Secours
Cet été, comme tous les ans, nous avons passé nos vacances dans un centre de loisir de la côte Atlantique. Ma femme Lucie a 28 ans et moi 30. Nous sommes mariés depuis 8 ans et filons toujours le parfait amour.
Un soir, j’ai proposé à Lucie d’aller sur la plage car la nouvelle lune était magnifique. Les étoiles brillaient et la température avoisinait les 30 degrés. Il était un peu plus de vingt-trois heures et, comme d’habitude, le centre de vacances s’endormait plutôt tranquillement. Nous prenions une lampe électrique, nos serviettes et notre courage aussi pour aller à la plage. Il y a à peu près deux kilomètres de pinède à traverser dans la nuit la plus totale ! Lucie n’était pas vraiment très rassurée. Dans la pénombre, nous apercevions enfin les
planches en bois qui nous permettent de franchir la dune. Sur le parking à vélos, tout semblait désert. Nous avancions tranquillement quand soudain, nous discernâmes un VTT sur le bord de la dune. Arrivés à la hauteur de la dune, nous vîmes une personne étendue sur le dos à même le sol. Torse nu, en short.
Nous nous sommes vite rapprochés. Nous ne vîmes pas s’il respirait ! Il s’agissait peut être d’une personne qui avait eu un problème ? Ma femme, qui a des notions de secourisme, se jeta au côté de cette personne pour faire les premiers gestes. Il s’agissait d’un homme d’une quarantaine d’années. Ma femme commença par rechercher le pouls de Monsieur. Comme elle ne le trouva pas. D’emblée, elle se lança dans du bouche à bouche avec massage cardiaque. De mon côté, je sortis mon téléphone portable et m’éloignai pour trouver du réseau afin d’alerter du secours. Je partis à peine 5 minutes en vain. Je rejoignais ma femme pour lui dire que j’allais à pied chercher du secours car le portable ne passait pas. En me rapprochant, je vis qu’elle était toujours entrain de faire du bouche à bouche.
Lorsque je me suis retrouvé à leur hauteur, j’ai eu comme un haut de coeur de surprise. Ma femme était bien toujours entrain de tenter de réanimer par la bouche. Sa manière avait changé. En fait, elle était tout
simplement entrain d’embrasser le monsieur. Qui lui avait l’air d’avoir retrouver tous ses esprits. Il remerciait d’une manière sa sauveteuse ; comme ils ne m’avaient pas entendu revenir. Je me mis de côté afin de suivre la sène.
Ma femme avait vraiment la bouche collée sur celle de Monsieur. Elle faisait tourner ses lèvres en mordillant celles de l’allongé. Elle pratiquait un vrai baiser de cinéma. Elle coinçait les lèvres de monsieur avec les siennes. Elle introduisait sa langue qui jouait avec celle de monsieur. Puis elle suçait la langue de monsieur.
Lucie, prit par le feu de l’action, glissa une main le long du torse de Monsieur. Sa main allait doucement à la recherche du mat qui était dressé sous le short. Tout embrassant monsieur, elle glissa la pointe de ses doigts
le long du torse. Elle s’arrêta sur les tétons de monsieur pour les pincer entre ses doigts fins. Celui semblait bien réagir à cette caresse. Il le témoignait par de petits gloussements. Monsieur avait l’air sensible à cette
attention manuelle. (Moi, je ne le suis pas). Finalement, sa main rampa jusqu’en bas du torse de Monsieur.
Dans un premier temps, Lucie fit temporiser monsieur. Elle joua à moduler le short de son amant occasionnel. Très vite, le short prit forme autour du braquemart. On aurait dit un étendard.
Lucie abandonna la bouche de monsieur pour venir chatouiller de sa bouche les tétons de celui-ci. Elle les mordillait de la même manière que je lui faisais à la maison.
La main de Lucie finit par passer en dessous du short. Monsieur l’aida à lui faire glisser le short le long des jambes. La main de Lucie saisit le membre de monsieur. Ce membre était à la fois bien long et large. Lucie entoura de ses doigts ce machin et mit en mouvement son poignée. Sa main descendait et montait tout en adhérent la peau de la verge de monsieur. Parfois la main descendait en dessous des bourses. Elle les prenait entre ses doigts. Puis elle remontait jusqu’au sommet du gland. Elle lui gratouillait le filament du bout des ongles. Cette manipulation déclenchait des hans à Monsieur. Puis sa main repartait ; le poignée voyageait habillement, très léger sans à-coups.
La bouche de Lucie rejoignit les doigts de sa main. Elle entama le bisoutage par quelques coups de langues à la base du gland de monsieur. Sa langue lapait vite ce gland. Han, han c’est tout ce que disait la proie de Madame. Gourmande, Lucie introduit le bonbon mauve dans sa cavité. Elle fit aller et venir sa douce tête sur ce membre. Elle descendait et montait à bonne cadence. De temps de temps, elle léchait le gland pour prendre la hampe entre ces lèvres. Elle glissait ces lèvres comme avec un harmonica. Pendant la fellation, sa main s’occupait des bourses de monsieur.
Au bout d’un instant, elle pivota son corps. Elle se plaça tête bêche. Sa chatte vint de poser sur la bouche de monsieur.
Lucie voulait que Monsieur lui procure le même plaisir. Il releva ses 2 bras pour écarter soigneusement les deux petites lèvres du sexe de ma femme. Il se mit à asticoter le raisin pendouillant au dessus de la langue.
Cette fois ci, c’est monsieur qui colla ses lèvres sur les parois de la chatte de ma femme.
Je l’entendais laper de petits coups langues rapides sur le bouton. Ma femme ne mit pas longtemps à réagir aux langulosités de son amant. Monsieur maîtrisait l’art du cunnilingus. Ma femme plaquait de plaisir son corps pour aller au contact de ce muscle qui la fouillait parfaitement. A son tour elle gémissait tout en gardant la verge de monsieur dans sa bouche. Je dirai même que le léchage de sa chatte, là faisait sucer encore plus fort monsieur.
De mon côté, je vous prie de croire que mon Moi avait pris une certaine forme devant ce formidable spectacle. Ca valait tous les films X que j’ai pu regarder. Regarder sa femme prendre son pied c’est magique.
Un peu frustrant. Mais magique. Je devais manipuler à l’intérieur de mon short mon braquemart pour le soulager.
Voir sa femme faire l’amour avec un autre homme est formidable ; je pensais que j’allais être jaloux. Je l’étais un peu. Mais ca favorisait mon excitation. D’autant que là, il n’y avait de pensée de compétition.
Ma femme se releva et glissa le long du corps de l’homme. Lucie se courba et planta le pieu de Monsieur au fond d’elle. Lucie, après quelques lents va et vient pour être bien arrimée, se mit en danse. Elle fit gagner rapidement par le plaisir de sentir ce dard en elle. Elle allait et venait maintenant à bonne cadence. Elle dansait du ventre pour bien faire aller le pieu sur chaque millimètre de sa grotte interne. Les empalements lui faisaient gémir de plaisir. Elle ne contrôlait plus. Elle était en pleine transe. Elle miaulait à chaque fois que l’engin de monsieur cognait contre la surface interne de madame. Monsieur lui caressait les seins pendant qu’elle gesticulait sur son levier de vitesse.
Soudain Lucie me vit entrain de la regarder. Elle me sourit loin de s’arrêter. En voyant, l’état de mon short, elle me fit un signe d’approcher. Je ne me fis pas prier. Je me joignais face à elle. Sans entrée en matière, elle glissa mon short et empoigna mon engin moins volumineux que monsieur mais bon on a ce que l’on a. elle n’en fit pas réflexion. Elle engloutit mon Moi au fond de sa gorge et se mit à me sucer comme monsieur tout à l’heure. Sa bouche allait et venait à la cadence de sa danse rythmique sur monsieur, tout en pourléchant mon bout de sa langue. Sa langue me frétillait à la vitesse d’un battement d’aile de papillon. Je trouvai même le fait de s’empaler sur la bite de monsieur donné plus de sensation à la fellation. Lucie était prise dans un état d’emballement, qu’elle ne savait plus où elle était. Elle s’abandonnait totalement oubliant
complètement ce qu’on pourrait penser d’elle. Je profitai de cet instant unique.
Une nouvelle fois, Lucie souhaita changer de position ; en fait elle se tourna pour faire face à monsieur.
Bien en dessous, il se mit à pilonner la chatte de ma femme. Il bascula Lucie vers lui afin de l’embrasser sur la bouche et les seins.
A ce spectacle, je ne pus m’empêcher de m’agenouiller pour caresse les belles fesses de ma femme. A ma grande surprise, elle dandina du popotin pour m’inviter à aller plus loin. D’ordinaire, elle est plutôt réfractaire à la sodomie. Là, elle me fit comprendre qu’elle en avait envie. Ce qui définit l’état tertiaire dans lequel elle devait être. Je ne laissai pas passer l’occasion. Je présentai mon outil à l’entrée de sa petite porte.
Excitée par la situation, je m’enfonçai en elle ainsi. Lucie était tellement excitée que je rentrai dans son derrière comme dans du beurre. Son anus était humide de plaisir, je glissai à l’intérieur sans problème. A mon tour, ivre de plaisir, je dansais en elle telle un marteau piqueur. J’imprégnai un rythme d’enfer. Ma pénétration associée à celle de monsieur fit partir ma femme dans un autre monde. Ces gémissements s’étaient transformées en des râles de plaisir. Elle hurlait son bonheur. Elle ne se rendait plus compte de
rien.
Bientôt, je sentis mon orgasme se présenter. Alors je sortis des fesses de madame. Monsieur eut la même idée que moi. Nous fîmes allonger madame sur le dos. Tous les deux dans un râle de plaisir, nous lâchâmes notre averse de pluie blanche. Nous zébrâmes le visage et le corps de Lucie. Elle s’enduit partout sur le corps.
Plusieurs heures après, nous discutâmes de ce qui s’était passée. Je lui dis comme j’avais été jaloux et excité par la suite. Que j’avais vécu un grand moment en tant que spectateur unique.
Elle me répondit qu’elle ne s’était rendu compte de rien. Simplement lorsqu’elle avait essayé de réanimer monsieur. En approchant pour faire du bouche à bouche. Elle avait senti comme une attirance fatale.
Lorsqu’elle avait posé la bouche sur celle de monsieur. Elle se rendit compte qu’il était vivant. Mon éloignement avait provoqué l’occasion. Comme monsieur avait bonne haleine alors …
Je lui ai demandé si elle avait ressenti une différence entre nos différences tailles ; elle me dit non qu’elle n’avait pas fait attention à cela.
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