Ce jour mercredi la journée des enfants, je devais être libre la journée entière. J’étais impatiente de voir Fred afin de réaliser un fantasme avec des légumes. Fred m’avait dit au tél, qu’il avait trouvé 3 aubergines, un concombre, 3 courgettes, 2 citrons et 3 carottes. Je sentais que ma chatte et mon cul allaient être contents. Ma fille était chez sa nounou et j’étais prête à tout. J’ai entendu la sonnette à l’entrée, je me suis précipité et quelle déception, c’était ma belle-mère qui venait me voir. Nous avons une grande complicité car son mari déjà décédé, était un coureur de jupons et elle avait découvert que pendant ma grossesse, mon conjoint est allé voir ailleurs. Moi qui pensais qu’il respectait mon état, mais non, il se tapait n’importe qui. Il a voulu faire le coup à ma cousine qui a le même âge que moi mais il est tombé sur un os – elle a tout rapporté à son mari et ils sont en venus aux mains.
Au fond de moi, je m’en foutais ce que disait ma belle-mère car je pensais que Fred aller arriver avec des légumes et des capotes dans son sac de course. Comment expliquer à ma belle-mère que c’est mon amant qui vient ?
Fred est arrivé, je l’ai embrassé sur la joue (alors que je voulais sa langue et autre chose aussi), il a fait la connaissance de ma belle-mère. Ma belle-mère Françoise a de suite compris que Fred était intimement lié à moi vu la tenue sans soutien-gorge que je portais. Fred a brisé le silence et a expliqué à Françoise, que nous étions devenus proches depuis quelques jours. A la surprise générale, Françoise m’a avoué que mon mari avait depuis longtemps, une double vie avec 2 enfants. Il était difficile d’aborder le sujet de peur de me vexer. Pour elle ce fût un soulagement et pour moi, je me suis déplacé et je me suis assis près de Fred en lui tenant la main. Françoise m’a dit qu’il était temps de profiter de la vie ; elle-même aurais aimé suivre le même chemin celui d’avoir un amant mais comme elle vivait dans un petit village, ça aurait été dur. Elle m’avoua avoir eu des aventures avec le facteur et le boucher qui se déplaçaient souvent.
C’est vrai que c’est comme un coup de poignard cette révélation. Même enceinte, j’ai toujours voulu le faire plaisir. Baiser alors que j’étais à terme, ne le gênait nullement. Il aimait la levrette, sa position préférée – maintenant je sais pour quo. Sans doute quand il me prenait par derrière pensait-il à sa 2ème femme. Et quand il partait pour Paris pour 15 jours de formation, allait-il retrouver sa famille ? J’ai un doute le jour où il est parti pour l’île de la Réunion pour les travaux de la nouvelle route sur la mer pour 6 mois (il est ingénieur hydraulicien) alors que moi je suis restée à Montpellier avec ma fille de 12 mois). Il a dû se payer du bon temps au soleil. Sale connard de merde. Beaucoup de choses vous passent dans la tête à ce moment-là (comme lui téléphoner et lui avouer que je connais tout de sa vie particulière). J’étais en colère. Il fallait que je fasse quelque chose. L’amie de Françoise est arrivée et Fred l’a raccompagnée à la porte. Il est revenu vers moi dans la cuisine, j’avais des grosses larmes aux yeux et il m’a prise dans ses bras. Je me suis laissée aller, j’ai senti sa chaleur contre moi. Nous sommes allés au salon et j’ai essuyé mes larmes. Il a été doux avec moi. Il m’a caressé le visage, le corps. Je me suis dit en moi-même ‘’qu’est-ce que je peux être conne de pleurer pour un mec, lui mène la belle vie et toi, tu es cocue depuis longtemps !!’’
A ce moment-là, j’ai pensé aux légumes que Fred avait apportés. Je lui ai demandé ce qu’on allait faire avec, dans un 1er temps faire l’amour avec toi mais comme tu n’es pas en état, on va faire la cuisine. J’ai réfléchi une minute, je me suis dit :’’ Fred est là, j’ai envie malgré tout, autant prendre mon pied pour oublier ». Je suis revenue à la cuisine, j’ai pris une aubergine, un concombre, une petite courgette et Fred a ramené 2 citrons. J’ai déposé les légumes sur le bahut et je me suis mise à poil. Fred a fait de même et je suis mise à genoux et j’ai commencé une gorge profonde. Sa bite est devenue grosse dans ma bouche. Puis il a pris une aubergine, mis une capote dessus et m’a relevé et m’a appuyé contre le mur. Je mouillais un peu. Il a pris l’aubergine avec la capote dessus et m’a fait passer sur les lèvres, le menton, puis m’a fourré sa langue au fond de ma bouche. Puis il a tenu mes seins l’un contre l’autre et a passé le légume au milieu des 2. Moi j’avais une autre envie, je lui caressais la bite, je poussais mon sexe contre le sien pour la faire entrer en moi. Le légume est resté entre 2 seins et lui il m’a mordillé et léché les seins. Whaouuuu quel moment !!!
Par la suite, il a glissé le légume contre mon ventre, mon nombril et l’a passé sur mon sexe. Il s’est mis à passer la langue dans ma petite touffe ainsi que sur mon clito. Je mouillais à la folie. Il est revenu vers moi pour embrasser et me tenir fort contre lui. J’ai senti son gland contre mon entrée. Il est revenu avec l’aubergine et l’a fait glisser en moi. Il cracha sur mon sexe et j’ai bougé mon bassin pour mieux avaler le légume. Il a pris le temps de l’enfoncer tout doucement pour voir si ça rentrait. Je me sentais bien il a commencé à me masturber lentement avec. Moi je masturbais son sexe. Puis il m’a retourné et a continué à faire des va et vient avec le légume qui restait ferme. Mon cul était offert à Fred. Je voulais la double peine, aussitôt il est entré dans mon cul. J’étais conquise. De sa main il me masturbait avec le légume que ma mouille coulait le long de ma jambe et de l’autre je sentais mon pénis dans mon cul. J’étais une grosse salope avec 2 gros trucs dans mes 2 trous. Il me tirais les cheveux en arrièreJ’aurais aimé sentir le légume et sa bite dans ma chatte, mais les deux étaient trop grosses et il avait peur que cela allait me déchirer pour de bon. Ça c’est une baise royale. Puis après d’intenses va et vient, il a éjaculé dans mon cul et j’ai eu un orgasme avec l’aubergine. Par la suite, je l’ai pris dans mes bras et je l’ai embrassé et caressé longtemps et nous sommes dits des mots d’amour avec une petite langue, des petits baisers de temps à autre. Une bise sur les seins, une caresse légère sur mon sexe ainsi que sur le sien, des caresses sur nos corps. Puis il a pris 2 citrons, les a mis dans une capote et m’a dit : ‘’ton sexe est ouvert autant en profiter et mettre de boules de geisha’’, je lui ai répondu ‘’et comment faire pour les retirer ? avec ma langue et ma bouche ma chérie’’. Il a léché son clito et ma délicieuse entrée, il a glissé un citron, hummm exquis, puis le 2ème. Avec ses doigts, il les a poussés au fond de mon sexe. Je lui ai supplié de me fister, mon bassin s’est mis à bouger et j’ai senti sa main entrée dans mon vagin et je contrôlais le va et vient. J’ai adoré qu’il me donne son autre main à sucer et il caressait aussi mes seins et mon ventre. Avec sa 2ème main, il a joué avec mon clito, j’étais sur le point de m’évanouir. Sa main fouillait mes entrailles, c’est excitant. Je sentais sa main ainsi que les 2 citrons. Je mouillais comme une truie. J’avais envie de sa bite au fond de moi à la place de sa main. Il m’a surprise de nouveau, il a retiré sa main dans ma chatte plus que baveuse et a engouffré sa langue et son visage au fond de mon sexe. Jamais mes entrailles étaient remplis de la sorte, ma mouille était abondante et Fred me lécha et avala tout. Je sentais sa langue qui cherchait le bout de la capote. Avec mon abondante mouille, les 2 citrons s’étaient déplacés. Il tint le bout du préservatif et je sentais les 2 citrons remonter mon vagin. J’ai sucé comme une folle ses mains qu’il m’offrait et j’ai pincé moi-même mes seins. Il a fait sortir les 2 citrons l’un après l’autre de mon sexe comme 2 œufs qu’une poule a pondu. J’étais heureuse. J’étais en eau, je transpirai de bonheur. J’avais chaud et j’étais brulante à l’excès. Mes seins étaient devenus durs. J’avais la gorge sèche mais il a pris de la mouille autour de mon sexe et m’a donné pour me rassasier. J’étais écartée comme jamais, je sentais sa langue au profond de moi. Il m’écrasait un sein, pinçait l’autre qui ne demandait que cela. Il continuait à me lécher de plus belle. Puis je l’ai pris par la tête et je l’ai ramené à ma bouche et son sexe est entré en moi. Au moment de la pénétration, j’ai eu une jouissance puissante. Fred n’avait pas fini mais je lui ai dit de continuer, il m’a dit :’’ tu as eu ta jouissance c’est beau’’ et je lui ai dit de resté dedans car je l’aime quand il reste en moi. Et nous avons pris du temps à nous toucher, caresser et reposer un peu enlacer l’un à l’autre.
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