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Ma femme devient une pute Ch. 08

Ma femme devient une pute Ch. 08



Traduction d’un texte de Veri.

**********

Michelle passait une mauvaise journée. Elle courut vers James, les seins ballotant.

– Un trou du cul de gamin vient de mettre son doigt dans ma chatte et il n’a pas payé!

Elle montra deux gars assis au bar qui souriait. James rit :

– Calme toi bébé, tu sembles vraiment contrariée.

Michelle alluma une cigarette et posa ses mains sur ses hanches. Elle portait un short serré, tendu sur ses fesses. Elle avait aussi un débardeur serré sous lequel ses seins se balançaient librement.

– Tu dois prendre soin de ta pute. Dit-elle sur la défensive.

James lui lança un regard dur :

– Ma pute ne dit jamais ce que son homme doit faire. Compris?

Michelle baissa les yeux et regarda par terre. Elle ne voulait pas être frappée.

– J’ai compris. Mais quand même…

Il était 19 heures passées. Michelle dansait depuis midi. Ses pieds lui faisaient mal et elle ne s’était pas reposée depuis trois semaines.

Tous les jours depuis que James l’avait emmenée pour la première fois se prostituer dans le club de strip-tease étaient quasiment identiques. Se lever, se laisser baiser par James, faire le petit déjeuner, marcher comme une pute pour aller au travail, faire une pipe pour 10 euros à quelques habitués sur la route, entrer dans le club et danser, baiser ou sucer JJ quand il le voulait, ainsi que Big John, le responsable de l’arrière-salle, danser toute l’après-midi, avoir une pause de seulement 30 minutes pour manger le hamburger que James lui amène, recommencer à danser ou baiser jusqu’à minuit ou plus tard. Le week-end, le club était bondé et Michelle réussissait à gagner beaucoup d’argent dans l’arrière salle avec fellations et baises. Mais les jours de semaine étaient tristes, Michelle passait des heures sans fin à harceler des clients tristes qui venaient simplement pour boire une bière ou regarder des filles nues.

C’était la vraie vie d’une prostituée, réalisa Michelle. Rien d’excitant comme quand elle était volontairement dans la rue pour jouer à la pute. De temps en temps, elle disait à James qu’elle pourrait gagner plus d’argent s’il lui permettait de retourner à son travail d’avocate. Mais l’homme refusait toujours. Ma femme réalisa qu’elle était le seul moyen de subsistance du proxénète. Bien qu’elle puisse gagner plus de 200 000 euros par an en tant qu’avocate, retourner au bureau signifierait que James ne pourrait la garder sous la main 24 heures sur 24.

Donc Michelle se levait jour après jour et se faisait baiser pour son souteneur.

Un jour, un jeudi, alors que Michelle pensait que la journée allait être la même, James l’emmena chez un avocat à qui il lui avait demandé d’établir des documents de divorce. Elle signa en grimaçant sans vraiment les regarder. En guise de paiement, James l’emmena dans un motel bon marché et la laissa pendant une heure avec l’avocat qui put s’amuser avec elle.

Elle ne parla pas beaucoup avec lui car elle ne lui faisait pas confiance pour l’aider. Pour le peu qu’elle avait regardé, elle avait noté de nombreuses erreurs dans les papiers de divorce, si bien qu’elle regretta son ancienne vie. Michelle réalisa à quel point elle était abandonnée. La vraie vie d’une pute était dure, déprimante et n’offrait aucun plaisir et aucun avenir. Il n’y avait rien de sexy à travailler dans la rue pendant des heures avec son proxénète dix mètres derrière. Michelle n’avait pas de récompense : pas de cours de yoga, pas de diner, pas de cinéma. Sa vie était juste manger, dormir, satisfaire James et ses amis et se vendre à quiconque avait dix euros, tout en essayant de ne pas mettre James assez en colère pour qu’il la frappe.

Alors qu’elle était seule avec l’avocat, ma femme pensa brièvement à lui demander de l’aide. Tout ce qu’il aurait eu à faire est de lui prêter son téléphone pendant quelques minutes et elle aurait pu m’appeler pour m’expliquer où elle travaillait et pour prévenir la police. Mais ça aurait été surement une erreur car l’avocat aurait refusé et aurait tout dit à James qui l’aurait battue pour sa tentative d’évasion. James lui avait déjà cassé une dent en lui donnant un coup de poing quand elle lui avait répondu au club un jour.

Ce fut ce jour-là où ma femme fut complètement brisée. Les autres strip-teaseuses du club restèrent silencieuses et aucun client ne bougea alors que Michelle rampait sur le sol en pleurant et en cherchant sa dent pendant que James se tenait debout devant elle en lui criant dessus.

Il la força à se relever et à s’excuser de l’avoir obligé à la frapper. Michelle obéit, la bouche saignante et les larmes coulant sur son visage. Ce fut ce jour-là qu’elle perdit tout espoir. Personne ne l’aiderait et James ne l’autoriserait jamais à partir. Depuis ce jour, Michelle marcha tête baissée, bougeant son cul et ses seins lorsque James le disait.

James était avec JJ quand elle se plaignit du jeune garçon qui l’avait doigtée. JJ était le fils du propriétaire du club qu’elle devait régulièrement baiser ou sucer pour qu’il ne lui facture que 10 euros au lieu de 20 l’heure autorisée à travailler. Elle n’aimait pas JJ qui semblait prendre un réel plaisir à la blesser ou l’humilier lors de leurs rapports sexuels.

Les deux hommes rirent quand Michelle se plaignit. JJ eut une idée. Il sortit quelque chose de sa poche et regarda James :

– Puis-je lui en donner?

James acquiesça :

– Oui, on peut commencer ça.

JJ regarda Michelle.

– Jette cette cigarette à la poubelle et prends ça!

Il tendit un joint et Michelle obéit. Elle inspira profondément et sa tête se mit à tourner. Immédiatement, elle se sentit légère et sa colère s’évanouit. Elle prit une autre bouffée et ne se rappela même pas pourquoi elle était en colère. Elle tendit la main vers JJ et saisit son entrejambe.

– Tu es prêt pour ma chatte bébé?

JJ sourit et tendit le joint à James.

– On se voit plus tard camarade.

Ils partirent dans le petit bureau que JJ avait à l’arrière. Michelle était brulante. Elle pensa qu’il y avait surement autre chose que de l’herbe dans le joint. Il devait y avoir un aphrodisiaque car elle était incroyablement excitée.

JJ jeta Michelle sur son canapé sale et défit son pantalon. Elle rampa vers lui et attrapa sa queue, mais JJ la repoussa.

Michelle avait l’habitude de ce jeu. Mais contrairement à toutes les autres fois où l’homme la faisait ramper et supplier de la laisser sucer sa queue, elle se précipita, fourra le membre dans sa bouche et commença à le sucer. JJ banda très vite. Il rigola.

– Calme toi chienne…

Mais avant qu’il ne puisse en dire plus, Michelle s’était allongée sur le canapé et tirait l’homme sur elle.

– Tu dois me baiser maintenant, j’en ai besoin.

JJ guida son sexe entre les jambes de ma femme. Il trouva qu’elle était vraiment excitée et incroyablement humide. Il la baisa alors qu’elle gémissait, jurait et se tortillait sous lui. Ses mains lui griffaient le dos et elle le suppliait de la pilonner plus durement, ce qu’il fit jusqu’à ce que la tête de Michelle se torde en arrière.

Et même si elle avait un orgasme, la chaleur dans son ventre ne disparut pas. Elle enroula ses jambes autour de JJ et ne le laissa pas se dégager.

– Baise cette pute! Plus fort!

JJ tint le coup aussi longtemps qu’il le pouvait. Finalement il se vida en elle juste au moment où elle avait un nouvel orgasme. Ils restèrent allongés sur le canapé, JJ toujours en elle, pendant quelques minutes. Michelle haleta et essaya de reprendre son souffle tout en se vidant la tête.

Puis elle se redressa et commença à s’habiller en silence. JJ resta allongé sur le canapé et sortit un autre joint.

– Tu le veux? Dit-il en le balançant devant elle.

Michelle voulut le prendre mais il le reprit.

– Dis s’il te plaît! Railla-t-il.

Michelle baissa la voix et frotta ses seins contre sa poitrine.

– S’il te plaît bébé, donne-le-moi.

JJ rigola et laissa Michelle avoir le joint. Mais au bout de deux bouffées, il le reprit.

Michelle fut étourdie par la drogue. Elle sortit dans le club à la recherche de James ou d’un client. Elle ne se souvient pas du reste de la nuit. Le lendemain matin, elle se réveilla dans le même appartement sale qu’elle partageait avec James. « Un autre jour, et la même routine » pensa Michelle, nue dans le bras du proxénète. Elle tendit la main sous les couvertures et trouva la grosse queue noire de l’homme. Elle passa la tête sous les couvertures. James était généralement de bonne humeur s’il se réveillait avec sa bite dans une bouche.

Mais cette fois, ce fut différent. Michelle ressentit une douleur dans le dos et sous les seins. Elle essaya de se mettre à l’aise pour sucer James mais la douleur augmenta. C’était comme une brulure dans le bas de son dos et sous chaque sein. Elle se leva et entra rapidement dans la salle de bain. Ses pires craintes furent confirmées. Alors qu’elle était sous l’effet des drogues qu’ils lui avaient donnés, James l’avait emmené dans un salon de tatouage.

Dans son dos, juste au-dessus de son cul, le nom « James » était tatoué en bleu. Michelle se retourna et fit face au miroir en pleurant. Elle souleva sa grosse poitrine. Le mot « putain » était tatoué en noir sous un sein. Sous l’autre, se trouvait le mot « salope ». Les tatouages ont été faits de telle sorte que lorsque Michelle est nue et debout ils ne se voient pas. Mais lorsqu’elle est allongée, les mots sont bien visibles.

James l’avait marquée de telles façons que chaque fois qu’elle aurait des relations sexuelles, son partenaire verrait qu’elle appartient à James. L’emprise du souteneur sur Michelle était complète. Ma femme se laissa tomber sur le sol da la salle de bain et pleura. James avait fait s’elle sa pute. Il lui avait fait signer des papiers pour divorcer du mari qu’elle aimait. Elle travaillait sept jours sur sept pour lui et il se plaignait quand elle demandait un peu d’argent pour s’acheter une bouteille de shampoing bon marché. Peu importe ce qu’elle gagnait, et certains jours c’était plus de 2 000 euros, il n’était jamais satisfait. Il la frappait quand il voulait. Il l’insultait, la qualifier de pute idiote et lui demandait toujours de s’excuser.

Michelle n’avait plus de vie. Sa carrière n’était plus. Elle pensa que je ne lui pardonnerais jamais et qu’elle n’aura jamais l’occasion de m’expliquer comment James l’avait forcée à signer les papiers du divorce dans lesquels elle renonçait à tous ses droits. L’avocat avait dit à James que s’ils faisaient comme ça, Michelle n’aurait pas à se présenter au tribunal. C’est ce que voulait James. La vie de Michelle fut réduite à sa promenade de prostituée pour aller au club, son travail dans ce lieu pour les noirs, et le petit appartement où elle était esclave de James.

Elle arrêta de pleurer et retourna dans la chambre. En chemin, elle passa devant la cuisine et vit un couteau à steak bon marché sur le comptoir. Elle s’arrêta une minute et réalisa qu’elle était nue. Elle ne pourrait s’en tirer comme ça. James contrôlait aussi ses vêtements et elle n’était pas autorisée à aller se servir dans l’armoire ou se vêtir sans la permission du proxénète. Elle oublia le couteau et retourna dans la chambre. James était réveillé. Il tapota le lit et elle s’assit docilement.

– Finis ce que tu as commencé salope!

Michelle se pencha et commença à sucer la grosse queue de son souteneur.

– Tu as vu tes nouvelles marques? Demanda nonchalamment James en s’allongeant pour profiter de la fellation.

Michelle hocha la tête dans cesser de sucer la queue. Il y a quelques jours, il lui avait posé une question pendant qu’elle le suçait et quand elle avait sorti le membre de sa bouche pour lui répondre, il l’avait giflé d’un revers qui l’avait fait tomber du lit.

– Ne cesse jamais de me sucer sans ma permission! Avait-il crié.

Elle avait gémi, s’était excusée et l’avait supplié d’être autorisée à finir de sucer sa queue. Il lui avait gracieusement permis.

James sourit intérieurement. Il avait finalement réussi à tatouer son nom sur sa pute, et elle ne pouvait se plaindre pendant qu’elle le suçait.

James caressa la tête de Michelle.

– Tu peux me répondre chienne.

Michelle laissa la bite de l’homme glisser de sa bouche. Elle était blessée et en colère mais elle savait que ça n’avait pas d’importance. Elle ne voulut pas être obligée de le remercier alors elle resta la tête penchée, fixant sa queue. James tendit la main et pinça un téton. Michelle se tortilla. Elle savait qu’il pouvait la faire jouir s’il le voulait. Finalement elle leva les yeux et demanda :

– Puis-je avoir un peu de ce joint que JJ m’a déjà donné?

James sourit puis il rigola.

Maintenant, Michelle était à peine consciente du temps qui passe. Elle perdit l’appétit et James dut l’obliger de manger. Elle allait au club et s’arrêtait en chemin pour sucer des clients, mais une fois qu’elle avait fini, elle se souvenait à peine de l’avoir fait. Une fois au club, James lui donnait de nouveau le joint spécial ce qui la gardait hébétée pendant quelques heures. Elle dansait et se faisait baisait. Puis le diner, puis encore le joint pour la fin de soirée. Et ils rentraient.

Même si elle était dans les vaps la plupart du temps, Michelle continuait à gagner de l’argent. Elle fit un très bon week-end lors du début de la saison de football.

Le lendemain, James l’emmena dans un garage de voiture d’occasion. Il négocia pour acheter une Cadillac décapotable de trois ans. Mais comme il lui manquait 500 dollars, il donna une tape sur le cul de Michelle. Elle comprit tout de suite et commença à faire la pute. Elle se blottit contre le vendeur, caressa sa poitrine à travers sa chemise et lui murmura à l’oreille que s’il se mettait d’accord avec son homme, elle prendrait bien soin de lui.

Cette nuit-là, alors que James les conduisait à l’appartement il fit un discours à Michelle.

– Aujourd’hui tu fais un tour en voiture. Mais demain tu marcheras pour aller travailler et je conduirai derrière toi. Tu dois travailler plus dur maintenant. Nous montons dans la société. J’ai une voiture et bientôt tu seras divorcée. Alors on pourra se marier. En attendant remue tes seins et bouge ton cul comme si tu étais née pour ça et nous y arriverons.

Il tendit la main et attira la tête de ma femme sur ses genoux. Il rentra chez lui en profitant de la fellation de Michelle dans sa nouvelle voiture. Elle s’arrêta un instant pour lui demander un joint. James lui donna une bouffée. Ensuite elle reprit la bite de son proxénète dans sa bouche. Pour James tout était parfait.

Les affaires de la nuit suivante au club furent moyennes. Michelle voulait bien travailler aussi dur que possible mais si les clients n’étaient pas là, elle ne pouvait pas faire grand-chose. Même JJ fut ennuyé. Il ne voulut plus de pipe ou baiser Michelle pour ne pas avoir à réduire le prix de l’heure. Mais Michelle gagna à peine 20 euros de l’heure. James était de mauvaise humeur au moment de partir.

– J’achète une belle voiture et tu fous tout en l’air en devenant une pute paresseuse.

Michelle grimaça. Elle pensa que James allait la frapper.

Pour James, être proxénète était la chose la plus simple au monde quand il avait une femme comme Michelle. Il suffisait de la comprendre. Quand elle pensait avoir fait quelque chose de bien, il fallait la punir, la réprimander et la faire pleurer. Quand elle pensait qu’elle allait avoir des problèmes, il fallait être gentille avec elle, l’embrasser et lui parler gentiment. Avec une idiote comme Michelle, ça avait bien fonctionné et il n’avait pas fallu longtemps avant qu’il ne la soumette. Les tatouages avaient été la dernière partie du plan. Maintenant que son nom était dans son dos, Michelle devait comprendre qu’elle n’avait pas moyen de lui échapper. Il avait parcouru un long chemin depuis qu’il nettoyait le sol du bureau de Michelle pour un maigre salaire.

Il tendit la main et Michelle recula.

– Viens ici, je ne vais pas te frapper.

Elle s’avança et il lui caressa la tête.

– Tu aimes ton homme? demanda-t-il.

Michelle se blottit contre lui et l’embrassa.

– Tu sais bien que oui bébé.

James prit son cul dans la main et le pressa. Même après tout ce temps, il aimait le cul de cette vieille salope et il avait hâte de pouvoir la baiser ce soir.

– Je veux que tu travailles dur avant de rentrer à la maison. Il y a beaucoup d’hommes sur le chemin, essaie d’en satisfaire certains. Tu peux nous gagner un peu d’argent. Puis quand nous rentrerons, tu auras du vin et le joint, ainsi que de la musique. Tu pourras faire la fête avec ton homme. OK?

Michelle sourit malgré elle. C’est le meilleur qu’elle puisse obtenir. C’était presque un rendez-vous et elle n’aurait pas besoin de cuisiner ou de faire le ménage. Elle sourit à James, même si elle était consciente que son sourire était gâché par la dent manquante qu’il lui avait cassée. Elle sortit du club et marcha sur le trottoir avec James conduisant quelques mètres derrière elle. Elle remua le cul autant que possible sur ses talons hauts.

Elle fit des signes de la main à quelques voitures qui la klaxonnèrent. Puis une s’arrêta. Derrière elle, James stoppa aussi. Michelle s’approcha de la voiture où il y avait deux hommes. Elle se pencha à la vitre du passager et dit :

– Hey les gars, vous voulez profiter d’une chatte chaude ce soir?

Le passager regarda ses seins. Elle baissa son haut et un nichon surgit. Michelle le souleva et montra au gars son tatouage « salope ». Les yeux du passager s’élargirent quand il vit le mot.

– Qu’est ce que tu nous offres? demanda le gars.

Michelle pensa à James qui voulait qu’elle gagne de l’argent.

– Je prends généralement 200 pour chacun. Mais comme vous avez l’air gentils, je fais 300 pour vous deux. Mais vous payer la chambre. Je vous sucerai et vous me baiserez.

Michelle remua sa poitrine et passa lentement sa langue autour de sa bouche. Ses grosses lèvres étaient humides et elle savait que le rouge à lèvre donnait envie de glisser son sexe dans sa bouche. Michelle était anxieuse mais elle fit de son mieux pour le cacher. Elle voulait vraiment gagner de l’argent pour James afin de pouvoir passer un bon moment lorsqu’elle rentrerait.

Le passager sortit de la voiture.

– Ok, laisse-moi t’ouvrir.

Il ouvrit la porte arrière de la voiture pour Michelle, mais avant qu’elle ne puisse entrer, elle sentit que l’homme l’agrippait.

– Attends ma chérie, je dois te mettre les menottes avant. Tu es en état d’arrestation.

Le policier mit les menottes tandis qu’une voiture de police tournait au coin avec ses feux clignotants.

Les pensées se bousculèrent dans la tête de ma femme. James connaissait tous les flics de la région. Il demandait souvent à Michelle de leur taille une pipe pour qu’il regarde ailleurs.

– Attendez une seconde. Mon homme prend soin de vous les gars. Je ne peux pas être arrêtée.

Le policier en civil fit tourner Michelle.

– Il est où ton homme?

Elle chercha James, mais il était parti. Elle commença à pleurer. Puis elle vomit. Le policier jura et recula. Et Michelle s’évanouit.

****

Michelle se réveilla dans un lit d’hôpital. Les draps étaient propres, bien blanc et ils sentaient bon. Elle avait une aiguille dans le bras. Elle cligna des yeux plusieurs fois et sa vision s’améliora. Elle me vit assis de l’autre côté de la pièce. Elle commença à pleurer. Elle s’assit alors que je m’approchai.

– J’étais tellement inquiet pour toi. Dis-je d’un ton rassurant.

Ma femme pleura de façon incontrôlable pendant plusieurs minutes. Une infirmière apporta de l’eau et Michelle la sirota. Puis elle réalisa qu’elle avait faim. Elle me le dit et j’allai le transmettre à l’infirmière.

– Où suis-je exactement?

– Dans une clinique privée.

– Mais… Comment… Je veux dire, j’ai été arrêté, je pense…

L’infirmière apporta un bol de soupe, du pain frais, une salade et un jus d’orange frais. Michelle n’avait rien mangé d’autre que de la restauration rapide pendant un mois. La nourriture était délicieuse et elle me demanda de lui expliquer ce qui s’était passé après qu’elle soit arrêtée.

– J’ai été averti que tu avais été arrêté. J’avais fait mettre une alerte de personne disparue sur toi. Après que tu te sois évanouie, tu as été conduite aux urgences et soignée. Je me suis présenté et j’ai discuté avec le policier qui t’a arrêtée et qui m’a expliqué ce qui s’était passé. Il a accepté de te laisser à ma charge jusqu’à ce que tu sois en bonne santé. Tes analyses de sang ont montré plusieurs drogues dans ton système sanguin, entre autres de la marijuana et de l’héroïne. Je t’ai faite transférer dans cette clinique qui a un bon service de désintoxication. Tu dors depuis deux jours. Ils t’ont tenue endormie pour que tu ne ressentes pas les effets du sevrage. Maintenant que l’héroïne est sortie de ton corps tu peux être réveillée. Maintenant il faut que tu restes ici encore quelques jours. Puis tu iras dans un centre de réadaptation pendant trente jours. Comme il s’agit de ta première arrestation, notre avocat a pu obtenir un accord avec le procureur. Si tu termine le programme de réadaptation, ils abandonneront les accusations.

L’infirmière amena plus de nourriture et Michelle mangea avidement. Elle me regarda et dit :

– Je suis vraiment désolé de t’avoir fait subir tout ça. Il faut que tu saches que je ne voulais pas en arriver là.

Je baissai les yeux :

– Tu veux toujours divorcer?

Elle commença à pleurer.

– Bien sûr que non. Je ne l’ai jamais voulu.

Michelle termina le programme de réadaptation et les accusations furent abandonnées. Avec son activité de pute dans la ville, elle ne put retourner travailler dans son cabinet d’avocat. Mais dans une autre ville plus loin au nord, elle se vit offrir un emploi dans un petit cabinet. La rémunération était inférieure de moitié à ce qu’elle gagnait auparavant, mais la ville était en expansion et les avocats du cabinet furent ravis d’avoir une avocate qui avait travaillé dans un grand cabinet. Ils prévoyaient d’en faire une associée dans quelques années.

Puis un jour, juste avant que nous déménagions, le nouveau téléphone portable de Michelle sonna.

– Je veux que ma femme revienne. Dit la voix à l’autre bout du fil.

Michelle se figea. Elle se doutait que James essaierait de la contacter, mais elle ne savait pas quand. Elle commença à pleurer. A l’autre bout du fil, James était tout tendre.

– Est-ce que ton bébé te manque? Je sais que tu dois t’ennuyer. Tu n’es pas revenu dans ton cabinet d’avocats. Que fais-tu alors? Tu peux revenir avec moi bébé. Ce sera mieux qu’avant.

– James… Comment… Comment as-tu eu mon numéro? Murmura-t-elle.

– Bébé, j’ai eu ton numéro le jour où tu as eu ton nouveau téléphone. Je suis passé chez toi. Je vois que ton mari stupide et toi faites vos valises pour partir. Mais tu sais que je suis ton homme. Tu ne peux pas partir à moins que je le permette.

Instinctivement, Michelle baissa les yeux, soumise.

– Je veux partir James. Laisse-moi partir.

– Pas si vite petite fille. Tu m’es redevable. Pourquoi ne pas nous rencontrer et en parler.

Ma femme se mordit la lèvre inférieure et sentit un picotement familier entre les jambes.

– Peut-on y arriver? Je ne veux plus être frappée.

James rit.

– Bien sûr que nous pouvons bébé. Ça sera mieux. Plus de coups. Tu divorces et tu m’épouses comme nous avions prévu et les choses iront mieux. Nous pourrons avoir un nouvel appartement et je t’achèterai de beaux vêtements. Je sais que ton homme te manque.

Michelle regarda autour d’elle. Il n’y avait personne.

– Tu me manques! Murmura-t-elle au téléphone.

James dit à Michelle où le rencontrer plus tard dans la journée. Elle lui dit qu’elle viendrait avec moi, son mari. Elle voulait que nous nous rencontrions et que nous nous mettions d’accord. James n’avait pas peur de moi alors il accepta facilement.

Nous arrivâmes devant le bar dix minutes plus tôt. Nous restâmes assis dans la voiture en silence. Puis je dis :

– Après tout ce que je viens de faire pour toi, après tout ce que ce voyou t’as fait. Tu n’as pas à faire ça Michelle. Nous pouvons simplement partir et continuer notre vie.

Elle secoua la tête.

– Je t’ai dit, il y a longtemps, quand j’ai commencé, que je finirai selon mes conditions

– Et aller voir James, ça va t’aider? Dis-je avec irritation.

Nous nous étions déjà disputés sur la façon dont elle s’était habillée, jupe courte et chemisier ample sans soutien-gorge, et bien sûr, des talons hauts.

Elle hocha la tête.

– Je suis une grande fille. Je sais ce que je veux.

– Tu as dit cela quand tu as commencé. Et tu t’es retrouvée à l’hôpital, une dent en moins, et accro à la drogue.

Michelle hocha de nouveau la tête.

– Je sais. J’ai fait des erreurs. Mais je peux gérer James maintenant.

Elle me regarda dans les yeux.

– S’il te plaît, laisse-moi faire. J’en ai besoin.

J’acquiesçai d’un hochement de tête silencieux. Michelle vérifia son sac à main, y mit son téléphone. Nous sortîmes de la voiture et entrâmes dans le bar en nous tenant la main.

James était assis à l’arrière du bar, face à la porte. Personne ne pouvait entrer ou sortir sans qu’il le voie. Le bar était quasiment vide à part deux hommes d’affaires à une extrémité du comptoir en train de siroter une bière et un autre gars débraillé avec de longs cheveux gras en train de boire un whisky bon marché à l’autre extrémité.

Nous approchâmes de James qui fit signe à Michelle de s’asseoir à côté de lui. Michelle me regarda puis lâcha ma main et s’assit. James passa tout de suite son bras autour d’elle en me souriant. Puis il souleva le haut de ma femme et fixa ses seins.

– Pas de soutien-gorge. Juste la façon dont ma femme doit s’habiller pour son homme.

Michelle alluma une cigarette. Elle laissa James caresser sa poitrine pendant une minute devant moi. Puis elle lui parla :

– Ecoute James, j’ai besoin que l’on fixe un accord maintenant. D’abord, tu n’embêteras pas mon mari.

James agita la main avec dédain.

– Je n’ai aucun problème avec lui tant qu’il sait que tu es à moi pour toujours à partir de maintenant.

Michelle hocha la tête.

– Deuxièmement, plus de drogue. Tu ne dois plus me donner de produits qui altèrent ma volonté. Je suis saine maintenant. OK?

James acquiesça. Mais Michelle insista :

– Je veux t’entendre le dire.

– Ok, ok salope. Je ne te donnerai plus de drogue.

– J’ai besoin de savoir. Que me donnais-tu exactement avant?

James haussa les épaules.

– Un petit peu d’aphrodisiaque, un peu de H, de la marijuana et d’autres merdes. C’est le H qui te mettait dans les vaps.

– Le H c’est de l’héroïne? Demanda Michelle.

– Oui. Répondit simplement James.

– Troisièmement, tu ne peux plus me frapper.

James se foutait de ce qu’il acceptait. Une fois qu’il serait seul avec elle, il lui apprendrait à lui parler ainsi en public. Mais pour l’instant il se contrôlait.

– Plus de coups.

– Tu m’a cassé une dent tu sais?

– Oui mais tu sais pourquoi j’ai fait ça. Tu dois respecter ton homme.

Michelle hocha la tête.

– je te respecterai et tu me respecteras.

James sourit et serra Michelle contre lui. Il posa une main sur sa jambe. Il voulait la passer sous la jupe. Il voulait toucher sa chatte devant le mari de cette idiote. Michelle se dégagea et enleva la main en disant :

– Pas avant que nous ayons fini.

Elle ajouta :

– Une dernière chose. Tu ne peux pas me forcer à faire l’amour avec quelqu’un. Je dois être d’accord.

Le sourire de James se figea. Il ne répondit pas immédiatement. Puis, à voix basse, il fit face à Michelle et la regarda dans les yeux.

– Tu sais ce que je fais. Tu sais comment je gagne ma vie. C’est comme ça que je gagne de l’argent.

– Tu m’as fait faire la pute pendant un mois. Dit rapidement ma femme.

Elle commençait à énerver James. Il devait faire de gros efforts pour se contrôler. Ailleurs, il l’aurait giflée pour ces paroles. Mais au lieu de ça, il grinça des dents et dit :

– Bien sûr que je t’ai fait faire la pute stupide. Qu’est-ce que tu crois…

Avant que les mots finissent de sortir de sa bouche, James réalisa ce qui se passait.

– Enculée, salope, tu m’as eu.

Les trois autres hommes dans le bar se déplacèrent rapidement. Ils avaient ce dont ils avaient besoin. Sur l’enregistrement, James avait admis avoir frappé Michelle, l’avoir droguée avec de l’héroïne et l’avoir obligée à se prostituer. Plus simplement il avait avoué qu’il était un proxénète. James baissa les yeux sur le sac à main de ma femme qu’elle avait placé devant lui. Dedans, il y avait un micro et un magnétophone.

Les hommes en costumes sortirent leur badge tandis que l’homme aux cheveux longs tenait un fusil braqué sur la tête de James.

– Agents fédéraux. Vous êtes en état d’arrestation. Gardez les mains sur la table et levez-vous lentement.

***

Quelques mois plus tard, Michelle reçut un message du procureur. Lors des faits, James était en libération conditionnelle. Il était accusé de traite d’être humain. De plus comme le bar où il prostituait ma femme était dans un état voisin, il fut accusé de proxénétisme fédéral. Il encourrait la peine de 20 ans de prison pour violation de sa liberté conditionnelle. De plus il risquait 30 ans avec un minimum obligatoire de 15 ans pour le crime fédéral.

Pour pouvoir purger sa peine dans un établissement fédéral plus confortable qu’une prison d’état, il accepta de faire 25 ans. Michelle n’aurait plus à se soucier de lui.

Ma femme posa le téléphone et sourit. Elle pouvait reprendre sa vie. Elle avait subi un traitement au laser douloureux pour enlever le tatouage dans son dos. Mais elle ne l’avait pas encore fait pour ceux sous ses seins.

Elle travaillait dur dans son nouveau cabinet et les affaires de celui-ci commencèrent à se développer. Ses patrons étaient ravis et il était certain qu’elle deviendrait associée.

Lentement notre relation s’améliora. Dès le jour où je l’avais rencontré, j’avais su qu’elle aimait se comporter en chienne. Et elle avait compris que j’aimais la regarder flirter avec d’autres hommes. Ce qui l’avait amenée à danser avec d’autres dans des bars puis leur tailler une pipe dans leur voiture pendant que je regardais dans la mienne.

Et puis le côté obscur de ce fantasme devint réel. Elle voulut jouer à la pute. Et elle finit comme prostituée droguée sous la coupe d’un homme brutal.

Après quelques semaines, nous avons refait l’amour. Lentement et timidement, Michelle est venue à moi, me disant comment lui manquaient mes caresses, et comment elle avait besoin de mes baisers. Puis tout redevint normal.

Un jour, alors que nous étions couchés dans notre lit, je lui demandai :

– Dis moi ce que tu as fait!

Michelle qui taquinait ma queue avec sa main, la sentit raidir. Elle sourit malicieusement.

– Tu veux dire quand ta salope de femme était une putain?

– Oui, quand ma femme était une pute. Gémis-je.

– Hé bien, je m’habillais avec un short très serré ou une mini-jupe et un haut dans lequel mes seins étaient libres. Je mettais des hauts talons et je marchais dans la rue en me balançant. Tout le monde devinait que j’étais une pute.

Je gémis de nouveau alors que ma femme passa sa tête sous les couvertures.

– Tout le monde savait que ta femme se mettait à genoux et sucer des queues pour un peu d’argent.

Michelle passa sa langue sur ma bite et caressa mes couilles. Puis elle releva la tête et dit :

– Tu as encore des vidéos de moi?

– Toutes. Lui répondis-je.

– Bien alors, nous pourrons regarder ta femme être une salope.

FIN.

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