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Ma nana la pute

Ma nana la pute



Je vivais avec Maryline depuis trois mois lorsqu’elle m’a parlé de son principal fantasme. Elle avait envie de s’habiller en pute et que je m’arrête à sa hauteur en voiture, dans une rue, pour lui demander combien elle prenait. Cette idée m’excitait terriblement, d’autant que Maryline possédait toutes les fringues qu’il fallait pour se livrer à ce jeu : des jupes très courtes, des bas, des bottes à talons, des sous-vêtements transparents, des corsets et de très fines chemisettes qui moulaient son corps.
Nous baisions très souvent en parlant, en s’imaginant ce genre de scène, et d’autres encore, mais celle-ci revenait souvent dans la bouche de Maryline. Alors, un soir, on s’est décidé à le faire pour de vrai. On a bu quelques verres pour se défaire du stress de passer à l’action, puis Maryline est allée dans la chambre pour choisir sa tenue.

Elle était presque aussi grande que moi et très mince. Brune à cheveux longs et lisses. La peau dorée et d’adorables petits seins pointus. Elle avait 26 ans. Et ce soir-là, quand elle sortit de la chambre, elle portait une chemisette noire très serrée, décolletée, les seins nus dessous. Une mini-jupe noire en sky, des bas noirs dont on voyait les élastiques, des bottes noires en daim à talons. Une vraie pute de trottoir.
En la voyant comme ça, je me suis mis à bander.
La nuit tombait. On est sorti discrètement de l’immeuble et on a pris la voiture. Nous avions décidé de la rue dans laquelle je déposerais Maryline. Elle n’était pas trop fréquentée. Sur le trajet, nous n’avons pas beaucoup parlé. Maryline avait un petit sourire aux lèvres et j’étais impatient qu’elle descende de la voiture, pour faire ensuite le tour du pâté de maisons.

Au moment venu, il y avait peu de passants dans la rue. Trois ou quatre silhouettes et deux ou trois enseignes allumées. Maryline est descendue et je l’ai regardée dans mon rétroviseur en m’éloignant.
Au bout de la rue, j’ai patienté à un stop et j’ai pris à droite. Mon cœur battait très rapidement. Je me suis tapé un feu rouge, interminable, puis j’ai pris de nouveau à droite. Une bande d’adolescents a traversé sur un passage piéton et j’ai tourné dans la rue. Maryline se tenait juste au bord du trottoir, avec son petit sac à main rouge vif. J’ai ralenti et j’ai baissé la vitre du côté passager.
« Bonsoir poupée. Combien tu prends ? »
Elle s’est penchée à hauteur de la vitre et m’a dit :
« 40 la pipe, 80 l’amour. Tu veux ? »
« Tu te mets toute nue pour 80 ? »
« Non bébé, à poil c’est 120. »
J’ai fait semblant de réfléchir en regardant la rue dans mon pare-brise. Je bandais à mort. Je me demande si j’avais déjà bandé autant auparavant. Puis je suis revenu à la pute qui patientait. Son décolleté révélait la naissance de ses nichons. Il en fallait peu pour que le téton gauche dépasse.
« Ça marche pour 120. Monte. »
Elle a ouvert la portière et s’est installée. J’ai quitté la rue et pris la direction des quais. C’était à trois minutes de là et on pourrait se garer dans un endroit discret que j’avais en tête.
« Comment tu t’appelles ? ai-je demandé. »
« Lou. »
« Tu as quel âge ? »
« Dix-neuf. »
Je me suis arrêté à un feu.
« Depuis combien de temps tu te prostitues ? »
« Depuis que j’ai seize ans. »
« Mince, je te croise trois ans trop tard. »
Elle a souri et répondu :
« Mais je peux te faire croire que j’ai seize ans, si tu veux. »
« Pourquoi pas… »
Le feu est passé au vert et j’ai pris une rue à gauche.
« Tu portes une culotte ? »
« Non. »
« Soulève un peu ta jupe. »
Elle l’a soulevée et j’ai lorgné dessus tout en accélérant dans une rue.
« Soulève un peu plus. »
Elle a obéi et les lèvres de sa chatte sont apparues à la lueur orangée des lampadaires. Je me suis arrêté à un stop, puis j’ai pris à droite.
« Tu acceptes les pénétrations sans protection ? »
Elle s’est tournée vers moi pour répondre :
« Oui, mais c’est plus cher. »
« Combien ? »
Elle a semblé réfléchir, puis elle a dit :
« 150. »
Je n’ai rien dit. Nous arrivions sur les quais. Il y avait des platanes et quelques voitures garées dessous. L’eau noire du fleuve miroitait les lueurs de l’autre rive. J’ai ralenti et me suis rangé entre deux véhicules.
Puis j’ai coupé le moteur en disant :
« Tu veux que je te paye tout de suite ? »
« Je veux bien. »
J’ai défait ma ceinture de sécurité et me suis cambré sur mon siège pour sortir des billets. J’ai compté 150 et j’ai tendu la petite liasse à la pute qui a recompté patiemment.
Puis elle m’a regardé avec un air assez sérieux, et elle a dit :
« Tu ne décharges pas dans ma chatte, ok ? »
« Dans ta bouche, je peux ? »
« Tu es gourmand, toi. Dans la bouche, c’est plus cher. »
« C’est toi qui es gourmande. Combien ? »
« Rajoute 20. »
Je lui ai filé son billet supplémentaire et elle a rangé l’ensemble dans son petit sac à main de pute. Ensuite, j’ai commencé à baisser mon siège, et elle le sien. Les parages étaient déserts. Il était 21h54 au tableau de bord.
J’ai ôté mon t-shirt, puis mes chaussures.
La pute a défait les boutons de sa chemisette et l’a pliée sur le tableau de bord. Ensuite, elle a fait glisser sa jupe sur ses cuisses, et moi mon pantalon et mon caleçon.
« Combien de bites tu as sucé ce soir ? »
Elle s’est couchée sur le dos entre les deux sièges en répondant :
« Si je suce la tienne, ça fera cinq. »
Je bandais toujours à mort.
Elle a ouvert ses cuisses et je me suis mis à lécher sa chatte, tout en me masturbant doucement.
« Tu aimes faire la pute ? lui ai-je demandé au bout d’un moment. »
« Oui. »
« Qu’est-ce qui te plait au juste ? »
Je me suis remis à la lécher en attendant la réponse.
« J’aime me mettre à poil devant des inconnus. »
Je lui ai jeté un regard.
« Et te faire sauter, tu aimes ça ? »
« Oui. Me prendre des bites bien profond, j’aime ça. Et sucer. Et me faire bouffer la chatte comme tu es en train de faire. »
Elle caressait le sommet de mon crâne pendant ce temps.
Puis je me suis redressé.
J’ai approché mon gland de ses lèvres et je l’ai fait glisser dedans, sans hâte. Je l’ai fait ressortir, puis je l’ai enfoui plus profondément. La pute se caressait les nichons en me regardant dans les yeux.
« Tu fais tous les âges ? »
« Oui, a-t-elle dit. »
« Sans exception ? Les vieux et les jeunes ? »
Elle a répondu :
« Tous les âges. »
« Y compris des bien vieux ? »
« Oui. »
Ma bite allait et venait dans sa chatte comme dans un pot de miel bien ferme. La pute se touchait à présent le clito.
« Quel âge avait le plus jeune ? »
Elle a souri en disant :
« Ils étaient deux en même temps. Deux petits mecs de 14 ans qui avaient cassé leurs tirelires pour pénétrer une chatte. »
J’ai fait sortir ma queue, car il en fallait peu pour que je décharge. Je l’ai regardée qui bougeait toute seule au-dessus du pubis de la pute qui se branlait toujours le clito.
Puis je lui ai dit :
« Depuis qu’on est ensemble, tu m’as trompé ? »
Elle a levé la tête en disant :
« On ne joue plus ? »
« Je t’ai posé une question. »
Sa tête est retombée contre les sièges baissés et elle a dit :
« Tu veux que j’invente ? »
« Comme tu veux. Dis-moi. »
Elle avait interrompu ses mouvements. Elle regardait le plafond de la voiture. Ma queue bougeait toujours au-dessus de sa chatte offerte.
Elle a dit :
« Jeudi dernier, tu te souviens ? »
« Non. Qu’est-ce que tu as fait jeudi dernier ? »
Elle a soupiré, puis une voiture est passée très lentement derrière nous, le long du quai.
Elle a dit :
« Je suis rentrée un peu tard. Je n’étais pas chez ma copine Nath. »
« Tu étais où ? »
« Avec un mec qui m’avait accostée dans la rue. »
« Continue, ai-je dit en remettant ma bite dans sa chatte. »
« Il m’a sautée dans sa voiture, pas loin d’ici. La même voiture que toi, mais pas la même couleur. »
« Salope, ai-je dit en accélérant mes va-et-vient. Tu t’es mise à poil ? Il a mis une capote ? »
« J’étais à poil et il n’avait pas de capote. »
« Il a giclé où ? »
« Juste au bord de ma chatte. Juste à temps. J’en avais partout, c’est pour ça que j’ai pris une douche aussitôt en rentrant. »
« Espèce de salope, ai-je dit. »
Puis je me suis retiré et j’ai éjaculé. De longues giclées bien liquides qui ont percuté son pubis et se sont mises à couler entre ses cuisses. Elle les a étalées et elle a sucé ses doigts tandis que des gouttes continuaient d’affluer à la sortie de mon gland.
« Espèce de pute. »

De retour chez nous, on a pris une douche chacun notre tour, puis on s’est remis à baiser sous les draps, sans se parler. J’ai éjaculé dans sa chatte et on s’est endormis sans échanger de paroles.

Le lendemain, on a remis ça. Maryline a changé de tenue et on a pris la voiture pour se rendre dans la même rue. Je bandais à mort. Sa tenue était encore plus provocante que la veille.

La troisième fois, elle avait décidé de porter une simple petite veste un peu longue, à moitié ouverte. On voyait ses nichons quand elle se penchait en avant.

La quatrième fois, elle a été au bout de son fantasme : elle n’a mis que des bottes, des bas et un ensemble de sous-vêtements noirs transparents. Je l’ai déposée sur le trottoir et j’ai dû patienter au stop au bout de la rue avant de tourner à droite. Au feu rouge, plus haut, un flic m’a fait signe de me garer. J’ai obéi et j’ai eu droit à un contrôle de papiers. J’avais bu, mais on ne me fit pas souffler. J’étais nerveux à l’idée de savoir que Maryline attendait que je vienne lui demander combien elle prenait, dans sa tenue de pute, à deux rues d’ici. Les flics ont pris leur temps. Ils faisaient leur boulot. Et moi je tapais du pied dans ma voiture. Le tout a exigé quatre bonnes minutes, puis je suis reparti. J’ai pris à droite et suis arrivé dans la rue. Mais Maryline n’était pas là. Je suis passé au ralenti en vérifiant chaque renfoncement, chaque entrée, chaque devanture de commerce. Elle n’était pas là. Alors j’ai refait le tour, pensant qu’elle s’était inquiétée et qu’elle avait tenté de vérifier ce que je faisais de l’autre côté du pâté de maisons. Je suis repassé devant les flics et suis revenu dans la rue. Pas de Maryline.
Je me suis arrêté au milieu du passage, en laissant tourner le moteur, en guettant dans mes rétros, en me remémorant dans quelle tenue elle était ce soir-là. Soutif et culotte. Bon sang.
Je suis sorti de la voiture et j’ai regardé autour de moi.
Puis je l’ai appelée. Fort, puis très fort. Des gens se sont retournés et m’ont regardé bizarrement. Deux voitures patientaient derrière la mienne. Elles se sont mises à klaxonner et j’ai refait le tour complet du pâté de maisons en roulant au ralenti.
De nouveau à hauteur des flics, l’un d’eux a cogné à ma vitre et m’a demandé si je cherchais quelque-chose. Je lui ai répondu non et je suis revenu dans la rue. Pas de Maryline.
Je pense avoir fait cinquante fois le tour complet du quartier ce soir-là. J’y ai passé trois heures. En voiture, puis à pieds. A appeler Maryline.
Quelqu’un a fini par prévenir la police et une voiture a débarqué. Les flics m’ont demandé qui j’étais en train d’appeler comme ça, mais je ne leur ai pas dit que c’était une nana qui se promenait en sous-vêtements dans la ville, à minuit et des poussières. Je suis reparti.
C’était il y a quatre ans.
On n’a jamais retrouvé Maryline.

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