positif et me rassure beaucoup quant à mon physique et au fait qu’il me désire beaucoup : Puis on rentre petit à petit dans un jeu de séduction : Nos jambes se touchent soi-disant par hasard, il me regarde avec envie, je dispose mon pouce et mon index autour du pied de mon verre et commence à faire des mouvements de va-et-viens, laissant supposer que j’aimerai faire le même geste avec un cylindre un peu plus gros : Enfin il me propose de se voir ce soir chez lui :
« -On pourrait passé le soirée ensemble ce soir si tu veux ! Mon coloc n’est pas là j’ai l’appart pour moi tout seul et j’aimerai bien avoir un peu de compagnie :
-Eh ! Mais tu m’as prise pour une fille facile !!
-Non c’est pas ce que j’ai dis, j’ai juste supposé que peut-être tu apprécierais passer la soirée avec moi, on pourrait passé un bon moment : Tu sais on est pas obligé de faire l’amour ou quoi que ce soit, je te trouve bien prétentieuse de pouvoir penser ça ! Je viens te chercher à 9h chez toi, fais toi belle : »
C’est tellement plus simple d’être une fille avec les mecs qui savent s’y prendre : En l’espace de 5 secondes il a réussi à m’inviter chez lui en me faisant comprendre que j’avais envie de lui d’une manière subtile : il n’a même pas attendu ma réponse pour me donner une heure de rdv et j’admire le fait qu’il prenne les devants : Je n’ai qu’à me laisser draguer, sourire, être belle et faire sentir ma vulnérabilité pour arriver à mes fins : On se fait la bise, je rentre chez moi, il est 6h30, j’ai donc 2h30 devant moi : Je commence par allé sur Youtube pour regarder si mes youtubeuses préférées ont sorti des vidéos : C’est le cas et je passe 1h à apprendre bien appliquer des faux cils, m’habiller pour l’arrivé de l’automne ou encore appliquer un fard à paupière foncés pour des yeux bleus, bref des trucs de filles : Je prend ensuite ma douche, me parfume et je me maquille pour la seconde fois de la journée mais cette fois ci avec un looc plus adaptée à la nuit et plus provocant : J’effectue également un lavement anal : Je ne pense pas aller jusque là ce soir mais on ne sait jamais : Je choisis une minijupe plissée noire avec un haut sexy noir également qui cache mes épaules un peu larges : Je met des collants résilles ultra sexy, ce soir je veux être au top de ma féminité et le fait qu’il vienne me chercher en voiture me permet de m’habiller de façon ultra sexy puisque de toute façon seul lui me verra : Enfin je met des talon aiguille simple mais efficaces pour donner une belle courbe à mes fines et longues jambes parfaitement épilée : Je suis prête à 9 heure moins le quart, il m’aura fallu 1h et 45 minutes pour me préparer convenablement et le résultat est à la hauteur de mes attentes : J’ai bel et bien l’air d’une fille qui veut se faire prendre dans tout les sens : Enfin Thibault arrive et je descend le rejoindre dans la rue, où je me rend compte qu’il n’est pas venu en voiture :
«- Waw ! T’as pas fait semblant là !
-Attends t’as pas pris de voiture ?!
-Bah non j’habite pas très loin et la voiture en ville c’est pas pratique du tout : »
Au moment ou je sors du porche de ma copropriété, un groupe de 5 gars visiblement éméchés passe dans la rue et me mate sans aucun complexe de haut en bas puis de bas en haut avant de revenir vers le bas en s’attardant sur mes collants résilles et sur les talons de baiseuse professionnelle que je porte puis remonte vers ma poitrine harmonieusement rembourrée : Je découvre enfin ce que les filles éprouvent lorsqu’on les regarde comme un morceau de viande et je suis contente d’être en présence d’un homme qui peut m’éviter d’être aborder maladroitement et de mettre 10 minutes à me débarrasser de leur sollicitude de mec frustré : On commence alors à marcher dans les rues assez vides de Toulouse : Les rares personnes que l’on croisent ne peuvent s’empêcher de me mater, certains sont plus discrets que d’autres mais tous, même les filles, jettent au moins un léger coup d’œil pour regarder la grande blonde en talons aiguilles et collants résille qui roule du coup et ris à chaque blague de son homme : Au bout de 5 minutes je commence à avoir mal au pied : Savoir marcher avec des talons a été très simple pour moi mais je n’en ai pas l’habitude et je ressens une légère douleur :
Heureusement nous arrivons vite à son appartement : il m’ouvre la porte et je passe devant lui, cambrant ostensiblement mes fesses qu’il ne peut s’empêcher de regarder comme tout les passants : Les 20 secondes dans l’ascenseur sont caractérisées par cette tension sexuelle particulière que l’on ressent à chaque fois que l’on prend l’ascenseur avec une personne du sexe opposé : Enfin il me fait entrer dans son appartement, bien rangé et de bon goût :
« -Assied toi, tu peux enlever tes talons si tu as trop mal : »
Je ne me fais pas prier et enlève mes talons illico presto, laissant mon vernis à ongle de pied rose visible à travers le collant : Thibault ramène une bouteille de vin rouge et s’assois à côté de moi sur le canapé : On parle de son appartement, des gens qui me regardaient dans la rue et il me complimente sur les efforts que j’ai fait pour être désirable : J’ai les jambes croisés dans une pose très féminine et je le regarde droit dans les yeux à chaque gorgés que j’avale du vin qu’il ma servi pour lui lancer le message subliminal : « J’avale » : il ne faut pas plus de 10 minutes pour qu’il pose sa main sur ma cuisse et commence à me caresser doucement tout en continuant la discussion comme si de rien n’était : Je le laisse faire la discussion, me contentant de rire à se blagues, sourire à ces anecdotes et regarder sa braguette pour lui faire comprendre que je préférerai qu’elle soit ouverte: Je sens la tension monter lorsqu’il décide de passer à l’action :
« -Tu as des fesses super jolies tu veux bien te lever pour que je les regarde ?
Je fais la fille offusqué :
-Ah ouai alors en fait tu m’as fait venir ici que pour voir mes fesses c’est ça ?!
-Ecoute je te propose un deal, tu te lèves, tu me montre tes fesses et le joli string que tu portes et je te montre mon pénis que tu crèves d’envie d’avoir dans ta bouche : »
Je le regarde la bouche ouverte comme si j’étais choqué qu’il soit aussi cash mais au fond de moi je jubile à l’idée de ce qui m’attends : Je me lève, me place à sa hauteur et me retourne pour mettre mes fesses à hauteur de son visage, puis je me déhanche sensuellement pour l’exciter : il a l’air d’apprécier cette petite danse puisqu’il regarde sans rien dire en se massant le pénis à travers son jean : Puis petit à petit je remonte ma minijupe pour laisser apparaitre le string en dentelle qu’il avait deviné : C’est le moment qu’il choisi pour me mettre une fessée violente et bruyante et laisser sa main collée à mes fesses pour les malaxer avec force et autorité : Je me cambre bien pour lui laisser la meilleure prise possible puis il décide de se lever et il retire son jean, laissant apparaitre son membre déjà dur à travers son boxer moulant : Je regarde son sexe puis je le regarde dans les yeux en me mordillant les lèvres :
« Allez fais-toi plaisir ma chérie, montre moi comment tu suces : »
Je me retourne et m’agenouille devant lui sans le quitter des yeux : C’est alors qu’un sentiment de plénitude monte en moi : Je suis enfin à ma place, dans cette petite tenue sexy, bien maquillée et sophistiquée, mon seule rôle et d’être désirable et de me soumettre aux désirs de l’alpha male qui me regarde de haut : C’est alors que je saisis l’importance de la différence entre cet homme et moi : Biologiquement nous somme tout les deux de sexe masculin, mais dans cette position et préparée de la sorte je suis à son entière merci, complètement démasculinisée : Dans cette situation, je pourrai clamer haut et fort « je suis un homme » et le prouver en montrant mon pénis, essayer de me rebeller et de m’en aller, je ne serai pas crédible : De toute façon cette idée de m’effleure même pas et l’excitation sexuelle qui monte en moi est parfaitement claire : J’aime occuper cette place, je n’ai plus envie de me battre pour retrouver un semblant de virilité qui de toute façon se trouve à des années lumières.
Alors je caresse de mes doigts fins et serviles son sexe à travers son caleçon, puis doucement, j’abaisse l’élastique de son vêtement pour laisser apparaitre son organe : Ce dernier retenu sur le côté depuis deux bonnes minutes de libère d’un seul coup et percute mon visage de plein fouet : Je souris et lève les yeux une nouvelle fois vers mon dominant qui me regarde sévèrement : Je mets dans mon regard toute la sensualité et la soumission que je peux alors que je commence à le masturber doucement tout en me mordillant la lèvre inférieure : Son pénis est chaud et dur entre mes doigts et je m’extasie devant ses veines, sa taille, son gland si lisse et si attrayant : Puis ne pouvant plus attendre je loge l’intégralité de son gland dans ma bouche grande ouverte et j’enroule ma langue autour de son gland tout en le masturbant doucement mais en serrant bien : Au bout de 5 minutes mes genoux commencent à me faire mal mais je ressens un tel plaisir qu’il m’ait impossible d’arrêter : J’enfonce son phallus de plus en plus profondément dans ma gorge à chaque va et-vient puis je sors son organe en intégralité pour le lécher langoureusement depuis ses testicules que je masse vigoureusement jusqu’à son gland puis une nouvelle fois jusqu’à ses boules et ainsi de suite : Je continue de le sucer pendant 10 bonnes minutes : 10 minutes d’extase, de soumission totale, 10 minutes pendant lesquelles je peux sentir ma masculinité déjà presque inexistante s’éloigner à la vitesse du son et se perdre irrévocablement : 10 minutes qui me permettent de comprendre que j’étais passé à côté de ma vraie nature toute ses années :10 minutes de fellation passionnelle, langoureuse et sensuelle à la fois :
Mon héro décide alors de m’att****r par le nuque : J’ouvre grand la bouche et dispose son gland entre mes lèvres alors qu’il effectue une pression sur ma nuque : Je le regarde dans les yeux avec un peu d’appréhension car j’ai peur de m’étouffer : Cependant je n’ose pas résister à sa pression sur l’arrière de ma tête : Son pénis rentre un peu plus chaque seconde, centimètre après centimètre si bien qu’il finit par obstruer entièrement ma gorge que j’essaie de détendre au maximum : L’avancée se fait de plus en plus difficile et il reste 7 bons centimètres lorsqu’il décide de s’arrêter :
« Regarde moi salope »
Un ordre simple, efficace : Je m’exécute tout en essayant de respirer mais cela m’est impossible.
« Ca fait mal hein ? »
Il avance d’un centimètre
« Ca fait mal mais en même temps ça fait tellement de bien : Regarde toi petite pute, avec tes collants résilles et ta jupe qui cache à peine tes fesse »
Il avance d’un centimètre
« J’aimerai que tu puisses voir ton visage maintenant, tes yeux plein de dévotion, ta bouche de suceuse et tes paumettes rosées pour mon seul plaisir »
Il avance d’un centimètre, mes yeux s’écarquillent.
« Regarde toi petite cochonne, tu as tellement envie de plaire et d’être parfaite que tu acceptes de d’être privé d’une fonction vitale de l’homme, ou de la pute serait plus appropriée dans ton cas : »
L’oxygène vient à manquer, mes yeux s’embuent et je commence à suffoquer mais je n’ose pas prendre l’initiative de retirer ma tête : il pourrait ne plus vouloir me voir, ou simplement être déçu : Je ne veux pas le décevoir : De toute façon la pression sur ma nuque est trop forte et je ne sais même pas si je peux me libérer seule, alors autant ne pas essayer et attendre qu’il décide à ma place : Ce qu’il faut quelques secondes plus tard, me laissant suffocante à genoux sur le sol, la bouche grande ouverte plein de salive pour prendre de grande inspiration pendant qu’il s’assoit sur le canapé :
« Gentille fille… Allez vient me sucer tranquillement maintenant : »
Je marche à quatre pattes vers lui et dispose son gland dans ma bouche, mais pas profondément cette fois-ci : Le sucer tendrement me fait du bien après la minute éprouvante que je viens de passer : En plus de la supériorité sexuelle qu’il a acquise au moment où je me suis agenouillée pour le sucer, s’est rajoutée la supériorité physique : Thibault est plus fort que moi ce qui lui laisse le loisir de disposer de mon corps de la façon dont il le désire : Bien sûr c’est aussi ce que je veux, mais ce n’est plus un choix : Mon homme prend ce qu’il lui plait chez moi et je n’ai pas mon mot à dire. Je pourrai décider d’arrêter là et de partir, trouver une personne plus douce, mais je suis tellement excitée et déjà accroc à sa bite que je n’ai pas d’autre choix que rester et espérer qu’il continue à me désirer pour que je puisse satisfaire ma soif de sexe :
« Voilà comme ça c’est bien ma belle »
J’aime qu’il m’appelle ma belle, j’aime être belle à ses yeux, j’ai besoin de sa reconnaissance. Je continue à le pomper en le regardant, tout en cambrant au maximum ma croupe, avec ma jupe remontée jusqu’à la taille qui laisse mon string rose bien visible. Je me déhanche en même temps que je le suce pour l’exciter toujours plus, et son pénis gonflé à bloc me confirme l’effet que je lui fais. Je déhanche toujours plus mes fesses pour lui faire comprendre que j’ai envie qu’il me prenne par derrière. Voyant qu’il ne se décide pas, je décide de passer à l’action.
« Tu veux me pénétrer l’anus ? » Je lui demande et le regardant avec mon air le plus soumis possible.
« Bien sûr que je vais m’occuper de tes fesses petite pute. »
Je suis d’abord offusquée par le terme qu’il vient d’employer, puis je me visualise, à genoux, dans cette tenue de baiseuse professionnelle, mes yeux embués par la gorge profonde que je viens de subir, lui demandant de me prendre l’anus, et je me ravise. Je suis bien une petite pute, à la différence près que je ne me fais pas payer.
Il se lève et se place derrière moi, ses mains posés sur chacune de mes fesses. Il met un préservatif et appose son gland sur mon petit trou encore vierge. Il essaie de rentrer mais mon trou ne s’ouvre pas.
« Je n’arrive pas à croire que tu sois encore vierge vu comment tu m’as sucé. »
Il se lève pour chercher du lubrifiant, m’en verse sur mon fondement et commence à y rentrer un doigt. J’essaie de garder mon périnée le plus relâché possible pour lui faciliter l’insertion. Il rentre, ressors puis reviens, et chaque aller-retour me procure une vague de plaisir. Puis il se repositionne derrière moi et appose de nouveau son gland sur mon anus.
Cette fois-ci je sens que c’est la bonne. Je cambre un peu plus me fesses et je me relâche au maximum, puis je sens qu’il commence à appuyer sur ma rondelle. Je sens une petite partie de son gland qui rentre mais il peine à avancer plus. Mon anus se dilate de plus en plus, mais il reste encore un peu de largeur à faire entrer. Je fais abstraction de tout ce qui se passe autour de moi, pour me concentrer sur l’essentiel, accueillir ce membre en moi. Même si je commence à avoir mal, je sais au fond de moi que c’est ce que je veux, alors je prends de grandes respirations et je reste la plus immobile possible dans cette position pour qu’il puisse me pénétrer avec le plus de douceur possible. Je sens qu’il retire un peu son pénis pour me laisser souffler, puis il repart à la charge. Cette fois-ci il force un peu plus, et l’intégralité de son gland entre en moi. Il reste une dizaine de seconde dans cette position sans bouger pour habituer mon derrière à cette organe puis il ressort avant de revenir.
Au début il se contente d’insérer l’intégralité de son gland avant de ressortir, puis au bout de quelques minutes il avance doucement mais surement vers plus de profondeur à chaque va-et vient. La sensation est étrange. Tout d’abord j’ai mal car mon anus se dilate dans des proportions qui m’étaient inconnu, mais j’éprouve aussi un plaisir particulier à sentir se membre chaud en moi. Qui remplit mon petit trou. Au bout d’une dizaine de minute je peux accueillir l’intégralité de son pénis en moi. Lorsqu’il y parvient, il m’assène une claque magistrale sur les fesses. Au contact de sa paume sur ma peau, tout mon corps se tends, comme lorsque l’on reçoit un coup. Tout mon corps à l’exception de mon rectum qui ne peut pas se serrer dû à la présence d’un cylindre d’une taille respectable.
« Ca y est t’es officiellement une salope. Tu fais ta première fois au bout du premier rendez-vous, ça promet pour la suite. »
C’est alors que je réalise. Je suis à quatre pattes dans le salon d’un inconnu que j’ai rencontré il y a à peine 10 heures, son pénis est en moi et il dispose de mon corps comme bon lui semble. Malgré le plaisir charnel que ça me procure, je ressens une immense vague de regret en moi. A aucun moment je n’ai pensé à ce que je voulais pour ma première fois. Peut-être que je voulais quelqu’un de plus sérieux, avec qui créer une réelle connexion émotionnelle. Peut-être que je voulais aller plus doucement, me préparer d’abord toute seule puis y aller petit à petit avec un homme. Il accélère le mouvement petit à petit. J’ai envie de lui dire d’arrêter, de tout oublier. Mais à la place il accélère toujours plus, son pubis tape mes fesse à chaque aller-retour qu’il entreprend avec toujours plus de brutalité. De petits gémissements sortent malgré moi, la pénétration me comble charnellement, mais elle n’enlève pas mon envie de pleurer. J’ai envie de pleurer car j’ai gâché ma première fois ? J’aimais beaucoup Thibault et je voulais peut-être plus avec lui, mais surtout je voulais plus pour moi, pas une simple sodomie au bout de 10 heures de rencontre. L’étau de ses mains sur mes hanches se resserre. En même temps de bouger son bassin pour me pénétrer, il accompagne le mouvement de mes hanches avec la force de ses bras. Le plaisir est couplé à la douleur. Une douleur physique tout d’abord, mais une douleur mentale surtout. Je me dis que j’aimerai revenir en arrière, qu’il enlève son membre de moi et qu’il n’y soit jamais rentré pour refaire une première fois plus romantique. C’est le moment qu’il choisit pour retirer son pénis. Il commence alors à se masturber au-dessus de mon visage de catin décérébré. Une giclée chaude et gluante atterrit sur mon visage, sur mes joues rosées par le blush, mes yeux embuées par l’émotion, mon nez fardé, ma bouche vernis. Son pénis est sorti de mon anus, mais la douleur que j’y ressens me rappelle de sa présence récente. C’est fait, et je ne peux pas revenir en arrière.
Je suis toujours à quatre pattes, encore toute tremblante. Il est debout devant moi, son sexe encore proche de mon visage. J’ai le visage rempli de sperme et l’anus au combien dilaté. Les secondes se transforment en minute. Je ne sais pas où me mettre, je suis paralysée par la honte. Je commence par remettre mon string à sa place, et le contact du tissu sur mon fondement me rappelle du contact de son sexe. Mon anus me semble anormalement vide. Je réajuste ma jupe et je me lève. Il est sur le canapé, déjà en train de zapper sur la télé. Je reste quelques secondes là, étourdie, puis comprenant qu’il n’a pas l’intention de m’adresser la parole, je lui dis avec ma voix la plus sexy possible:
« Bon bah je pense que je vais y aller. »
« Ok »
« Super bon bah à une prochaine fois alors, merci ! » J’y crois pas, je viens de lui dire merci. Mais qu’est-ce qu’il me prend.
« Yes Ciao » Me répond-il d’un ton sec.
Vu son attitude je n’ose pas lui demander de me raccompagner chez moi. Je me dirige vers la porte de sortie, en attrapant mes talons au passage, et je sors de chez lui.
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