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un soucis financier (10)

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Une semaine s’était écoulée.
Mon beau-père était venu diner à la maison, pour me parler de Solange, qui était à présent sous anti-dépresseur. Il avait du mal à supporter l’atmosphère chez lui, entre sa propre épouse, et sa fille, qui n’arrêtaient pas de se plaindre.
Il était content de voir qu’Amalia était à la maison également, bien entendu il ignorait qu’elle dormait à présent chez moi, il pensait que je l’avais invité pour la soirée pour qu’ils se voient un peu. Il voyait également que je tentais de l’aider dans sa recherche d’un emploi.
Puis, je le pris à part, le voyant un peu épuisé, et je lui proposais :
– Je vous dis ça, mais une soirée avec une femme plus jeune, ça vous changerait les idées ?
– Une prostituée ? non… non vraiment pas. J’ai pas la tete à ça en plus.
– Je connais une étudiante, pour arrondir ses fins de mois, occasionnellement seulement, elle peut se montrer très docile. Elle a connu peu d’hommes, et vous pouvez lui faire tout ce que vous voulez.
Je vis une petite etincelle dans le regard de mon beau-père, qu’il tenta de camoufler, mais j’ai bien pu la remarquer.
Et deux jours plus tard, il me rappella. Il me parla de Solange, à nouveau, puis « de ce dont on avait parlé ». Je lui dis qu’il n’y aurait pas de soucis, le samedi soir suivant.
Il a du trouver le temps long, car il m’appella regulierement, pour savoir si c’était toujours bien maintenu. Je lui expliquais que la seule chose, c’est que l’étudiante porterait un masque de cuir sur le visage, car elle souhaitait garder l’anomymat.
Je ne prévins pas Amalia. Je lui avais acheté de la lingerie, et également ce fameux masque, qui comportait un baillon qu’elle devrait mettre dans sa bouche, elle ne pourrait ainsi pas du tout parler. Il y avait un trou pour laisser sortir le nez, pour respirer. Et deux fentes plutot reduites au niveau des yeux, lui permettant de voir, mais pas qu’on lui reconnaisse le regard.
Nous avons commencé la soirée tranquillement, je lui servis trois aperitifs successifs, elle tenait bien l’alcool, mais c’était pour la détendre un peu. Je lui expliquai que quelqu’un allait venir, quelqu’un qu’elle connaissait, et que pour cette raison elle allait porter le masque. Elle voulut savoir de qui il sagissait et je voyais qu’elle était mal à l’aise. Je lui répondis que si elle realisait cela, non seulement je ne lui demanderai plus rien, mais en plus elle repartirait chez elle avec un chèque de 5000 euros.
Je la fis mettre une culotte et un soutien gorge noirs, satinés, avec un peu de dentelles noires. Il n’y avait pas de transparence, mais cet ensemble était superbe sur le corps généreux d’Amalia. Le soutien gorge mettait encore plus en valeur sa poitrine genereuse.
Puis je lui fis porter le masque. Et on attendit quelques instants.
On sonna à la porte. Je me levais, en fermant la porte du salon, et j’allais accueillir mon beau-père. Je le sentais nerveux et mal à l’aise. Je lui dis quelques mots pour le détendre, puis lui dis que la fille était à coté.
– Allez, on y va, me dit-il.
Lorsque nous avons ouvert la porte et que nous sommes entrés, je vis tout de suite Amalia se crisper sur son fauteuil. C’était difficile d’imaginer à quoi elle pensait derrière son masque, mais elle se couvrit le décolleté avec une main, et serra un peu les jambes.
– Elle est superbe, me commenta mon beau-père.
Puis, s’approchant d’elle, il lui dit :
– Une belle salope aux gros seins. Fais les voir de suite.
Je revins du bar avec deux verres de whisky, et j’en tendis un à mon beau-père.
Comme Amalia ne bougeait pas, je m’éloignais en disant :
– Fais tout ce qu’il te demande. N’oublie pas ce qu’on a convenu comme accord. Et si tu n’es plus d’accord maintenant, j’enlève le masque et lui montre ton visage.
Doucement, Amalia passa ses mains dans son dos, et degrafa son soutien gorge. Je m’asseyais dans un fauteuil, dans un coin de la pièce, l’observant mettre à nu ses deux seins genereux.
– Naturels en plus, commenta mon beau-père. Qu’est ce qu’ils sont beaux tes seins… Regarde comme je suis dur déjà, à travers mon pantalon. Au fait, je m’appelle Jacques, et toi ?
Comme elle ne parlait pas, il se retourna vers moi.
– Désolé, elle ne peut pas parler avec ce masque. Je veux bien vous dire son prenom, mais j’ai peur que ça vous refroidisse un peu …
– Pourquoi ?
– Elle s’appelle Amalia, comme votre fille.
– Tiens, drole de coincidence. Mais ça ne me refroidit pas, ne t’inquiète pas.
Mon beau-père posa sa main doucement sous le sein droit d’Amalia, et le caressa doucement, puis posa son autre main sur l’autre sein. Il malaxa doucement sa poitrine.
– Mmhhh et puis ces tétons magnifiques… Tu sais que ma fille a des gros seins aussi… Pas aussi gros que les tiens je pense. Et fais voir un peu ça aussi…
Il descendit sa main vers la culotte d’Amalia, qu’il tira sur le coté, mettant à jour sa chatte bien taillée de la veille, avec un pubis court, bien délimité pour le maillot, et toute lisse autour de sa fente. Mon beau-père était assez precis, evidemment il avait l’experience de l’age, quoique avec ma belle mere il ne devait pas toujours prendre son pied, mais là, il entreouvrit directement la chatte d’Amalia, et lui dis :
– Regarde moi, et carresse toi le clitoris en meme temps. Je veux que tu te masturbes et que tu prennes ton pied en regardant mon visage.
Amalia descendit doucement sa main, tandis que de gestes précis, mon beau-père lui retirait sa culotte. Elle commença à peine à se carresser, que dejà sa chatte se retrouvait détrempée, et que de la mouille perlait sur le bord de ses lèvres. Amalia se masturbait devant son père, qui continuait de lui tenir entreouvert la chatte. De son autre main, il lui carressait les seins, ou allait vers son pantalon pour frotter son sexe.
– Mais dis moi, je t’excite ?… Regarde…
Mon beau père glissa deux doigts dans la chatte d’Amalia, et les ressorti, dégoulinant de mouille.
– Tu es juteuse à souhait, Amalia.
D’entendre son père dire cela, Amalia se masturba très fort, et très vite, sur son clitoris. N’en pouvant plus, Jacques baissa son pantalon, et commença à frotter son sexe gonflé sur ses seins, tout en se branlant.
– C’est quand meme drole que tu t’appelles Amalia et que tu ais des gros seins… Je la prends beaucoup en photo l’été quand elle vient à la piscine, pour me branler sur ses gros seins quand je suis seul. Et je me suis deja branlé dans ses maillots mouillés qu’elle avait laissé à sécher.
Jacques s’installa entre les jambes d’Amalia et glissa sa queue dans sa chatte. Elle entra toute seule, sans résistance, jusqu’à la garde, tant elle était innondée. D’ailleurs, à chaque va et vient, sa chatte faisait un bruit mouillé (qu’elle n’avait jamais eu à ce point avec moi). Je me disais que si les deux continuaient comme ça, ils ne tiendraient pas longtemps. Et ce fut bien le cas. Ce fut Amalia qui jouit la première, au grand étonnement de Jacques, qui la sentit se contracter et se relacher complètement, tressaillir, et sa chatte couler comme jamais en se resserant autour de sa queue.
Jacques sortit sa queue au bout de trois minutes, aspergeant le corps d’Amalia de jets de sperme, de sa chatte jusqu’aux seins.
Il reprit doucement ses esprits, puis se retourna vers moi :
– Tu avais raison, ça fait du bien. Et wow… quelle fille. Divine… Tu veux pas en profiter aussi ?
Je me levais en haussant les épaules, baissa mon pantalon, et fit se retourner Amalia.
– Vous pouvez vous mettre juste devant elle pendant que je la sodomise ?
Jacques se mit devant Amalia, tandis que j’enfonçais mon gland dans son cul, et que je glissais completement entre ses fesses. Je me mis à taper fort, entrant et sortant integralement ma queue de son cul à chaque fois. Amalia regardait son père, qui continuait de lui malaxer les seins.
– Hey au fait, c’est vrai ce que vous avez dit tout à l’heure pour Amalia ? Vous vous branlez parfois en regardant ses photos en maillot de bain ?
– C’est du fantasme, je lui ferait jamais ça tu sais bien. Mais tu sais, quand tu vis avec une femme qui t’emmerde toute la journée, d’avoir une jolie femme de temps en temps à la maison avec un corps superbe qui se balade en maillot, ça ne laisse pas insensible. J’ai souvent joui en pensant aux seins de ma fille. Mais bon ça reste entre nous hein…
– La prochaine fois que je vais chez elle, vous voulez que je vous ramène une ou deux de ses culottes ?
– Arrete, ou je vais rebander, fit-il en riant.
– Je prends ça pour un oui alors.
Je sortis ma queue d’un coup du cul à présent béant d’Amalia, et je la retournais, pour lui asperger à mon tour la chatte, et le ventre.
Nous sommes restés un moment sans rien dire. Puis Amalia se leva, et se dirigea vers la salle de bain.
– Quels seins, quel cul… Elle est superbe. J’espère la revoir un jour.
– Qui sait, murmurais-je. Et au fait, moi aussi je me branle parfois en pensant à Amalia.
– Tu as bien raison, elle est trop bandante avec son corps de pute ! fit Jacques en me tapant sur l »épaule.
Amalia marqua une pause mais ne se retourna pas. Elle sortit de la pièce, en direction de la salle de bain. Elle espérait que maintenant, tout soit fini.

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